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La femme de mon père me surprend.

Chapitre 1

Lesbienne
Rien que par le titre, vous comprendrez que la femme de mon père n’est pas ma mère. Ce dernier s’est remarié il y a quelques années avec Véronique, une de ses collègues de travail dans une grande société du quartier d’affaires de la Défense.

Je m’étais bien douté qu’il y avait quelque chose qui se tramait car mon père me confiait plus volontiers à la garde de ma mère lors des week-ends... Puis j’ai grandi... A 17 ans, les week-ends chez ma mère me pesaient, en plus son nouveau mari me faisait des avances dès que ma mère avait le dos tourné et leurs deux garçons m’insupportaient ! Je n’avais plus ma place. Pourtant j’aimais beaucoup ma mère bien qu’elle fût à l’origine de la séparation et du divorce. Bref passons, c’est de l’histoire ancienne !

Je m’entendais bien avec Véronique et c’est assez souvent que nous avions des fous rires, parfois même au détriment de mon père. Elle avait 40 ans et du haut de mes 18 ans, je la considérais plus comme une grande sœur que je n’ai jamais eue...
De temps à autre, nous faisions les boutiques ensemble et ses conseils étaient très judicieux car désormais, je m’habillais avec une élégance discrète... Avant, je portais souvent des vêtements dépareillés ou mal assortis qui me desservaient !
Le samedi matin de bonne heure, mon père allait jouer au squash dans le gymnase voisin, c’est ainsi que nous avions pris l’habitude de nous retrouver pour les petits-déjeuners pris ensemble dans ma chambre ou la sienne C’était devenu une sorte de rituel qui nous rapprochait encore...

Le vendredi soir, j’étais sortie avec une bande copains et copines de la Fac pour aller voir le dernier film à l’écran aussi étais-je rentrée assez tard. Dans un demi-sommeil, je flemmardais dans mon lit en attendant Véronique qui apparemment tenait compte de ma rentrée tardive...
Je me sentais un peu en manque aussi car j’étais rentrée directement à la maison après le film... Pas de baise vite fait dans un coin sombre !
Alors, j’ai glissé mes mains sous mon corps pour les porter dans ma fourche intime. Bien évidemment, je ne vous fais pas de dessin : je me branlais la chatte, faisant monter le plaisir doucement... Perdue dans les limbes de la jouissance montante, je n’ai pas entendu la porte de ma chambre s’ouvrir (bien que Véronique ait frappé...) et l’épouse de mon père m’a surprise en plein orgasme... Je ne vous dis pas quelle honte m’a envahi lorsque je me suis rendue compte de la présence de Véronique à la tête de mon lit...
— Alors, c’était bon ?— Qu.... Quoi ? Que veux-tu dire ?— Ne me fais pas rire, j’ai presque tout vu. Comment tu as glissé tes mains entre tes cuisses, comment à plat ventre, tu as fait monter ton plaisir et comment tu t’es procurée un magnifique orgasme !— Oh, j’ai honte...— Sois tranquille. Presque toutes les femmes se masturbent ainsi. Moi-même cela m’arrive quand ton père ne m’a pas fait l’amour le matin au réveil !— Pour moi, c’est rare, en fait j’ai fait un rêve érotique en relation avec le film vu hier soir, je n’ai pas pu m’empêcher de laisser mes mains aller dans ma fourche intime.
— Ce devait être bon car tu as joui comme une grande !— Mais je suis grande ! J’ai déjà fait l’amour avec plusieurs copains et même avec deux filles de ma classe au lycée...— Mais je ne te reproche rien, c’est de ton âge. Déjeunons, ensuite nous passerons dans ma chambre !— Tu piques ma curiosité !— PATIENCE ! Tu vas avoir des surprises !

Un quart d’heure plus tard, le plateau du petit-déjeuner déposé dans la cuisine, je suivais Véronique dans la chambre parentale. Toutes les deux nous étions à peu près dans la même tenue, un tanga ou un string et un long T-shirt pour masquer le haut...
Depuis que Véronique était entrée dans la famille, j’admirais sa plastique de femme mature avec une jolie poitrine qu’elle savait mettre en valeur soit par des décolletés vertigineux lorsqu’elle était à la maison ou s’apprêtait à sortir avec mon père ou des chemisiers boutonnés jusqu’au ras du cou pour aller au travail, mais toujours avec les seins mis en relief par des soutiens-gorge ajustés...
De mon côté, j’étais un petit tanagra brun de peau et avec des cheveux longs descendant au creux de mes épaules. J’avais une poitrine plutôt menue si bien que je me passais volontiers de soutien-gorge. Sous une taille mince et souple de danseuse, j’avais des hanches en rapport avec ma poitrine et mon pubis ne portait plus qu’une fine bande de poils depuis quelque temps. C’est ma copine Noélie qui m’avait arrangée ainsi après une soirée mouvementée.

Véronique s’est tournée vers moi en disant :
— Alors comme ça, on se fait plaisir dès le matin ?— ... - ... - ...— Mais je ne te fais pas de reproches. Les femmes savent ce qui les amène au 7ème ciel, parfois mieux que les hommes qui ne pensent qu’à leur plaisir !— C’est un peu vrai...— Viens je vais te montrer des choses qui nous servent à ton père et moi lorsque certaines fantaisies nous prennent !— Ah bon, qu’est-ce que c’est ?— Des jouets sexuels, je parie que tu n’en n’as jamais vus et encore moins utilisés.— NON, mais je sais que cela existe...— Alors regarde !

J’ai écarquillé les yeux de surprise quand Véronique a ouvert un tiroir de sa coiffeuse : J’ai découvert des godes de toutes les tailles, de toutes les formes, des liens, des fouets aux lanières de tissus, et même un gode ceinture...
— Voilà quels sont nos jouets. Je m’en sers seule quand j’ai envie de jouir dans le lit ou sous la douche. Les liens servent à ton père pour m’entraver dans certaines positions, mais tout est consenti. Cela nous excite, tu ne peux pas savoir !— Vous me semblez être de fameux coquins !— Tu ne crois pas si bien dire ! Viens, choisis un gode, nous allons jouer ensemble !— Je peux prendre celui-là ?— Ah, le double dong ! Il y a bien longtemps qu’il n’a pas servi !— Ah bon. Pourquoi ?— C’est un souvenir d’une brève liaison avec une autre femme avant que je rencontre ton père. Il nous servait à faire l’amour ensemble !— Montre-moi s’il te plaît !— OK. Viens sur le lit, ôte ton string, je vais glisser une extrémité dans ton sexe et t’exciter un peu en le faisant aller et venir puis j’en ferai autant en me plaçant entre tes cuisses pour entrer l’autre bout !— Waouh...ça va être chaud !

C’est ainsi que ma belle-mère et moi nous nous sommes envoyées en l’air en faisant aller et venir le double dong dans notre sexe...
Je ruisselais littéralement quand nous avons joui presque en même temps, mais nous n’avions plus guère de temps devant nous aussi, nous avons pris notre douche ensemble, et vous devinez quoi. Véronique m’a fait jouir en me bouffant la chatte et j’en ai fait autant quelques instants plus tard, l’eau de la douche ruisselant sur nous !
Quand mon père est revenu du squash, nous étions repues de caresses mais bien décidées à recommencer quand l’occasion se présenterait...
J’avais envie de voir comment on utilisait le gode ceinture. J’avais hâte d’être à un samedi suivant !

Ce matin-là, quand Véronique est entrée dans ma chambre avec le plateau du petit-déjeuner, j’étais parfaitement réveillée: En fait, j’attendais sa venue avec impatience car je savais ce qui allait se passer...
Elle portait un long T-shirt en tissu épais qu’elle mettait habituellement à la saison froide. J’ai rapidement découvert que le plateau qu’elle portait à deux mains masquait une protubérance au niveau du bas-ventre.
— Regarde. Je me suis harnachée pour te servir. Je pense que nous allons bien nous amuser...

Après avoir posé le plateau, elle a relevé le bas de son T-shirt et j’ai découvert LE GODE ! Waouh, que c’était érotique de voir cette jolie femme ainsi équipée...
Les T-shirts ont volé rapidement et j’ai découvert que Véronique portait un redresse seins du plus bel effet, ses tétons déjà dardés sortaient au-dessus du tissu et sur son sexe se dressait cette bite artificielle qui depuis huit jours m’avait tant fait fantasmer...
A cette vue, je sentais déjà ma chatte s’humidifier, je n’aurais jamais cru que ma belle-mère me ferait cet effet. Ma chatte bavait littéralement d’envie !
— Viens, avant que je te baise, tu vas me manger la chatte. Tu verras, elle est accessible !— Oh oui, je vais te faire baver d’envie comme moi je bave déjà !— Alors, qu’est-ce que tu attends ?

Véronique s’est allongée en travers de mon lit, les pieds reposant sur la moquette et les cuisses largement ouvertes...
Elle ne me trompait pas en disant que son sexe était accessible, la lanière passant entre ses fesses s’ouvrait en deux sur ses lèvres vaginales qui semblaient appeler mes baisers... D’ailleurs, je ne m’en privai pas...
— Tu vois ce gode possède un harnachement un peu particulier. Il repose sur le capuchon de mon clitoris mais il y en existe d’autres avec de picots souples pour agacer les lèvres et d’autres encore munis d’un double sexe, l’un généralement plus petit entre dans le vagin de la femme et l’autre sert pour baiser la femme ou l’homme ou même les sodomiser !— Waouh. Tout ça ! Et avec mon père, tu le portes ?— Oui mais assez rarement, c’est plutôt lui qui l’utilise !— Comment ça ?— Tout simplement, il m’arrive d’aimer avoir la chatte et le cul pris en même temps, comme nous ne voulons pas introduire un autre partenaire, ton père s’équipe ainsi et me prend généralement en levrette, comme cela, la bite factice entre dans mon sphincter et le queue de ton père me prend la chatte. Et je peux te dire que c’est très jouissif !— ... ... ... ...— Assez parlé. Monte sur le lit et mets toi à quatre pattes, j’ai envie de caresser tes petites fesses...

J’ai pris la position demandée et je n’ai pas tardé à sentir le souffle de Véronique sur le bas de mon dos, mes fesses et la raie culière où elle déposait de petits baisers qui me faisaient frémir...
Puis j’ai senti le sexe factice s’approcher de mon entrejambe et chercher l’entrée de mon vagin qui ruisselait de plus belle !
— Oh oui. Baise-moi. J’attends. J’ai envie de goûter à ce membre que je crois est infatigable !— T’inquiète. J’arrive !

Et là, j’ai senti le gode envahir ma chatte, entrant bien au fond et commencer à me pistonner de plus en plus vite si bien que j’ai joui une première fois en moins de deux minutes...
Véronique était toujours en moi et après quelque temps elle a repris les mouvements de va-et-vient faisant monter une seconde fois ma jouissance au moment où elle a enfoncé deux doigts dans mon rectum qui n’avait jamais été ‘visité’ !

Après quelques minutes de retour au calme, Véronique a ôté le gode ceinture puis elle m’a dit :— A toi maintenant. Envoie-moi en l’air ! Ton père ne m’a pas baisée ce matin...
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