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Ma femme en partage

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Dans ce salon privé du club libertin que nous fréquentions pour la première fois, ma femme gémissait, accueillant entre ses cuisses le visage d’un autre homme que moi, homme qui semblait divinement lécher et aspirer le sexe dessous ses poils roux et doux. Je ne l’avais jamais entendu gémir de cette façon ; elle semblait perdre souffle.— Votre femme est divine –me dit Franck – quelle chatte ! j’adore vraiment !J’avais sorti ma queue et pris la main de Laurence pour qu’elle puisse la caresser, toujours fasciné par cette bouche d’homme qui mangeait le con frisé de ma chérie.Il se releva pour embrasser Laurence sur la bouche. A ma grande stupeur –j’aurais pourtant dû m’y attendre- elle porta la main vers la braguette de l’homme, l’ouvrit d’une main tremblante, contourna le boxer noir que Franck portait et sortit tant bien que mal une queue de bonne taille, raide et totalement rasée.— Laurence ? Dis-je d’une voix blanche – Tu crois que…. ?Je ne contrôlais plus rien, la réalisation du fantasme que j’avais enclenché m’échappait dorénavant totalement. Ma femme tourna vers moi un regard éperdu, une queue dans chaque main, elle semblait comme avoir perdu le contrôle d’elle-même, Franck l’avait amenée au bord de l’orgasme sans l’y plonger et je n’avais jamais observé cette expression sur son visage...Oh, comme je voulais tellement son bonheur et son plaisir !Je pris sa main sur ma queue et la posait sur la queue de Franck qu’elle était déjà en train de branler avec ferveur. Me présentant devant elle, toujours étendue sur le dos- je pris place entre ses belles cuisses et approchai ma queue de sa chatte rousse. Les lèvres de son con entrouvert étaient frémissantes comme j’y posais mon gland et le passais tout au long et de bas en haut, ressentant la douceur de ce sexe humide, mouillé de plaisir et de la salive de Franck, qui avait si bien commencé à déguster ma Lolo. Elle semblait être dans une attente folle et irrésistible.J’introduisis doucement ma queue dure et frémissante dans le velours de la chatte poilue de ma femme qui eut un léger spasme et m’engloutit d’un coup de rein. Elle poussa un petit cri et juste après prit en bouche la grosse queue de Franck qu’elle commença à téter goulument, tout en pressant ses couilles des deux mains.— Oh putain, qu’est-ce que c’est bon –fit Franck, entre deux soupirs.Il lui caressait doucement les cheveux tandis ma Lolo le suçait avec ferveur, la bouche serrée sur sa tige. Pendant ce temps, je baisais ma chérie en ayant l’impression de redécouvrir cette femme que je connaissais et aimais depuis tant d’années, et cette chatte rousse, douce et velue, que j’avais tant de fois prise et dans laquelle j’avais tellement joui et déversé de semence.— Ooh, Lolo, ma salope, mon amour…ton con…..tes poils…quelle douceur, quel bonheur de te baiser….oui, suce-le bien…. Ma salope, ma salope…..C’était tellement bon que je ne pu retenir ma jouissance aussi longtemps que je le souhaitais et je vidai mon sperme dans sa chatte rousse. Je sentis que ma chérie aurait souhaité un peu plus d’endurance de ma part et je vis qu’elle avait cessé provisoirement de sucer Franck, qu’elle branlait toujours d’une main, la seconde s’étant posé sur son con poilu qu’elle caressait en étalant mon sperme. Je compris bien sur immédiatement le regard à la fois tendre et suppliant qu’elle me fit et je me sentis une nouvelle fois saisi d’une appréhension étrange ; Laurence voulait recevoir en elle la queue de Franck. Je me tournai vers lui et lui fit un signe rapide, je lus une grande satisfaction sur son visage : « super, …merci » nous dit-il, sortant un préservatif de sa poche. Il le mit à la fois rapidement et attentivement sur sa queue et, délicatement, s’agenouilla tout d’abord de nouveau entre les cuisses de Laurence pour lécher de nouveau cette chatte rousse qu’il avait visiblement très appréciée. Un sentiment d’excitation mêlée de jalousie m’envahissait dans tout mon être….mais je voyais ma petite femme tellement heureuse, semblant m’adresser également des regardes éperdus et pleins de reconnaissance de lui donner autant, alors que c’était elle qu’il me semblait donner à un autre homme !Franck lui léchait la chatte, alternativement de manière câline ou rigoureuse, il aspirait délicatement et suçait le petit clito. Il avait passé ses mains sous les grosses fesses de Laurence et les caressait lentement, semblant prendre tellement de bonheur à se repaitre de ce cul merveilleux, doux, chaud et rond ; celui de ma femme. Je me caressais tout en regardant cette scène tant de fois imaginée dans mes fantasmes les plus inavoués. Je rebandais fortement.Après de longues minutes de dégustation, Franck se releva, contempla Laurence qui lui souriait. Il lui écarta les cuisses avec délicatesse, les caressa chacune jusqu’au genou, puis passa la main sur la chatte poilue de Laurence, recouverte de sa salive, passant deux doigts entre ses lèvres, doigts qu’il introduisit lentement dans le con de ma femme. J’entendais Laurence haleter. Encore une fois, elle était dans un état, offrait un visage qu’il me semblait n’avoir jamais observés.Je me caressais toujours, seul, mortifié et excité comme jamais tandis que je vis Franck approcher sa queue du sexe de ma Laurence, cette queue me semblait plus grosse que la première fois que je l’avais observée…Il introduisit son gland gonflé entre les lèvres de ma femme et, brusquement, la prit d’un coup de rein, ce qui fit pousser un immense cri de bonheur à Laurence. Ca y était ; j’étais bel et bien cocu ! La chatte de Lolo était emplie de la queue d’un autre, et visiblement bien emplie. Elle dû partager ce sentiment en même temps que moi : tournant le visage en ma direction elle me murmura « merci mon Manu, merci, merci »…elle semblait prête à pleurer, ce qui me parut étrange.Se reprenant, elle sourit de nouveau à Franck qui commençait à la besogner vigoureusement en la tenant par les hanches. Il la prenait à grands coups de queue réguliers et puissants. J’étais heureux pour Laurence de la confier provisoirement à un homme expert et consciencieux, tellement attentif à son plaisir. Il était visiblement un bien meilleur baiseur que moi, ce qui me contraria un peu, mais je n’aurais pas voulu qu’elle se donne à un égoïste nul et mufle. Nous avions de la chance d’avoir rencontré Franck pour cette expérience. Quelle résistance il avait ! Il pilonnait ma Lolo avec la régularité d’un métronome et ma femme semblait enchainer les jouissances et poussait sans interruption de petits cris. Elle semblait s’essouffler. Attentif, Franck s’en aperçut et ralentit quelques instant la cadence avant de reprendre pour une nouvelle série de coups de queue puissantes dans le con de ma Lolo. J’étais fasciné par cette scène qui semblait ne jamais devoir s’arrêter.Puis il se mit lui-même à gémir et ralentit de nouveau, cette fois pour prendre le maximum de plaisir pour lui-même, son ventre collé à celui de Lolo, en lui agrippant le cul et en caressant ses hanches. Il me semblait sentir, en les regardant, les spasmes des longs jets de sperme de Franck qui jouissait somptueusement dans la chatte de Laurence. L’embrassant dans le cou, il demeura quelques secondes entre ses cuisses et ses bras, visiblement un peu fatigué et attendri par cette baise magnifique. Il se retira du con béant de Lolo. « Elle est super, ta femme, tu as bien de la chance ! ». Il s’assit à l’autre bout du canapé, retirant le préservatif. Laurence s’en revint vers lui, à quatre pattes, son cul à l’air, magnifiquement mis en valeur par ses bas noirs et entreprit de sucer Franck de nouveau. Elle le fit doucement, Franck lui caressant sa chevelure rousse et reprenant rapidement une belle bandaison.Je bandais de nouveau et, à genoux, vint me positionner derrière ma Lolo pour reprendre possession de sa chatte de rouquine. Je posai les mains sur ses hanches pleines et entrai facilement ma queue dans sa chatte bien ouverte et encore frémissante de l’action de la queue de Franck que Laurence semblait adorer sans pouvoir s’en défaire, pleine de reconnaissance pour le plaisir intense qu’elle avait pu lui donner. En la suçant, elle donnait l’impression de vouloir à son tour lui rendre ce plaisir et prenait elle-même une nouvelle jouissance. Je sentais sa chatte mouiller encore tandis que je la baisais de mon mieux en prenant soin de durer autant que possible et de bien supporter la comparaison avec Franck.J’eu soudain une forte envie d’enculer ma Lolo chérie, ce que nous avions fait quelquefois, irrégulièrement, et qui n’avait pas forcément donné à ma femme plus de plaisir que par son sexe, mais mon envie décuplait la raideur de ma queue tandis que je la contemplais téter celle de Franck. Doucement, je retirai ma queue de son con bien ouvert, y passai trois doigts avant de les amener vers son petit trou, pour le préparer à m’accueillir. Lolo remua le cul, semblant particulièrement apprécier par avance ce qui allait se passer. J’approchai mon gland, le fit doucement entrer dans Lolo, à la suite de quoi ma queue toute entière entra facilement. Je rayonnais de bonheur et de plaisir d’enculer ainsi ma femme et de lui donner encore du plaisir tandis qu’elle suçait son amant d’un soir. Comble de félicité, j’eus l’impression de jouir en elle en même temps que Franck inondait sa bouche de son sperme et qu’elle-même se tortillait dans un ultime orgasme.Après quelques échanges de banalité, nous nous séparâmes. Franck nous avait transmis son numéro de portable, sans que Lolo et moi nous soyons engagés à le rappeler, mais sait-on jamais ?Reprenant nos esprits et une tenue un peu plus décente, nous sortîmes du club, Laurence à mon bras, la tête sur mon épaule, tandis que nous marchions pour regagner notre hôtel.Cette expérience avait été formidable. Allait-elle se renouveler ? Sous quelle forme ? Notre amour en avait en tout point été renforcé, régénéré par cet échange intense. Dans les yeux de ma femme, je lisais une grande reconnaissance, et la promesse de nouveaux moments inoubliables.
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