Il ya de ça 4 ans, je me trouvais en vacance chez le frère de mon père (Claude) et j’ai eu des aventures avec son épouse Josépha.Elle avait à l’époque la quarantaine et moi seulement 18 ans. Voilà comment tout à commencer. Un matin que mon oncle était partit à son cabinet( il est chirugien dentiste) j’ai débarqué dans la cuisine pour prendre mon déjeuner. Josépha y était , vêtue d’une chemise de son mari, sans rien dessous. Je lui es fait la bise et je me suis installé derrière la tasse de café. Mes yeux se sont alors poser sur ses fesses, pendant qu’elle s’affairait au ménage. Sans me préoccuper des retombés, je me rappelle de m’être lever et de m’être placé derrière elle . J’ai pris ses seins dans mes mains et je les es caresser. Josépha ne fit rien pour m’en empêcher. Au contraire, elle se retourna et m’offrit ses lèvres. Prenant même au passage ma bite au fond de mon caleçon. Queques secondes plus tard, elle le prit dans sa bouche. Excité, je me souviens d’avoir éjaculer assez rapidement. Les jours qui en suivit, afiçn de ne pas tirer l’attention de mes cousines, Josépha me donna rendez-vous dans le cabinet de son mari, pendant que ce dernier était en consultation à l’hôpital. Une fois sur les lieux, elle me conduisait sur le divan où mon oncle se reposer parfois. Sans allumer la lumière, elle prenait mon corps pour une machine à la faire jouir. Elle avait un penchant pour la sodomie. Je m’en soucié guère, je profitais pleinement de ses charmes. Elle avait une telle confiance en moi, qu’elle me confia, qu’un jour ,elle avait surpris mon oncle dans ce même divan en train de se faire sodomiser par un client. Deux jours avant le retour chez moi, à l’heure convenue, je me présenta comme les fois auparavants à la porte du cabinet et je frappa selon le signal habituel. Josépha préférer pour plus de sécurité qu’on viennent chacun de notre côté. La porte s’ouvre et dans l’obscurité, je me dirige comme d’habitude à l’endroit où se trouve le divan. Je sens sa main experte explorait le devant de mon pantalon. Je vois vaguement une forme se mettre à quatre pattes. C’est le moment attendu pour que je la sodomise. Je m’introduit dans le tou serré que je commence à affectionner et commence à la besogner vigoureusement. Mais en palpant ses fesses, je constate avec surprise qu’elles sont moins charnues. Ce n’est pas Josépha que je baise. Mais si le doute s’insinue lentement dans mon esprit, mes forces vives sont déchaînées et il n’est plus question de m’arrêter là. Ce n’est que lorsque l’acte est joué que je me reprend. Je me rajuste et me sauve, bousculant une jeune personne au passage. Une fois dans la rue, j’aperçois Josépha au volant de sa voiture, je grimpe dedans et elle m’explique la raison de la présence de son époux dans le cabinet. A mon tour, je lui relate se qui s’était passé sur le divan. Elle s’est arrêter sur un sentier et elle m’a piper à mort, pour se faire pardonner. Alain
