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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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La femme seule

Chapitre 1

Divers
J’ai un secret qu’il faut que je libère. Moi une femme de 42 ans, je me suis retrouvée au lit avec deux jeunes hommes. Je suis mariée, heureuse en ménage et même si mon époux s’est arrondi au fil des ans, de mon côté je suis restée mince comme à vingt ans.
Nous avons acheté il y a cinq ans une fermette dans l’Oise, et nous avons eu des travaux à faire. Afin de faire diminuer la facture, on s’est mis d’accord pour héberger deux ouvriers, Bernard et Philippe, et je me suis retrouvée par hasard seule la semaine avec eux. Ils étaient beaux comme des dieux, souriants, bronzés, musclés. Il ont travaillé, torse nu et en short, et pendant deux jours tout se passa bien. Un soir je croisai l’un des deux, Philippe, dans le couloir vers sa chambre. Il était nu, la queue bandée ! Je me suis arrêtée net et lui a croisé ses mains sur son sexe. Le gland dépassait encore, je restais là sans bouger. Me voyant ainsi il s’est approché de moi en me disant : — ’Elle te plaît ?’ et il m’a pris les deux mains, les a posées sur sa queue et m’a embrassée. Je me suis laissée faire. Trente secondes plus tard, j’étais allongée sur le lit conjugal, les cuisses écartées, et lui me titillait le bouton en me torturant les bouts de seins. Je râlais, j’étais aux anges, je sentais le plaisir monter. Tout à coup, il m’a pincée les seins plus fort, je me suis raidie, j’ai hurlé. Lentement il est remonté vers moi la bouche brillante et mouillée. Il m’a présenté sa belle queue à sucer. Comme toutes les femmes qui viennent de bien jouir, je me suis jetée sur elle comme une affamée et je l’ai pompée comme une folle.Je voulais le faire jouir mais il m’a privée de ma sucette, a relevé mes jambes et m’a pénétrée. J’ai rugi et l’ai encerclé avec mes jambes, pendant au moins dix minutes je suis restée au bord de l’orgasme. A un moment, il s’est cambré et est resté en moi sans bouger. J’ai joui encore, comme une damnée, il m’a dit : — ’ Tourne-toi, je vais te prendre en levrette...’ Je ne pouvais plus rien lui refuser. Sans pudeur, je me suis positionnée et j’ai senti sa queue qui reprenait sa place et qui continuait son va-et-vient. Il a plaqué ses mains sur mes épaules et s’est collé à moi, ainsi il était entièrement en moi. A quatre pattes, les yeux fermés, je remontais lentement vers le spetième ciel.
Tout à coup, j’ai senti quelque chose sur ma bouche. J’ai ouvert les yeux, j’ai vue une magnifique bite avec un beau gland qui me caressait les lèvres. J’était tellement bien que j’ai ouvert la bouche et me suis mise à aspirer. A ce moment je ne savais plus qui j’étais, où j’étais, je n’étais qu’une femelle en rut. Pendant que je suçais Bernard, Philippe me pistonnait tout en me caressant l’oeillet. Je l’entendais souffler. Ses aller-retours devenaient plus rapides, puis il s’est raidi et s’est vidé en moi en râlant. Bernard voyant cela, ne s’est plus retenu et m’a envoyé toute sa liqueur dans ma bouche. J’ai joui à nouveau. Trois fois en une heure, il y avait longtemps que ça ne m’était pas arrivé. Nous avons pris une douche ensemble, Bernard voulait recommencer, mais moi je n’en pouvais plus, alors je lui ai dit , me surprenant moi même : — ’ Demain , aujourd’hui je suis crevée ’ . Le lendemain à sept heures ils étaient dans ma chambre tous les deux, nus et la queue en l’air. Ils étaient à genoux, l’un de chaque côté de ma tête. J’avais devant les yeux deux belles bites. Je les ai prises en main, les ai branlées puis j’ai déposé des baisers sur chacune pour enfin les emboucher l’une après l’autre. J’avais des fourmis dans le ventre. Bernard est descendu jusqu’à ma chatte qui n’attendait que ça . Dès que sa langue a commencé à titiller mon clito, j’ai ronronné tout en avalant la queue de Philippe. Puis il a posé mes jambes sur ses épaules et j’ai senti son membre se frayer un passage, ça m’a donné envie d’aspirer la queue de son copain comme une dingue. Ils se sont servis de mes deux trous jusqu’au moment où Philippe m’a coincé le tête et s’est mis à jouir au fond de ma gorge. Bernard a aussi tout lâché et j’ai encore eu un orgasme fantastique, il m’a fallu du temps pour remonter à la surface . Je suis descendue préparer le petit déjeuner et Bernard m’a crié : — ’ A tout à l’heure pour le casse-croûte ! ’
Vraiment, c’est beau la jeunesse. Tois heures plus tard, ils étaient là à me peloter dans la cuisine et moi , morte de honte, je mouillais. Je me suis retrouvée couchée sur la table de la cuisine, Bernard me tenant les jambes en l’air et Philippe me pistonnant. Ils se sont relayés plusieurs fois avant de jouir et moi, perdant toute pudeur, je les encourageais à me défoncer. Quand ils sont repartis travailler, je n’avais aucun regret et j’étais heureuse de faire tant d’effet à deux hommes jeunes. J’ai eu toute la journée pour récupérer, avant que je ne me retrouve au lit et que Bernard me suce les seins et que Philippe s’abreuve à ma chatte. Puis tous les deux sont remontés vers ma bouche, mais à chaque fois que je l’ouvrais pour sucer ils se reculaient, me laissant sur ma faim. Je me faisais implorante : — ’ S’il vous plaît, donnez-m’en une j’ai envie....’ Alors Bernard a mis son gland sur mes lèvres. J’etais heureuse à cet instant. Mais eux avaient envie de s’amuser. Alors j’ai pris un coussin, je me suis mise en levrette et j’ai présenté ma croupe en mordant le coussin, c’est ce qu’ils voulaient. Philippe a commencé à me sucer l’anneau. J’ai tortillé des fesses, puis Bernard l’a repoussé. J’ai senti son gland se poser sur mon fion. Il a écarté mes fesses et poussé. J’ai gémi quand le noeud est passé. Une deuxième poussée et il était au fond. Quelle douce sensation ! C’est moi qui est allée et venue. Je ne sais pas si c’est le fait de tromper mon mari mais j’avais beaucoup de plaisir, c’était délicieux. Mon enculeur disait à son copain que j’étais serrée et que c’était trés bon... Ils ont chacun laissé la place à l’autre toutes les cinq minutes si bien que je ne savais pas toujours qui me pilonnait. Moi, j’étais bien haut dans le ciel et j’ai joui avant qu’ils ne se vident les couilles. J’avais le culen feu mais j’étais bien prête à recommencer, c’était divin !
Le lendemain j’ai eu droit à un sandwich. C’était un de mes fantasmes et grâce à eux je l’ai réalisé... Mon mari est revenu lorsqu’ils ont fini les travaux. J’avais un peu honte mais pas de regrets. Au lit, il m’a fait l’amour et j’ai bien joui avec lui. Il n’a rien remarqué, tant mieux, c’est un merveilleux souvenir.
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