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Ma femme et mon frère

Chapitre 1

Inceste
Lorsque je l’ai rencontrée, ma femme était une ingénue dans tous les domaines du sexe.Elle a vite changé !
Après seulement quelques mois de mariage, je lui ai fait découvrir les joies de tous les jeuxsexuels. Que ce soit à 2 ou à plusieurs.Elle avait un goût plus prononcé pour les hommes très âgés et elle en a rendu beaucouptrès très heureux (je vous raconterai dans d’autres histoires).Quelques femmes, quelques jeunes et plusieurs "fidèles" amis se sont également réjouis de sa gourmandise.
Ce n’est qu’à de rares occasions qu’elle a refusé des partenaires que je lui proposais. Et, de mon coté, jen’ai jamais dit non à une de ses demandes. La seule condition était que j’y assiste ou, parfois, qu’elle meraconte ( il y eu des partenaires qui ne connaissaient pas notre candaulisme ou auxquels elle n’osait en parler).
Mais venons-en au fait et à son aventure avec mon frère:
A cette époque, nous avions respectivement 23 ans (elle) et 25 ans (moi).Mon frère, issu d’un second mariage de ma mère, était un bel adolescent.
Un jour que nous étions tous trois en voiture (nous avions été balader), elle m’a surpris par une attitudeà laquelle je ne m’attendais pas et dont elle ne m’avait pas parler auparavant.Je conduisais, elle assise à ma droite et mon frère à l’arrière.
Elle est venue sur le sujet de la mode et s’est vite dirigée vers la lingerie en particulier.Elle demandait constamment à mon frère ce qu’il pensait de la mode, quels étaient ses goûtsconcernant la longueurs des jupes, le port des bas nylon.
Lui, un peu timide, répondait comme un garçon de son âge le fait généralement.
Puis elle a abordé le sujet du soutien-gorge.Là, il lui a répondu qu’il n’avait pas de préférence.C’est alors qu’elle a détaché quelques boutons de son chemisier et exposé son soutien-gorge à lavue des autres automobilistes ainsi qu’à mon frère.Je me souviens parfaitement de ce soutien, c’était un de couleur bleue, en dentelle. Elle a demandé à mon frère de s’approcher et de lui dire ce qu’il en pensait.Il a balbutié quelques mots, exprimant la beauté du soutien.Coquine, elle lui a dit de le toucher.Mon frère m’a regardé et je lui ai donné mon assentiment avec mes yeux.Il a alors, du bout des doigts, touché le tissu.D’un geste rapide elle s’est emparée de la main de mon frère et l’a plaquée sur son sein gauche.Il n’osait la retirer ni la bouger.Elle lui a demandé si il aimait la douceur du tissu, ce à quoi il a dit oui.-" c’est encore plus doux à l’intérieur " a-t-elle continué.Et elle a fait entrer la main de mon frère à l’intérieur de son balconnet.Tout en conduisant, je le regardais. Il était rouge écarlate.Là, ma coquine partait vers des horizons qu’elle avait bien préparé dans sa tête sans m’en parler auparavant.Elle lui dit qu’il avait la main chaude, que c’était bien agréable.Tout en parlant elle avait relevé sa jupe et s’était laissée légèrement glisser sur le siège.Elle se caressait l’entre-jambes et poussait de petits soupirs.Elle demanda à mon frère de lui sortir les seins de son soutien et de lui pincer les tétons.Il était un peu maladroit mais il s’exécuta.Quand nous sortîmes de l’autoroute, elle se rajusta et referma son chemisier.Mon frère reprit place au fond de la voiture.
Quand nous arrivâmes chez nous, elle me regarda droit dans les yeux et (prétexte) me rappelaque je devais aller chez mon collègue pour préparer les examens du lendemain (je suis enseignant).J’ai de suite compris ce qu’elle mijotais et cela m’arrangeait de partir.En effet, j’adore la regarder se faire prendre, mais pas par mon frère !
En quelques lignes, voici plus ou moins ce qu’elle m’a raconté de leurs ébats.
— Quand tu fus parti, j’ai demandé à ton frère si il avait aimé me toucher.Il m’a avoué que oui, mais qu’il était embarrassé vu que je suis ta femme.Je l’ai rassuré en lui expliquant notre façon de vivre le sexe et notre quasi-absence de tabous.Je suis montée dans la chambre et me suis déshabillée, ne gardant que ma lingerie.Je me suis allongée et l’ai appelé.Il est entré dans la chambre et m’a contemplée. Je le voyais nerveux.Je lui ai demandé de s’allonger à mes cotés et lui ai pris la main.Me doutant de quelques choses, je me suis levée et ai descendu le volet.Nous étions dans le noir quasi-absolu et j’ai repris place à ses cotés.Je lui ai demandé si il avait connu beaucoup de femmes et il m’a avoué que non.En insistant un peu, il a reconnu n’avoir eu qu’une seule relation. C’était avec une copine de classe.Je l’ai rassuré et lui ai dit que j’allais faire de lui un amant parfait.Je me suis assise à coté de lui et l’ai déshabillé entièrement.Quand j’ai enlevé son boxer, son sexe était fièrement tendu !( et elle m’a précisé que il n’avait rien à m’envier, que c’était sûrement un don dans la famille d’êtreaussi bien monté)— Je me suis mise à caresser doucement sa verge et ses testicules, je sentais le battement de son coeurgrâce aux spasmes de sa queue.Je l’ai embrassé et il s’est décidé à laisser ses mains me parcourir.Sachant comment peut réagir un puceau (ou presque), je suis vite descendue pour lui faire une fellation.Bien m’en a pris, moins de 3 minutes plus tard il a explosé au fond de ma gorge.J’ai pris le temps de bien recevoir la dernière goutte et de l’avaler (ma femme est hyper gourmande de sperme)puis je suis remontée à ses cotés.Nous avons discuté quelques instants puis j’ai repris les choses en mains.Tout au long de la relation je l’ai dirigé, lui expliquant quels étaient les plus grands désirs d’une femme.Presque tout fut super, seule la sodomie fut difficile. A chaque fois qu’on essayait, il débandait légèrement et l’introduction échouait.Finalement, c’est allongés en chien de fusil que nous avons réussi.
Après ces moments agréables nous sommes allés prendre notre douche ensemble et je l’aià nouveau sucé. Mais pas grand-chose n’est venu.Quand nous sommes redescendus je lui ai expliqué que cela ne se reproduirait pas.Que j’avais vraiment eu envie de lui, que j’avais pris beaucoup de plaisir, mais que ce serait l’unique foisvu les liens qui nous unissaient.
Voilà comment ma coquine s’est faite mon frère.
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