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La femme du révérend

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
La femme du révérend 1young black boy change’s white preacher’s wife forever
Coulybaca/ Stevecom


Je m’appelle Caroline James, je venais juste de sortir de mon second rendez-vous dans cette église dans le cadre de l’écriture de mon dernier livre "Eglise et communication".
Parvenue à mon hôtel je m’installais dans ma chambre.
Encore une semaine et je rentrerai dans ma famille. J’ai épousé le plus merveilleux des hommes, Mike James, il y a 20 ans, notre union a été bénie par la naissance de mes 3 enfants : Carol, et Sue, mes jumelles de 19 ans, et Laura 18 ans.
J’étais fatiguée et affamée, aussi après m’être rafraîchie le visage, m’être remis un peu de rouge aux lèvres je descendais dans la salle de restaurant de mon hôtel.
Je jetais un oeil sur le journal local tandis que l’aide serveur plaçait un verre d’eau sur ma table.
— Le bonjour madame, un serveur va s’occuper de vous dans quelques minutes, je m’appelle Tyrone, je suis à votre entière disposition si vous avez besoin de quoi que ce soit...
Je levais les yeux.
— Merci Tyrone, C’est vraiment gentil de votre part, prenez votre temps, je ne suis pas pressée...
Tyrone avait 18 ans, il ramena quelques assiettes sales dans la cuisine
— Hey Léon, jette donc un oeil sur la salope installée à la table 4, wow, elle a un de ces paires de miches! ...
Du même âge que Tyrone, Léon empoigna une carafe d’eau et entra dans la salle de restaurant pour y observer la salope aux beaux nénés.
Il vit qu’elle lisait le journal.
— Excusez-moi madame... Encore de l’eau... Un café...
En le regardant Caroline hocha la tête :
— Non-merci, ça va pour l’instant...
De retour dans la cuisine Léon s’esclaffa :
— Wow... Quelle belle pute blanche! ... Et cette paire de nibards! ... J’adorerai me la faire! ... Si je lui file un bon coup de bite je pourrai l’ajouter à mon harem de putes blanches! ...
Linda une mignonne petite serveuse blanche de 18 ans passait les commandes à la cuisine :
— C’est bien de vous mes 2 cocos, toujours à vouloir sauter des femmes blanches! ...
Tyrone et Léon regardèrent tous deux Linda et gloussèrent :
— Vous les blanches, vous ne pouvez pas vous passer de nous une fois que vous avez goûté aux bites noires... C’est pareil pour toutes les blanches! ...
Tyrone baisait Linda depuis un bon mois.
Il faisait partie de l’équipe de basket local, il était grand, c’était un véritable athlète, il jouerait encore mieux s’il s’entraînait correctement, mais ce qui l’intéressait en premier lieu c’était les filles.
Il avait sauté la plupart des pom-poms girls et une paire de profs, elles avaient toute pris goût à sa grosse mentule noire, elles faisaient tout ce qu’il leur demandait.
Linda se pointa dans le local des serveurs et aides serveurs où se trouvaient Léon et Tyrone...
— Savez-vous qui c’est cette bonne femme? ...
Les deux gars braquèrent leurs yeux sur elle.
— C’est la fameuse écrivain, Caroline quelque chose, elle écrit des bouquins sur la religion, elle est venue ici pour rencontrer le pasteur de la paroisse, vous n’avez aucune chance de vous la faire mes salauds, désolée pour vous! ...
Tyrone jeta un oeil sur Léon :
— Va jusqu’à la voiture et ramène la caméra! ...
Une fois Léon de retour, Tyrone se glissa discrètement jusqu’à la table de la blanche écrivain, il éclaircit sa voix, Caroline le regardait s’approcher de sa table.
— Excusez-moi madame, j’ai appris que vous étiez une célèbre écrivain, je ne voudrai pas vous indisposer mais pourrai-je avoir une photo de vous? ...
— Bien sûr... Répondit-elle benoîtement;
Elle se leva, ne s’attendant pas du tout à ce qui suivit.
— Hey Linda, pourrais-tu nous prendre en photo s’il te plait? ... S’écria Tyrone s’adressant à la jeune serveuse.
Caroline remarqua à cet instant à quel point ce jeune homme était grand et fort, elle lui donnait l’âge de 18/20 ans, il était bien plus grand qu’elle, Linda un large sourire aux lèvres s’approcha d’eux la caméra à la main.
Tyrone posa son bras sur ses épaules, et l’enlaça étroitement. Abasourdie, elle sentit la main du jeune aide serveur noir s’appesantir, il avait placé sa main droite sur sa hanche tout près de sa somptueuse croupe.
Il gloussa au fin fond de lui-même, le corps de la ravissante écrivain s’encastrait parfaitement dans le sien.
Il baissa les yeux tentant de jeter un oeil sur ses nichons par le décolleté de son corsage, il en aperçut la courbe supérieure ses miches lui semblaient bien rondes et bien fermes. Il imaginait qu’elles devaient avoir un goût succulent! ... Déjà il voulait les savourer! ...
Tyrone sentait qu’elle était nerveuse, mais qu’elle ne voulait surtout pas créer de scandale, il lui intima :
— Souriez...
Après avoir pris une première photo Linda commenta :
— Hey Léon, viens ici que je te tire le portrait avec madame et Tyrone, c’est d’accord madame? ... Une encore avec eux deux, nous apprécierons beaucoup! ...
Les regardant nerveusement Caroline sourit timidement
— Bien sûr, c’est bien pour vous faire plaisir...
Léon sauta auprès d’eux et lui enlaça la taille.
Caroline nota qu’il avait à peu près le même age que son comparse, il était plus petit que Tyrone et bien plus gros.
Elle allait se faire prendre en photo par deux jeunes noirs du même âge que ses aînées...
Linda braquait la caméra sur eux, le bras de Léon encerclait sa taille, elle sentait la main de Tyrone descendre sur sa fesse droite, le jeune noir lui pelotait le cul.
Tyrone sentit tout de suite sa tentative de s’évader de leur emprise, amis elle était serrée entre les deux noirs, elle ne parvint pas à leur échapper.
Linda leur rappela de sourire au petit oiseau.
La main de Tyrone courait maintenant dans sa raie culière, explorant sa croupe au travers de sa jupe en tissu léger.
Il parvenait même à palper les lèvres de sa foufoune! ...
Les photos prises, Caroline fit un bond en avant et échappa immédiatement à leur emprise.
Ahurie, elle regardait les deux jeunes noirs, ils lui sourirent tous deux.
— Merci madame... C’était vraiment gentil de votre part... Quelle joie... Etre pris en photo aux cotés d’une si fameuse écrivain! ...
Carole était définitivement ébahie, choquée lorsqu’elle se rassit à sa place pour entamer son repas.
Elle terminait son repas lorsque Linda, la jolie petite serveuse, s’approcha de sa table...
— Puis-je vous apporter un dessert ? ...
— Non, je vous remercie... L’addition s’il vous plait... Répliqua Caroline.
Comme Linda lui tendait son ticket elle commenta :
— J’ai beaucoup aimé votre dernier livre madame...
— Merci ma chère, j’en suis très heureuse...
— J’aurai j’aimerai pouvoir suivre vos préceptes en ce qui concerne le sexe... Mais je ne peux pas me passer de fréquents rapports sexuels... Je me sens à la fois excitée et coupable... Je ne sais vraiment pas quoi faire! ... Lui confia Linda misérablement.
Caroline invita Linda à s’asseoir
— Racontez-moi? ... J’ai une fille d’à peu près votre âge...
Linda s’assit et entreprit de lui parler de ses relations avec les garçons et en particulier avec son petit ami.
Puis regardant fixement Caroline elle ajouta :
— Bien que j’adore mon petit ami, je ne parviens pas à me refuser à Tyrone l’aide serveur noir...
Caroline lui demanda pourquoi.
Linda jeta un coup d’oil circulaire pour s’assurer que personne n’était proche de leur table, elle se rapprocha de Caroline et lui confia :
— Je ne parviens pas à lui dire non, il a la plus grosse bite que j’ai jamais vue, j’ai baisé une fois avec lui, ce fut un véritable éblouissement, jamais je n’ai joui autant de fois en une nuit. Maintenant il me traite comme une salope, il m’a fait baiser avec ses copains, j’ai accepté servilement, juste pour qu’il continue à me sauter de temps à autre! ... Après avoir pris les photos ce soir, je les ai rejoins dans leur local et j’ai du sucer Léon, l’autre serveur, Tyrone m’a dit qu’il me baiserait cette nuit si je suçais Léon ce soir, aussi me suis-je dévouée, mais je me suis sentie si honteuse lorsque Léon se vida les couilles dans ma bouche mais comme je ne parviens pas à me passer de la grosse mentule de Tyrone, je suis trempée rien que d’y penser, je suis subjuguée par son chibre! ...
Caroline entendait ces propos qui lui semblaient incroyables, elle sentait avec honte son corps répondre à ces déclarations salaces.
Sa foufoune s’était inondée de cyprine, en entendant la jeune serveuse lui conter son histoire.
Caroline commença citait des passages des écritures affirmant qu’il ne fallait pas sombrer dans le lucre et la luxure, que la tentation était forte mais que l’amour de Dieu était encore plus fort! ...
Elle oubliait seulement que ces émois étaient naturels.
Caroline se rapportait à son expérience familiale elle avait un merveilleux mari et de ravissants enfants.
Son mari et elle n’abusaient pas des rapports sexuels et ne baisaient que pour procréer.
Leurs relations étaient basées sur une stricte observance des préceptes religieux et le respect du sexe.
Elle avait maintenant repris le contrôle de ses sens.
Linda remercia vivement Caroline d’avoir écouté ses doléances.
— Ce que vous m’avez dit m’a fait énormément plaisir... Avoir des orgasmes me fait exulter... Mais comme vous le dîtes, je peux essayer de contrôler mes sens... Je vais essayer... Grand merci madame...
Caroline ne révéla pas à Linda que jamais elle n’avait eu d’orgasme! ...
En se relevant Linda ajouta :
— Tyrone a un sacré béguin pour vous... Je l’ai entendu parler de vous dans la cuisine...
Caroline sentit un long frisson parcourir sa colonne vertébrale en se remémorant la façon dont Tyrone lui avait peloté avec salacité les fesses.
Cependant elle pensait que ce jeune noir du même âge que ses filles se contenteraient de ces caresses furtives.
Caroline terminait de siroter son café lorsque, levant les yeux elle vit Tyrone qui se tenait devant elle.
Elle pensa à nouveau à cette façon graveleuse qu’il avait eue de lui palper les fesses tandis que Linda prenait des photos.
— Oui Tyrone, que me voulez-vous? ...
— Je vous ai vu discuter avec Linda, et voilà que maintenant elle oublie notre rendez-vous, que lui avez-vous donc dit? ... La questionna Tyrone d’une voix furieuse.
— Vous ne la respectez pas Tyrone, elle est honteuse de se plier aux choses que vous lui faites faire, et de cette façon que vous avez de la traiter, elle a un petit ami, elle se sent mal de le tromper! ... Je lui ai cité quelques écritures et elle veut maintenant suivre ces préceptes moraux et de refuser le plaisir que vous lui donniez! ... Jeune homme vous méprisez les femmes, vous ne m’avez pas respectée, il n’y a qu’à voir cette façon ignoble dont vous m’avez caressé les fesse pendant que Linda prenait des photos... Je suis assez vieille pour être votre mère... J’ai une fille de votre âge, c’est comme si vous caressiez votre mère... Je n’ai rien dit, rien fait, uniquement pour ne pas faire de scandale! ...
Tyrone baissa les yeux sur elle, Caroline nota avec gêne qu’il observait avec salacité ses nichons.
— Hey femme, je pense que tu as aimé mes caresses, lorsque je t’ai peloté les fesses, j’en étais ravis, j’adore que les femmes blanches soient embarrassées lorsque je les caresse ha, ha... Gloussait-il hilare.
Sur ce il se glissa dans ma cabine.
Léon surgit et remplit à nouveau ma tasse de café.
— Nous allons parler de ton livre chère amie, peut-être bien que tu me feras changer d’avis! ... Se marra-t-il.
Caroline commença à évoquer son histoire, parlant de sa famille et des écritures qui régissaient sa vie.
Tyrone savait que plus il ferait durer son récit, plus il aurait de chance de s’approcher d’elle.
Caroline était surprise de le voir si attentif, alors qu’elle discourait de son livre.
Elle lui expliquait que le sexe n’était pas vraiment mal, mais qu’il était mal d’en abuser. Elle remarqua qu’il s’approchait insensiblement d’elle.
Elle fit sa première erreur importante lorsqu’elle demanda à Tyrone pour quoi il traitait ainsi les femmes.
Tyrone ce jeune exposait maintenant ses vues sur le sexe à cette ravissante blanche mère de 3 enfants. Nerveusement Caroline sirota une lampée de café.
Il évoquait sa vie sexuelle, son dépucelage à l’âge de 14 ans, sa première fille blanche à 16 ans, ses profs avec qui il avait couché, en l’entendant caroline commençait à avoir la tête qui lui tournait, ses mamelons réagissaient à ces propos graveleux, à nouveau sa chatte s’humidifiait.
Elle remarqua que les mains de Tyrone étaient maintenant osées sur sa cuisse qu’il caressait langoureusement tout en détaillant ses aventures sexuelles.
Comme il lui racontait à quel point il aimait donner du plaisir à ses partenaires il regardait Caroline droit dans les yeux, il voulait vérifier l’impact de ses allégations sur cette succulente jeune femme.
— Puis vous poser une question? ...
Sa main était maintenant toute proche de sa chagatte.
— Ce Dieu dont vous parlez tant m’a doté d’un outil performant que les femmes adorent, alors pourquoi devrai-je hésiter à m’en servir? ...
Caroline reprit brutalement contact avec la réalité, elle sentit sa main caresser impudiquement sa cuisse, elle la repoussa, personne d’autre que son mari n’avait caressé ses cuisses, et voilà que ce jeune aide serveur n’hésitait pas à la caresser lascivement.
— Je vous en prie Tyrone, poursuivez...
Le gros chibre de Tyrone se mettait au garde à vous dans ses caleçons à l’idée de se faire cette chaude grognasse.
Tous les noirs raffolent des foufounes blanches! ...
— Bon, vous disiez plus tôt que faire l’amour ne sert qu’à procréer, ainsi vous-même avez 3 enfants, cela veut-il dire que vous n’avez fait l’amour que 3 fois avec votre mari? ... Juste 3 fois! ...
Caroline gloussa.
— Bien sur que non, cela a demandé plus d’un essai pour que je sois enceinte, mais surtout du au fait que nous faisions l’amour pour avoir des enfants, pas pour avoir rapports sexuels luxurieux, comprenez-vous, ai-je été bien claire? ...
Tyrone explosa de rire.
— Ainsi vous n’avez jamais fait l’amour pour avoir du plaisir! ... Juste pour exulter! ...
Caroline était sur le point de commettre la faute qui changerait sa vie.
Tyrone se sentait en confiance, il sentait qu’il était sur le point de se faire cette ravissante blanche.
Il jeta un coup d’oil circulaire dans la salle de restauration pour s’assurer que tout était calme, et que personne ne les regardait.
Il pensait qu’il était temps maintenant d’asseoir son emprise sur cette somptueuse salope.
— laissez moi prendre votre main... Demanda soudain Tyrone impavide.
Caroline ne voyait pas à quoi il voulait en venir... Elle plaça sa petite menotte dans la sienne.
Il posa sa main sur sa jambe, le cour de Caroline se mit à battre la chamade, pour la première fois elle ressentait un émoi qui allait changer définitivement sa vie.
Tyrone se pencha sur elle lui murmurant à l’oreille :
— Dieu m’a fait de cette grosse bite, pourquoi ne m’en servirai-je pas pour baiser de nombreuses femmes et leur dispenser un plaisir indéniable...
Caroline avala sa salive, elle ne parvenait pas à croire à ce que’ faisait le jeune noir.
Tyrone tenait fermement sa main dans la sienne il la posa sur sa bite raidie faisant apprécier pour la première fois une grosse mentule à cette blanche si prude.
Caroline n’en croyait pas ses mains, comment un homme pouvait-il être doté d’un si gros pénis, si épais? ...
Elle ferma les yeux et Tyrone continua à lui palper rudement la cuisse remarquant qu’elle n’avait pas tenté de lui retirer sa main. Elle serrait sa bite entre ses doigts, abasourdie par son épaisseur.
A nouveau Tyrone vérifia que personne ne les regardait dans la salle de restaurant.
Il se pencha à l’oreille de Caroline et lui susurra :
— Tu aimes sentir la taille de mon chibre, dis-moi, que tu aimes ça...
Caroline ne pouvait pas lui répondre, sa respiration était haletante, elle respirait très difficilement.
— Tu aimerais sentir ma grosse bite s’enfouir dans ton étroite petite chatoune, tu le veux vraiment... Tu veux ma bite de nègre dans ta foufoune embrasée...
caroline se sentait perdue, jamais il ne lui était arrivé telle mésaventure, elle ne parvenait plus à penser, elle ne parvenait plus à sortir un mot, elle ne respirait que très difficilement.
La main de Tyrone atteignait maintenant sa fentine, il frottait ses lèvres de bas en haut, il avait déniché son clito et le caressait lascivement espérant la faire jouir sous ses doigts, l’expérience de Tyrone lui disait que si seulement il parvenait à la faire exulter, il pourrait ensuite faire ce qu’il voudrait de cette chaude salope.
Caroline accompagnait les caresses de sa main, elle était sur le point d’exploser, de ressentir un orgasme comme jamais elle n’en avait ressenti, bien sûr elle savait que certaines femmes avaient des orgasmes, mais elle n’en avait jamais expérimenté le moindre, et voilà que quelque chose d’inconnu montait en elle.
Tyrone diminua ses caresses sur la cuisse de sa languide partenaire, il ne voulait pas qu’elle réjouisse à l’instant même.
Caroline entendit alors résonner le son d’une fermeture éclair que l’on baissait, Tyrone se saisit à nouveau de sa main et la posa sur sa jeune bite chaude et vibrante.
Peau contre peau, Caroline était maintenant submergée par la honte, elle se sentait coupable de sentir le chibre de son suborneur noir s’expandre entre ses doigts.
Tyrone se pencha sur elle et lui murmura lascivement :
— Tu me fais bander comme un âne! ... Je veux te sauter... Je veux goûter à ta chatoune et à tes nibards! ... Tu le veux aussi... dis-le-moi! ... Je le sais... Dis-le-moi...
Caroline était muette de saisissement, elle était perdue, jamais on ne lui avait tenu un discours aussi salace. Comme elle demeurait muette, Tyrone eut une idée.
Il empoigna sa main et la retira, remonta la fermeture éclair de sa braguette et chuchota à l’oreille de Caroline :
— J’ai eu tort... Je te remercie d’avoir accepté de discuter avec moi... Je lirai ton livre...
Comme il se redressait, Caroline empoigna son bras, elle le regardait droit dans les yeux, elle se sentait coupable, elle ne parvenait pourtant pas à juguler le plaisir au creux de ses reins, elle avait beau évoquer son mari, ses filles, l’église son livre, elle ne pouvait se résoudre à le laisser partir.
— Non Tyrone, Je vous en prie ne me quittez pas, C’est juste... C’est juste que je ne sais pas quoi dire... Je ne sais pas... S’il vous plait... Ne partez pas...
Tyrone comprit à cet instant qu’il ne tarderait pas à se la faire. A nouveau il jeta un coup d’oil inquisiteur dans la salle de restaurant, personne ne faisait attention à eux.
Il se pencha à nouveau à son oreille...
— Je vais prendre une pause... Tandis que je m’absente, déboutonne le haut de ton chemisier et enlève ton soutien-gorge je veux m’occuper de tes nichons, tu m’as bien compris... Enlève ton retrousse-tète et fourre le dans ton sac! ...
Sur ces mots il se détourna d’elle et la quitta, il savait pertinemment que si elle lui obéissait, il ferait d’elle ce qu’il voudrait.
A son retour il vit ses mamelons pointer au travers du fin tissu de son corsage, il réalisa alors qu’elle lui avait obéi docilement, il en était ravi.
Il s’assit et regarda fixement son chemisier, ses nibards étaient de forme parfaite, ils semblaient bien ferme pour une mère de 3 enfants, il marmonna à son oreille :
— T’as vraiment de ravissants nibards ma chérie... en tendant la main pour flatter ses mamelons entre pouce et index.
Caroline grogna, une décharge électrique la fit sursauter violemment.
Tyrone la dévisageait, yeux braqués dans les siens elle leva la tête :
— Je veux te baiser! ... Je veux te fourrer ma grosse bite noire dans ta petite chatte de blanche! ... Allez ma chérie, dis-le... Dis-le que tu veux que te baise... Dis-le...
Caroline regardait éperdue le jeune noir, repensant à son mari elle bredouilla :
— Oh mon Dieu... Je ne peux pas... Je suis mariée... Je ne peux pas faire ça... Je vous en prie... Comprenez-moi...
— Allez ma chérie, nous ne serons que nous deux à savoir... Je sais pertinemment que tu as une folle envie de te faire baiser! ... Répliqua Tyrone fermement.
— Quelle chambre occupes-tu? ... Je vais t’y rejoindre et je te baiserai toute la nuit... Je vais te donner du plaisir... Je te le promets ma chérie...
Eperdue, elle susurra timidement
— La 135...
Quittant le box, Tyrone lui intima :
— C’est bon ma chérie... Je vais t’y rejoindre... Prépare-toi pour moi... Fais-toi tentatrice... Je vais te baiser comme jamais tu ne l’as été...
Assise devant son miroir, Caroline brossait ses longs cheveux blonds.
Elle était follement honteuse de s’être laissé manipuler, mais elle ne pouvait nier son plaisir ni l’émoi que provoquait au fond d’elle-même cet arrogant jeune noir.
— Oh mon Dieu, que m’arrive-t-il? ...
Elle peignit ses lèvres charnues d’un affriolant rouge à lèvres, et un peu de poudre pour accentuer leur plénitude. Un peu de poudre sur les pommettes et d’ombre sur ses paupières, elle aimait l’image que lui renvoyait son miroir, celle d’une ravissante jeune femme riche de sa maturité.
Elle enfila une jupe qui lui tombait au-dessus des genoux bien sûr elle ne portait pas de mini-jupes, elle était femme de pasteur! ...
Elle chaussa des hauts talons et se regarda à nouveau dans le miroir, ces hauts talons mettaient en valeur les courbes parfaites de ses mollets.
Après 3 accouchements, ses nichons étaient restés bien fermes et bien ronds, avec de larges aréoles et des épais mamelons qui dardaient au travers de son corsage.
Elle ajouta un zest de parfum...
Le téléphone sonna soudain, elle empoigna le combiné, espérant que Tyrone n’arriverait pas trop rapidement.
— Hey, chérie... Son mari était au bout du fil.
— Les filles et moi voulions te dire combien on t’aime et combien tu nous manques... Allez les filles venez le dire à maman...
Chacune de ses filles discuta quelques instants avec elle lui retraçant leur journée, lui répétant à quel point elle leur manquait.
— je serai bientôt de retour les filles... Répliqua-t-elle émue.
Son mari lui racontait maintenant son dernier sermon qui portait sur le sexe et les préceptes de l’église, Caroline n’entendit pas entrer Tyrone.
Il s’approcha d’elle silencieusement et lui encercla soudain la taille de ses deux mains tout en l’embrassant dans le cou.
Ses mains remontèrent rapidement sur son torse pour palper ses nibards, il pinça alors les tétons raidis entre pouce et index et les titilla langoureusement toujours en l’embrassant dans le cou.
Elle releva la tête lui offrant un accès aisé à sa gorge. Elle poussa un léger soupir qui n’échappa à son mari.
— Chérie, tu te sens bien? ... lui demanda-t-il vivement.
— Tout va bien mon chéri, je suis juste fatiguée... Répondit-elle le rouge eu front.
Comme son mari continuait à discuter, Tyrone tira son chemisier hors de la ceinture de sa jupe et glissa ses grosses mains dans son décolleté pour empaumer ses nibards bien fermes.
Sa bite se redressait déjà dans son caleçon, il la frottait lascivement contre sa croupe. Un nouveau soupir lui échappa. Son mari le remarqua encore et questionna à nouveau :
— Chérie t’es vraiment sûre que cela va? ...
— Ohhh oui mon chéri... Je vais bien... Je vais me coucher rapidement...
Tyrone lui avait maintenant relevé sa jupe et admirait ses longues jambes, il glissa son index sous la bande élastique de sa petite culotte plongeant tout de go dans sa chatoune, sa foufoune dégorgeait de cyprine.
— Hé bien ma chérie, tu sembles vraiment très fatiguée, tu ferais mieux d’aller te coucher, ta voix tremble, t’es sûre que tout va bien? ...
— C’est sûr, je suis éreintée... Ses genoux chancelaient.
— je t’aime ma chérie, je te rappellerai demain... Poursuivit-il d’une voix douce.
— D’accord mon chéri, embrasse les filles pour moi, je t’aime aussi...
Son mari lui dit alors au revoir mais entendit alors un murmure qui le retint de raccrocher le téléphone.
Tyrone lui saisit le combiné des mains et le reposa à coté de son logement.
Il pensait que si son vieux mari ne raccrochait pas il l’entendrait baiser sa femme à, couilles rabattues. Il avait décidé de lui parler vulgairement, il voulait la transformer en pute blanche pour bites noires.
Le révérend Mike James était certain d’avoir entendu quelque chose de suspect. Quelque chose qui retenait son attention. Il entendait maintenant sa femme parler.
Caroline se tourna vers Tyrone
— Comment pouvez-vous me faire ça... Je discutais avec mon mari et ma famille...
— J’en ai rien à foutre, j’ai compris à quel point t’es chaude, à juger par tes gémissements et l’inondation de ta chagatte alors que je te branlais! ... Je voulais t’informer par ailleurs que j’ai 17 ans et que je vais encore au lycée...
Il l’induisait sciemment en erreur quant à son âge, à l’autre bout du fil son vieux mari ne pouvait que s’affoler de l’entendre se soumettre à un mineur.
Le révérend James n’en croyait pas ses oreilles, de grosses larmes perlèrent à ses paupières, il était honteux de sentir son pénis raidir dans son caleçon.
— Approche que je découvre tes charmes! ... Bordel ce que tu es belle... Aussi belle que chaude! ... Vire-moi ta jupe que je vois tes cuisses! ... Que tes jambes sont longues! ... Tourne sur toi-même que je vois ton cul! ... Et maintenant enlève ton chemisier que je vois tes nichons! ...
Il se redressa à la vue de ses miches jaillissant de son corsage. Il entreprit de palper rudement ses mamelons, elle se sentait honteuse, ses tétons dardaient sous ses caresses, ses nibards étaient en feux! ...
— Ahhhhhhhhh... Gémit-elle alors qu’il mordillait ses mamelons.
— Tu aimes ça ma salope! ... Tu aimes que je te morde les tétons! ... Allez, dis-le-! ...
Caroline ne pouvait en supporter plus...
— Ohhhh, mon Dieu, c’est si bon, jamais je n’ai ressenti autant de plaisir, doux Jésus, que c’est bon! ... grommelait-elle éperdue.
Tyrone la coupa :
— C’est ça ma chérie... Ma petite chérie... T’es ma pute désormais... Tu veux que je te donne du plaisir... dis-le-moi ma petite salope... Allez dis-le!
Caroline était folle d’excitation.
— Oh mon Dieu, je suis toute à toi Tyrone... Oh mon Dieu je suis ta maîtresse... Je t’appartiens entièrement mon Tyrone... S’il te plait mon chéri... Je ne peux plus attendre! ...
Le révérend ne parvenait pas à croire que ces propos salaces sortent de la bouche de sa femme, la mère de ses enfants, la fameuse écrivain religieuse, il n’en croyait toujours pas ses oreilles, les larmes ruisselaient maintenant sur ses joues.
Caroline n’avait pas remarqué qu’il n’avait pas raccroché le téléphone.
Tyrone l’emporta jusqu’au lit et l’allongea sur le dos, la tête à moins de 50 centimètres du combiné téléphonique.
— Je vais goûter à ta ravissante chatoune! ...
Il roula sa petite culotte sur ses cuisses jusqu’à ses chevilles, et la jeta au sol.
Caroline était une blonde naturelle, une épaisse toison touffue couvrait son intimité. Tyrone enfouit son visage entre ses cuisses grandes ouvertes et entreprit de lui lécher la foufoune, Caroline gémissait sous ses caresses linguales.
Il écarta les babines de sa fentine de ses gros doigts de façon à pouvoir se repaître de chaque recoin de sa moule inondée de cyprine, sa chagatte était vraiment succulente. Tyrone était un expert dans le bouffage de minou.
Son mari l’entendit alors s’adresser à sa ravissante femme.
Sa femme gémissait... Tyrone lui chuchota :
— T’as vraiment une succulente chatoune ma chérie... Aimes-tu que je te bouffe la chatte? ...
— Ahhhhhhhh... Oohhhhhhhhh mon Dieuuuuuuuu... C’est si bon... Délirait Caroline hébétée.
— Tu m’appartiens désormais... Dis-le-moi salope... Tu aimes que je te broute le gazon...
— Ohhhhhhhhhh oui... Je t’en prie, n’arrête pas... C’est si bon... Grognait Caroline éperdue de jouissance.
Tyrone s’en prenait maintenant de la langue à son clito tout en titillant ses tétons, Caroline se cabrait pour mieux sentir son épaisse langue s’enfouir en elle.
Elle était perdue dans un monde de plaisir dont elle ne soupçonnait même pas l’existence...
— Ohhhhhhhhhh mon Dieuuuuuuuuuuuuu... Soudain Tyrone se retira et se releva.
— Oh s’il te plait Tyrone... Ne me laisse pas comme ça... J’ai trop envie... Je t’en prie...
Debout au pied du lit, Tyrone ôta sa chemise révélant un corps luisant et musclé.
— Viens ici salope et descends mon pantalon...
Carole était toute excitée de s’entendre interpeller aussi vulgairement.
Elle descendit son pantalon et son épaisse mentule lui sauta au visage. Tyrone ravi constatait sa stupéfaction, il jeta un coup d’oil sur le téléphone, il espérait de tout son cour que son cocu de mari les entendait clairement.
— Dis-moi que t’es ma pute, et je te laisserai me sucer la bite... Dis le ou je m’en vais! ... Supplie-moi de me laisser sucer...
— Ohhhhh oui... Je suis ta petite pute Tyrone, je suis ta pute blanche... Je dirai tout ce que tu voudras mon chéri... Mais... laisse-moi... Laisse moi te faire une fellation... L’adjurait-elle folle d’excitation.
Le révérend Mike se branlait maintenant machinalement, il ne parvenait pas à croire que sa prude femme qui faisait de nombreux sermons à l’église pouvait à cet instant prier un jeune homme de se laisser faire fellation,
Il sanglotait maintenant écrasé de honte et de culpabilité.
Caroline avait maintenant l’épais chibre de Tyrone en bouche, il était si épais qu’il ne parvenait pas à lui enfoncer plus de 10 centimètres dans la gorge.
Elle n’avait jamais sucé de bite auparavant, elle pensait que c’était un grave pêché.
Sa bite dégageait un puissant parfum viril, la peau de sa hampe était douce comme du velours, sa tête montait et descendait le long de sa mentule noire dressée.
Tyrone souriait largement en regardant le téléphone.
— Tu aimes sucer ma bite, salope! ... T’aimes vraiment ça...
— Ummm... Hummmmmmmm... Hummmmmmm... Grognait Caroline la bouche pleine... Regarde toi dans le miroir salope... Regarde ma grosse bite noire enfouie dans ta petite bouche blanche... Admire l’opposition des couleurs... T’adores sucer une bonne grosse bite noire... Hummm... Salope...
Il est vrai que le miroir leur renvoyait l’image obscène d’une ravissante blanche la bouche arrondie sur une grosse hampe noire, dispensant une savoureuse pipe à un jeune noir enchanté.
Le révérend Mike en eut le souffle coupé, les larmes ruisselaient de plus belle sur ses joues, mon Dieu non seulement son jeune amant était plus jeune que ses filles, mais de plus c’était un jeune noir! ... Oh mon Dieu, ma femme se donne à un jeune noir!
Tyrone extirpa son chibre de la bouche accueillante de Caroline, elle le regardait désemparée.
— Ecarte tes cuisses en grand salope! ... Je vais me faire ta mignonne petite chatte d’épouse blanche.
Il empoigna un oreiller et le glissa sous ses reins projetant son bas ventre en avant ce qui lui donnait un bien meilleur angle de vue sur son étroite fentine.
— Oh mon Dieu Tyrone, t’es bien trop gros... Sois gentil... Tu vas me faire mal... Jamais tu ne parviendras à me pénétrer... Je t’en prie Tyrone... Haletait Caroline paniquée.
— Ne t’inquiète pas ma chérie... Tu vas adorer ma grosse bite... T’affole pas... Lui susurra-t-il à l’oreille.
Déjà il fourrait son énorme gland dans sa chagatte, déjà il lui distendait la fentine... Elle se sentait pleine de lui, le pénis de son mari était bien plus petit que cette énorme mentule noire. Jamais une autre bite que celle de son époux ne l’avait pénétrée
— Mon Dieu Nooooooonnnnnnnn... Hurla-t-elle alors qu’il enfonçait son énorme champignon de quelques centimètres dans sa caverne rétive.
— Oooohhhhhhhhh chérie, que ta chatte est étroite! ... S’esclaffait Tyrone en s’enfonçant de plus en plus profondément en elle.
Carole hurlait :
— Oooooooooohhhhhh mon Dieuuuuuuuuu... Tyrone j’ai mal... Je t’en prie... Ohhhhhh mon Dieuuuuuu...
Jamais Caroline n’avait ressenti une telle sensation.
— Oooooooohhhhhhh... mon Dieuuuuuuuu, mon Dieu... Tyrone... Tu me fais mal... T’es bien trop gros Tyrone... Ohhhhhhhh Tyrone... Haletait Caroline au bord des larmes.
— Oh mon Dieuuuuuu... Mmmmm... Mmmmmm...
Tyrone savait qu’elle était sur le point de jouir, il cessa tout mouvement, il voulait la voir se tortiller sur sa bite... Il s’enfonça à nouveau...
Caroline n’en pouvait plus.
— Oooooooooohhhhhhh mon Dieuuuuuuu... Mmmmmmmmm... Je jouissssssssssss... Doux Jésus, je jouissssssss... mon Dieuuuuuuuuuu, Ahhhhhhhhhhhhh... Ooooooohhhhhhhh...
Bordel gloussait au fond de lui-même, il possédait une nouvelle salope blanche, et celle ci était mariée, c’était la femme d’un pasteur!
Tyrone avait encore 12 centimètres à lui enfouir dans la chatoune, mon Dieu que sa chatte était succulente, serrée et étroite, mais mieux encore c’était une vraie blonde.
Tyrone s’enfonça à nouveau en elle, il savait que son fourreau se conformerait à ses mensurations peu ordinaires.
Il sentait les parois de son utérus crispées sur sa hampe l’empêchant, pour l’instant de la pénétrer jusqu’au col.
Il se positionna pour faciliter son embrochage avant de tapisser ses muqueuses intimes de sa sève fertile...
Caroline répondait à ses assauts maintenant, son corps était secoué de soubresauts voluptueux.
Il poussa encore et s’engouffra au cour de son petit trésor dévasté.
Caroline hurlait à pleins poumons, elle répondait à ses assauts en hurlant.
— J’ai mallllllll... Doux Jésus que j’ai mal... Arrêteeeee... Je t’en prie arrêteeeee... J’ai trop mallllllllllll... Ohhhhhhhhh mon Dieuuuuuuuuuuuuu... Doux Jésuuuuuuuuus... Ahhhhhhhhhhhhhhh...
Tyrone coulissait de plus en plus rudement dans sa petite chatoune endolorie, jamais caroline n’avait ressenti un tel émoi, elle découvrait des ressources insoupçonnées de son corps, son corps, son esprit sombraient dans un monde totalement inconnu.
— Ohhhhhhhhh Aime-moi Tyrone... Baise-moi jusqu’à l’os... Que j’aime ça.
Sur ces mots elle enserra son torse de ses cuisses, elle voyait dans le miroir son corps blanc emmêlé avec celui de ce jeune noir, mon Dieu qu’elle aimait ça!
Tyrone sentait ses couilles bouillir, il savait qu’il ne tarderait pas à jouir. Il allait bientôt lui remplir l’utérus de son jus crémeux.
Caroline hurlait de plus belle, elle répondait de plus en plus fiévreusement à ses assauts, soudain elle se tétanisa.
— Ohhhhhhhh mon Dieuuuuuuuuuu... Doux Jésuuuuuuussssssss... Mmmmmmmmmmmmm... Je jouiiiiiiissssssssssss...
Tyrone comprit qu’un intense orgasme la submergeait, à cet instant même ses couilles explosèrent.
— Uuhhhhhhhhh ma chérie... Je jouis aussi... Mmmmmmmmmmmm... Je me vide dans ta caverne brûlante... Mon Dieu que c’est bon! ...
Caroline le sentait jaillir en elle giclée après giclée, lui remplissant l’utérus, décharge après décharge il déversait son sperme fertile dans son intimité
Caroline ne pouvait museler son émoi, ses sensations étaient indescriptibles.
— Ooooooohhhhhh mon Dieuuuuuuuuu... Baise-moi... Baise-moi encore... Je jouisssssssss...
De grosses larmes perlaient à ses paupières, les grosses lèvres noires de Tyrone se posèrent sur les siennes, leurs langues s’emmêlèrent joyeusement.
Ils s’embrassaient avec passion, la grosse bite de Tyrone était toujours enfouie dans sa caverne embrasée.
Finalement avec un bruit de sucion suivi d’un sonore "plop" Tyrone extirpa son gros chibre de sa chatoune endolorie. Il s’allongea sur le dos à son coté.
Caroline pleurait, partie du fait de ses actes luxurieux, partie d’en avoir ressenti un intense orgasme.
Tyrone la serrait dans ses bras.
— C’est ça ma petite chérie... Tu te sens bien... Je t’avais bien dit que j’allais te faire jouir comme jamais tu n’avais joui! ...
Caroline ne parvenait pas à croire que ce jeune noir l’avait tant fait jouir, elle qui était assez vieille pour être sa mère.
— Tyrone, je suis mariée... Je me sens si coupable... Regarde ce que j’ai fait... J’en ai honte... J’ai 3 filles plus vieille que toi... Un merveilleux mari... Oh mon Dieu, qu’ai-je fait! ...
Tyrone lui jetait un regard lubrique.
— Lève-toi et viens me nettoyer la bite... T’es ma petite pute désormais... Arrête de te sentir coupable... Lèche ma bite... Goûte à mon foutre et à ta cyprine mêles... Sois une bonne salope... Grouille-toi...
Caroline ne pouvait pas lui désobéir, elle était totalement subjuguée, elle se glissa à l’aplomb de son vit et entreprit de lécher langoureusement.
— Tu t’y prends bien ma chérie... Tu aimes nos jus... Tu adores le goût de mon foutre et de ton jus... allez salope, dis-le-moi... Lui intimait-il tourné vers le téléphone.
Caroline répondit timidement :
— Oh mon chéri ton foutre est si bon... J’aime le goût de ta bite...
— C’est bien ma petite chérie, et maintenant lèche mes couilles, nettoie les aussi...
MLe révérend Mike respirait difficilement, les larmes coulaient de plus belle sur ses joues, il jeta un oeil sur ka tache graisseuse qui maculait le devant de son pantalon, il avait joui en entendant sa femme exulter.
La porte de la salle de bain se referma sur Caroline qui allait prendre une douche rapide. Tyrone n’aimait pas embrasser une gueuse les lèvres imprégnées de son foutre.
Il tendit la main et empoigna le téléphone, il n’entendait aucun bip, bip...
Bien gloussa-t-il en lui-même, son pécheur de mari a tout entendu de notre séance de baise.
— Hello, je sais que tu es au bout du fil... Je t’entends respirer...
Le révérend Mike James soupira dans le téléphone :
— Oui je suis là...
Tyrone n’en croyait pas ses oreilles.
— Hey révérend, la chagatte de ta femme est vraiment succulente... Elle sent bon et a bon goût... C’est une baiseuse de première! ... La prochaine fois que tu lui rouleras une pelle, tu sauras que j’ai enfoui ma grosse bite noire dans sa bouche accueillante... Hey révérend tu ne vas tout de même pas pleurer... C’est pas des manières... Pourquoi n’as-tu pas raccroché? ...
— Je le voulais, mais je n’ai pas pu, je suis désolé... Bredouilla le révérend misérablement.
— Ecoute-moi bien mec, lorsque ta femme va revenir, je vais l’enculer, puis je lui ferai avaler mon foutre... Puis je la baiserai à nouveau, es-tu sur de vouloir l’écouter exulter... Elle ne sait pas que tu as tout entendu... Si tu veux continuer à nous écouter, dis-le-moi franchement! ...
Le révérend Mike James ne parvenait pas à croire qu’il tenait une telle conversation avec un jeune "mineur" noir, sa bite renaissait à la vie, elle raidissait à nouveau dans son pantalon.
— Oui, je veux tout entendre... J’ai tellement honte...
Sanglotait-il dans le téléphone.
— Je veux vous écouter...
Tyrone désirait accabler un peu plus le pitoyable cocu.
— Ecoute-moi bien révérend, désormais ta femme m’appartient, c’est ma petite pute personnelle, après cette nuit elle adorera les grosses mentules noires, et seulement les grosses bites noires! ... Elle doit encore passer 6 jours dans notre ville, pendant ce temps je la ferai baiser par de nombreux copains pour me faire un peu de fric! ... Normalement je réclame 5 $ pour une pipe et 20 $ pour se la sauter, mais comme ta femme est blanche et mariée, et que la demande est forte pour de savoureuses chatounes blanches, je réclamerai le double à ses clients! ... Ah autre chose, quand elle rentrera à la maison, elle aura une nouvelle garde robe, de nombreuses mini-jupes et des corsages si fins qu’ils en seront transparents, j’espère que les jeunes noirs vivant dans ta paroisse adoreront ses nouvelles tenues! ... Hey révérend t’es toujours au bout du fil? ...
— Oui, mais comment savez-vous si elle vous obéira docilement? ...
— Parce que c’est une salope bien sûr! ... Juste une salope mariée... Répliqua Tyrone hilare.
Tyrone reposa le téléphone le long du combiné en entendant la porte de la salle de bain s’ouvrir.
Caroline ne tarda pas à le rejoindre, elle était fraiche et sentait bon.
— Hey chérie, tu es très jolie, viens ici sucer à nouveau ma grosse bite... Fais-moi bander que je te baise à nouveau! ... Hum chérie comme tu suces bien ma grosse queue...
Commenta lourdement Tyrone à l’adresse du mari.
— Hummm... Hum... J’adore sucer ta grosse mentule noire, c’est si bon, elle est si douce... Concédait Caroline excitée de nouveau.
— Viens ici ma petite chérie...
Il écrasa ses lèvres sur les siennes, à nouveau leurs langues s’épousèrent, ils s’embrassaient avec passion.
Tyrone baissa la tête pour mignoter ses mamelons
— Tu as vraiment de succulents tétons ma chérie... Roule vers moi et positionne-toi à quatre pattes... Tend-moi ton adorable croupe! ...
Il explora de la pointe de la langue sa raie culière avant d’empoigner ses globes fessiers à deux mains pour les écarter en grand exposant son petit oeillet blotti au creux de sa raie. Il lécha son goulot serré, insérant la pointe de sa langue dans son étroit anneau.
— Oh chérie... Ton trou du cul est vraiment délicieux, il a si bon goût, ton trou du cul est aussi soyeux que la peau d’un bébé! ... Commenta Tyrone envoûté.
Tout d’abord Caroline se sentit souillée, mais plus l’épaisse langue noire de Tyrone fouillait profondément son trou du cul, plus son corps la démangeait, ses mamelons tout raides étaient en feux, sa chatoune s’humidifiait.
Elle tendit la main et inconsciemment fourra ses doigts dans sa moule et entreprit de se branler machinalement.
Elle se sentait bien, chaude, folle d’excitation.
— Oooohhhhhhhhh... Ahhhhhhhhhh... lèche-moi mon chéri.. Lèche mon trou du cul...
Tyrone comprit qu’elle était maintenant entièrement sous son emprise, son trou du cul se détendait, sa chatte était inondée de cyprine, il se redressa et frotta son gland dans sa fentine histoire de le lubrifier. Caroline était nerveuse.
Il se pencha à son oreille et lui murmura :
— Je vais te casser ton mignon petit cul ma petite chérie... Montre-toi docile et gentille...
— Oh Tyrone, je t’en prie ne fais pas ça... T’es bien trop gros... Haleta Caroline affolée.
Déjà Tyrone insérait son gland dans son goulot resserré.
— Oooooooohhhhhhh chéri... Oh mon Dieu, tu me fais mal... Si mal... Si mal... Je t’en prie arrête...
Tyrone s’échauffait, il enfonça encore de quelques centimètres son gland dans son intestin rétif.
Caroline pleurait maintenant à gros sanglots.
— Oh mon Dieu... Arrête... Je suis pleine à ras bord... Doux Jésus... Je n’en peux plus... Oh non...
Quelques minutes plus tard, il coulissait plus aisément dans son trou du cul maté.
Tyrone grognait.
Caroline n’avait jamais ressenti quelque chose comme cela, elle se sentait pleine à ras bord pour la première fois de sa vie, elle était sur le point de jouir.
— Oh mon Dieu... Mon Dieuuuuuuuuuuuu... Je jouisssssssss... Encore... Encore mon chéri... Enfonce ta bite au fond de mon trou du cul! ... Grommelait Caroline éperdue.
Tyrone avait enfoui ses 28 centimètres dans son trou du cul, il allait et venait rudement dans son intestin, il empoigna ses nibards et extirpa sa bite de son anus dévasté.
— Embouche ma bite salope...
Caroline obéit servilement savourant le jus de Tyrone qui s’écoulait à flot dans sa bouche et sa gorge, bientôt elle avalait giclée après giclée son foutre crémeux dont elle apprécia tout de suite la saveur salée.
Retirant sa bite de sa bouche il éjacula ses derniers jets sur son visage, une giclée s’écrasa sur sa joue, une autre dans un de ses yeux, elle se tortilla alors qu’un dernier jet s’écrasait sur ses narines.
— Lèche-moi bien ma chérie... Goûte à ta cyprine qui couvre ma bite... Savoure les traces de merde qui maculent mon chibre! ... Wowwww... T’aimes vraiment ma bite ma chérie! ... Commenta Tyrone ravi.
Le révérend Mike sanglotait au bout du fil, imaginant sa délicieuse femme se faire enculer à couilles rabattues avant de savourer les excréments merdeux embourbant sa bite. Mon Dieu il ne parvenait pas à croire qu’il venait d’éjaculer à nouveau, et ce sans même se toucher! ...
Caroline récupérait sur la poitrine de Tyrone.
— Je veux que tu te rases la chatte avant demain je veux que tu me présentes un abricot lisse, doux et soyeux t’as compris salope! ... Tous les noirs adorent les chattes rasées! ...
Rêveusement Caroline répondit timidement
— Je ferai tout ce que tu voudras mon chéri... Je me raserai le mont de Vénus pour te faire plaisir...
— Autre chose, je veux que dés demain tu portes des vêtements nettement plus sexy! ...
Caroline était nerveuse, elle s’assit dans le lit.
— Je dois faire un sermon demain à l’église, je n’aurai pas le temps de faire des courses, pourquoi en aurai besoin demain, je pensais que tu allais passer la nuit avec moi... Le suppliait-elle des yeux.
Tyrone lui jeta un regard incisif :
— Ma chérie tu sais très bien que je t’aime... Tu es un sacré coup... Tu es ma pute désormais... T’en es bien consciente! ...
Caroline reprit :
— C’est vrai Tyrone mais je pensais que je t’appartiendrai à toi seul, je ne comprends pas ce que tu veux... Pourquoi me faire porter des tenues sexy? ...
Elle se souvint soudain des paroles de Linda qu’il faisait baiser par ses potes, elle avait peur de trop bien comprendre ce qu’il voulait.
Tyrone lui rappela une pelle baveuse.
— Laisse moi t’expliquer ce dont il retourne... J’ai besoin d’argent de poche pour compléter ma bourse scolaire... Je veux te faire baiser avec mes potes pour du fric... Si tu refuses de m’obéir, je ne te baiserai plus jamais, à toi de décider ce que tu veux! ...
Alors que Tyrone se rhabillait Caroline réfléchissait à toute allure, elle voulait baiser à nouveau avec lui, elle en avait tant envie qu’elle en avait mal au ventre, elle avait une énorme envie de sentir à nouveau sa grosse bite la combler.
Tyrone s’approcha de la porte, la main sur le bouton de porte il se tourna vers elle et l’interrogea :
— Alors qu’en dis-tu? ...
Le révérend Mike n’en croyait pas ses oreilles, sa femme était prête à baiser avec d’autres étrangers juste pour que Tyrone la saute à nouveau, oh mon Dieu...
Caroline lâcha d’une voix sourde :
— C’est d’accord... Je t’obéirai... D’accord... Tu me promets de me baiser à nouveau si je t’obéis! ...
— C’est sûr ma chérie... Répliqua-t-elle en l’embrassant à pleine bouche.
— T’es ma petite pute de femme mariée, chérie... Faut-il que tu aimes ma grosse bite noire pour te plier ainsi à ma volonté! ... T’aime vraiment te comporter en bonne pute! ...
— Oh oui, ce que j’aime ta grosse bite noire! ... Ce que j’aime l’avoir enfouie au fond de ma chatte! ... Je serai ta pute! ... concéda Caroline misérablement.
Tyrone lui remonta sa petite culotte et lui intima :
— Remets-moi ça sur tes fesses... Conserve mon foutre dans ta chatoune et ton trou du cul... Je veux que ces jus imprègnent bien ton fond de culotte... Tu prendras ta douche une fois ta culotte bien marécageuse... Tu la remettras demain... Je veux que tu sentes mon foutre poisser ta fentine tandis que tu feras ton sermon...
L’excitation montait à nouveau dans les reins de Caroline
— Je ferai ce que tu veux mon chéri! ...
Avant de sortir de la chambre, Tyrone poursuivit :
— Je vais envoyer Linda faire ton shopping, elle connaît ta taille, elle sait où aller, elle te rapportera tes tenues demain...
— Oh mon Dieu non Tyrone, je ne veux pas que Linda sache ce qui s’est passé cette nuit, pas après la conversation que nous avons eu! ...
Tyrone rit aux éclats.
— Elle sait déjà tout... Je lui ai tout dit avant de monter te rejoindre... Je te remercie d’avoir fait sauter mon rendez-vous avec elle... Cela m’a donné une chance de te séduire... Et bien sûr de te baiser à couilles rabattues...
— Pendant une bonne minute elle m’a regardé hébétée... Puis elle a éclaté de rire... Elle t’aime bien... Ne t’inquiète donc pas pour si peu! ...
Une fois Tyrone parti, Caroline frappa son oreiller de la tête en criant :
— Qu’ai-je fait? ... Mais qu’est-ce qui m’a pris! ...
Elle suivit scrupuleusement les ordres de Tyrone, elle remonta sa petite culotte en insérant le fond dans sa fentine pour qu’elle s’imbibe bien de son foutre et de ses secrétions... Elle sentait le foutre de Tyrone suinter de son con et son cul. Elle soupira alors :
— Qu’ai-je fait à ma petite famille... Oh mon Dieu...
C’est alors qu’elle remarqua que le téléphone était posé à coté du combiné. Elle haleta brusquement :
— Oh mon Dieu... Il est resté décroché pendant toute la séance de baise... Oh mon Dieu...
Elle l’empoigna rudement et entendit alors le déclic de fin de communication.
— Oh mon Dieuuuuuuuuuuu... Nonnnnnnnnnnn... Mon mari n’a pas pu entendre ce que nous faisions... Oh non cela ne se peut pas... Onh non... Il avait raccroché... Je suis certaine qu’il avait raccroché son téléphone...
Plus tard, dans la chaleur de son bain, elle se savonna soigneusement le minou et le rasa minutieusement, sa fentine était maintenant très lisse, très douce... Juste comme le lui avait intimé son jeune amant noir.
Allongée sur le dos, les yeux recouverts d’une serviette de bain chaude, elle se mit à titiller ses tétons, sa chagatte se détrempait à nouveau, elle se sentait extrêmement coupable en pensant à son mari, si gentil, qui ne pouvait pas s’attendre à ce qu’elle puisse se comporter en salope, pourtant c’est bien ce qu’elle avait fait pour profiter de cette grosse mentule noire qui l’avait subjuguée. Comment pourrait-elle jamais expliquer ses actes à ses filles chéries.
Alors qu’elle terminait son sermon le lendemain, elle gloussait au fond d’elle-même, assis en chaire, alors qu’elle se tenait asssire dans l’entrée de l’église, elle sentait des résidus du foutre de Tyrone poissant le fond de sa culotte imprégner sa fentine alors qu’elle signait des exemplaires de son bouquin.
Elle remarqua que de nombreux regards masculins et féminins se perdaient dans son décolleté, elle aimait cette sensation de plaire qui l’envahissait.
Elle acheta une bouteille de vin rouge au bar de l’hôtel et monta à l’étage pour y attendre le coup de fil de Linda.
Bientôt la sonnerie résonna, elle empoigna le combiné, c’était son mari...
Le 25 mars 2009
Texte de Stevecom collecté sur Sex Stories Post
Traduit par Coulybaca
dominique.dubuissez@orange.fr
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