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Ma femme et " son guérisseur "

Chapitre 6

Deux interventions "miraculeuses"...

Divers
J’ai pas trop le moral ce soir…Tu m’étonnes ! Plus de job, plus de meuf, plus d’honneur…ah qu’est-ce qu’ils ont dû se marrer mes deux ex-patrons.
Dans les vapeurs éthyliques qui embrument mon cerveau et qui me donnent une sensible perte de conscience de mes malheurs, une image amusée me revient à l’esprit. Enfin plutôt deux, de ma jeunesse. Tex Avery, le dessin animé américain, complètement déjanté des années 60, mêlant sexe, arnaques, violence, le tout sur un ton de potache. J’imagine Droopy, le petit chien, disant «  you know what ? I’m happy ! », sur un ton désespéré. Et le personnage qui se fait humilier et qui reçoit le panonceau «  Sucker » (crétin, pigeon). Je trouve que les deux situations me collent assez bien à la peau.

Je me ressers un autre verre de vodka « Absolut », au début c’était avec du jus de pomme, maintenant c’est pur. Putain elle est trop bonne. Combien de verres ? 6, 7 10 ?? Je me souviens quand je me beurrais la gueule étant jeune avec mes potes, avant de terminer minable en boite de nuit, un de ces derniers m’avait dit : «  tu sais mec, tu sais que tu dois arrêter quand t’as perdu le compte ! » Réflexion pleine de bon sens…oui mais j’ai pas envie d’arrêter…je dois être à plus de deux grammes, mais je m’en branle !
“  One, two, three !    One, two, three !    One, two, three ! Drink!  Throw it back, till I lose count ! ”Putain, Sia, j’adore sa voix chaude et un peu éraillée :
« Un, deux, trois ! Un, deux, trois ! Un, deux, trois ! Bois ! J’balance tout vu qu’j’ai perdu l’compte ! »

J’aurais dû me foutre avec une meuf pleine de défauts, qui boit, fume, et baise putain de merde…j’ai vraiment l’impression d’avoir tout raté ! Sia dans sa chanson, elle veut se balancer au chandelier. Enfin disons qu’elle veut s’y pendre. Moi ce sera plus viril.

Un Sig Sauer, 9 mm, 15 balles dans le chargeur, 1 dans le canon, au maximum.On l’a bien en main, très équilibré, court, précis... enfin vu l’usage, ça m’étonnerait que la balle rate sa cible. Enfin quand même je vais privilégier la bouche à la tempe. Derrière la bouche il y a le cervelet, le centre moteur du cerveau pour l’activité musculaire et nerveuse…pas moyen de se rater. La tempe, si t’as pas d’ bol, c’est pire, tu restes handicapé et t’as même plus les moyens de finir le boulot…

Je tire la culasse en arrière, et la relâche…mécanisme parfait, faut dire que c’est bien graissé. Une balle est donc chambrée dans l’arme, et le chien est en mode « action ». Un tout petit mouvement de la première phalange de l’index droit et c’est bon…je tire ma révérence. Bon c’est vrai que ça manque de classe, mais bon au point où j’en suis… En plus ce sera avec le flingue de ma femme, cocasse non ?Je rentre le canon dans ma bouche dirigé vers le haut pour ne pas me rater…putain c’est froid ! «  Cold steele ». Faut croire que Mylène Farmer n’a jamais tenté l’expérience, parce que dans « California » :

«  La chaleur du canon, c’est comme une symphonie ! »
Alors après le coup parti, oui le canon sera chaud…mais y aura plus personne pour le constater ; cette idée me fait rire tout seul. Ben oui quand on est bourré…
J’attends… Quoi ?
L’apparition du Christ, d’Odin, Clara Morgane, Mickey Mouse ?Au fait, vu que le Paradis me sera définitivement interdit… «Tricard au Paradis !» Là encore un grand éclat de rire qui m’oblige à retirer l’arme de ma bouche. Je vais devoir me contenter du Walhalla, (je regarde l’arme dans ma main), bon pas de problème, je vais mourir les armes à la main. OK, mais si c’est dirigé contre soi, ça vaut ? Je suis perplexe… Oh après tout, les païens vikings sont pas aussi « coinssos » que ces putains de curés. Allez un peu de courage :
«  A la une, à la deux, à la… ». La sonnerie de mon portable. En bon agent-co qui se respecte, même au seuil de ma mort, je garde toujours mon portable près de moi, allumé. Un peu énervé, je place le flingue sur la table et décroche. Ce que j’entends me sidère :
«  AAhhh oui ! MMmhummm ! Vas-y ! encore … putain c’eeeeest trooop bonnn !

— Ohh ! C’est quoi ce bordel ?
— Alors pauv’type, tu reconnais pas la voix de ta femme ?
— T’es qui enculé, c’est quoi ce...ce bordel ?
— Mais t’es bourré Fabrice (gros éclat de rire).
— Ouais j’suis bour..bourré et j’t’emmerde bâtard !
— T’entends ce qu’elle jouit ta petite Cécile…ben mon cochon je pensais pas que c’était une aussi belle petite salope que ça, sous ses airs de petite bourgeoise sainte ni touche. Tu sais tout le staff de la société lui est passé dessus. On ne remerciera jamais le boss qui nous la prête, quand on a augmenté les résultats de la société.
— Jean Louis ?? Putain j’te crois pas, c’est pas elle, c’est pas possible…
— Bon tu veux des preuves, t’as ton portable perso prés de toi, je t ‘envoie des photos… »

Incapable de quitter mon portable pro, j’entends les cris de jouissance et les gémissements ininterrompus d’une femme, que mon ancien patron dit être mon épouse. J’ai les méninges trop déchirées par l’alcool pour différencier le vrai du faux…je prends tout dans la gueule en direct live, pas de processus de réflexion, pas de logique…tout est brut de forge !Et je reçois les photos…oh seulement trois, mais suffisamment éloquentes :Cécile en train de se faire déshabiller et tripoter par Le boss , J-P et Didier.Ensuite mon épouse modèle, à genoux, avec seulement son porte-jarretelles et ses bas, entre les trois hommes, se faisant généreusement masturber ou sucer…Et enfin, apothéose de ses agapes, Cécile en levrette, prise par derrière par le boss « himself », et suçant Didier. Super le « number one » derrière, le « number two » devant…la préséance était respectée…

«  Voilà mon loulou, de la part de moi-même, Didier, J-P, Marc et bien sur notre grand chef adoré Fred. Bon là tu auras reconnu le noyau dur…des fois y a aussi les copines de la DirCo : Alexandra, Laura, et la sémillante Christelle qui malgré ses 53 ans te fait les ciseaux comme pas deux…Si t’es bien gentil je t’envoie toutes les vidéos !
— Va te faire foutre, allez tous vous « faire Enc », bande de bâtards. Putain je vais venir, je vais tous vous fumer fils de pute !
— Ollala en voilà de l’emportement et des gros mots. Mais oui on le sait que tu fais du tir sportif. Continue à diffuser des menaces comme celle-ci et en plus de tes petits malheurs actuels on rajoute la case prison… Salut connard et bon visionnage ! »

Je m’effondre sur la chaise, et jette un coup d’œil sur le portable qui vient de recevoir une vidéo… en même temps mon regard accroche l’arme toujours chargée , le chien relevé….Je saisis l’arme, désengage le chargeur plein, tire la culasse en arrière pour éjecter la balle de «  9 » et une fois l’arme vidée je vise le portable et appuie sur la queue de détente… n. « Clic ». Le chien rabattu a entrainé le marteau qui a déclenché le percuteur …sur une chambre vide.Je range tout ce petit matériel dans son armoire blindée, souffle un bon coup et me passe la main sur mon front emperlé de gouttes de sueur. Je suis complétement dégrisé.
«  Merci Jean-Louis, sans le savoir tu viens de me sauver la vie…pour te remercier de tes bons offices et du reste, je vais te peaufiner une petite vengeance dont vous me direz des nouvelles les gars ». La vidéo des exploits de ma salope de femme, je les verrai demain…pas encore trop envie de faire la fête après tuto ça !

Je m’assoupis, sonnerie de mon portable , le perso cette foi –ci…le numéro de Mark. Tiens je ne l’avais pas vu sur la vidéo celui-la…Je décroche.
«  Ouais, quoi encore , vous vous êtes pas assez foutus de ma gueule ?
— Si justement, la farce a été trop loin. J’étais là quand Jean-Louis t’a humilié. Ça m’a révulsé. Tu sais, c’est moi qui ai envoyé les vidéos de ta femme au guérisseur, je pensais qu’il te préviendrait en prenant des pincettes.
— Bien vu c’est ce qu’il a fait…mais pourquoi ? Je savais rien, j’étais foutu, dehors…je ne vous aurais pas créé de problèmes.
— Ben justement ça va trop loin toute cette histoire. Au début certains ont voulu se venger de toi, querelles personnelles, jalousies… et puis d’autres comme moi, je ne m’en cache pas, avaient envie de s’envoyer ta petite femme. Tu sais comment ça marche dans la boite… Tu as déjà entendu parler de nos histoires de cul. Tu n’es pas le premier mari cocu à cause de Fred et de ses combines. C’est en quelque sorte un bizutage porno, on va dire… En général le mec sait rien de ce qui s’est passé avec sa femme. Et en «dédommagement»  on s’arrange pour lui trouver de l’avancement et s’il ne fait pas partie de la société , on lui trouve un petit appart à prix casses. Mais quand j’ai compris que tu allais tout perdre ton job et ta femme, ravie par le boss . je me suis dit que c’était pas juste. Tu méritais pas ça. D’habitude bobonne revient à la maison, reprend sa petite vie avec son petit mari et tout le monde oublie. Là ils t ont détruit. Certains se seraient suicidés pour moins que ca…
— Allons Mark, pas moi tu me connais ( les fleurs sont pas chères , pensais –je …surtout les géraniums…) C’est quand même pas pour faire ton mea culpa que tu m’appelles ?
— Non. Tu veux récupérer ta femme et te venger du boss et du staff ?
— A ton avis ?
— Alors c’est ton jour de chance mec !  »
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