Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 121 J'aime
  • 0 Commentaire

Ma femme, ma soeur et mes cousines.

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Pendant les vacances nous louons depuis des années le même appartement. Il est assez grand pour contenir plusieurs personnes. Cette année, ma femme, ma sœur et deux cousines sont avec moi. Je les connais toutes assez bien pour savoir quelles aiment toutes s’envoyer en l’air. Pour ma femme c’est relativement simple: elle aime se masturber depuis le début de notre rencontre: elle le faisait déjà avant. Je n’ai rien contre au contraire. Elle aime baiser avec moi, devant, derrière, dans la bouche, à conditions de pouvoir avaler le sperme après l’avoir dégusté. Elle aime aussi baiser les autres femmes. Quelques fois je la vois avec ma sœur, ou mes cousines. Quand à ma sœur elle aime aussi se masturber plusieurs fois par jour: je l’ai vue le faire à la maisons. Elle était mon amantes avant mon mariage, elle le reste. Mes cousines elles préfèrent baiser entre elles le plus souvent, il n’empêche qu’elles se détendent souvent avec ma femme ou ma sœur, sans compter les étrangères, ou moi quand j’en ai trop envie. A part ma femme je baise souvent les autres femmes de la famille. Triste habitude venant de notre éducation particulière de mes parents.Il y a longtemps quand nous étions jeunes, avec ma sœur, c’est notre mère qui s’occupait de notre éducation sexuelle. Elle nous montrait en vrai comment elle baisait avec papa. Un soir, quand nous avions ma sœur 13 ans et moi 15, ils prenaient la décision de nous dépuceler: nous avions atteint l’âge. Nous étions dans le salon de notre grande maison. Ils nous ont mis nus, nous ont embrassé sur la bouche, en y mettant leur langue. Je me souviens encore des mains de ma mère qui prenait ma queue en main. Elle me faisait bander. Je la laissais faire, c’était meilleur que quand je me branlais. Elle a vite cessé pour que je vienne entre ses jambes. Elle me guidait vers sa moule déjà bien humide. Elle me demandait de la lui rentrer complètement. Je me régalais d’entrer dans ce con maternel. Je jouissais vite, trop vite pour elle. Il fallait que je la fasse jouir. J’étais rapide pour bander encore. Je la lui remettais. J’avais déjà appris à baiser une femme. J’allais moins vite et je sentais brusquement que son sexe avait des contractions: je venais de faire jouir ma mère. Nous avons ensuite baisé souvent pendant les deux années suivantes.Pour ma sœur, mon père s’occupait d’elle. J’entendais ce qu’il lui disait: détends toi, je vais te mette ma bite dans ton con: tu en jouira, peut être pas aujourd’hui, mais demain, tu en redemandera. C’est elle qui m’a raconté la suite: il l’a couchée bien comme il faut les jambes bien ouvertes, sa tête entre les jambes pour la sucer. Il la faite jouir ainsi avant de la lui mettre dans la chatte. Elle a crié juste un peu pour sentir monter encore un orgasme. Comme avec ma mère ils ont baisé ensemble pendant deux ans: ensuite nos parent ont eu un accident mortel. Nous avions commencé avec ma sœur à baiser quelques fois quand nous nous sentions à jeun. Dès le décès de nos parents nous n’avons plus jamais cessé de nous faire l’amour. Et quand je dis faire l’amour je devrais ajouter que nous ne nous interdisions rien. Nous étions du genre dévoyé, très dévoyés même.Ensuit j’ai rencontré celle qui allait devenir ma femme. Je ne lui cachais en rien les relations avec ma sœur. Elle aimait elle aussi en profiter: nous baisions souvent à trois. Quand elle baisaient seules, elles ne m’invitaient pas: elle me le racontaient ensuite: je pouvais me branler pendant le récit détaillé de leur baise. Ensuite sont arrivées nos cousines. Elles nous avertissaient immédiatement de leurs plaisirs lesbiens. Ma sœur, la première et ma femme ensuite venaient vers elles pour baiser. Au départ elles étaient fidèles entre elles. C’est le jour où j’ai réussi à baiser la cadette qu’elles se sont dessalées. Je le disais un soir: ma femme et ma sœur se sont précipitées sur elles. Je les voyais baiser les cousines avec entrain. Depuis, elles se laissent faire et même nous demandent une bonne nuit d’amour. C’est moi le chef de famille qui passe dessus avant toutes les autres. Ensuite elles se débrouillent pas mal pour leurs 69 et autres ouvrages de dames.
Bref nous étions en vacances tous les cinq. Dès l’arrivée nous sommes allés rapidement dans notre coin: un endroit très isolés où, nus, nous pouvions soit nous baigner, soit baiser. Ou souvent les eux à la fois. Surtout moi qui aimais me branler dans l’eau. Je laissais les femmes s’aimer comme elle le voulaient, à quatre c’est simple. Je les surprenais souvent en revenant de me donner du plaisir, la bite encore un peu bandée de les voir dans des positions toujours imbriquées. Souvent en les voyant j’avais encore envie de jouir; je bandais encore plus fort et venais prendre le premier cul qui se présentait. Je jouissait et en faisait jouir une plus fort que les autres. Nous rentrions la nuit bien tombée, toujours nus. J’avais droit de temps en temps à des toucher de bite venant de ma sœur ou le plus souvent de ma femme. Un soir en montant dans l’appartement, ma sœur prise de folie érotique demandait à ma femme la permission de me sucer et de partager avec elle mon suc. J’étais assis sur une marche la pine bien dressée, ma sœur plus bas sur une marche à coté de ma femme qui regardait en détail. La bouche de ma sœur est pour moi très attirante: je crois que de toutes les femmes de mon milieu c’est elle qui sait le mieux faire les fellations. Je voyais une main de ma femme entre les jambes de ma sœur: son autre main était prise pas son clitoris. Je me tendais comme un arc, bientôt pris par un bel orgasme. Mon foutre s’échappait de mon méat. Les deux bouches sont venues lécher mon sperme. Les bouches sont venues sur la mienne pour m’en donner un peu. En arrivant nous surprenions les cousine encore en 69. Ma femme et ma sœur sont venues pour leur mettre deux doigts dans le cul. Je les regardais faire sans réagir, la bouche de ma sœur m’avait mis complètement hors course.
Diffuse en direct !
Regarder son live