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V., femme de mes fantasmes

Chapitre 1

Erotique
Bonjour
Je m’appelle A., j’ai 26 ans, je suis en couple depuis 5 ans.J’ai toujours été un homme fidèle, persuadé qu’aimer c’est se jurer fidélité...
Mais le sexe a toujours été quelque chose de pervertissant chez moi, j’y ai toujours beaucoup pensé. Avant de commencer réellement mon histoire, je vous dois un prologue de ma vie sexuelle.
Ma première relation n’a pas abouti sur une relation sexuelle, j’avais 17 ans. Frustré, j’ai patienté 2 ans avant ma première fois. Et quelle putain de première fois! C’est une cougar qui m’a dépucelé. Une très belle femme à la peau mate, une poitrine bien opulente, des fesses bien rebondies, et une chatte bien accueillante, bref je n’aurais pas pu espérer mieux. J’ai tout découvert en 3 mois avec cette femme. Fellation, cunnis, doigter, pénétration vaginale, pénétration anale... Jusqu’à ce que ce plan cul ne lui suffise plus.
J’ai fini en couple par la suite, et me suis juré d’être fidèle. Mais mes démons du sexe m’ont rattrapé.5 ans de frustration sexuelle, 5 ans à m’être caché la vérité sur moi-même. Sexuellement parlant avec ma femme, c’était on ne peut plus basique : missionnaire, levrette dans ses meilleurs jours, et uniquement pénétration vaginale.
Exit la sodomie, exit les fellations, exit le fantasme de la femme qui avale, exit le sexe quotidien, exit les sextoys, les jeux de rôles...etcJ’avais même enterré toutes ces envies. Je m’étais fait une raison avec le temps, mais j’ai fini par craquer fin novembre 2016.
Je suis allé sur un tchat de sexe, en me fixant des règles :— Ne pas dire mon prénom,— Ne pas communiquer le lieu où je vis,— N’envoyer aucune photo.
J’ai papoté avec deux ou trois femmes, des petits scénarios, quelques fantasmes non-réalisés. Puis le lendemain, un mardi, un pseudo féminin me tape à l’oeil : rondesensuelle. Quelle femme pouvait bien se cacher derrière ce pseudo à la fois prometteur d’une femme dont je pourrais tripoter les rondeurs et à la fois excitant?
J’ai donc engagé la conversation, sans trop d’espoir, car les tchats sexe...ne sont pas vraiment favorables pour les hommes "bien intentionnés". Enfin bien intentionné, oui et non. Oui car je n’étais là que pour discuter et pas pour baiser, non car c’était déjà un premier pas dans la tromperie.Puis premier miracle, elle me répond.
"Salut ça va et toi?" me posa-t-elle comme première question.
"Ca va, tu veux bien discuter? Si oui, de quoi?" lui dis-je, presque innocemment, ne voulant pas paraître pour le mec affamé de sexe qui ne pense qu’à baiser, alors que j’étais là uniquement dans l’optique de l’excitation.
"Bah de sexe, on est là pour ça non?" me répondit-elle, sans aucune gêne, très suggestive pour la suite.
"Oui c’est vrai, tu t’appelles comment si c’est pas indiscret?" lui demandai-je, toujours poliment, mais pas sans arrière pensée.
"V., et toi?"
"A. Tu parles souvent sexe?", je venais de briser ma première règle, et les choses ne faisaient que commencer.
"De temps en temps, et toi tu pratiques souvent?" me demanda-t-elle, toujours sans gêne aucune, je la sentais très portée sexe désormais.
"1 fois par semaine, et encore..." lui répondis-je, lui faisant comprendre par la même occasion mon désespoir sexuel.
"Tu es en couple?"
"Oui... c’est gênant?" lui dis-je, un peu paniqué à l’idée de l’effrayer d’être le mec qui veut tromper sa femme.
"Je suis aussi en couple. Tu ne veux pas qu’on se parle sur Hangouts?"
Moi (et c’est là que notre histoire commença réellement) : "Bien sûr, je te donne mon mail."
J’étais assez rassuré qu’elle soit aussi en couple. On finit par quitter le tchat, et à partir de ce moment là commença quelque chose d’assez incroyable sexuellement, quelque chose que je n’aurais absolument jamais pu imaginer il y a quelques semaines.
"Voilà, c’est mieux sur hangouts, c’est plus pratique. Tu es infidèle?" me demanda-t-elle."J’ai jamais encore trompé, mais parfois j’en ai envie..." lui confiai-je, pas tout à fait serein à l’idée d’éventuellement commencer à tromper ma femme.
Et dès ce moment, on commença à se déculpabiliser. Son mari, ma femme, elle, moi, on était tous fautifs.
"Tu veux que je t’envoie une photo?" me dit-elle très prometteuse pour la suite. "Hmm oui ça me plairait.", dis-je très excité.
Et là, je recevais une photo d’une femme effectivement ronde, mais avec de magnifiques formes. Un cul bien rebondi comme j’aime, une poitrine bien opulente. Je ne pouvais pas distinguer sa chatte, elle était en corset sur sa photo.
Quand je vous dis que son cul était rebondi, vous ne pouvez pas imaginer ce qui m’attendait par la suite. Ce magnifique cul, j’en rêve encore à l’heure où j’écris notre histoire. J’avais envie de le tripoter, le malaxer, le fesser, et bien entendu le pénétrer.
"Alors je te fais bander? " me demanda-t-elle sans détour.
"Bien sûr que tu me fais bander, je suis bien raide là. 18 cm au garde à vous.", et je bandais effectivement comme un taureau. Ce n’était pas ma femme qui m’offrait pareil spectacle au quotidien, elle qui se couchait chaque soir en pyjama. Non, là j’avais en face de moi une photo d’une femme ronde, comme ma femme d’ailleurs, qui s’assumait pleinement, en sous-vêtements, un magnifique tanga noir bien révélateur.
"Mmmmmh j’aime lire ça, si j’étais dans ton lit, tu me ferais quoi?" me demanda-t-elle, tout en me tendant la perche pour lancer une discussion bien sexuelle comme il faut.
"Je tromperai ma femme à coup sûr si tu étais dans mon lit."
"Et toi, tu es comment?"
"En vrai?" lui demandais-je, inquiet.
Là, je commençais à me dire que tout allait prendre fin. Ca démarrait si bien, mais physiquement, je ne me suis jamais considéré comme un homme qui plaît aux femmes.
"Bah oui en vrai!"
"1m80, 81kg, ni en muscle, ni en graisse, yeux bleus gris, cheveux poivre et sel malgré mes 26 ans...", lui dis-je, presque à contre coeur, complexé.
"Ca me plait."
Quoi??? Comment ça, ça lui plaisait? Je commençais à ne plus y croire du tout là. Comment je pouvais plaire à une femme
A ce moment là, je lui envoyais une photo de moi, ou plutôt de ma bite, raide comme un piquet. Je venais de briser ma deuxième règle. Je ne l’avais jamais fait de toute ma vie, même pas un seul sexto à ma femme. Je ne sais pas ce qui m’a pris sur le moment, mais avec le recul, j’ai plutôt bien fait finalement de prendre ce risque. Je la désirais trop, je voulais lui montrer que je ne mentais pas quand je disais que je bandais pour elle.
"Wahou, tu te moques pas de moi là...C’est l’effet que je te fais...Ta femme a pas envie de te gober en voyant ta queue? J’aimerais trop te sucer là...Ta queue me plaît beaucoup..." me dit-elle, sous entendant que ma queue lui conviendrait donc très bien.
"Merci, tu m’excites là...", et c’était peu de lui dire, car je bandais à un point que ça commençait à me faire mal.
"Je me caresse en regardant ta belle et grosse queue, tu me fais mouiller."
"Mmmh j’aimerai bien voir ça!", lui dis-je. C’était fou, ma femme ne m’avait jamais complimenté sur ma queue, et là une parfaite inconnue la désirait.
"T’as déjà fait une sodomie?"
Intérieurement, je bouillonnais. Une femme qui me demandait ça. C’était devenu un fantasme chez moi la sodomie, ma femme me refusait catégoriquement cette pratique depuis que je la connaissais. Par amour, je m’étais fait une raison. Et là, une femme de mon âge réveillait toutes mes envies.
"Oui, une fois, avec une femme de 19 ans plus âgée que moi, c’était la nuit la plus torride de ma vie. Et toi, t’as déjà été sodomisée?" lui écrivais-je, excité comme je ne l’avais pas été depuis des mois.
"Non jamais, j’ai connu que mon mari. Ca me plait que savoir que je te fais bander, que je peux faire bander un autre mec, le troubler, lui donner envie de moi."
"Moi aussi, ça me plait énormément, on découvrirait beaucoup de choses ensemble, des choses qu’on ne pratique pas avec nos conjoints je pense...Tu es tellement excitante..."
S’en suivit un petit scénario d’une première rencontre dans un hôtel coquin. On s’excitait mutuellement, on fantasmait de se voir à Bruxelles ou à Paris...et de baiser toute une nuit. Une nuit entière consacrée à une seule chose : la baise. 69, fellation, cunni, pénétration vaginale, pénétration anale...on se chauffait ainsi pendant une bonne dizaine de minutes.
"Tu tiendrais toute la nuit? Tu serais assez endurant?", me dit-elle presque en me défiant dans l’éventualité où on se rencontrerait un jour.
"Tu m’exciterais tellement, oui je tiendrai. Je l’ai déjà fait avec ma cougar, on a baisé 7 fois dans la nuit. "
"J’ai envie que tu jouisses en moi, que tu lâches d’énormes jets de sperme...Tu voudrais éjaculer où en moi?" me dit-elle sans aucune retenue.
"Dans ta bouche, dans ton cul... (et oui, éjaculer dans la chatte on connaît l’éventuel risque!)"
"Tu as envie que j’avale? C’est un de mes fantasmes..."
"Pareil, c’est un fantasme pour moi, ma femme refuse..."
"Mon mari aussi refuse..."
Je sentais désormais une pulsion sexuelle montée en moi, je désirais trop V. Il fallait que je sache où elle vivait, et j’allais par la même occasion brisée ma dernière règle. On était sur la même longueur d’onde sexuellement parlant.
"Tu vis où si c’est pas indiscret?" lui demandais-je innocemment.
"En Belgique et toi?"
"En région parisienne."
"Dommage n’est-ce pas?" me dit-elle, sur un ton rempli de regrets.
"Oh oui, c’est tellement dommage..."
"Je dois filer mon mari est là. J’ai bien fait de te répondre sur le tchat, j’ai vraiment envie qu’on garde le contact; promets-le moi!"
"Bien sûr que je te promets, j’ai trop envie de toi maintenant!"
Et ce n’était que le début d’une histoire très prometteuse entre elle et moi. Elle m’avait déjà tant donner envie d’elle, je n’avais qu’une hâte, recommencer une telle conversation, et aller plus loin avec elle.
Je n’avais jusque là jamais cru possible de tromper ma femme, et V. avait réveillé le démon du sexe qui sommeillait en moi depuis des années.
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