Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 130 J'aime
  • 5 Commentaires

La femme louve

Chapitre 1

Zoophilie
Plus jeune, elle avait été la reine de son village. Une de celles dont on dit couramment qu’il n’y avait que le train à ne pas lui être passé dessus. Il est vrai que dans son village, cela faisait belle lurette que les trains ne passaient plus...A partir du moment où ils étaient majeurs, rien ne les arrêtait. Qu’ils soient jeunes ou vieux, dans la force de l’âge ou alors déclinant, à partir du moment où une simple caresse, manuelle ou buccale parvenait à les faire bander, elle leur ouvrait ses cuisses.
Et toujours pour son plus grand plaisir.
Elle avait ainsi perdu toutes ses amies, les femmes de son âge comme les femmes plus mûres, les célibataires comme les femmes mariées. Car peu lui importait que Pierre, Paul ou Jacques soit en couple ! Quand elle avait jeté son dévolu sur un homme, rien ne la retenait et sans aller très loin en nombre, elle pouvait compter sur les doigts d’une seule main ceux qui avaient refusé ses avances. Bien sûr, cela n’allait pas sans heurts, et elle ne comptait plus les fois où ses parterres de fleurs avaient été saccagés, ou encore quand elle retrouvait crevés les pneus de sa petite voiture.
Alors un jour, lasse de ces querelles stériles, désireuse aussi de connaître de nouvelles étreintes, elle s’était tournée vers autre chose et ainsi, du plus petit des caniches au plus gros des molosses, elle avait fait la connaissance de tous les canidés du village.
Et là aussi, pour le plus grand de ses plaisirs.Il est vrai que le chien a l’incontestable avantage sur l’homme d’être plus endurant, d’avoir des coups de reins beaucoup plus puissants, surtout chez les plus gros, et d’avoir un sperme beaucoup plus abondant. Bref, elle n’y avait trouvé que des avantages, et elle n’avait gardé que le meilleur de ses amants, et encore, cela était un peu pour que l’on ne se pose pas trop de questions sur son abstinence soudaine.
Les chiens eux-mêmes y trouvaient leur compte avec cette « chienne » toujours en chaleur qu’ils pouvaient saillir à longueur d’année, alors qu’ils ne pouvaient honorer leurs congénères féminines que deux fois par an, et encore !
Mais à force, c’était cette fois les chiennes qui s’étaient liguées contre elle, et ses mollets recevaient parfois de cruels coups de crocs !Cependant, de nouveau, encore une fois, elle se lassa.
C’est alors qu’elle entendit dire que les loups s’étaient réinstallés dans sa région.
Cette nouvelle trotta longtemps dans sa tête, elle y réfléchit des jours et des jours, préparant son plan, n’oubliant aucun petit détail. Et puis, un soir où elle se sentait un peu plus lasse que les autres soirs, elle partit en forêt, gagnant bientôt la petite montagne. C’était la belle saison, l’air était encore très doux, et la lune, tout là-haut dans le ciel, était bien pleine. Elle atteignit bientôt une petite clairière, où d’après les rumeurs qui couraient dans le village, les bûcherons avaient maintes fois signalé la présence de loups dans le voisinage. Elle gagna une vieille souche, en lisière de la clairière, et elle s’y assit, scrutant les alentours, laissant ses yeux s’habituer à la lueur de l’astre nocturne.Dans le silence de la nuit, elle était certaine d’entendre des brindilles craquer légèrement, comme si des êtres prudents étaient venus pour l’observer. Se mettant alors dos à la lune, elle fixa l’autre extrémité de la clairière, et bientôt elle en fut sûre : deux yeux luisants l’observaient sans bruit.
Sans aucune crainte, elle se déshabilla alors, se retrouvant rapidement toute nue. Sa main gauche caressait ses seins, jouait avec ses tétons, tandis que la droite vint rapidement trouver un sexe qu’elle sentait déjà tout moite. Cuisses bien écartées, elle introduisit bientôt deux doigts dans son vagin, tandis que son pouce cherchait son petit bouton. Rapidement en transe, elle sentit sa cyprine abondante couler le long de ses cuisses.
C’est alors qu’imitant le loup elle se mit à hurler à la lune...Tout en fixant toujours les yeux qui l’épiaient, elle mélangea bientôt ses hurlements à ses cris de plaisir.
Au bout d’un moment, elle s’aperçut que les deux petites billes jaunes qui la fixaient se rapprochaient d’elle. Elle continuait de crier et de gémir, tandis que de plus en plus, les yeux se rapprochaient d’elle. Elle distingua bientôt un museau, deux oreilles agiles et bien dressées, un pelage sombre qui s’éclaircissait sur le devant jusqu’à hauteur des deux pattes antérieures.Le loup était devant elle.Elle avait tellement de fois imaginé ce moment dans sa tête, qu’elle ne sentait pas la moindre trace de frayeur, elle se sentait invincible et face à son destin. Doucement, sans mouvement brusque, elle étendit sa main tout imprégnée de son odeur intime.
Ils se fixaient tous les deux dans les yeux, et bientôt elle sentit un souffle chaud sur le bout de ses doigts. Elle étendit alors encore un peu plus son bras, ses doigts contournèrent le museau humide et frémissant. Elle sentit alors une caresse sur sa main : le loup sortait sa langue et commençait à la lécher. Cette langue était un peu moins râpeuse, plus douce, plus agile que celle d’un chien.Elle pensa alors fortement au plaisir que cet appendice pourrait lui procurer quand il ne serait plus sur le bout de ses doigts, mais aurait accès à ses lèvres intimes...
Toujours très lentement, et tandis que le loup continuait à la lécher, elle posa son autre main sur sa tête, juste entre les deux oreilles, qu’elle commença à caresser. L’animal la laissait faire, tout heureux, qu’il semblait être à lécher cette main odorante. Ensuite tout en caressant toujours sa tête, elle ramena sa main vers son sexe en feu, l’enduisit une nouvelle fois de sa cyprine, et elle s’approcha de nouveau du loup, mais cette fois sans tendre son bras, qui resta à demi ployé. Quand elle sentit de nouveau la langue sur elle, elle ramena lentement sa main vers son entrejambe, faisant rapprocher le loup.Bientôt elle sentit sur ses lèvres la chaleur animale. Et la langue du loup fut vite sur elle, en elle.
De peur de l’effrayer, elle se retenait pour ne pas crier, tellement cette caresse l’enivrait. Sa main quitta alors la tête du chien, glissa le long du cou, le long du poitrail, pour se retrouver sous son ventre. Continuant son chemin vers l’arrière, elle rencontra bientôt ce qu’elle espérait : un sexe déjà à demi sorti de son fourreau, dont la fine extrémité laissait déjà couler quelques gouttes de sperme. Elle commença alors à le caresser, le sentant grossir et palpiter entre ses doigts. Le loup la léchait toujours, de plus en plus voracement. Il trépignait sur ses pattes de derrière, semblant danser l’une sur l’autre.
Soudain, il se dressa, sexe pointé, battant l’air de ses deux pattes antérieures.Elle se mit alors à quatre pattes, le dos cambré, le sexe offert, et elle sentit le ventre du loup se coucher sur son dos tandis qu’un pénis impatient cherchait l’ouverture de son vagin. Bientôt, elle le sentit enfin en elle et ce fut une étreinte comme jamais elle n’en avait connue, plus sauvage, plus brusque, plus irréelle, mais aussi beaucoup plus jouissive, qui les fit tous les deux crier de plaisir à la face de la lune.
Diffuse en direct !
Regarder son live