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Femme oui, mais pour combien de temps...

Chapitre 1

Divers
— Je voudrais être une femme…— Mais bien sûr, je le savais.— Euh… plutôt comme une femme. Je voudrais être comme une femme…— Une femme comment ? Précisez…— Une femme attirante… qui attire les hommes… tous les hommes…— Tous ?— Oui tous…— Fort bien, je n’ai pas besoin d’en savoir plus. Prenez ceci juste avant de dormir. Vous allez rêver, il suffira de laisser faire…
Le marabout me tendait un sachet qui me parut rempli d’herbes au toucher : « Faites-en une infusion. Il en faut au minimum une bonne cuillère à soupe pour un grand bol d’eau chaude. Puis couchez-vous tranquillement et dormez… »
100 euros, le prix à mettre pour se faire avoir bien profond… Mais quelle idée j’avais eue de me remettre entre les mains de ce charlatan !
’Grand marabout et sorcier, je suis Sanoh et je pratique pour vous tous les envoûtements et les sciences occultes. Je vais jusqu’à réaliser vos vœux les plus secrets alors n’hésitez pas… ’
J’avais hésité mais je me sentais tellement mal ! Dans mon corps, dans ma peau, dans mon quotidien, dans ma vie… Mon grand corps velu m’était insupportable, mon apparence virile me sortait par les yeux quand j’étais obligé de me raser deux fois par jour tant ma barbe poussait vite. Et bien sûr, je ne pouvais attirer que des hommes efféminés qui étaient exactement l’inverse de ceux que j’aurais voulu avoir…
Tiens, cet homme viril assis de l’autre côté de l’allée centrale… Un commercial ou un cadre avec son costume cravate et son attaché-case… Assis les cuisses bien écartées sur un renflement de l’entrejambe des plus prometteurs… hétéro évidemment, seule une femme et encore fallait-il qu’elle soit bien bandante pouvait lui faire doubler la bosse de sa braguette… mais putain que j’aurais aimé être une telle femme ! Au lieu de cela, je n’étais qu’un homme tellement grand et velu qu’on m’appelait souvent le singe ou le gorille…
Je rentrai chez moi après 19 heures, après avoir croisé je ne sais combien d’hommes pour lesquels j’aurais donné tout au monde pour me faire remarquer d’eux, pour susciter leur désir… Et bien sûr, délesté de 100 euros pour absolument rien, même pas le plus petit espoir…
Je me préparai à manger. Pour moi c’était important, presque un rituel. Et je passai la soirée devant la télé et devant des programmes ridiculement mièvres mais avec un bon plateau-repas…
Ah oui c’est vrai, j’allais oublier… J’allais presque oublier de me préparer cette ridicule tisane qui au mieux m’aiderait à m’endormir plus vite, au pire n’aurait strictement aucun effet…
Je me réveillai en pleine nuit avec la sensation bizarre de ne pas être moi-même. Je me sentais léger comme si le poids de mon grand corps avait disparu mais j’avais comme une masse qui pesait sur ma poitrine et me dérangeait. En passant la main sur ma peau, je ne sentis plus mes poils habituels mais au contraire c’était tout lisse et d’une incroyable douceur. Et ma main rencontrait un globe ferme… deux en fait… deux espèces de grosses protubérances sensibles et tout à fait anormales…
Je me réveillai pour de bon et sautai hors du lit. Mon corps était léger et souple, comme aérien par rapport à ma lourdeur habituelle… mais que se passait-il donc ?
Je courus à la salle de bain et allumai toutes les lumières en grand. Le miroir me renvoya l’image d’une jeune femme de 28 ans environ, avec de grands cheveux blonds cendrés et tout bouclés, un visage de madone et un corps de déesse aux seins plantureux mais fermes et hauts, aux hanches rondes et harmonieuses… Je rêvais et j’allais évidemment me réveiller… Pas trop vite, ce rêve était plutôt sympathique…
En attendant je caressai ces courbes et cette peau lisse et sans aucun poil qui m’auraient tellement plu dans la réalité… Et c’était trop bizarre de ne plus sentir ma bite ballotter entre mes cuisses… A sa place, il y avait une fente entourée de deux espèces de replis très légèrement renflés… et quand je passais mon doigt dans cette fente, je sentais un trou chaud et humide qui semblait accéder à l’intérieur de mon corps…
Et si je profitais de ce rêve pour tester l’effet que pouvait exercer un corps pareil sur des hommes ? Après tout, quitte à rêver autant vivre ce rêve à fond…
J’ouvris mes placards, persuadé d’y trouver des affaires de femme à ma taille. Mais au lieu de cela, je n’y trouvai que des jeans d’homme taille 50 et des chemises XXL. Allons bon, mon rêve avait des incohérences… Idée ! Isabelle ma voisine m’avait laissé ses clés pour nourrir son chat pendant toute la semaine où elle était en formation. Elle aurait bien quelque chose dans ses placards…
Ma voisine était assez classique dans ses vêtements. Elle n’avait vraiment pas grand-chose qui me plaisait mais je choisis une jupe noire et droite qui m’arrivait à mi-cuisses, un chemisier blanc boutonné sur le devant, des bas noirs et des espèces de ballerines souples et noires… Marcher avec des chaussures à talon me semblait impossible même en rêve mais au fait quelle heure était-il ?
Il était 1 heure du matin. Pas vraiment une heure où une jeune fille devrait se trouver seule dans les rues mais en rêve tout était permis…
Il n’y avait pas un chat dehors. Seul un bar de quartier était encore ouvert… était-ce raisonnable ? Non dans la réalité mais on en était très loin de la réalité…
Il n’y avait que trois hommes dans le bar, plus le patron que je connaissais de vue. Les clients étaient très alcoolisés et tenaient à peine debout mais le patron était assez bel homme. Peut-être 45 ans, grand, brun, viril, un peu bedonnant mais ça allait encore…
— Mademoiselle ? fit-il étonné en me voyant entrer. J’allais fermer… mais je peux rester encore un peu ouvert pour vous bien sûr…
« Allez les amis, il va falloir rentrer chez vous… » dit-il à ses clients. « Vous avez assez bu pour ce soir… »
— C’est mieux comme ça, me fit-il avec un sourire éclatant. Ils pourraient bien chercher à vous ennuyer…
Et toi, non ? pensai-je à part moi. Toi tu ne vas rien tenter peut-être ?
Le patron raccompagna ses clients jusqu’à la porte sans leur laisser le choix et il descendit le rideau métallique derrière eux.
— Vous inquiétez pas je vous séquestre pas, c’est juste que j’ai plus à être ouvert à cette heure-ci… au cas où des flics passent vous comprenez… Alors mademoiselle, que puis-je vous servir ? Vous offrir plutôt, allez je vous offre ce que vous voulez…
— Et bien servez-moi un Baileys s’il vous plait.— Bien… et moi… bah tiens, un kir pour vous accompagner…
Au lieu de rester derrière son comptoir, le patron en fit le tour et s’installa à mes côtés, en rapprochant son tabouret du mien.
— C’est rare de voir une jeune fille comme vous débarquer à cette heure-ci, fit-il avec un regard insistant en direction de ma poitrine…
C’est vrai qu’elle soulevait le fin tissu du chemisier et qu’on distinguait parfaitement les tétons… Isabelle n’avait pas de soutien-gorge à ma taille… et de toute façon même si elle en avait eu un, je ne pense pas que je l’aurais mis…
— Vous habitez le quartier ?
— Oui j’habite rue Saint Pierre… Je n’arrivais pas à trouver le sommeil, j’ai préféré sortir un peu…
— Je m’appelle Pierre justement. Eh bien ravi que vous ayez eu une insomnie qui me permet de vous avoir ici à mes côtés…
J’aurais voulu qu’il se jette sur moi et me baise… ou me fasse bouffer sa bite mais je préférais gonfler mes nouveaux seins et regarder Pierre d’un air plus qu’aguicheur…Et il avait de plus en plus de mal à détacher son regard de mes mamelles, c’est comme si elles l’hypnotisaient…
Mais qu’est-ce que tu attends pour les saisir à pleines mains, arracher mon chemisier, pétrir et téter ces nichons au lieu de baver devant comme ça, gros naze…
— Pierre ?— Oui… fit l’homme en se reprenant et en devenant tout rouge.— Comment me trouvez-vous ? Je veux dire comme femme comment me trouvez-vous ?— Bandante… oh merde, excusez-moi ça m’a échappé… Euh… je vous trouve désirable. Voilà, c’est ça que je voulais dire…
Je voulais savoir ce que ça ferait d’avoir les mains d’un homme comme Pierre sur mon nouveau corps le temps d’un rêve… et j’avais trop peur de me réveiller avant que ça n’arrive…
Je pris sa main et la posai sur ma cuisse avec un sourire irrésistible. L’homme se rua aussitôt sur moi en me pressant avec son grand corps contre le comptoir. Il arracha à moitié les boutons de mon corsage pour y passer sa main et me pétrir les seins pendant que son autre main remontait le long de ma cuisse jusqu’à mon entrejambe où il passa directement un doigt dans ma chatte trempée. Ses lèvres se pressaient contre les miennes et sa langue s’introduisit dans ma bouche. Il soufflait et son corps dégageait une odeur particulière que je n’arrivais pas à définir mais qui était excitante…
Les seins étaient très sensibles… je n’aurais pas cru qu’ils puissent être aussi sensibles. Les tétons malaxés devenaient tout durs, provoquaient des espèces de frissons dans tout le corps et faisaient encore plus mouiller la fente que j’avais à l’entrejambe.
Je voulais sentir les lèvres de cet homme sur eux. Je pressai sa tête et l’attirai vers mes mamelles. Pierre engloutit aussitôt un téton et le pompa en malaxant fortement le sein. Ses doigts rentraient de plus en plus loin dans ma chatte dégoulinante et j’avais une énorme envie de bite dans mon ventre. Quelle étrange sensation, cette espèce de vide et d’appel qui venait du plus profond de mon corps…
L’homme avait le souffle de plus en plus court, il me renversa carrément au sol et força mes cuisses à s’ouvrir largement. Il déboutonnait sa braguette et j’admirai le renflement qui déformait son entrejambe. Sa bite surgit brusquement mais j’eus à peine le temps de la voir.
Pierre m’écrasait de tout son poids, pressait son gland contre ma fente et s’enfonça dans mon corps d’un puissant coup de reins. Je découvris ce que c’était de se faire remplir le ventre par la grosse bite d’un homme. Que les femmes avaient donc de la chance de pouvoir ressentir un plaisir pareil ! Possédé et complètement rempli par un homme, le recevoir au plus profond de soi, s’offrir en le laissant vous explorer tout l’intérieur du corps, ressentir sa puissance, son désir, sa chaleur et sa virilité tout au fond de soi… c’était merveilleux !
Pierre ahanait pendant qu’il prenait son plaisir à grands coups de bite… en fait, c’était ça oui. Il prenait son plaisir au fond de moi et se servait de mon corps pour assouvir son plaisir à lui. Mais le va-et-vient de plus en plus rapide de son sexe dans les profondeurs de mon ventre me procurait à moi des décharges de jouissance qui me parcouraient des pieds à la tête… Tout mon corps se tendit tout d’un coup et j’eus l’impression d’éjaculer mais je crois que cet incroyable plaisir s’appelle un orgasme féminin. C’est extraordinairement puissant et vous submerge comme un ras de marée, puis vous laisse sans force l’instant d’après.
Pierre râla, son corps se raidit et je sentis un liquide chaud fuser en plusieurs giclées au fond de mon ventre et le remplir. Il venait d’éjaculer et c’est ça qu’une femme ressentait ? Les contractions de la verge profondément ancrée et le jaillissement de la semence qui vous inonde en vous donnant le plaisir incommensurable d’être totalement rempli d’un homme au sens propre comme au sens figuré… d’être fécondé, ensemencé par sa précieuse essence de vie… c’était incroyablement bon…
L’homme était en sueur, pesait de tout son poids sur moi et gardait son sexe au fond de moi mais je sentais qu’il mollissait et me remplissait de moins en moins…
— Putain, ça été trop bon… fit-il à mon oreille en reprenant son souffle. J’t’ai mis la dose mais faut dire qu’avec ma femme, y a plus grand-chose…
Il se dégagea. Sa bite molle pendait en dehors de sa braguette. Assez épaisse et plutôt veinée, elle avait un gland rond et dégagé, presque violacé avec des traînées blanchâtres de foutre sur toute la verge. J’en avais la bouche sèche. Je me redressai et engloutis son sexe jusque dans mon gosier. Le sperme avait un goût légèrement âcre qui s’imprégnait dans mon palais. Je suçai, léchai et dégustai toute la semence que je pus…
— Bah merde, t’aimes vraiment ça ! s’exclama Pierre. La bite et le jus… t’aimes ça ! Dis voir, tu me lècherais pas les couilles ? J’adore et je pense que je pourrais te rebaiser si tu me bouffes les couilles…
Me faire baiser à nouveau ? Bien sur que j’en avais envie… tout comme lécher ses couilles, m’enivrer de leur odeur, pouvoir les tâter comme je le voulais et pourquoi pas sentir les jets de foutre de cet homme me remplir la bouche et avaler tout ce qu’il pouvait encore expulser de ses couilles…
Je me relevai et fis passer le pull de Pierre par-dessus sa tête. Et il se déshabilla à la hâte. Nu il était plutôt pas mal comme homme même avec son ventre, bien qu’il n’aurait pas fallu qu’il en ait plus… Il avait une toison noire sur la poitrine, des bras et des jambes assez poilus également. Sa bite semblait reprendre un peu de vigueur, au-dessus d’une paire de couilles lourdes et couvertes de poils… Je soupesai ses testicules et Pierre gémit. La peau était chaude, élastique et moite, les bourses pesaient dans ma main… Je tombai à genoux et enfouis mon visage dans la masse des couilles. Les poils dégageaient une forte odeur qui m’emplissait les narines et m’excitait. Je passai ma langue partout sur le scrotum et avalai un des testicules. Je le mâchouillais doucement dans ma bouche et mon palais s’imprégnait d’un goût âcre et tenace. Je savourais ce goût d’homme et Pierre gémissait de plus en plus. Sa bite se redressait au-dessus de moi, me dominait fièrement avec le gland tellement turgescent qu’il paraissait sur le point d’exploser. Ma langue avait léché chaque centimètre de peau des couilles et je remontais maintenant le long de la verge dont les veines battaient. L’homme me saisit brutalement par les cheveux et pressa son gland contre mes lèvres en se masturbant. Il râla très vite et m’enfonça violemment sa bite dans la gorge en plaquant mon visage contre son ventre et en déchargeant son sperme à grands jets épais et chauds.
Et moi je savourais ce nectar d’homme qui me remplissait toute la bouche et s’écoulait dans mon gosier…
— Oh putain ! soufflait Pierre. Ce pied ! Baiser une meuf pareille et lui faire bouffer mon foutre… j’y crois pas...
Je me rajustai en me demandant que faire… si j’allais rentrer chez moi ou non. Mais si je rentrais et me rendormais, j’allais me réveiller un peu plus tard avec mon corps lourd et velu et n’aurais plus qu’un vague souvenir de ce rêve… Ou plus du tout… C’était hors de question…
Je quittai Pierre sans lui promettre de revenir alors qu’il me suppliait presque. Je me disais que peut-être je le reverrais le lendemain et que lui en voyant passer un homme le dépassant d’une tête et ayant la carrure d’une armoire à glace, il ne pourrait jamais imaginer qu’il s’agissait de la meuf qu’il avait baisée la veille… Cette image en était presque drôle… ridiculement drôle…
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