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ma femme et moi

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Juste mariés, je découvrais avec avidité les multiples plaisirs des sens avec ma jeune épouse. Elle était aussi curieuse que moi sur le sexe et puisque nous étions considérés depuis peu comme adultes a part entière, tout nous attirait. Nous recherchions en permanence l’excitation explorant un peu chaque chemin lorsqu’ils se présentaient à nous.
Nous logions un petit T2, au deuxième étage, dont la porte fenêtre avec balustrade de la salle à manger salon donnait sur une pelouse à l’arrière du bâtiment sur une largeur d’environ vingt cinq mètres, La bordure de la pelouse était clôturée et derrière cette clôture les classes du collège du village sur trois étages gâchaient un peu le panorama. Mais nous étions mi-juillet et les vacances scolaires nous assuraient la tranquillité des lieus.Il était environ 14 heures, nous avions pris notre repas et fait la vaisselle. Il faisait très beau et suivant ma jeune femme qui se dirigeais vers ce salon, j’admirais son corps souple que le tissu fin de sa robe se boutonnant sur le devant, éclairé par le soleil passant par la porte fenêtre grande ouverte mettait parfaitement en valeur. Je remarquais au passage qu’elle ne portait qu’une petite culotte en coton, sa poitrine plutôt menue, elle se passait souvent de soutien-gorge.
Ne pouvant résister je la rattrapais juste a proximité de la balustrade, l’attirait dans mes bras et commençais tout en l’embrassant à pleine bouche à la caresser, déboutonnant les premiers boutons de sa robe , glissant ma main sur ses seins très sensibles. Sentant sa respiration s’accélérer, la pointe de ses seins se durcir, je commençais moi-même à être passablement excité quand un éclat de lumière attira mon attention. Ma femme tournant le dos à la fenêtre n’avait rien vu.
Je stoppais mon activité sans oser bouger, regardant dans la direction de l’éclat et j’aperçus au dernier étage du collège un homme qui avait ouvert une fenêtre d’une classe et qui légèrement en retrait sur le côté était entrain de nous observer.Ma femme qui ne comprenait pas pourquoi je m’arrêtais en si bon chemin et respectant mon immobilité me dit : « que se passe-t-il ? »« Un mec est en train de jouer les voyeurs en face au collège, il est seul, c’est certainement un gardien »« Que fait-il ? » demanda t-elle la respiration assez rapide.« Il est légèrement en retrait et nous observe, et vu l’endroit ou il a placé ses mains il doit, je pense, commencer à se masturber. » « Je crois que l’on devrait cesser nos ébats, ne bouges pas je vais te reboutonner »Malgré ma surprise, je n’osais toujours pas bouger et j’étais toujours aussi excité, sentant le corps chaud de ma compagne toujours en hyper ventilation et qui commençait maintenant à être pris de tremblements, tremblements qui se manifestaient chez elle lorsqu’elle était à un niveau de plaisir et d ’excitation très élevé peu avant de jouir.« C’est nous qu’il regarde, t’es sûr ? »« Je le vois assez bien, il n’est pas si loin. C’est bien nous qu’il regarde, il espère me voir te déshabiller » dis-je la bouche sèche, commençant à trembler moi aussi devinant sa pensée.
Nous restions collés l’un contre l’autre pendant un petit laps de temps, nos respirations toujours aussi rapides, tremblants de concert.Elle se détacha de moi légèrement, me fixa dans les yeux ; « Déshabilles moi, fit-elle dans un souffle, mets moi toute nue, offres moi à son regard »
Sans un mot, ne sachant pas pourquoi, je repris le déboutonnage de sa robe. Puis quand elle fut entièrement ouverte je la fis glisser de ses épaules et le tissu léger tomba à terre.Elle me fixait toujours dans les yeux, toujours face à moi, en petite culotte.« Il est là ….........il me regarde..........il se branle toujours » ânonnât elle.« Oui, il s’est légèrement déplacé et je suis sûr qu’il s’astique en te matant »« Continue »« Tu veux que je te mettes vraiment à poil ? »« Ouiii, dit elle au comble de l’excitation, …....et tourne moi vers lui, exhibe moi.......oui...vas-y »Je baissais sa culotte et la dégageais de ses pieds chaussés de claquettes à petits talons. Je remarquais au passage que cette dernière était trempée de ciprine et que son sexe perlait,de petites gouttes accrochées à sa fine toison brune.Debout en face d’elle, elle avait fermé ses yeux et secoué de plus en plus de tremblements elle me disait les lèvres pincées dans un rictus : »Vas-y, vas-y.......offres moi »Je la fit pivoter face à la porte fenêtre, bien en face de notre voyeur qui n’en perdais pas une miette, continuant à se branler.« Allonges moi, reprit-elle les yeux toujours fermés, bien face à lui »Elle s’accroupit sous la pression de mes mains sur les épaules et je l’orientais bien face à notre homme. Agenouillé derrière elle, lui servant de dossier, elle avait toujours les yeux fermés, était allongée au trois quart comme sur une chaise longue, les jambes serrées, semi fléchies.Toujours les lèvres pincées, le corps vibrant elle réussit à me dire :« il est ou ? »« Au dernier étage en haut, la classe à droite de la cage d’escalier, la première fenêtre. »
Elle ouvrit lentement les yeux, haletante, mit quelques secondes pour le repérer. Lui avait stoppé son mouvement, attendant la suite.Puis le fixant bien les bras légèrement en appui arrière elle écarta doucement ses cuisses, s’ouvrant entièrement à sa vue, relevant les pieds s’offrant totalement par la vue à son vis à vis, comme si il pouvait s’allonger sur elle et la pénétrer. Il avait repris son mouvement de va-et-vient et se finissait, secoué par son éjaculation.C’est à ce moment que ma femme se cambra elle aussi, jouissant sans avoir été touchée , uniquement caressée par le regard de cet inconnu, en criant et s affaissant sur le coté en position foetale, secouée par les spasmes de la jouissance profonde qu’elle subissait.Nous venions de découvrir que mon épouse était exhibitionniste et que j’aimais ça.
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