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Ma femme livrée à deux vigiles

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Je me présente, Stéphane, trente-deux ans, brun. Je suis marié à une femme de 30 ans, Sandrine, brune, un joli corps et surtout une superbe poitrine. Elle a de très gros seins qui attirent les regards et j’avoue que ça me plaît. Je vous écris pour vous raconter comment j’ai mis ma femme dans les bras de deux hommes.J’ai un grave problème: dans les magasins, je ne peux m’empêcher de voler. Je me suis déjà fait pincer et emmener chez les flics. On m’a dit qu’à la prochaine récidive, je risquais de graves ennuis. J’ai donc arrêté un moment, puis un jour j’ai replongé. Dans une grande surface, j’ai volé des DVD. Deux surveillants m’ont emmené dans leur bureau où j’ai du les leur remettre.Alors qu’ils allaient appeler la police, je fus pris de panique et sans espoir, je les suppliais de me relâcher. Je n’avais pas assez d’argent sur moi pour payer, mais je leur montrai mes papiers en leur disant de les garder et que j’irai chercher l’argent pour payer. En ouvrant mon portefeuille, je fis tomber quelques photos au sol. Sur l’une, on voyait ma femme en tee-shirt et mini jupe. Son maillot contenait avec peine son opulente poitrine, et je vis l’un des vigiles la regarder avec intérêt. Il dit à l’autre:Regarde un peu ces seins, j’adore les gros nichons, et elle a l’air d’avoir un joli cul!Ce type m’agaçait mais je préférais me taire. Il était bedonnant et laid. Son collègue était plus jeune et mieux physiquement. Il regarda la photo de Sandrine et me dit que lui aussi aimait les gros nichons. Ils demandèrent si c’était ma femme, je leur dis que oui, et que j’avais une photo d’elle en maillot de bains, prise cet été, dans le portefeuille. Je la leur montrais en espérant gagner leur clémence. Sandrine, sur cette photo, était dans l’eau jusqu’aux genoux. Elle portait un maillot de bains deux pièces et ses seins débordaient généreusement du maillot. Elle était super bandante. Les deux types furent d’accord à ce sujet. Je leur dis alors:— Gardez les photos et laissez moi partir!Ils se mirent à rire en disant qu’il leur en fallait plus que ça.— Si ta femme se montre à poil devant nous et qu’elle nous suce, alors d’accord! me dit le gros vigile.Sans savoir s’il plaisantait ou non et sans réfléchir, je leur dis:— OK, je téléphone à ma femme pour lui expliquer et nous allons chez moi.Les vigiles me dirent alors qu’ils remplissaient une fiche de renseignements réglementaires suite au vol, fiche où figure mon identité, et que si tout allait bien, ils me la donneraient, sinon ils la transmettraient aux flics. J’appelais alors Sandrine. Le gros écoutait. J’expliquai à Sandrine que je m’étais fait épingler et ce que je souhaitais d’elle. Elle refusa d’abord. Je lui dis alors qu’étant fiché et récidiviste, je risquais gros. Je lui promis que si elle faisait un strip-tease, ça suffirait, les deux types me firent signe que non, alors je lui dis :— Chérie, fais ça pour moi, je risque de perdre mon boulot et qui sait, peut-être le tribunal. Je te promets que c’est la dernière fois!Sandrine aime faire l’amour. Elle n’est pas spécialement prude, car je sais qu’elle apprécie les regards sur sa poitrine. Mais jamais nous n’avons connu autre chose que l’amour entre nous. Je sais que je lui demandais beaucoup, elle me dit:— Je t’aime, mais tu mériterais que je te laisse à ton sort, c’est la première et dernière fois que tu me fais faire ça. Et puis après tout, ce sera une punition pour toi aussi!Le gros me murmura alors:— Dis-lui qu’elle mette des bas, j’adore ça et qu’elle s’habille sexy.En rouspétant, elle me répondit :— D’accord, je vais me transformer en pute, et cela à cause de toi. J’espère seulement que tu ne me le reprocheras pas, c’en serait vraiment trop! Je vais les exciter, ces types, et j’espère qu’au moins ils tiendront parole!Je restais une demi-heure avec les vigiles et à la fin de leur service, je les emmenais chez moi, inquiet et soulagé à la fois. Sandrine nous ouvrit la porte et me murmura avec dégoût:— Le gros qu’il est laid!Apparemment, le deuxième lui convenait mieux. Je remarquais alors qu’elle portait un déshabillé noir et dessous sa nuisette, noire également, qui lui arrivait sous les fesses. Elle avait mis dessous des bas coutures et des talons hauts. Elle me dit alors:— Ca te va ainsi? Je vous fais bander, j’irai plus vite à me déshabiller et vous partirez plus vite!Je réclamais le papier aux vigiles qui me dirent:— Tu l’auras après.Ils mataient Sandrine comme des fous.
Ils s’assirent sur le canapé et moi dans le fauteuil. Sandrine leur dit:— Alors je fais quoi?Le gros répondit:— Déshabille toi pour commencer.Sandrine retira son déshabillé. Sa nuisette ultra-courte et transparente ne cachait ni ses gros seins nus, ni son string.Le gros lui dit de tout retirer sauf les bas. Sandrine obéit et se retrouva nue face à nous, son cul rebondi, ses gros seins et sa chatte bien épilée, offerts à nos yeux. Je bandais et les vigiles aussi. Ils avaient ouvert leur braguette et se branlaient doucement. Leurs bites étaient très grosses, surtout celle du gros. Sandrine me dit:— Branle-toi aussi chéri, au point où nous en sommes!J’en avais envie et je le fis. Le gros attira alors Sandrine et l’assit entre lui et son ami. Sandrine protesta mais, à ma demande, se laissa faire. Ils la caressaient sur le corps en s’attardant sur ses seins, chacun en suçant un. Le gros caressa ensuite la chatte de ma femme, le jeune lui caressant les fesses.Sandrine changeait peu à peu d’attitude. Elle semblait y prendre du plaisir. J’étais trop excité pour protester en voyant les deux types ôter leur pantalon et leur slip. Leurs queues étaient énormes, j’en étais envieux. Ils s’assirent à nouveau, faisant mettre Sandrine à genoux sur le sol face à eux. D’où j’étais, je voyais le cul rebondi de Sandrine. Il remuait lentement, et je savais qu’elle mouillait à cet instant. Les types lui prirent les mains et les déposèrent sur leurs queues. Sandrine caressa alors ces deux bites. C’était fou, je me branlais, mon cœur cognait! Voir ces deux gros sexes dans ses mains m’excitait. Le gros lui prit alors la nuque et Sandrine se retrouva avec sa bite à l’entrée de sa bouche. Elle ne fit pas d’histoire et la suça en l’enfournant profondément. Sandrine sait très bien sucer, mais là, elle se surpassait. La queue, pourtant énorme, du gros, entrait presque entièrement dans sa bouche. Il la tenait par les cheveux et lui disait: — Vas-y, salope, avale ma bite, suce mes couilles, elle te plaît ma grosse queue?Sandrine était comme folle, car pendant ce temps, l’autre type la branlait en lui suçant les seins. Puis il se mit derrière elle. A quatre pattes, elle se laissa manipuler tout en continuant de pomper le gros. Alors le jeune approcha sa longue queue de ma femme et, sans ménagements, la pénétra. Elle ne put crier, la queue qu’elle tenait en bouche l’en empêchant, mais elle remuait sa croupe, prenant un vif plaisir à être pénétrée par cette queue qui allait et venait dans son vagin. Pendant ce temps, de ses deux mains, il lui malaxait les seins en disant:— Si tu en as plein la chatte de ma grosse bite, j’en ai plein les mains de tes nichons! Ils sont gros, il a du pot ton mari! Je suis sur qu’il se branle souvent dedans, tu es une sacrée salope!Leurs propos m’excitaient et apparemment Sandrine aussi. La situation me dépassait et pourtant je n’avais pas envie que ça cesse, au contraire. Le gros dit alors à son collègue:— Viens te faire sucer par cette salope, j’ai envie de lui mettre ma bite dans le cul, elle doit aimer ça, cette pute, puis s’adressant à moi: tu l’encules souvent ta femme? Je vais l’enculer devant toi avec ma grosse bite, quand tu l’enculeras, ça rentrera comme dans du beurre!Il m’arrive de sodomiser Sandrine de temps à autre, mais devant la taille de sa queue, j’ai pris peur qu’il ne lui fasse mal. Je lui dis:— Tu es trop gros, tu vas lui faire mal!Mais ébahi, je vis Sandrine se retourner, les cheveux hirsutes, et retirant sa bouche la queue du jeune qui venait de remplacer l’autre, elle me dit:— Tu l’as voulu, chéri! Alors laisse-le me la mettre dans le cul!Malgré mon excitation, j’allais dans la salle de bains où je pris un tube de vaseline. Le gros n’avait pas encore pénétré Sandrine, il lui pelotait à son tour les seins d’une main et de l’autre lui titillait l’anus. Sandrine se trémoussait en gloussant et suçant le jeune. Ce dernier dit alors:— Je vais te jouir dans la bouche, salope, avale tout!Je le vis maintenir Sandrine et éjaculer dans sa bouche une énorme quantité de foutre, car elle eut un haut-le-cœur et je vis du sperme couler de ses lèvres. Le jeune se servit de sa queue pour le lui étaler sur la bouche et le visage. Elle en avait plein la figure. Il me dit alors:— Viens galocher ta salope de femme si tu veux ton papier!Je m’avançais et sans réfléchir, j’embrassais Sandrine qui me donna sa langue et par la même occasion le sperme qui y restait. Le jeune, nous tenant la tête, nous dit alors:— Allez mes salopes, nettoyez ma bite!Il mit sa queue humide et molle entre mon visage et celui de Sandrine. Cela m’excita et Sandrine la reprit en bouche. Puis soudain, elle guida cette bite sur ma bouche et me dit:— Suce-le, chéri, vas-y, je veux te voir, ça m’excite!Je pris cette queue et la suçais, étonné d’y prendre plaisir. On se la partagea avec Sandrine et elle devint à nouveau dure. Le gros riait et dit:— Tu es une salope comme ta femme, mets-lui donc de la vaseline sur le cul que je l’encule, et mets-en sur ma queue!Je mis une noisette de vaseline sur l’œillet de Sandrine et une dans ma main, sans me soucier de ses rires, j’en étalai sur sa grosse bite, prenant un plaisir inouï à le branler. Il me repoussa et dit:— Arrête, c’est dans le cul de ta femme que je vais jouir!Je le regardais alors pointer sa queue sur l’œillet de Sandrine et après un léger tâtonnement, il l’encula d’une traite. Elle poussa un cri de douleur qui devint rapidement du plaisir. Il me dit alors de me branler et de jouir sur ma femme. Je ne me fis pas prier et je n’eus que le temps de m’approcher de son visage pour exploser, lui balançant à mon tour un flot de sperme. Elle attrapa ce qu’elle put avec la langue. Le jeune rebandait et me dit:— Je vais te faire comme à ta femme, suce-moi!A nouveau, Sandrine guida sa queue dans ma bouche. Je l’enfournais alors, le pompais en lui pelotant les couilles. Jamais je n’aurais pensé y prendre du plaisir. Il se retira au bout d’un moment et, pointant son dard sur mon visage, éjacula en me balançant son foutre en pleine figure. Il dit à Sandrine:— Salope, laves le avec ta langue!Sandrine me lécha le visage en avalant le sperme qui s’y trouvait. Le gros l’enculait, lui donnant des claques sur les fesses. Son cul rougissait mais elle semblait apprécier. Il se retira et dit à Sandrine:— Suce ma queueJe le vis alors retirer sa queue du cul de ma femme, pénétrer sa bouche et jouir immédiatement.Je m’allongeais alors près de Sandrine et l’embrassais.Les types se rhabillèrent, nous jetèrent le papier et partirent. Nous restions étendus, Sandrine soudain honteuse, le visage couvert de sperme et moi honteux d’avoir sucé une bite. Jamais je ne suis retourné dans ce magasin et les types ont tenu leur promesse de ne pas revenir.Nous en reparlons parfois avec Sandrine, sans regret, au contraire, en en riant car elle a eu mal au cul pendant plusieurs jours après ça, jamais elle n’avait pris un tel calibre!
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