Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 178 J'aime
  • 4 Commentaires

Ma femme s'offre à un vieux

Chapitre 3

Hétéro
L’excitation passée, nous avons longuement parlé de ce qui nous arrivait ou plutôt ce qui arrivait à mon épouse et de ses sentiments vis-à-vis de moi, d’Hector mais du plaisir qu’il était capable de lui donner surtout. Je comprends qu’elle y est devenue accroc et il me faut bien reconnaître qu’ils sont exactement sur la même longueur d’ondes pour les choses du sexe. Je suis tout à fait conscient de ne pas pouvoir rivaliser. Ma femme pourtant finit par me dire que si je lui demande de ne plus le revoir, elle le ferait car c’était moi qu’elle aimait.C’est tentant mais ma décision est vite prise. Je ne peux me résoudre à la priver de quelque chose que je ne suis pas en mesure de lui offrir car je l’ai vraiment vu de mes propres yeux, s’éclater comme jamais avec lui. Je l’aime moi aussi et je ne pourrais lui faire l’amour en imaginant que pour arriver à jouir, elle pense peut-être à Hector.Bref, c’est décidé, Marine continuera à voir son amant avec toutefois la condition que cela se passe à la maison. En effet j’ai peur que de fréquentes visites chez lui finissent par faire jaser et les langues de vipère ne manquent pas dans une petite ville comme la nôtre et puis, il faut me l’avouer, cela me permettrait de temps en temps, du spectacle de ma femme en train de se faire mettre et jouir sous les coups de queue d’un autre mâle, ce qui malgré les sentiments contradictoires que je ressens, reste une puissante source prédominante d’excitation.Marine modère bien évidemment sa joie sans doute pour ne pas me froisser mais je vois bien dans ses yeux qu’elle est vraiment contente de la décision qui vient d’être prise. Elle ne tarde d’ailleurs pas à venir m’embrasser à pleine bouche pour me remercier d’être un mari aussi compréhensif.Je sais qu’Hector ne mettra pas bien longtemps à venir nous rendre visite. Ma prédiction se confirme lorsque je rentre le lendemain soir à la maison. A peine la porte ouverte, je reconnais la voix de ma femme en train de pousser des gémissements qui ne laissent planer aucun doute sur le type d’occupation à laquelle elle se livre. Mon bas-ventre réagit immédiatement car je sais pertinemment ce que je vais découvrir.Les gémissements proviennent du salon aussi je m’y dirige sans faire de bruits, ne sachant encore trop si j’allais me montrer ou simplement jouer les voyeurs. Le spectacle que je découvre est à quelques détails près, le même que celui que les deux amants m’avaient offert quelques jours plus tôt.Ma femme est allongée sur le dos, elle tient ses jambes repliées sur sa poitrine dans une position d’offrande maximale. Hector s’appuie de tout son poids sur ses jambes ce qui l’oblige à s’offrir encore plus à la possession de sa grosse queue bien raide. Je vois son gros ventre bouger au rythme des puissants coups de reins qu’il lui assène, faisant bouger tout son corps à chaque impact.Je les découvre au moment précis où Marine explose dans un puissant orgasme. Elle essaie de déplier ses jambes pour donner libre cours à sa jouissance mais son amant la maintient pliée en deux en continuant à s’appuyer de tout son poids sur ses jambes. Il ne s’arrête pas pour autant de la besogner, réussissant à la maintenir un long moment au sommet de la vague.En me décalant un peu, je me rends compte que c’est dans son anus qu’il a planté son mandrin. Marine jouit en permanence puis, au bout du plaisir, elle se met à sangloter en murmurant :C’est trop fort Monsieur Hector, je n’en peux plus, vous me faites trop jouir.Je réalise que le vieil homme doit être ici depuis un bon moment en entendant les dernières paroles de ma chérie. Il se retire doucement d’entre ses fesses et se dresse sur ses genoux pour lui présenter sa grosse queue à hauteur de son visage.Suces-moi ma chérie. A toi de faire du bien à ton vieil Hector.Son sexe est toujours aussi impressionnant de par sa taille mais aussi sa rigidité. Le gland violet d’excitation disparaît rapidement entre les lèvres de son amante qui docilement se met à le pomper avant de commencer à lécher la hampe puis les couilles encore pleines de semence. Tout en le léchant, elle le regarde par en-dessous prendre son pied.Oui, oui ma chérie. Suces-moi les couilles aussi. Oui, comme çà. Hummmmmmm ! Tu suces aussi bien que tu prends ton pied petite coquine.Je n’en reviens pas à quel point ma chérie est maintenant sous l’emprise sexuel de cet homme que je croyais totalement inoffensif. En fait c’est un prédateur sexuel redoutable, capable j’en suis sûr de rendre n’importe quelle femme accroc à sa bite, accroc aux jouissances multiples qu’il sait si bien offrir.Au bout d’un long moment, il se dégage de la bouche accueillante. Il n’a pas joui. Il se place derrière elle, la met à genoux sur la moquette, la poitrine appuyée sur le bord du canapé. Marine proteste mollement :Je peux plus Monsieur Hector. Laissez-moi maintenant. Vous allez me faire mourir et puis mon mari ne va tarder à rentrer.Mais non ma chérie. On ne meurt pas de plaisir. Laisses-toi faire, allez donnes-moi cet adorable petit cul.Elle sait qu’il ne va pas la laisser tranquille avant d’avoir décharger à son tour. Elle tend sa croupe en creusant les reins. Une seule poussée lui suffit pour l’emmancher jusqu’aux couilles. Elle pousse un long gémissement tandis que déjà, il recommence à coulisser dans son ventre. Il la reprise aux hanches et l’attire sur son pieu lentement. Marine ferme les yeux, elle accepte la possession, résignée d’avoir à jouir encore car elle le sait, il va encore la faire jouir. Elle est à lui, corps et âme, elle est devenu son jouet sexuel depuis cette première fois où je l’ai précipité dans ses bras.Ses gestes sont tendres, ses mains courent sur ses fesses, lui caressent le dos, les reins. Je n’arrive pas de ma place à voir les deux sexes emboîtés l’un dans l’autre mais j’imagine assez facilement l’imposant bâton de chair ouvrir les chairs à chaque fois qu’il se ré-engouffre dans l’entrée de la vulve inondée de mouille. Rapidement, Marine se met à pousser des gémissements de plus en plus puissants tandis qu’Hector accélère ses coups de reins.Oh mon Dieu, Monsieur Hector, mon Dieu. C’est pas vrai, ça revient...Deux de ses doigts qu’il a au préalablement couvert de salive, exercent des pressions de plus en plus fortes sur la corolle de chair brune déjà bien dilatée par le précèdent assaut. Lentement mais surement, profitant des coups de boutoir qu’il assène à sa maîtresse, les doigts forcent facilement l’entrée du petit cul de ma bien-aimée. Elle n’a pas encore pleinement réalisé qu’il est à nouveau en train de la sodomiser. Tous ses sens sont tournés vers le pieu qui vient frapper sa matrice, déclenchant à chaque impact des spasmes de plaisir de plus en plus puissants. Son anus s’ouvre de lui même un peu plus à chaque spasme, libérant le passage aux doigts inquisiteurs. Le plaisir inonde tout son bas-ventre, monte vers ses reins, sa colonne vertébrale, se confond avec celui plus sournois de ces doigts dans son fondement. Ils sont complètement enfoncés dans ses entrailles, un troisième doigt les rejoint sans rencontrer la moindre désapprobation. Tous se mettent à coulisser dans son anus, s’enfonçant plus profondément à chaque aller-retour. Quand elle s’en rend compte, il est bien trop tard pour s’en offusquer d’autant que le plaisir est là, omniprésent.Tout ce qui s’échappe de son gorge ne sont maintenant que cris de plaisir, feulements, râles même. Elle est au bord d’une nouvelle jouissance. Elle explose quand un quatrième doigt rejoint les deux autres.Ahhhh. Ouiii. Je jouis. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis encore.Foudroyée par un nième orgasme, elle se laisse choir sur le canapé en balbutiant des mots sans suite, incompréhensibles, presque inaudibles. Hector la besogne encore un peu puis se retire précautionneusement de son ventre pour poser son gros gland turgescent dans l’entrée de son anus complètement ouvert. Ma petite femme est complètement déconnectée du monde des vivants. Elle ne proteste pas. Je sors alors de ma cachette pour m’approcher du couple et mieux voir ce qu’il va lui faire. Monsieur Hector sentant ma présence, se retourne mais je lui fais signe de ne rien dire en mettant un de mes doigts sur mes lèvres. Il comprend que je veux juste regarder et s’enfonce alors doucement entre les fesses de ma chérie qui a juste la force de dire :Oh non Monsieur Hector, pas encore, non, non vous êtes fou Monsieur Hector.Laisses-toi faire ma chérie. Je veux jouir dans ton adorable petit cul.Deux ou trois coups de reins lui suffisent pour l’embrocher jusqu’à la garde. Conscient du plaisir que j’ai à regarder ma petite femme se faire mettre par un autre homme, il écarte alors les fesses de sa maîtresse et commence à la sodomiser. Je me régale de voir cet énorme bâton de chair coulisser dans ce qui est normalement un tout petit anneau brun plissé. Ses mouvements lents et profonds au début, augmentent peu à peu en intensité jusqu’à devenir de plus en plus bestial. C’est une saillie à laquelle j’assiste bientôt. Marine se laisse sodomiser avec une étonnante passivité. Elle n’en peut vraiment plus. Je vois son corps accusé chaque coup de reins de son amant. C’est un spectacle d’une rare obscénité auquel je suis en train d’assister. Je bande comme un fou malgré ce sentiment toujours présent de jalousie mal placée. Monsieur Hector me regarde tandis qu’il accélère ses va-et-vient. Son regard tout à coup semble se perdre dans le vague, il a beau écarquillé les yeux mais rien n’y fait. Je comprend qu’il va jouir. Ses doigts se crispent sur les hanches de ma femme, un dernier puissant coup de reins, il perd pieds, l’orgasme est là, il jouit, lâchant toute sa semence dans les entrailles de ma femme.Ahhhhhhhhhhh. Tu me fais jouir adorable petite enculée. C’est trop bon. Ouiiiiiiiiiii.L’excitation est tellement forte à ce moment précis qu’une simple pression de mes doigts sur mon sexe à travers mes vêtements, que je jouis à mon tour. L’amant et le mari unis dans une même jouissance. Je ferme les yeux, savourant ce plaisir si particulier de jouir uniquement grâce au spectacle de voir sa femme appartenir à un autre homme. Quand j’ouvre les yeux quelques secondes plus tard, Monsieur Hector est en train de se libérer de l’anus de ma bien-aimée. Il lui caresse les fesses tandis qu’elle reprend peu à peu ses esprits en ronronnant comme le ferait une chatte avide de caresses. Je m’éclipse rapidement tandis que Monsieur Hector m’adresse un dernier sourire complice. Ma femme ne s’est même pas aperçue de ma présence. Va-t-elle me raconter ce que lui a fait subir Monsieur Hector lorsque je ferais semblant de rentrer à la maison, plus tard dans la soirée ? L’avenir me le dira.
Diffuse en direct !
Regarder son live