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la femme du patron de mon père

Chapitre 1

Erotique
Mon histoire est somme toute assez banale. Celle d’un jeune homme et d’une femme un peu plus mûre. Sa particularité ? Elle se situe dans la relation entre les protagonistes. La femme est celle d’un notable d’une petite ville. Le jeune homme, le fils de l’employé de ce cocu. La présentation est un peu rude mais l’histoire en est tout autre.Mon père était mécanicien dans un garage automobile depuis des années. Le patron, fort de sa position de bourgeois dans cette bastide du terroir agenais, était l’homme le plus exécrable et pédant que l’on puisse connaître. Il se pavanait dans ses belles berlines, draguait ouvertement les femmes des alentours, et pour finir était le plus pourri des patrons. Il ne se gênait nullement pour engueuler vertement ses employés en place publique même sans raison justifiée. Mon père aurait bien voulu mettre fin à cette situation mais sa charge familiale l’avait soumis depuis bien longtemps à baisser la tête.J’avais 18 ans depuis 3 mois, mon permis de conduire depuis 15 jours, et l’inscription en seconde année de Droit. C’était pour mes parents une réelle fierté. Leur fils aîné était sur les rails comme disait mon père. Ma mère ne disait rien mais ses yeux en disaient beaucoup. Cela me laissait toute latitude pour passer un bel été qui s’annonçait particulièrement récréatif. Mon aventure se passa le soir de l’été, le soir du solstice d’été, qui correspond avec le soir de la fête locale. Un grand banquet est organisé alors sur la place centrale de la ville. C’est l’occasion pour les gens de se retrouver et passer un bon moment, en général. Pour le petit minable qu’est le patron de mon père c’est le jour où il montre le profil de son affaire. Il assoit sa personne, s’y montrer, frime entre le banquier et le notaire. Il y rencontre ses potentiels clients, y fait éventuellement des esclandres. Pour éviter toute humiliation mon père s’est interdit cette fête.Ce soir là, nous buvions quelques bières entre jeunes, face au banquet fréquenté par nos vieux, quand soudain, une discussion plus haute attira mon oreille. C’était le patron de mon père. Il toisait un pauvre bougre qui lui devait une traite sur une bagnole achetée à crédit et qui était à la fête malgré cette dette non réglée. Le pauvre homme n’en menait pas large. Au bout de 10 minutes, le pauvre bougre quitta la table sans rien dire mais visiblement humilié. Tout le petit monde faisait petite mine mais les braves gens argentés se targuaient d’une certaine légitimité. « Si l’on ne dit rien bientôt c’est nous qui devront s’excuser ». Et oui le pauvre bougre avait en plus l’aplomb d’être un peu trop bronzé. Pas couleur locale. « Encore plus au sud que nous » comme disait mon père qui avait connu le racisme pour les italiens lorsque ceux-ci étaient les plus basanés du village. Entre le notaire et le banquier mon garagiste se gaussait dans de grands éclats de rire. A ce moment là, sa femme se leva. Le mari resta assis sans rien dire, et fit mine de rigoler avec ses voisins de tablée. Passé quelques instants, il quitta discrètement la table et se rapprocha de la buvette où je me trouvais. Visiblement Il cherchait quelqu’un du regard, me vit, et s’approcha de moi. « Dis Pierrot, t’as ton permis, non toi… ? »« Oui… »« Tiens, prends mes clés, la Mercedes est face à la banque. Prends la direction du garage, tu trouveras ma femme sur la route… à pieds. Elle doit pas être bien… elle est rentrée… Mais fait bientôt nuit… Ramènes la à la maison. Y a cent balles pour toi me dit-il en glissant un billet de cinquante dans ma poche de chemise… mais pas de balade avec tes copines dans la Mercedes hein…» Ces quelques mots ont sonné pour moi comme une insulte. Pas un mot de sympathie. Pas d’alternative. C’était un ordre. Mais pour qui se prenait-il ce gros con? Il m’avait appelé Pierrot alors que seul mon père utilisait ce sobriquet. Pour tous j’étais Pierre. Quel connard ! Mais je ne pouvais pas le remballer sur la place publique sans risque de voir mon père se faire engueuler le lendemain.« Bon alors … tu te bouges… t’as pas fumé ou bu au moins ? »« Non, non, c’est bon… Mais je ne sais pas où vous habitez-moi. » « T’inquiète, ma femme, elle sait. Et là il met les clés dans la poche comme le billet de cent francs, et retourne s’asseoir. Dans la nuit j’entends ce commentaire. « Mais qu’est-ce qu’ils sont cons ces jeunes maintenant. »J’hésite 2 minutes mais l’idée de planter « malencontreusement » sa Mercane me traverse l’esprit. Je me dirige vers la sortie de la bastide. Je vois là en plein sur l’emplacement réservé aux handicapés un magnifique 4x4 neuf à l’étoile d’argent stationné. Je teste le bip. Les clignotants de la voiture m’envoient mon salut. Effectivement il avait changé de voiture. Je monte dedans, la voiture sent la sellerie neuve, le cuir et le bois de santal, l’argent facile et le tape à l’œil. Les voyants s’allument. Lorsque je connecte le démarreur, le moteur vibre. Je prends la route en direction de la sortie de la ville, bien décidé à faire outrage à cette merveille germanique, quand dans la pénombre je croise une silhouette esseulée. Je me gare tant bien que mal sur le bas-côté. La femme marche vite, fermement. Son regard fixe le sol. Elle remonte la voie jusqu’au droit de la voiture sans s’arrêter, et me passe devant. Je descends de la voiture et l’interpelle. « Hep madame. Je dois vous ramener. »La femme sursaute. Elle est surprise. Elle ne comprend pas, et reste sans bouger tenant fermement contre son buste son sac à main. »« C’est Pierre VALIO. Votre mari m’a demandé de vous raccompagner »Elle me dévisage sans bouger. Je réalise alors être dans la lueur des phares. Elle ne me voit pas. Je fais deux pas vers elle, … elle recule « Mais n’ayez pas peur, c’est Pierre le Fils de monsieur VALIO… votre employé. Votre mari m’a vu à la fête, il m’a demandé de vous ramener à votre maison avec votre voiture. Je dois lui ramener rapidement sinon… »Mon explication avait l’air de la convaincre, aussi incrédule que cela puisse paraître cette démarche correspondait bien au sans-gêne de son mari. Elle se rapprocha sans desserrer son sac. Nous nous trouvions enfin dans la lumière. Et là, elle me dit « A mais oui, vous êtes Pierrot, le fils de Luigi et de Marcelle, comme vous avez changé… Je vous voyais encore enfant … vous êtes devenu un homme. » En rentrant dans la voiture, elle m’expliqua qu’elle connaissait bien mes parents. Et toute ma famille d’ailleurs. Jeunes filles, ma tante et elle étaient très proches. Mon père et son mari aussi. Jusqu’à son mariage et que son mari reprenne le garage de son père où travaillait mon paternel. Le succès de l’atelier et celui des ventes de voitures d’occasion mirent de la distance entre les deux amis. Depuis ma tante et elle ne se voyaient pratiquement jamais. Elle me fit alors l’aveu qu’elle ne voyait jamais personne. J’entendais tout cela sans rien dire. Cette femme avait besoin de s’épancher. Elle ne faisait franchement pas ménagère, mais pas une belle femme non plus. Juste une grenouille de bénitier trop sèche avec son imper noué malgré la chaleur estivale, sa jupe au genou et son chignon strict. Son visage serré trahissait un mal être. La route paraissait longue. Je ne savais toujours pas où elle habitait. Le silence occupait l’habitacle. Alors je me dirigeais machinalement vers le garage. Nous arrivâmes. Elle comprit mon désarroi et me fit contourner l’atelier. Une route que je n’avais jamais remarquée, grimpait le coteau. En haut elle se terminait sur une belle et riche demeure qui dominait la vallée.« Je peux vous proposer un verre … pour vous remercier » me dit-elle par politesse sans grande conviction.Je sentais la peine dans sa voix… je décidais d’accepter. Après tout rien ne m’attendait à la fête… et sa proposition ne devait pas être pire que la bière chaude et payante du bal.Je contournais la maison comme elle me l’indiqua, et trouvais la piscine avec sa terrasse. La vue sur le vallon était magnifique. On voyait en bas de la route la concession, l’atelier du garage sur le côté, la nationale qui longeait le fleuve et au loin la ville avec ses remparts. Les lumières dans la nuit laissaient deviner la fête. La brise du soir nous amenait des bribes de musique.Elle sortit par une grande baie sur la terrasse avec une bouteille, et deux verres.« Je vous propose un martini… ou préférez-vous quelque chose d’autre ? »Non, non, ce sera très bien.Elle posa la bouteille sur la table en bois après avoir servi les deux grands verres. Elle tendit la main vers moi. Les doses n’avaient rien de commerciales. Nous fîmes tinter le cristal avant qu’elle porte son verre à sa bouche. D’une goulée, elle vida son verre. Surpris par ce geste bref, je restais sans réagir. Elle me regardait, me demanda ce qui n’allait pas, …si je voulais de la glace.Non j’étais simplement surpris, que je n’avais pas l’habitude d’une telle descente. Elle fondit en larmes, confuse. Elle me parlait de la scène sur la place, de son mari… de ce salaud. Qu’il l’enfermait dans ce manoir. Qu’il avait repoussé toutes ses amies pour avoir essayé de les sauter. Elle était effondrée, honteuse de ce geste d’alcoolique, honteuse de la situation. Sans trop comprendre, je l’ai prise contre moi pour la calmer, comme je fais si souvent avec ma petite sœur. Comme avec une petite fille qui aurait perdu sa poupée ou son chat. Mais là ce n’était pas une petite fille… Je sentais son corps … il était mince mais ferme et musclé. Elle devait faire du sport toute la journée. Je sentais sa poitrine sur ma chemise. Les soubresauts de ses pleurs faisaient frotter nos corps l’un contre l’autre. Elle devait avoir 35 ans, moi juste 18, mais c’était moi le grand-frère. Elle blottit sa tête sur ma poitrine. Son souffle chaud caressait ma peau. Elle paraissait se calmer. Le silence pesait autour de nous et j’avais peur de la revoir pleurer. Alors je décidais de la faire rire. « Et puis franchement on est bien mieux ici. A la brise, tranquilles. Pas la peine de se battre pour écouter une reprise débile de Sardou à l’accordéon et boire de la bière chaude avec des cacahouètes rassis et des chips grasses. On a même la piscine …y a plus qu’à faire chanter Barry White. »Elle lâchât un rire nerveux. Mes grands gestes et mon petit accent de circonstance avaient fait leurs effets. « Tu peux te baigner si tu veux. » Me dit-elle sur un tutoiement qui brisa la glace.« D’accord mais pas tout seul » « Non… moi je ne me baigne jamais le soir…. et puis qu’est-ce que l’on va dire si… »« Et qui c’est qui va leur dire? Pas moi….ou bien si…à mes copains, pour les faire baver… et là je vais me sentir obligé d’en rajouter …qu’on a fait l’amour et tout…et là ils vont pas me croire…»Nouvel éclat de rire « Parce que tu crois que faire l’amour à une vieille, cela va les faire baver comme tu dis... Alors que toutes ces jeunes… »« Quelle vieille ?… Je ne vois pas de vieille moi ici. Je vois une superbe femme avec deux jambes… oui deux superbes jambes, je confirme, elle n’est pas unijambiste, ces jambes qui partent de ces petites chevilles graciles et qui remontent, remontent, remontent… ouf…. je commence à m’essouffler dans le col… qui remonte jusqu’à ces hanches… BIIIIP … Le reste est censuré…J’essayais maladroitement de la faire rire en prenant l’allure de Djamel Debouze mais mes mots ne se contrôlaient pas et percutaient son esprit dans un domaine qui ne pouvait plus rester innocent.« Non sans rire, je te vois toi et personne d’autre ici. Et puis les jeunes, elles n’ont pas ce sourire caché…Elles n’ont pas cette étincelle dans les yeux…Elles n’ont pas ce c…bon allez, j’arrête. Je deviens poète. Allez viens te baigner cela te fera meilleur effet que tout cet alcool et j’en suis sûr … elle doit être bonne. En plus, une piscine, comme beaucoup de choses, c’est pas fait que pour faire jolie dans le paysage. » En disant ces quelques mots je ne pensais pas qu’à la voiture.Et là je saute dans l’eau tout habillé.Mon dernier geste avait fini par la faire éclater de rire. Elle me regarda nager avec tendresse. Et d’un seul coup elle rentra dans la maison. Sans rien comprendre, je ressortis de l’eau et commençais à regretter mon geste. J’avais fait mon petit numéro pour lui faire oublier son connard de mari et voilà comment elle me remerciait. Elle me plantait là sans même me dire au revoir ou merci. J’étais complètement mouillé, je ne pouvais pas rentrer en voiture, il ne faisait pas froid, mais j’allais me peler à pieds, trempé, sur les 10 km. J’ôtais ma chemise pour l’essorer quand elle refit son apparition en maillot deux pièces. Elle était magnifique: Des jambes longues et ciselées, des hanches larges et montantes, une belle poitrine en obus, un ventre plat. Je lui avais fait l’article pour rire sans imaginer qu’elle était aussi belle. Rien à voir avec les petites pimbêches de ma fac.« Bon on le prend ce bain » et elle plongea. « Alors tu viens ou tu te dégonfles ? Me dit-elle avec défiance. Je décidais lentement, sans la quitter des yeux, de me déshabiller. J’enlevais cette fois mon pantalon, puis mes chaussures. Je me cassais la gueule en retirant mes chaussettes trempées. Mais là, elle ne rigolait plus. Accrochée au rebord de la piscine, elle me regardait me dévêtir sans sourire. Nous étions aussi nerveux l’un que l’autre, et nous le sentions.Arrivé au slip, L’eau rendait ma position grotesque.« Tu comprendras que je ne peux pas être le seul à poil »Comme deux adolescents qui se défient et se jaugent, nous nous regardions droit dans les yeux. Sans dire un mot, elle émergea la main de l’eau, le maillot au bout des doigts. Il ne me restait plus qu’à descendre mon slip. Elle ne baissait pas les yeux. Malgré la brise, la situation était très tendue… et mes attributs aussi.Je sautais dans l’eau, je me rapprochais d’elle. Elle se mit à nager vers l’autre rive. Sa fuite ressemblait plus à une invite à la poursuivre qu’à une réelle escapade. C’est bien évidemment ce que je fis. Je la rattrapais contre la berge de la piscine au moment même où elle se tournait pour me faire face. Nos corps se sont lovés sur toute leur longueur comme deux aimants trop près l’un de l’autre. Mon pénis est venu se blottir directement contre son pubis. Je sentais le duvet de son mont de venus contre la paroi antérieure de ma hampe. Là, elle m’embrassa langoureusement pendant que je l’enlaçais. Ses jambes me ceinturèrent. Sans avoir à chercher son chemin, ma virilité a trouvé tout de suite l’entrée de sa féminité. Je la pénétrais. Au passage de mon sexe dans le sien, je sentis sa respiration bloquée, Sa poitrine se serrer. Elle était chaude et moelleuse en même temps. Je sentis le moindre millimètre de ma verge serré dans son étau de miel. Nous restâmes ainsi un instant, à savourer ce délice. Le temps pour elle de reprendre son souffle, le temps pour moi de saisir la margelle de la berge. C’est coincée contre le bord de la piscine que je lui ai fais l’amour, d’abord avec lenteur, puis petit à petit, avec brutalité. Elle ne se plaignait pas d’avoir les bordures de margelle qui lui griffaient le dos, l’eau qui lui éclaboussait le visage à lui faire boire la tasse, mon corps qui poussait le sien contre les marches glissantes. On dit souvent qu’il est difficile de jouir dans une piscine à cause des remous et de l’inertie de l’eau. Nous n’avons pas remarqué. Au moment de jouir, elle a d’abord retenu son souffle mais après elle a hurlé violemment son plaisir. Le cri se perdit dans la nuit. Au loin la fête battait son plein, imperturbable. La musette et les sons des jeux forains nous ramenèrent sur terre. Jamais je n’avais été aussi fatigué par un 10 mètres nage-libre.Nous rhabillâmes. Elle m’a prêté un jean et une chemise de son frère. Je suis rentré à la bastide, à la fête. Son mari m’attendait. Je lui rendis ses clés. Il m’a dit « Tu en as mis du temps, t’as pas abîmé la Mercedes au moins? » « Non, mais j’en ai profité pour faire un petit tour, histoire de pas mourir idiot. C’est pas tous les jours que l’on peut essayer une telle féline. »« Ah oui…. et bien tu peux t’asseoir sur les autres cinquante balles! »« C’est pas grave, cela en valait bien la peine. »Par la suite je suis descendu voir mes parents très régulièrement au village…. je me suis mis au sports également
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