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Ma femme en partage

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
Au cours des jours et des semaines qui suivirent notre première expérience au club libertin, nous avons repris ma femme Laurence et moi, le petit train-train de notre vie de couple marié et aimant, nos relations sexuelles câlines, avant de ressentir profondément combien ces moments étaient tièdes au regard de ce qui s’était passé avec Franck. Nous avions vécu un moment d’une telle intensité ! …Ma Lolo, par la technique amoureuse et l’endurance de Franck, et moi-même de voir celui-ci baiser si bien ma femme et lui donner tant de plaisir.
Il devint vite évident que nous ne pourrions plus revenir en arrière et nous satisfaire de notre quotidien ronronnant. Délicate, Laurence ne m’en parla pas spontanément et c’est moi qui, un soir, au creux de son oreille, lui suggérai : « Ma chérie, ça pourrait être bien de retourner au club, ou de revoir Franck, qu’est-ce que tu en penses ? ». Elle marqua un temps de silence au cours duquel je sentis son souffle s’accélérer et sa main se resserrer doucement sur mon épaule : « Oui, Manu, c’était tellement bien ! ».
Je retrouvai rapidement la carte que Franck m’avait laissé et lui adressai tout de suite un SMS : « Bonjour cher Franck, Laurence souhaiterait te revoir vraiment…et moi aussi. A bientôt ? Manu». La réponse arriva dans la minute : « Avec grand plaisir. Retrouvons-nous demain au restaurant XX à 20h00 ; je vous invite. Bises ».
Je consultai rapidement Laurence et confirmai le rendez-vous directement. Le lendemain était un vendredi et nous pûmes rapidement confier la garde des enfants pour une nuit à la belle-famille, ravie de les recevoir et émue de contribuer à la réalisation d’un impromptu week-end en amoureux.
Vendredi soir, ma chérie se maquilla avec le plus grand soin. Elle s’était rendue dans l’après-midi chez le coiffeur et était resplendissante, sa longue chevelure blond-roux irradiait. Je choisis ses vêtements, tout en noir : des bottes hautes, une robe courte (au dessus des genoux), des bas noirs tenus par des porte-jarretelles, une petite veste complétait le tout. Je mis moi-même un costume gris-bleu, le restaurant où nous nous rendions était l’un des lieux les plus chics de la ville.
Lorsque nous arrivâmes, à l’heure exacte, Franck était déjà là, installé à une table située dans un coin discret de l’établissement. Il se leva à notre arrivée et nous salua chaleureusement, complimenta Laurence après l’avoir étudiée rapidement de bas en haut : « Tu es magnifique, plus encore que dans mon souvenir. Manu, je te félicite d’avoir une femme aussi superbe ».
Laurence ne put s’empêcher de rougir. Franck proposa que ma femme s’asseye à ses côtés, me consultant rapidement du regard. Évidemment, j’acquiesçai.
Durant l’apéritif, Franck murmura quelque chose dans l’oreille de Lolo qui lui adressa un large sourire. Ses yeux brillaient comme jamais, d’une étincelle faite de reconnaissance et d’excitation. L’alcool aidant, l’atmosphère se fit encore plus intime et le repas fut un enchantement. Régulièrement, par l’attitude de Laurence et les gestes de son voisin, je m’apercevais que la main droite de Franck caressait la cuisse de ma femme, de son bas noir à la petite culotte de dentelle. Laurence me raconta que les doigts de Franck caressaient son aine, s’insinuaient sous l’élastique de la culotte, caressant les poils doux et frisée de sa chatte velue jusqu’à effleurer à peine ses lèvres et son clitoris. Je la voyais rougir parfois, contrôlant difficilement sa respiration pour ne rien laisser paraitre en cet endroit de grande classe.
Quelques minutes avant de prendre le café, je vis par un mouvement du bras de Laurence qu’elle avait posé la main sur l’entrejambe de Franck et qu’un mouvement habile de ma petite chérie ne laissait pas notre ami totalement indifférent. J’étais aussi particulièrement excité par la situation et par la pensée de ce qui allait se passer à la sortie du restaurant. Franck, qui avait décidément pensé à tout, nous précisa la suite des opérations : « j’ai réservé deux chambres à l’hôtel qui est juste en face. Quatre étoiles, c’est pas mal, non ? ».
Nous traversâmes donc simplement la rue et Franck, qui avait déjà les clés des chambres, nous guida à l’étage, dans une grande chambre, très luxueuse. Je posai la veste et, ostensiblement, m’installai dans le coin de la pièce, dans un magnifique fauteuil de velours, gardant à la main le verre de whiskies que je venais de me servir au bar de ce qui était en faite presque une suite. Franck s’approcha de Laurence, posa ses mains sur ses hanches et l’embrassa longuement dans le cou et sur les lèvres. Ma femme était à lui. Comme elle était belle ! Je la redécouvrais, comme au premier jour de notre rencontre. La lumière tamisée de la chambre créait une ambiance chaude, mystérieuse et intime.
Franck, toujours en costume, fit mettre ma Lolo à genoux au bord du lit immense et s’essayant face à elle, défit les boutons de son pantalon, sortit sa queue, plus longue et large que la mienne, et fit signe à ma femme d’approcher son visage, ce qu’elle fit docilement, concentrée mais tremblante d’émotion. Elle prit d’abord le gros gland de Franck dans sa bouche, le suçota tout en faisant sortir les couilles de son amant de son pantalon et en commençant à les caresser des deux mains. Rapidement, elle commença à téter la queue de Franck en cadence. J’étais fasciné par la bouche de ma femme serrant entre ses lèvres cette queue épaisse…je connaissais parfaitement l’effet de cette succion sur ma propre queue et ressentais aussi ce que Franck pouvait ressentir. Il lui posa la main dans les cheveux : « Doucement, Laurence, doucement ». Il se tourna vers moi : « Quelle suceuse, ta femme, Manu… sa bouche est d’une douceur ! ». J’acquiesçai d’un sourire. C’est vrai qu’elle suce bien, Laurence, j’étais fière d’elle, fier qu’un as de la baise comme Franck le souligne et doive lui demander de ralentir les mouvements de sa bouche avide. Elle ralentit donc. Elle entreprit de lui lécher les couilles tandis qu’elle emprisonnait de la main la grosse queue raide, brillant de la salive de ma femme. Elle le branla vigoureusement quelques instant avant qu’il interrompe son geste et lui prenne la main pour la faire se relever.
Il passa ses bras autour de ma femme, lui dégrafa sa robe, dans le dos et fit glisser le vêtement jusqu’au sol. Elle l’enjamba. Franck passa quelques secondes encore à l’admirer. Elle avait donc conservé bottes, bas et porte-jarretelles ainsi qu’une culotte et un petit bustier noirs. Il posa une nouvelle fois les mains sur ses hanches et, atteignant de chaque côté la culotte, la fit descendre doucement le long des cuisses et des jambes de Laurence, se baissant en accompagnant le mouvement délicat de la culotte de dentelle noire. A genoux devant ma femme, il caressa doucement ses cuisses et ses belles fesses rondes en posant le visage sur les poils blond-vénitien de sa chatte naturelle. Il enfouit sa bouche, son nez dans l’épaisse toison et semblait heureux et excité de respirer le parfum de l’intimité de ma femme, aspirant ses poils et cherchant de la langue la douceur des lèvres du con de ma Lolo.
Il la fit s’assoir sur le lit, écartant davantage ses grosses cuisses, passant doucement la tranche de la main sur la chatte qui paraissait s’entrouvrir délicatement. Il approcha la bouche et recommença à lécher le con qui lui était offert, un con lumineux, blond-roux d’une douceur incomparable…je le savais parfaitement, c’était celui de ma femme chérie. Franck enduisait de sa salive l’intimité frémissante de ma femme qui commençait à se trémousser, caressant des deux mains les cheveux de son amant. Sa respiration s’accélérait progressivement. Je contemplais son visage quand elle tourna les yeux vers moi et murmura mon prénom. Je ne pus m’empêcher de quitter quelques instant mon fauteuil pour embrasser ma chérie dans le coin de la bouche, lui disant simplement : « C’est bien, prends tout ton plaisir, ma chérie, prends tout ton plaisir, laisse-toi jouir comme jamais ».
…Et elle jouissait…Franck aspirait maintenant son clitoris et avait glissé deux doigts dans sa chatte luisante, les poussant au fond du con avant de caresser les lèvres, puis de les enfoncer de nouveau...Des vagues successives de plaisir envahirent Laurence toute entière, elle roucoulait. Jamais je ne lui avais moi-même provoqué autant de spasmes de jouissance dans un temps aussi court, qui semblait pourtant durer des heures.
J’étais toujours fasciné, excité comme jamais, et avais sorti ma queue raide de mon pantalon pour me branler, aussi lentement que je pouvais. Ce n’est qu’à ce moment que je remarquai un document posé sur le guéridon, près de mon fauteuil. Je le lus rapidement. Il s’agissait des résultats d’une analyse faite par un laboratoire. Résultats, datés du jour, qui indiquaient que Franck était indemne de toute infection. Je saisis ce que cela pouvait impliquer ; lors de notre rencontre, Franck avait baisé ma femme avec des préservatifs. Le contact de sa queue avec le corps et l’intimité de Laurence allait pouvoir être beaucoup plus proche.
Franck, ayant enfin posé la veste, fit allonger Laurence sur le ventre, au milieu du lit, écartant les draps. Elle avait conservé ses bottes, ses bas. Le haut de son corps était vêtu et seul son cul apparaissait et, plus bas, la touffe de ses poils roux. Franck la fit se relever, à quatre pattes, caressa longuement son cul, passa de nouveau les doigts dans la chatte humide et approcha sa queue. Il prit les hanches de Laurence tandis qu’il la pénétrait pleinement, lui amenant immédiatement de petits cris. Bien en place, la queue et les couilles bien dégagés de son pantalon, il commença à la baiser fermement et régulièrement, comme il savait si bien le faire. La queue de Franck semblait remplir le ventre de ma Lolo, je distinguais les lèvres de son con bien serrées autour de la grosse queue de Franck tandis qu’il la besognait consciencieusement, sans peine apparente, tandis qu’elle gémissait de plus en plus et semblait au bord des larmes, des larmes de plaisir. Franck ne pouvait s’empêcher de parler. Était-ce pour moi ? Pour Laurence ? « Oh, putain, comme elle est bonne la salope ; quel cul, quelle chatte, quelle chatte poilue, quelle grosse chatte poilue ».
Ces mots m’excitaient, si c’était possible, encore plus. J’adorais aussi parler à Laurence de cette façon en faisant l’amour et je ne pus retenir plus longtemps mon plaisir. Mon sperme gicla de ma queue raide tandis que je gémissais moi aussi sous le regard aimant de ma femme qui encaissait les coups de boutoir de la grosse queue de Franck. Il la pilonnait encore, caressant ses fesses, les claquant tendrement.
Franck, les mains sur le cul de ma femme, marqua un temps d’arrêt, retira sa queue presque entièrement avant de l’enfourner de nouveau d’un coup. Laurence cria. Elle s’agitait dans un ultime spasme comme Franck, saisissant les grosses fesses de Lolo, les ramena vers lui et après quelques mouvements de bassin puissants, prit à son tour son plaisir, déchargeant pour la première fois sa semence abondante dans la chatte de ma femme. Il resta allongé quelques secondes sur elle, l’embrassa dans le cou, lui caressant les cheveux et passant les mains sur ses belles fesses rondes et ses hanches pleines.
Laurence semblait assoupie, un sourire d’extase au coin de la bouche, le maquillage défait.
Pour la deuxième fois, ma petite femme s’était faite baiser, et de quelle manière, par un autre, devant moi. Elle était belle et désirable comme jamais. A 47 ans, elle ne m’était jamais apparue aussi belle et j’avais presque envie que tous les hommes le sachent et admirent ses nombreux trésors, son beau cul rond, ses douces cuisses, sa chatte unique et ses petits seins encore cachés…tout ce que j’offrais à l’instant à Franck, dans le cadre sublime de cet hôtel…
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