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Ma femme et " son guérisseur "

Chapitre 5

Ma femme devient la "pute"du boss de mon entreprise !

Voyeur / Exhibition
Surprise ! Enfin, je m’en doutais un peu…
Je voyais sur son écran, enfin pas trop bien quand même, des images d’une vidéo envoyée sur mon Smartphone, mais en version non floutée !Et j’y distinguais mon épouse qui se déhanchait nue sur une table, au son de la musique !

J’avais la rage, c’était ce salopard qui m’envoyait les vidéos en mode censuré … et certainement lui, qui par je ne sais quel tour de passe-passe, avait informé mes responsables directs, du comportement exubérant de mon épouse.Cela demandait punition !
Je sautai dans ma voiture et, battant tous les records de vitesse, je me retrouvai chez ce maudit guérisseur.

Après avoir tambouriné à la porte, il vint m’ouvrir, toujours flegmatique et je me précipitai sur lui, les mains sur son cou.Habilement il me fit une clé de bras, avec un balayage de la main droite en « Soto uke », la gauche me retournant l’autre bras.Je me retrouvai le bras vrillé dans le dos, dans une position qui m’obligeait à être plié en deux.Autant pour moi, voila ce qui arrive quand on ne s’entraine pas assez.
Il  faut dire qu’avec ce boulot d’agent-co de merde, je n’avais plus un instant à moi.

«  Bon, ça va, vous êtes calmé maintenant ?
— OK, ok , mais vous êtes une belle ordure ; tout cela est de votre faute !
— Oui et non…mais si vous restez calme vous aurez toutes les réponses et même peut être des solutions…  »


Ainsi il ne démentait pas, ne m’avait même pas demandé pourquoi je lui avais sauté au cou. Conclusion, c’était bien lui qui était derrière toute cette affaire et qui l’assumait complètement.J’étais curieux de savoir ce qu’il allait me proposer !

Il me fit assoir dans le canapé et me servit un cognac, je dois avouer que j’en avais besoin.
Alors il déroula tout le fil des évènements et je devais admettre que j’en restai stupéfait.Tout d’abord c’était bien lui qui m’avait envoyé les vidéos, qui provenaient directement de la boite mail de Didier ; mais quelle ordure celui-là !
Quand je lui demandai pourquoi il avait fait ça, il m’avoua que la « comédie avait été trop loin » et qu’il se devait de me prévenir. Il allait m’exposer les raisons qu’il avait eues de le faire…Ne pouvant me révéler la vérité directement, il se basa sur mon intelligence et ma subtilité pour comprendre «  le pot aux roses », en m’envoyant les vidéos floutées, et comme j’avais réussi le «test », il était prêt à m’appuyer pour essayer de reconquérir ma femme.

Car sa femme avait reçu mon chef d’équipe.Elle avait été démarchée au téléphone par une des assistantes de Jean-Louis.Il était accompagné d’un petit nouveau qu’il s’était chargé de former…

Jean-Louis avait dit qu’il avait une collaboratrice qui se faisait suivre par un guérisseur pour un problème de zona, et quand Ginette demanda son nom, elle comprit qu’ils parlaient de la même personne.Les deux se mirent alors à parler de Cécile.Jean-Louis demanda si le traitement fonctionnait, qu’il était désolé de tous ses malheurs,disant au passage que mon épouse, qu’il trouvait fort désirable, mais un peu coincée, quel dommage d’ailleurs, travaillait aussi très bien pour son équipe.

Il faut dire que c’est moi-même qui l’avais « envoyé » à la recherche du guérisseur qui soignait ma femme, devenue tout à coup si intéressante, pour ces deux coureurs de jupons… (Jean-Louis et Didier)Forcement comme je m’étais épanché sur la nouvelle libido en développement exponentiel de ma femme, les deux coquins avaient tout de suite compris qu’il y avait une aubaine à saisir, et donc avaient mis leurs assistantes sur le coup pour dénicher l’adresse du guérisseur et lui proposer un rendez-vous d’information sur la défiscalisation…

A ce moment, le guérisseur me demanda de le suivre dans son bureau, et m’installa devant son ordi.
«  Moi aussi j’ai des caméras installées un peu partout, M. Cxxxx !
— Vous saviez ?
— Bien sur.
— Pourquoi ne pas les avoir enlevées ?
-Il faut que je vous explique ma philosophie du monde. Vous vous êtes conduit comme un imbécile avec votre femme, avant son zona je veux dire, et j’ai décidé, d’une part de remettre votre femme sur les rails, et j’y ai réussi.D’autre part, je voulais vous punir aussi de votre inconduite et de votre arrogance, aussi, avec ma femme nous sommes nous «  payés sur la bête ! »
— Vous avez couché avec ma femme, ordure !
— Vous êtes idiot, arrogant et candide M. Cxxxxx.Je demande à votre épouse de venir consulter nue sous son pardessus, pendant 3 semaines.Vous vous en rendez compte et vous ne faites rien ! Rien !
Si, vous venez me voir et je vous retourne le cerveau en 15 minutes.M. Cxxxxx, les choses se méritent dans la vie, il faut se battre toujours, pour les obtenir et les garder.Et croyez-moi, votre femme est divine, et grâce à moi elle est devenue une créature qui exprime toute sa sensualité et sa sexualité.
Je travaille gratis, aussi j’estimais pouvoir user des charmes de votre épouse, avec la mienne d’ailleurs.Qui n’en aurait pas fait autant ? D’ailleurs c’est grâce à moi qu’elle est devenue comme elle est maintenant, la « pute » que vous avez toujours fantasmé de baiser …me trompais –je ?Un autre point ; avouez que cette situation vous excite que vous rêvez de me voir baiser votre femme devant vous ? Oui ou non ?
— Oui, je dois bien le reconnaitre ! Il y a quelque chose que je ne comprends pas : ok vous avez guéri ma femme, vous vous êtes« payé », vous m’avez puni…d’accord.Mais pourquoi l’avoir mise dans les griffes de ces vautours ? Car j’ai bien peur d’après le peu que j’ai pu voir qu’elle ne m’échappe complètement à présent …Je sais comment mon patron « recrute » ses petites amies… face à lui je ne suis rien !
— Je suis bien d’accord avec vous… mais ce n’est pas moi qui aies fait cela …visionnez ceci vous allez comprendre ! »

Et la vidéo tournée dans le salon montrait sa femme, en compagnie de ce salop de Jean-Louis, mon chef direct accompagné du novice, à qui il montrait les ficelles du métier. Et nous arrivons au moment où Ginette, la femme du guérisseur, comprend que me femme est la collaboratrice de ce dernier. Il lui demande les circonstances  de sa maladie :
«  Donc votre mari a soigné, Cécile, ma collaboratrice, comment a t’il fait ?
— Et bien mon mari est guérisseur,spécialisé dans les problèmes psychosomatiques, avec manifestations cutanées.Et madame Cxxxx a eu un grave problème de zona. Mon mari a réussi à la guérir après un traitement assez long et en profondeur …
— En profondeur ? C’est-à-dire ?
— Après des séances d’hypnose et de longues conversations avec Mme Cxxxx, en toute franchise de sa part, il a réussi à détecter et isoler la cause de ses manifestations psychosomatiques.
— C’est passionnant, vous pourriez m’en dire plus ?
— Oui …mais j’aurais une espèce de deal à vous proposer (et désignant le jeune en tant que personnage inopportun pour le reste de la conversation…)
— Phil, tu peux m’attendre dans la voiture, j’ai un dossier à régler avec madame (Jean-Louis avait compris à demi-mots).
— Bien maintenant que votre apprenti est parti, voici mes conditions.L’appartement que vous nous proposez à mon mari et moi, je le prends mais avec une ristourne de 50 % !
— Houlà, comme vous y allez ! 50 %, rien que ça…et qu’avez-vous donc à proposer en échange ?
— Cécile Cxxxx, à poil, à disposition sexuelle tant que vous voudrez…je peux lui proposer de vous accompagner et elle sera consentante pour toutes vos envies.
— Houuuuu !!! C’est une plaisanterie ?
— Est- ce que j’ai l’air de plaisanter ? (Ginette avait un masque de femme déterminée, et regardait Jean-Louis sans la moindre aménité.) Vous voulez une preuve ? Regardez … »
Ginette se tourna vers le lecteur Cd sous l’écran plasma et lança la lecture avec sa télécommande.
L’écran s’alluma et je vis ma femme rentrer dans leur maison et se diriger dans le salon, vêtue de son sempiternel pardessus beige.Ginette s’approcha d’elle et lui dit, en lui présentant une espèce de tableau représentant un damier rouge et noir :
«  Cécile, ma très douce et si charmante Cécile, comment vas-tu ce matin ?
— Très bien madame, je vous remercie, vous permettez que je mette à l’aise ? »

Et sous les yeux hallucinés de Jean-Louis, ainsi que des miens je dois bien l’avouer, ma femme défit son pardessus et le laissant tomber par terre s’avança nue en porte-jarretelles et bas couleur chair.Elle semblait très à son aise sans aucune honte, ni gêne.

Elle rejoignit Ginette et l’enlaçant, l’embrassa langoureusement.Cette dernière porta la main au sexe de mon épouse et commença à la caresser, tirant des premiers gémissements de la bouche de Cécile.Puis quand Thomas le guérisseur rejoignit ce couple saphique, Ginette arrêta la diffusion de la vidéo… à la grande frustration de mon chef d’équipe.

Celui-ci excité et interloqué demanda :
«  Mais qu’est-ce vous lui avez fait, elle est droguée ?
— Absolument pas, mon mari a réussi à libérer sa véritable personnalité érotique et lui faire accepter tous ses fantasmes. Dès qu’il y est parvenu, le zona s’est résorbé de lui-même sans nouvelles impositions des mains.

Simplement pour que Cécile se sente en confiance et se libère d’elle-même pour vivre sa sexualité débridée, il faut prononcer dans une phrase les mots «  douce et charmante » et lui montrer ce petit damier noir et rouge.Cécile se croit hypnotisée et délivrée de ses barrières psychologiques, en réalité c’est proprement un placebo pour sa tranquillité d’esprit. Elle se croit alors « sous le pouvoir de celui qui effectue le rite »  mais il n’en est rien, c’est l’alibi, la béquille psychologique qui lui permet d’exprimer librement et sans retenues ses véritables pulsions.
Mon mari pense que dans quelques temps elle n’en aura même plus besoin.Il suffira à son prétendant de simplement exprimer ses envies sexuelles, et elle les accomplira le plus naturellement du monde …
— Donc si je comprends bien, Cécile peut devenir un objet de plaisir si on l’active de cette façon ?
— Exactement.
— Mais qu’est-ce qui me prouve que cela fonctionnerait avec moi par exemple ?
— Je vais vous le prouver tout de suite ! »

Et Ginette prenant son téléphone, contacta Cécile et lui demanda de venir dans les plus brefs délais.10 minutes plus tard, on sonnait et Cécile entra dans le salon toujours vêtue de la même façon. Elle fit la bise à Ginette et alla, dire bonjour à Jean-Louis.Celui-ci lui montrant le damier, lui dit :
«  Alors Cécile,comment se porte ma douce et charmante meilleure collaboratrice ?Ne voudrais-tu pas te mettre à l’aise ? »
Et comme vu dans la vidéo, Cécile se déshabilla sans aucune gêne et attendit.Jean –louis s’avança et porta sa main droite sur un sein et la gauche entre les cuisses de ma femme qui gémit doucement en fermant les yeux.Il n’en revenait pas, cela se lisait sur son expression.

«  Bon ça suffit maintenant, Cécile pourrais-tu te rhabiller et retourner chez toi, nous avons à discuter affaires avec ton chef.
— Bien madame… (et elle repartit.)
— Bon sang, mais elle est toujours comme ça ? On peut tout lui faire faire ? Vraiment ?
— Toutes vos envies, du moment qu’elles correspondent aux siennes propres ! Vous ne pourrez pas lui faire accepter quelque chose qu’elle rejette profondément … Mais croyez-moi elle a du potentiel cette petite !
— Et à ce que je vois elle est très soumise…bon donc le deal c’est qu’elle repart avec moi et je vous fais les conditions avantageuses que vous m’avez demandées, c’est cela ?
— Tout à fait, avouez que c’est intéressant..non ?Un service pour un autre. Elle est complétement consentante, a envie de tenter de nouvelles expériences sexuelles. Faites la rêver un peu, dorlotez la comme n’a pas su faire son mari et vous aurez tout ce que vous voudrez …
— Son mari ! Ce connard !! Ha, il bien fait de nous confier ses problèmes celui-là.Je dois vous avouer que ma visite n’était pas fortuite, il nous avait parlé des problèmes de santé de sa femme et comme il n’y a qu’un guérisseur sur votre canton… les choses ont été faciles. »

Après une brève poignée de main, l’affaire était faite.
Le guérisseur coupa la vidéo sur son ordi et me regarda, guettant mes impressions.Ginette bénéficiait d’un appartement neuf a bas coût et d’un service immobilier de qualité… Jean-Louis, lui, avait la clé pour faire évoluer Cécile dans sa sexualité et comptait bien en profiter … durant le séminaire.

Toutes les pièces du puzzle s’emboitaient, ah j’avais bien été pris pour un con, pas de doute ! Mais il semblait que j’avais un nouvel allié :
«  C’est sidérant, je comprends tout à présent. Si je vous suis bien, vous m’avez puni, bon je ne l’ai peut-être pas volé aussi, c’est vrai que j’avais délaissé ma femme à cause de mon job et aussi de mon égoïsme. Vous avez soigné ma femme, en avez profité, et en un sens je vous comprends. Mais pourquoi votre femme a t’elle vendu le pot aux roses à mon chef ?
— Par pure jalousie ! Elle s’était rendue compte que votre femme me plaisait beaucoup et avait peur d’être évincée par elle ; en la mettant dans les griffes de votre chef elle se débarrassait de cette menace et me récupérait entièrement…seulement elle ne pouvait pas savoir que j’étais au courant de tout, grâce aux caméras dont elle ignore la présence.
— Où est-elle à ce propos,
— A la cave, elle fait pénitence.
— C’est-à-dire ?
— Je lui ai donné le choix : soit partir de ma maison vu la faute et la trahison qu’elle a commises à mon égard…soit exécuter 15 jours de pénitence où elle doit se soumettre de bon gré a tous mes désirs.
Elle a choisi la seconde option.Mais revenons à nos moutons… au vu des vidéos que ma femme est sensée recevoir de votre chef, mais que moi j’intercepte bien évidement, je crois que vous allez recevoir d’autres mauvaise surprise dans les jours suivants… vous reviendrez me voir après cela. Gardez courage ! »

Effectivement, le deuxième jour après la fin du séminaire, on sonna.J’ouvris, et ma femme rentra dans la maison, sans même me dire bonjour ou m’adresser un regard.
Elle se dirigea tranquillement dans notre chambre et commença à faire ses valises…Alors que je lui demandais ce qu’elle faisait, où elle partait , elle me regarda avec un sourire de mépris :
«  Tu ne devines pas ?
— Chez Jean-Louis ?
— Non beaucoup plus haut… chez Fred  ».

Fred, le big boss, mes pires cauchemars se réalisaient, et malgré mes menaces ou mes supplications, rien n’y fit.Alors que j’allais la maintenir par le bras, je sentis une poigne d’acier me saisir par l’épaule ; c’était l’un des deux gardes du corps du patron, qui devaient aider ma femme à prendre ses affaires.Alors je tentais le tout pour le tout :
«  Cécile ma douce et charmante femme, reste je t’en supplie ! »
Elle se retourna en rigolant :
«  Pas de bol pour toi, tu n’as pas le damier et maintenant je n’en ai plus besoin…je suis complètement désinhibée et j’assume ma sexualité !Dommage pour toi d’ailleurs !  » Et disant cela, elle remonta la robe en stretch moulante qu’elle portait, pour s’éloigner nue dans la rue, jusqu’au véhicule «  Hummer » de son nouvel amant.
Le gorille, après avoir mis tous les bagages de Cécile dans le coffre, démarra et ma femme s’éloigna avec mes dernières illusions.

Le lendemain soir, je reçus un message vocal sur mon téléphone, je n’avais pas pu décrocher :
«  T’es viré connard ! » c’était mon chef Jean-Louis .

Et 2 jours après ma lettre de licenciement.
Hé bien ! Plus de femme, plus de job, bientôt plus d’argent…la vie allait être un vrai paradis !
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