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La femme du PDG

Chapitre 3

Hétéro
Il est 18h30, le chauffeur attend Madame Nasdacq à l’endroit convenu depuis plus une demi-heure. Il s’impatiente et décide de faire le tour du quartier. Au bout de la dixième rue, dans une petite impasse sombre, il voit sa patronne couchée par terre, nue, coincée entre un sac de couchage sale et troué, et une couverture déchirée. Elle est hébétée, encore sous le coup des dépravations que ces salauds lui ont fait endurer. Le sang du chauffeur ne fait qu’un tour, il fantasme depuis longtemps sur cette femme hautaine et austère ;sur ses grosses mamelles qu’il peut deviner sous ses chemisiers de marque, sur son gros cul de jument. Il lui arrive souvent, le soir, de se masturber en l’imaginant se faire violenter dans des endroits sordides, par des jeunes de quartier ou des clochards. Ce qu’il découvre là est dans le droit fil de ses délires. Il bande rien qu’à imaginer ce que la situation présente lui offre. Il s’approche d’elle et, l’attrapant sous les aisselles, l’aide à se redresser. Au passage il en profite pour prendre négligemment en main ses grosses mamelles et les peloter. ? Mais qu’est ce qu’il s’est passé ici... Elle pue la pisse et la sueur. Elle colle en plus !?.Simone sort lentement de sa léthargie.— ? Laissez-moi tranquille maintenant ? râle t’elle timidement.Le chauffeur, voyant qu’elle est encore à moitié groggy, la fait se pencher en avant. Le gros cul sur lequel il délire depuis tout ce temps est vulgairement exposé devant ses yeux. Il passe deux doigts dans la raie culière. — ? Je savais qu’un jour je t’aurai ? marmonne t’ilMais son but, son délire, n’est pas de l’avoir pour lui. Il est du genre voyeur, cérébral. Il imagine ce qui a dut se passer vu le lieu et l’état dans lequel il l’a retrouvée. Il regrette de n’avoir pu assister à la scène. Mais son fantasme de la voir offerte va peut-être pouvoir se réaliser... Il cogite pendant qu’il continue à palper les grosses outres pendantes.? Et si je la faisais chanter.... ?. Il sourit intérieurement, sa décision est prise ! ? Bon ben maintenant, il faut la ramener ?. Il la couvre comme il peut avec les lambeaux de vêtements et la traîne jusqu’à la voiture.Ils roulent en silence, elle, ayant repris ses esprits, honteuse de se savoir nue - ? qu’a t’il vu au juste ?? - et lui réfléchissant à la meilleure façon de mettre son plan à exécution. Il a à peine le temps de franchir la grille d’entrée et de ralentir à hauteur du perron que Simone saute de la voiture, s’engouffre dans la maison et s’enferme dans la salle de bain.Deux heures plus tard, elle est assise dans un fauteuil, à siroter un whisky, lorsque le chauffeur réapparaît. Elle est sur ses gardes, méfiante. Lui a choisi sa stratégie :— ? Alors, on s’est bien éclaté ? ?— ? Pardon ??? ?— ? Fais pas la maligne, tu sais de quoi je parle... ?— ? Je vous interdit de me tutoyer ! ?— ? Tu ne m’interdis rien du tout ! Et tu vas m’obéir bien gentiment sinon... ?— ? Sinon... ? ? dit elle en frissonnant— ? Sinon c’est ton mari et toute tes relations mondaines qui vont profiter des photos ! ?— ? Salaud !! ?— ? Peut-être mais je sens qu’on va bien s’amuser. Et maintenant, si madame veut bien se donner la peine de s’habiller... Je l’emmène voir des amis... ?Elle sait qu’elle n’a pas le choix. Elle ne veut pas perdre tout ce qu’elle a si chèrement acquis, tout ce luxe.Dix minutes plus tard ils sont dans la voiture et le chauffeur la mène dieu sait vers quelle destination...Ils traversent la ville, direction les quartiers sud, une zone peu fréquentable, une ZUP qui n’en a que le nom tant la mairie n’ose même plus songer à y investir. Une ville dans la ville, une zone de non-droit. Les entrées des immeubles se ressemblent toutes : sales, tagguées, portes vitrées cassées. Le chauffeur s’arrête un peu plus loin devant ce qui ressemble à un entrepôt désaffecté. Il y a de la lumière et on entend des ricanements et des bruits de bouteilles qui s’entrechoquent. Le visage d’un homme apparaît à la fenêtre. Mal rasé et visiblement saoul, il se met à crier : ? On a de la visite les gars !! ?
Le chauffeur extirpe Simone de la voiture. — ? Pensez à votre réputation, ma chère ? lui souffle t’ilElle frissonne, et pas uniquement de froid. Ils entrent dans la bâtisse désaffectée. Malgré les brèches dans le mur et les fenêtres dépourvues de carreaux, il y règne une forte chaleur. L’endroit est vétuste et dans un état de délabrement incroyable. Simone ne peut réprimer un cri...Il y a là une bonne quinzaine d’hommes avec des chiens qui courent dans tous les sens et se disputent. L’assemblée est bigarrée, Il y a pas mal de vieux, barbes et cheveux hirsutes et quelques blacks... Ils ont tout l’air de clochards et sont bien entamés par l’alcool. Une forte odeur d’urine, d’alcool et de sueur la prend à la gorge.La pièce est un véritable dépotoir : des bouteilles vides jonchent le sol à côté de matelas troués et jaunis et de couvertures sales.Les hommes se retournent sur les arrivants. Ils aperçoivent Simone. Gros silence dans la salle. — ? Allez, à poil ? lui dit le chauffeur, ? et pas d’entourloupe ok ? ?? Mon dieu, pas ça ! pas encore ! ?. Le chauffeur, perdant patience, arrache son chemisier. Comme il lui a spécifié, avant de partir, de ne pas mettre de soutien-gorge, elle se retrouve immédiatement avec ses grosses loches à l’air. Tous les regards sont concentrés sur cette énorme poitrine. Ils sont fascinés par cette paire de mamelles plantureuses et lourdes. Le chauffeur n’en est pas resté au chemisier, il a arraché la jupe sous laquelle elle n’avait, bien sûr, pas mis de culotte.Ils commencent à comprendre que cette femme aux gros seins pendants est pour eux et qu’ils vont pouvoir assouvir leurs désirs. Cette bourgeoise a la chatte poilue, au cul large et enrobé est à eux...Leurs regards sont pervers, cela fait longtemps qu’ils n’ont pas eu de femme... Et là, ils ont devant eux une bourge, plus très jeune, certes, mais plus qu’appétissante. Son air méprisant et hautain les excite. Elle va morfler, toute bourgeoise qu’elle est ! Simone sait qu’elle va devoir subir les assauts de ces pervers alcooliques et dépravés. — ? Allez, prenez cette pute! Elle est à vous ! ? leur lance le chauffeurTrois hommes s’emparent d’elle. Nerveusement et fébrilement ils se mettent à la tripoter de partout. Son corps est trituré, malaxé. Leurs mains avides pressent sans ménagement ses gros nichons. Elle sent leur haleine alcoolisée. Elle est humiliée, souillée... L’un d’eux lui lèche vulgairement la bouche et le visage. Son haleine fétide lui soulève l’estomac. Bien vite, tous ces ivrognes l’entourent. On attrape ses bras et ses jambes. Deux hommes se sont emparés de ses mamelles et tirent dessus. Elle pousse un cri de douleur : un doigt s’est enfoncé dans son anus. Elle est entourée de quinze ivrognes qui se disputent son corps comme des chiens en rut, la traitant comme de la marchandise. Elle est ensuite fermement mise à genoux ; 7 queues se présentent : ? Allez, ma salope, suce nous ! Montre nous comment tu te débrouilles ! ?. Simone engloutit la première bite, sale et puante. Ses deux mains sont saisies et posées sur d’autres queues. Instinctivement, elle referme ses doigts dessus et se met à les branler. Sa bouche semble prendre goût à pomper cet homme dépravé. L’odeur forte emplit son palais. Le clodo lui tient la tête et s’enfonce au fond de sa gorge en faisant des va et vient. Le sexe déforme sa bouche ce qui amuse le clodo qui appuie sur son gland à travers sa joue. Ses deux grosses loches ballottent outrageusement au rythme des branlettes. Elles rebondissent de haut en bas tant elle branle fort. Les trois hommes n’en peuvent plus. Ils éjaculent. Le foutre de celui qu’elle suce se répand dans sa bouche ; ceux qu’elle branle lui giclent sur le visage et les cheveux. Le sperme dégouline sur son visage, le long de son cou, sur ses nichons. On la relève et on la force à boire deux bouteilles de bière bon marché, tiède de surcroît. Le goût est affreux mais ils la tiennent fermement, la forçant à avaler. Comme elle n’a pas le temps de déglutir, elle en met partout. La bière coule sur ses grosses mamelles et se mélange au sperme. Ils la saisissent alors par les bras et les jambes et la balancent comme un vulgaire sac de patate sur un des matelas pourris et poussiéreux. Les clochards se jettent sur elle, se disputant à nouveau son corps. Le chauffeur est obligé d’intervenir, il n’a pas envie que cette perversité primitive dégénère en violence. Un clodo, gras et gros, se couche sur elle et fourre sa queue dans sa chatte pendant que les autres lui écartent les cuisses. Il bave et hoquette en donnant des coups de reins spasmodiques. Simone ne peut réprimer un rictus car il pue l’alcool. Il jouit au bout de 30 secondes à peine. Pas très endurant le gars... Il est enlevé par ses copains, tombe pitoyablement sur le sol et s’endort. Un deuxième lui écarte les cuisses et mate son sexe.— ? Quelle salope ! Faut en profiter les gars ! ?Il exhibe la moule souillée à la vue de tous. — ? Tu vas nous montrer ton cul maintenant ! ? 2 hommes la retournent et la mettent à quatre pattes. — ? Allez grosse vache, écarte toi les fesses et montre nous ton trou du cul ! ? Les mots sont crus, loin des termes feutrés de son monde. ? De toute façon il vaut mieux obéir ? se dit elle, ? ils risquent de devenir violents ?. Résignée, elle écarte à deux mains ses grosses fesses et exhibe son anus. Les ivrognes sont excités par ce geste obscène. Elle reste un long moment à leur montrer son cul, les fesses bien écartées. Soudain, un des clodos agrippe ses hanches. — ? Attend ma salope, tu vas voir ! ? Elle sent une queue forcer son trou du cul. Elle hurle de douleur, mais l’homme la bloque et la ramone férocement.— ? Putain que c’est bon d’enculer une bourge ! Vas y crie, espèce de grosse truie, ça m’excite ! ?— ? Ouais c’est une truie ! Avec des grosses mamelles ! ?Une truie qui se fait sauvagement enculer par un gros porc. Elle hurle ! De douleur ?.... Pas seulement...Visiblement elle commence à apprécier ce pieu qui lui défonce les entrailles. Simone prend son pied à se faire sodomiser et humilier par cet homme qu’elle mépriserait en temps normal. L’un des clochards se met devant elle, lui prend la tête, lui enfile une bouteille de pinard dans la gorge et l’oblige à boire. Elle manque d’étouffer en avalant ce vin frelaté et aigre. Son visage est recouvert de sperme et de vin. Le clochard qui l’a forcée à boire s’amuse avec ses grosses loches. Il lui file de grandes claques dessus. Le vieux vicieux qui s’agite dans son cul éjacule en poussant un long râle. Il est aussitôt remplacé par un autre. Lubrifié par le foutre de son ami, son sexe rentre comme dans du beurre. Simone hurle maintenant de plaisir, accentuant l’excitation ambiante. Le deuxième la sodomise de façon saccadée, comme branché sur courant électrique. Il se vide dans son cul en beuglant... Il y a une encore une bonne dizaine de gars à satisfaire... Un des maghrébins veut se branler entre ses nichons et lui gicler dans la figure. Elle se redresse légèrement, empoigne ses grosses mamelles et les presse autour de la queue. Un chien s’approche d’elle et lui renifle la chatte. Ca les fait marrer : — ? Même les chiens sont excités par cette salope ! ? Il lui lèche consciencieusement l’entrejambe. Elle ne fait rien pour le repousser et accélère même le mouvement de ses seins autour du sexe emprisonné. Les léchouilles du chien semblent l’exciter...Et cette bite puante entre ses mamelles... L’homme éjacule avec une force inouïe. La giclée inonde la gueule de Simone puis ses nichons. Le chien la lèche toujours. La sensation est si excitante qu’elle se laisse choir au sol, sur le dos et s’abandonne à l’animal. D’autres chiens, intrigués par la découverte de leur congénère entourent la femelle, la reniflent de partout et se mettent à la lécher. Ils sont quatre et la nettoient de tout ce foutre accumulé. Les bras ballants, elle respire de plus en plus vite. Les chiens lapent ses pieds, ses cuisses, son ventre, ses énormes seins et son visage. Tout son corps est exploré par ces langues baveuses. Excitée comme jamais, notre bourgeoise transpire et se tortille dans tous les sens en tentant de se masturber. Elle sent venir l’orgasme. Elle l’atteint lorsqu’un deuxième chien vient lui lécher avidement le sexe. Elle ne comprend plus ce qui lui arrive, elle sent une bouffée électrique remonter de son bas ventre. La longue langue lape son vagin et s’insinue à l’intérieur déclenchant orgasme sur orgasme. Ce cunnilingus canin est, sans comparaison possible, ce que Simone a connut de plus fort dans sa vie sexuelle. Elle pousse un long râle de jouissance et plaque ses deux mains sur la tête du chien pour l’inciter à continuer. La scène est d’une perversité rare... Les mecs sont tous autour d’elle, les yeux exorbités, à mater cette vieille bourgeoise dépravée offrir sa chatte souillée à leurs chiens. Certains se branlent, ahuris et hébétés par cette débauche de perversité. Deux ivrognes se penchent, repoussent les chiens et mettent la bourge à quatre pattes. — ? Allez les clebs, baisez la ! Elle est en chaleur ! ? Le berger allemand est toujours prêt d’elle. Il renifle son cul. La position de cette salope lui va comme un gant. Il grimpe sur son dos. Instinctivement mais maladroitement il donne des coups de reins. Sa tige rouge n’atteint pas son but... Son maître attrape sa bite et le guide. Elle se fiche d’un coup dans la chatte souillée de Simone qui pousse un cri. Les coups de rein du chien deviennent violents et saccadés.. Elle hurle car il lui défonce la moule. Très vite il jouit et se retire en se léchant le sexe. On amène les autres chiens qui, les uns après les autres, vont la baiser. A quatre pattes, ses grosses mamelles ballottent vulgairement à chaque saillie.L’un des chiens ne pouvant attendre son tour, grimpe sur ses épaules. Elle a sous le nez sa tige rouge, obscène et puante. Excitée par cette odeur fauve, elle ouvre la bouche et la bite gluante glisse entre ses lèvres... Madame Nasdacq taillant une pipe a un chien ! Un sommet de perversité ! Bien vite, son palais se remplit de la semence canine. - ? Putain, c’est la pire des putes ! Elle suce le chien cette salope ! ?Quelles scènes de débauche absolue ! Elle est avilie et souillée, mais elle s’en fiche pas mal, seul son plaisir compte. Les clochards se mettent à la saillir maintenant et même en sachant que leurs chiens sont passés avant eux. Elle est remise sur le matelas et on la fait boire encore et encore. Elle se fait baiser par tout le reste de l’assemblée. Elle est enculée à plusieurs reprises tout en taillant des pipes de folies. Elle jouit de cette débauche et de cette saleté. Finalement tous et d’un commun accord sortent leur sexe et lui pissent dessus. Jamais son corps n’avait était souillé de la sorte et elle souhaiterait que jamais ce moment ne cesse. Les hommes repus, les couilles et la vessie vidée se retirent, laissant cette femme dans les immondices en train de gémir de plaisir. Elle se masturbe en se caressant les seins. Le chauffeur reprend ses esprits, il s’est branlé 3 fois tant la situation perverse l’a excité. — ?Eh ben, je crois que t’as atteint des sommets, ma salope ! ?
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