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Ma femme et ses deux frères

Chapitre 1

Inceste
Ma femme et ses deux frères
Après tout ce que je venais de découvrir de ma femme, alors qu’elle habitait encore chez ses parents, m’avait vraiment ébranlé. Je n’aurais jamais pensé qu’elle se soit donné aussi facilement et en redemander dès le lendemain, en se promenant nue toute la journée, devant ses frères et leurs amis.
Voici la suite de la discussion que j’ai eue avec ses frères, à son sujet. Je pensais avoir tout entendu, mais ce que je vais apprendre va changer notre vie complètement.
Nous sommes toujours autour du feu et Steeve me regarde d’un ai moqueur et Denis, avec son regard complice, n’a rien de rassurant.
Steeve : Lui racontes-tu ce qui s’est passé quand on a eu de la visite le dimanche matin ?
Denis : Vas-y toi, raconte lui.
Moi : Parce qu’avec la nuit qu’elle venait de passer, elle n’en avait pas eu assez?
Denis : Remarque que ce n’est pas vraiment elle qui décidait. Elle se laissait plutôt faire, comme soumise et curieusement, elle préférait se promener nue dans la maison. Ça l’excitait et ça se voyait. Elle avait toujours les mamelons durs et ses mains tremblaient constamment.
Steeve : Le dimanche matin, moi, mon frère et nos deux amis sommes partis à pied, faire le tour du lac qui est de l’autre côté de la rue. Quand nous sommes revenus, on n’avait vraiment pas pensé à monsieur Murphy, lui qui vient toujours prendre un café le Dimanche, avec notre père. Monsieur Murphy, un gros bonhomme près de soixante-dix ans qui vit seul dans une vieille maison sur le dessus de la montagne.
Quand nous sommes partis, la p’tite sœur s’était allongée en costume d’Ève, sur le divan du salon pour prendre un peu de repos. Nous avons couru pour se rendre à la maison pour l’avertir, mais il était trop tard. Nous avons avancé discrètement pour regarder à travers les cèdres qui cachaient une partie de la fenêtre. Le vieux était déjà dans le salon, les deux mains dans ses poches avec un petit sourire sur le coin de la bouche et regardait ce joli corps nu qui lui était offert gratuitement. Elle était couchée sur le dos avec un coussin comme oreiller avec une jambe un peu repliée, ce qui lui donnait une position un peu écartelée. Il est resté un bon moment à la regarder comme s’il se demandait ce qu’il devait faire, mais la tentation a été trop forte. Il s’est agenouillé et a posé une main sur sa cuisse. Sans perdre de temps, sa main a remonté vers son sexe et il a commencé à la caresser pendant plusieurs minutes, avant qu’elle commence à avoir une réaction. On l’a vu commencer à bouger ses hanches, ce qui a semblé exciter le bonhomme. Il a tiré un peu sur une jambe, en la prenant derrière son genou, pour l’écarteler un peu plus. Il s’est penché et on a vu sa langue sortir vers le sexe de notre sœur pour lécher son clito. Elle a recommencé à bouger ses hanches et se tortiller. Elle respirait très rapidement. Monsieur Murphy est devenu un peu plus gourmand. Il a enfoncé sa tête entre ses cuisses et sucer son sexe avec ses lèvres. Notre sœur respirait de plus en plus vite et elle est devenue agitée. Elle s’est soudainement réveillée et quand elle a aperçu le bonhomme, elle a eu la peur de sa vie. Elle lui a poussé sur la tête pour se libérer et s’est repliée dans le coin du fauteuil. Monsieur Murphy s’est redressé sur ses genoux, le sourire aux lèvres. Il a commencé à discuter avec elle, mais on ne pouvait pas distinguer ce qu’il lui disait.
Toujours à genou, sur le tapis du salon, il s’est rapproché d’elle, qui le regardait farouchement dans les yeux, regard inquiet. Toujours en discutant avec elle, il a avancé sa main derrières ses pieds. Notre sœur ne savait pas quoi faire sauf essayer de l’empêcher sa progression en lui mettant une main sur son bras, mais il a continué. On voyait sa main bouger et notre sœur qui le regardait, rouge de honte.
Après un certain moment, il a pris une de ses chevilles de son autre main pour allonger sa jambe le long de son ventre. On a vu ses doigts entrer dans son sexe et faire des mouvements de va et vient. Quand il a vu que notre petite sœur le regardait et répondait timidement à ses caresses sans trop protester, il a descendu son autre jambe de l’autre côté de son ventre. Ensuite il a fait glisser son bassin sur le bord du fauteuil. Il a écartelé ses cuisses avec ses deux grosses mains pour descendre sa tête entre ses cuisses. Notre sœur avait l’air paralysée, impuissante et ne pouvait que regarder l’ami de son père lui dévorer le sexe. Elle avait ses deux mains sur sa tête comme pour le repousser, mais c’était plus fort qu’elle. Les caresses du bonhomme la rendait faible.
Après quelques minutes, elle a eu un orgasme et tremblait de tout son corps, mais le vieux a continué à la lécher jusqu’à ce qu’elle se fasse envahir par un deuxième orgasme qui a été plus violent que le premier. Le vieux s’est relevé en la regardant. Elle avait repliée ses genoux sur elle pour cacher sa nudité. C’était assez gênant pour elle de se voir nue, devant un homme qui venait régulièrement à la maison.

Il déboucle sa ceinture, laisse tomber son pantalon et après il enlève son sous-vêtement. Quand il s’est relevé, on a tous ouvert les yeux très grands. On a vu un immense pénis d’environ vingt centimètres, mais le problème, c’était la largeur qui devait être deux fois la grosseur normale et il n’était même pas bandé. Notre sœur était rivée sur son sexe et semblait ne pas en croire ses yeux. Il a pris son sexe dans ses mains pour le dresser devant son visage et elle a tourné la tête comme si elle voulait éviter l’odeur qui s’en dégageait. J’imagine qu’un vieux qui vit seul dans une maison isolée ne doit pas se laver tous les jours, ce qui expliquerait sa réaction, la pauvre.
Le vieux a commencé à se masturber pour faire bander son sexe. Il s’est agenouillé entre ses cuisses grandes ouvertes. On voyait de grosses veines sur sa queue et on se demandait comment il allait faire pour la pénétrer. Il s’est avancé vers son petit sexe et on voyait son gros gland glisser sur ses lèvres. Notre sœur semblait très nerveuse et regardait le vieux religieusement, les deux mains appuyées sur le fauteuil, craignant la progression du pénis.
Il faisait glisser le gland entre ses lèvres et s’humectait du jus de sa petite chatte. Il s’est arrêté et on a vu le bonhomme bouger son gros cul vers l’avant. Notre petite sœur respirait à fond de train et était très nerveuse. On l’entend soudainement se lamenter, la tête bougeant de gauche à droite en se mordant les lèvres. Lui bouge son bassin par de petits mouvements de va et vient en poussant toujours un peu plus dans son petit sexe. Elle perdait le contrôle de son corps ne répondant qu’aux mouvements du pénis qui pénètre son intimité.
Le gland avait fait son chemin et monsieur Murphy y est allé d’un long mouvement du bassin, pour glisser tout ce qu’il pouvait dans son sexe. Il a accéléré les mouvements, poussant toujours un peu plus fort. Je n’avais jamais entendu ma sœur gémir autant, au point de m’en rendre inquiet.
Notre sœur n’a plus le contrôle de son corps qui est parsemé de spasmes, accompagné de gémissements lancinants. Il n’y a pas de doute, elle a eu un gros orgasme, mais le vieux ne s’en préoccupe pas et continue à la baiser comme bon lui semble. Notre sœur est à bout de souffle et continue à subir l’assaut de monsieur Murphy. Elle a les yeux qui lui tournent dans la tête, presque inconsciente de ce qui lui arrive au point où on pense qu’elle va perdre la carte. Le vieux tire encore sur ses hanches et fait baisser son bassin. Il passe ses bras autour de sa taille et se lève avec notre sœur, jambes pendantes, embrochée par le gros sexe du bonhomme. Il s’amuse avec elle comme si c’était une poupée. Il enlève ses bras de sa taille et la tient juste sous les aisselles pour ne pas qu’elle bascule vers l’arrière. Il ne la tient que par son sexe, pour lui démontrer sa virilité. On voit qu’il lui parle, sans pouvoir comprendre ce qu’il lui dit, mais on se doute que le gros salaud ne doit pas lui dire des mots doux. Elle le prend par le cou et on voit son corps secoué par un autre orgasme, respirant à une vitesse d’enfer, jambes tremblantes qui se balancent le long de son corps. C’est la première fois que je voyais une fille se faire embrocher comme il l’a fait avec notre sœur. Il se penche en la retenant pour la coucher sur le tapis et bascule son cul de plus en plus rapidement. Le vieux a finalement joui dans sa petite chatte.
Monsieur Murphy s’est relevé, a enfilé ses bobettes et son pantalon et est reparti.
Denis : En tout cas, je peux te dire que cette fin de semaine-là, si elle n’avait pas encore baisé avec quelqu’un, ça été son week-end d’initiation.
Moi : Et est-ce qu’elle a eu d’autres expériences comme ça, plus tard?
Denis : Moi et mon frère on la baisait régulièrement et la plupart du temps, quand un ami venait coucher, on allait s’amuser avec elle.
Moi : Elle ne disait jamais rien, elle ne refusait personne?
Denis : Non. Quand on arrivait dans sa chambre elle gardait les yeux fermés, au début et se laissait faire.
Steeve : Après on a eu peur qu’elle soit enceinte, mais elle nous a rassuré quand elle nous a dit qu’elle prenait la pilule depuis un an, du à ses problèmes de menstruation.
Moi : Elle a eu des amis avec qui elle sortait, le temps qu’elle était à la maison?
Denis : Non, pas vraiment. Elle était plutôt tranquille, sauf que l’on savait qu’elle allait voir le vieux bonhomme de temps en temps. Elle disait à mes parents qu’elle allait passer la journée avec une amie, mais on savait qu’elle allait voir le bonhomme. Souvent, quand elle était là et après une heure, on voyait monter une auto avec un ou deux hommes dedans. Quand ce n’était pas cette auto, il y avait un quatre x quatre avec un homme ou plus. Le chemin arrêtait à sa maison, juste en haut de la côte.
Moi : Wow, je ne pensais vraiment pas qu’elle avait autant de vécu et qu’elle était aussi facile.
Steeve : Elle n’a peut-être pas eu de chum quand elle était jeune, mais crois-moi, elle a connu bien des gars.
Moi : Depuis qu’elle est avec moi et que l’on est marié, elle est très tranquille. Ça lui arrive de sortir avec des copines, après le bureau et elle ne rentre jamais passer minuit ou très rarement.
Denis : Es-tu certain qu’elle sort bien avec des copines?
Denis et Steeve se regardent avec un petit sourire narquois et semblent penser que je suis cocu.
Moi : Quoi, vous pensez qu’elle va se faire baiser par d’autres?
Denis : Moi à ta place, je ne gagerais pas là-dessus.
Moi : Oufff! C’est assez excitant comme situation, moi qui m’en voulait d’avoir ce fantasme qu’un ami la baise en même temps que moi.
Steeve : Si c’est ça que tu veux, ça s’arrange très facilement, si tu veux. Tu n’auras qu’à m’en parler.
Moi : Na… Suis certain qu’elle a arrêté tout ça et qu’elle est correcte avec moi.
Steeve : Si tu penses ça, c’est correct, mais moi je te gage que je la baise ce soir.
Moi : Je ne pense pas qu’elle se laisserait faire.
Steeve : Si tu veux, je te le prouve et en plus tu la verras se faire baiser et tu réaliseras une partie de ton fantasme. Je vais lui faire croire que toi et Denis continuez de boire en face du feu.
Moi : D’accord. Je tiens la gageure et suis certain de gagner.
Steeve : Allez à la petite porte de côté qui donne sur la chambre, en haut de l’escalier et faites attention de ne pas faire de bruit en montant.
Denis et moi partons prendre place devant la porte. Heureusement, il y a la lumière de rue qui éclaire assez fort dans la chambre. Quelques minutes passent et on voit Steeve arriver par l’autre porte et se dirige vers la chambre. Il se penche pour soulever les draps et les glissent au pied du lit. Nathaly a un petit deux pièces en lingerie et ça la rend très séduisante. Elle est couchée sur le ventre avec son oreiller entre les bras. Steeve s’assoie sur le lit et commence à lui caresser le dos. Elle ne bouge pas. Sa main passe sous l’élastique de sa culotte et je vois sa main lui caresser les fesses pendant un moment puis continu de descendre. Le salop cambre le bras et sa main s’enfonce entre les cuisses de ma femme. De toute évidence, il lui caresse le sexe et la pénètre probablement avec des doigts. Je vois soudainement son petit cul commencer à bouger en oscillant sur la main de Steeve. J’ai le cœur qui bat à toute allure et suis bandé comme un ours.
Il se penche sur sa joue, lui murmure je ne sais quoi à l’oreille et il se relève, agrippe sa petite culotte et la glisse jusqu’à ses pieds pour la libérer. Il la retourne sur le dos, se penche entre ses cuisses et commence à la lécher. Elle cambre le dos en appuyant sur sa tête et s’étire dans tous les sens. En un rien de temps, il lui procure un orgasme assez violent. Il se lève, se libère de son jeans, s’avance sur ses genoux et place des oreillers sous la tête de Nathaly. Il s’avance encore un peu et elle ouvre la bouche pour le sucer avec une ardeur que je ne lui connais pas. Steeve commence à gémir et bascule ses hanches. La tête de ma femme active ses mouvements. Il lui tient la tête, donne trois grands coups de rein et reste enfoncé pour tout lui éjaculer dans la bouche. Elle recule pour la voir tout avaler et reprendre son souffle. Elle s’avance et reprend son sexe dans sa bouche et recommence à le sucer, sans jamais avoir échappé une goûte du sperme de son frère. Une fois bien bandé, il se retire de sa bouche, s’allonge sur son joli petit corps et en quelques gestes maladroits, fait glisser sa queue dans le sexe de ma bien-aimée.
Je ne comprenais plus rien, je ne savais plus qui elle était, moi qui croyait qu’elle était une femme modèle, amoureuse et bien rangée. Je ne pensais jamais qu’elle aurait encore baisé avec son frère, après tant d’années. Par contre, malgré un sentiment de jalousie, voir le cul de son frère se balancer sur le corps de ma petite femme, me fait bander au maximum.
On entend ma femme gémir timidement, à travers la porte. Elle s’agrippe à ses épaules en donnant des coups de hanches saccadés et reste accrochée à lui. Steeve continue de la ramoner virilement, jusqu’à ce qu’il termine par trois coups de reins violents et jouir dans son sexe.
Il s’est relevé, la laissant jambes écartelées et Denis et moi sommes retournés près du feu, pour ne pas éveiller de soupçons. Il nous débouche une bière, me regarde et voit que je suis un peu ébranlé.
Denis : Moi je savais que tu allais perdre ta gageure.
Moi : Et toi, depuis que je suis marié avec ta sœur, est-ce que tu l’as baisé toi aussi?
Denis : Ça lui arrive de venir me voir à mon appart, quand elle va souper avec ses amies de fille, elle arrête me voir une heure et quelques fois un peu plus longtemps, si mon coloc est là, il en profite lui aussi.
Moi : Hein! Wow, le gros Patrick, ton coloc, il la baise lui aussi???
Denis : Veux-tu en apprendre encore plus?
Moi : Avec tout ce que je viens d’apprendre sur elle, un peu plus ou un peu moins, autant tout savoir.
Denis : L’Ours, notre bon chum, elle va le voir lui aussi à l’occasion.
Moi : Oufff! Je suis sur le cul. C’est lui qui t’a confirmé ça???
Denis : L’Ours travaille de nuit. Il est mécanicien pour la ville et répare des camions. Le jour, il est libre. Elle va le rejoindre, le midi, dans un bar alors qu’il se retrouve avec des gars qui sont sur l’aide sociale ou en chômage. Ils vont à son appart et elle passe tout l’après-midi avec eux. Un jour, alors qu’elle était au bar avec lui, il a reçu un coup de fil de son contremaître et il avait été obligé de rentrer travailler en urgence. Il y avait deux hommes dans la cinquantaine qu’il connaissait bien. Des habitués de la place. Il leur a présenté ta femme pour qu’il s’en occupe à sa place. Elle est allée s’asseoir avec les deux bonhommes et lui est parti. Si tu veux mon avis, je pense que ma p’tite sœur est nymphomane.
Moi : Avec tout ce que je sais maintenant, notre vie ne sera plus jamais comme avant. Je l’aime trop pour la laisser et je vais devoir trouver une solution à tout ça.
A suivre….
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