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Ma femme - Représentante Médicale

Chapitre 2

Hétéro
Je réfléchissais un long moment puis je m’étonnais que ce récit s’arrête à l’escale de Bangkok. Marie, hésita un court moment avant de reprendre la suite de son séminaire.Effectivement, tu as raison. Je ne t’ai pas tout raconté. Lorsque nous sommes arrivés en métropole, nous avons eu la surprise d’apprendre que le séminaire se déroulait en fait à bord d’un navire de croisière pendant quatre jours entiers.Nous n’avions pas refait l’amour Marc et moi depuis Bangkok mais il en mourait d’envie, me faisant une cour qui en aurait fait craquer plus d’une.J’ai résisté jusqu’à la première nuit à bord du paquebot car comme tu le sais je ne suis pas trop en confiance en mer. L’éventualité d’un naufrage, les requins enfin tout le cinéma que je me fais habituellement lorsqu’on parle de croisière.Le premier soir pendant le repas, le navire a essuyé un gros coup de tabac comme disent les marins. J’étais terrorisée et c’est Marc qui m’a accompagnée à ma cabine. Il m’a tenu compagnie un bon moment, me prenant dans ses bras pour me rassurer et de fil en aiguille, il a fini par déposer de chastes baises sur mon front, mon nez, mon menton, mes lèvres.Lorsque sa bouche s’est posée sur la mienne, forçant mes lèvres de sa langue, j’ai essayé de résister en tournant la tête puis en pensant qu’il pourrait partir dans sa cabine et me laisser seule face à ma peur, j’ai desserré les dents. Sa langue s’est rapidement engouffré dans ma bouche pour caresser la mienne et faire naître des sensations encore toutes fraîches dans ma mémoire.J’essayais de me dégager en lui rappelant que j’étais mariée, que nous avions fait un écart mais qu’il ne fallait pas que cela se renouvelle car nous n’aurions plus l’excuse de l’alcool, de la fatigue et de tout un tas d’autre chose.Ses mains couraient déjà sur mon corps, la peur avait exacerbé mes sens, décuplant les sensations que je ressentais.Sans m’en rendre compte je desserrais l’étau de mes cuisses tandis que sa main se faufilait jusqu’à la lisière de ma culotte. Marc savait qu’il fallait profiter de son avantage, de mon hésitation aussi, rapidement, ses doigts l’écartèrent pour caresser ma fente et trouver mon bouton.J’avais la tête en vrac. Luttant contre mon corps qui déjà acceptait les caresses, répondant à celles-ci en me balançant des décharges dans le bas-ventre, dans les reins et, inondant rapidement mon vagin d’une mouille épaisse, annonciatrice du besoin d’être pénétrée.Son pouce sur mon bouton, deux de ses doigts à l’entrée de ma vulve, je le suppliais d’arrêter, de ne pas faire çà, que nous le regretterions mais il était déjà trop tard, mes chairs s’ouvraient pour le laisser me posséder encore une fois.Accrochée à son bras, en sentant ses doigts s’enfoncer dans mon fourreau, le souffle coupé par l’onde de plaisir qui me traversait les reins, je ne pouvais que pousser un aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhh trahissant mon plaisir.Marc me souffla à l’oreille, je sais que ce que nous faisons n’est pas bien Nate chérie, je sais que ça ne nous mène à rien, mais nous en avons envie tous les deux, tu es trempée, avoues le.Je ne pouvais que l’admettre, d’ailleurs ce n’était pas de ses doigts que mon corps avait envie. Je me laissais choir sur le lit en remontant ma jupe sur mes hanches. Les mots étaient superflus, Marc me contempla un instant avant de me dire:
Ecartes ma chérie. Montres moi ta chatte. Montres moi comme elle bave de plaisir.
Je dégrafais la cordelette de mon string puis j’attrapais mes genoux pour les ramener sur ma poitrine. Je sentais ma chatte s’ouvrir en libérant un flot de mouille. J’écartais mes lèvres avec mes doigts pour satisfaire l’envie de mon amant. Il avait tombé son pantalon et son slip à ses pieds, debout au bord du lit, il arborait un sexe en pleine érection avec toujours ce gland fascinant surmontant une hampe aux dimensions plus raisonnables.Il se mit à genoux puis me lécha la vulve pour recueillir tout le jus qui s’en écoulait.
Tu mouilles comme une fontaine ma chérie. T’as envie de ma queue. Dis le ma chérie. Dis le, s’il te plaît. Tu m’excites un max.
Je ne répondais pas, attendant qu’il m’enfile enfin jusqu’à la garde, que je sente son gros machin me déchirer le ventre. Imaginant avec délice son gros gland gorgé de sang, coulisser en moi comme en terrain conquis.
Je vais te la mettre maintenant. Sens mon gland dans ta chatte. Dis moi que tu la veux.
Il ne faut pas, Marc, il ne faut pas.Tu veux que j’arrête, t’es sûre? Pourtant ta mouille coule jusque sur ton petit cul.
Le salaud, il savait que je n’attendais que çà.
Dis le ma chérie. Demande moi de te la mettre. Je veux t’entendre la réclamer.
J’abdiquais, n’en tenant plus.
Oui. OUiiiiiiiiiiiiiiiiii. Mets la moi profond. Défonce moi Marc. Fais moi sentir ta grosse bite dans ma petite chatte. Baises moi.Ah bien quand même. Tu m’as fait peur.
En même temps que ces mots, son gland se frayait un passage entre mes lèvres puis dans mon fourreau pour finalement butter au fonds de ma matrice. Je laissais échapper un aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhh des profondeurs de mes entrailles en le sentant buter au fonds de mon ventre.Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.J’adore ton sexe, Nate chérie, je ne veux plus que celui-là pour branler ma grosse queue. Et toi, Nate?J’adore ta grosse bite, Marc chérie mais çà me fait peur. Baises moi.C’était délicieux ce gros morceau de chair à l’intérieur de moi.Marc se mit en mouvement. Les mouvements du bateau étaient loin maintenant. Ma peur oubliée. Seul le plaisir qui montait de mes reins, le long de ma colonne captait toute mon attention.J’étais tellement excitée qu’en une dizaine de puissants va et vient dans mon fourreau j’annonçais à mon bourreau que j’allais jouir. Ravi, il me souffla ses yeux dans les miens:
Vas y, ne te retiens pas, ne m’attends pas. Jouis Nate Chérie. Jouis.
J’explosais immédiatement en criant mon plaisir. Le corps tout entier tétanisé par la déferlante en train de me parcourir le corps. Je sentais mon sexe frémissant se serrer sur la queue de mon amant, tandis que je m’affalais sans force sur le lit, bras en croix. Lui, contrairement à la 1ère fois, se mit à me pilonner sans ménagement, s’enfonçant à grands coups de bite dans mon entrejambe en me secouant dans tous les sens.A ce rythme infernal, il ne mit pas longtemps à m’expédier sa purée, tapissant copieusement mes parois de son sperme.Je pleurais de plaisir. C’était trop fort. Mes nerfs me lâchaient.Nous venions de jouir comme des bêtes, juste pour le sexe. Je pensais qu’il allait en rester là mais Marc se retira la queue toujours dressée sur son ventre, maculée de nos sécrétions communes. Il me fit basculer à genoux sur la moquette, le torse en appui sur le bord du lit, dans une position de soumission au mâle qu’il était. Rapidement, il s’installa derrière moi, pour me fourrer sa queue profondément dans la chatte puis, sans se presser, posa son dard sur ma rosette.Ton cul est trop beau. J’en rêve depuis que je te connais.
Doucement Marc, s’il te plaît, doucement.C’est promis Nate Chérie mais j’en ai trop envie. Il me le faut. Donnes le moi. Laisses moi te posséder par derrière.Oui, mais vas y doucement. J’ai peur d’avoir mal.
Je me relâchais un max en poussant en même temps que lui pour bien ouvrir mes muqueuses anales à l’intrusion. La douleur était là, puissante. Le passage de son gland était difficile mais j’avais envie de lui offrir encore une fois mon anneau. D’un seul coup, il céda sous la poussée que lui infligeait mon amant, absorbant presqu’entièrement la tige de chair. Je poussais un cri de douleur en même temps que Marc manifestait sa satisfaction:
Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Comme ça. T’es trop bonne ma chérie. Donnes moi ce petit anus presque tout neuf. Pompes moi avec tes fesses. Çà m’excite trop.Oh ce cul, ce cul!!! Ha merci ma Nate Chérie. Merci de m’offrir ton petit cul.
Je le sentais en train de m’écarter les fesses pour se repaître du spectacle de son mandrin planté entre mes deux globes, mon anneau bien serré tout autour de lui. J’étais heureuse malgré la douleur omniprésente.
Je vais jouir dans ton cul ma chérie, tu veux bien?Oui Marc, je t’appartiens complètement maintenant. Vides toi entre mes fesses, remplis moi par là aussi.
Je ne répondais pas, attendant avec un peu d’anxiété malgré tout le moment où il allait commencé à me pistonner l’anus d’autant que tu ne me prends pas souvent par ce côté.J’étais vite rassurée car solidement ancré à mes hanches, Marc se mit à coulisser dans mon arrière-train aussi facilement que dans du beurre. Mon anneau avait vite pris la mesure de son vit. Je commençais même à ressentir un plaisir trouble de me sentir embrochée par derrière. Il avait dû en sodomiser quelques unes dans la boîte mais qu’importe, c’est entre mes fesses qu’il était à présent en train de prendre son pied, manifestant bruyamment son plaisir.çà me faisait drôle qu’un quasi inconnu quelques jours auparavant soit en train de m’enculer grave, criant littéralement son plaisir d’avoir eu aussi mon p’tit cul. Très rapidement il m’annonça fier de lui qu’il n’allait pas tarder à se vider dans mes intestins.Je n’avais pas envie de jouir, juste envie de le sentir se déverser dans mon rectum en ahanant de plaisir. Ce qu’il fit rapidement bruyamment.Il resta de longues secondes dans mon fondement, me caressant les flancs, les reins et les fesses en me remerciant pour ce plaisir que peu de femmes accordent à leur amant.Je le sentais débander doucement jusqu’à ce que mes muscles l’expulsent. Terrassés de fatigue, on s’endormit presqu’aussitôt.On passa le reste du séminaire ensemble dans la même cabine révisant toutes les positions du kama sutra en 4 jours.Marc adorait me faire l’amour à chaque fois que nous étions au téléphone, me forçant à te demander de me faire l’amour au téléphone afin que je puisse jouir bruyamment sans que cela n’éveille tes soupçons. Pour être franche, nous étions super excités de faire l’amour alors que nous avions dans nos oreilles le son de ta voix, déformée elle aussi par le plaisir de tes masturbations solitaires.
C’était enfin fini, je n’avais pas osé sortir mon sexe pendant qu’elle me parlait mais son récit m’avait furieusement excité. Lorsqu’enfin, s’apercevant de la bosse qui déformait mon pantalon elle s’exclama:
Mais çà t’a drôlement excité au lieu de te mettre en colère on dirait. Tu veux me punir, me frapper ou me sauter comme une petite traînée mon chéri.
Elle savait que je n’attendais que çà à mon regard. Je la tournais d’autorité pour la mettre à quatre pattes sur la moquette et, après avoir simplement écarté son string, je me propulsais dans sa petite chatte accueillante, trempée à souhait.Elle aussi, avait vibré en se remémorant ce voyage dans la luxure.Je me mis à la prendre de plus en plus fort mes doigts figés sur ses hanches, la secouant violemment à chacun de mes coups de reins.
T’es pas fâché mon amour?Si je le suis. Tu mériterais que je t’encule à sec.Je suis à toi mon amour. Fais moi tout ce que tu veux.Je veux te voir jouir et te faire baiser par Marc.Tout ce que tu veux mon amour. Tout ce que tu veux.Je veux qu’il te baise devant moi, qu’il t’encule avec sa grosse queue. Je veux te voir jouir, hurler de plaisir.Oui mon chéri. Je ferais tout ce que tu m’ordonneras. Je l’appellerai pour qu’il me baise devant toi et je lui réclamerais son gros machin entre mes fesses pour qu’il m’encule et me fasse jouir.C’est bien ma chérie. En attendant, prends çà et encore çà.Oh ouiiiiiiiiii mon chéri, fais moi mal. Punis ta petite femme de s’être conduite comme une traînée. Baises moi. Fais moi jouir et après, je l’appellerai devant toi.Exactement. Tu vas l’appeler et lui donner rendez-vous dès demain.
Je me retirais d’un trait et sans hésiter, je posais mon gland sur son anneau. Répondant à mon attente, elle posa ses deux mains sur ses fesses pour les écarter en poussant autant qu’elle pouvaitOui, maintenant! Je suis à toi. Possède moi par là aussi.J’adorais cette femme. Je voulais qu’elle soit mienne, je voulais la posséder par tous les trous, entièrement.J’avançais le bassin sans brutalité mais si fermement que la pastille céda aussitôt. Les yeux fixés sur mon membre, je le regardais s’enfoncer irrémédiablement entre les deux globes de chair.Nate, poussa une longue plainte accompagnant la progression de mon sexe entre ses fesses. Je m’arrêtais mais elle me supplia de la prendre entièrement. Qu’ellee en avait envie. Qu’elle en mourrait d’envie. Qu’elle avait mal mais que c’était son plaisir.Je suis à toi. Prends moi à fonds.J’obéissais pour m’enfoncer entièrement puis, je commençais des allers retours de plus en plus rapides jusqu’à atteindre un puissant orgasme. Savourant, le plaisir de me répandre dans cet anus qu’elle avait offert à un autre que moi. Je jouissais à en perdre haleine tandis que comme dans un rêve, j’entendais Nate, ma Nate, jouir elle aussi.Le reste est une autre histoire, riche en rebondissement.
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