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Ma femme et " son guérisseur "

Chapitre 8

Non licet omnibus adire Corinthum

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Note de l’auteur: Cette citation d’Horace, poète latin antique, signifie que certains lieux ou plaisirs, ne sont pas accessibles au commun des mortels. A l’origine, il y avait dans le port de Corinthe, un temple sacré, dédié à la déesse de l’amour Vénus/Aphrodite, dans lequel les prêtresses (les Hétaïres) se prostituaient. Ce lieu était évidemment réservé à l’élite des sociétés antiques...Des torches sur les murs, un chevalet de torture au milieu de la pièce, éclairé par un puissant projecteur, une croix de Saint-André fixée contre le mur du fond, une table recouverte d’un drap de bure noir, et enfin, 3 bancs situés le long des murs à ma droite et ma gauche, où se tiennent assis environ 12 personnes, toutes revêtues de la cape avec son capuchon et son masque. Enfin deux trônes: l’un vide, l’autre avec un personnage revêtu, lui de rouge, le visage masqué, avec deux gardes derrière lui, eux aussi masqués. Ce ne pouvait être que Frédéric, le boss qui m’avait convié à ces réjouissances...
— Entre, entre mon sémillant ami et ex-collègue, viens t’installer sur la place d’honneur à ma droite, oui, ici sur ce trône laissé vacant pour ton séant !
Je m’installai, pas trop à l’aise, je devais bien l’avouer. En tout cas Fred savait y faire pour la mise en scène. J’étais à peine assis, le dos accoudé contre le trône, qu’un collier de fer se referma sur mon cou ; j’étais prisonnier !
— Haha ! Alors notre jeune crétin d’agent-co s’est encore fait avoir ! Que tu peux être stupide mon pauvre ami !
C’était la voix de Jean-Louis.
— Certes, certes, mais venez mes fidèles lieutenants, Jean-Louis et Didier, je suis sûr que vous aurez envie d’humilier ce pauvre Fabrice ! "
Les deux ordures ne se le firent pas dire deux fois, et vinrent se placer au centre de la pièce ronde devant moi. Je ne pouvais piper mots, le collier de fer enserrait trop ma gorge !C’est alors que tout le monde fut étonné quand les deux gardes, rejoints par d’autres, se saisirent des deux comparses :" Mais Fred, je ne comprends pas, que se passe-t-il ? Pourquoi nous joues-tu ce tour-là ?
— Ah mes fidèles lieutenants ! Savez-vous pourquoi nous sommes tous rassemblés ici ? Savez-vous que l’une des personnes assises ici est un inspecteur des impôts, qui m’a réclamé des sommes astronomiques, qu’il me faudra bien payer ?! Tout ça parce que deux connards en qui j’avais mis toute ma confiance ont ourdi une vengeance débile contre ce pauvre Fabrice et m’ont conseillé de façon pitoyable ! Je ne saurai jamais qui a donné les documents assurant ma fraude aux agents du fisc ... ce que je dis, c’est que sans votre bêtise crasse, tout cela ne serait jamais arrivé ! Il faut que quelqu’un paye pour ma disgrâce ! Ce sera vous. Vous êtes virés immédiatement de la société pour faute, sans indemnités. Vos stock-options vous sont confisqués et vous aurez à répondre devant la justice de votre fraude. Je tombe, il est normal que les deux imbéciles qui m’ont mis dans cette merde tombent avec moi !— Mais, mais ce n’est pas possible, ce n’est pas de notre faute ! C’est lui le coupable ! (en me désignant)— Certes, certes, mais sans votre comportement aberrant, rien de tout cela ne serait jamais arrivé. Mais je veux bien faire un geste pour vous deux !— Oui, oh merci !— Je vous propose un chèque d’un million d’euros, mais vous quittez le pays, je ne veux plus jamais vous revoir dans la profession, ici ou ailleurs. Par contre il y a une condition ...— Laquelle ?— Vos femmes vont devoir payer pour vos erreurs !"
On entendit alors deux cris de rage, et je vis deux personnes se lever des bancs :
— Il n’en est pas question, qu’ils se démerdent ! Et que veux-tu de nous d’abord ?
C’était de toute évidence Barbara et Aline, femmes respectivement de Jean-Louis et de Didier." Ah je vois que mesdames ne sont pas d’accord ! Eh bien c’est très simple, refusez et vous vous retrouvez tout en bas de l’échelle sociale. Adieu tout votre confort, les vacances dispendieuses et les belles voitures. Croyez-moi, je ferai en sorte qu’il ne vous reste pas un radis. Je vais perdre beaucoup d’argent, mais vous, vous allez tout perdre ! Arrangez-vous avec vos maris !Ah, j’oubliais, Cécile, lève-toi aussi, et venez toutes les trois au centre. Quant à vous deux, allez-vous rassoir et baissez votre capuchon. Apparaissez le visage découvert pour que chacun se régale de votre manque de vergogne !"Ainsi fut fait ; Jean-Louis et Didier, tête découverte, allèrent se rassoir, guidés par les gardes, tandis que trois personnes se dirigèrent au centre, devant le boss et moi-même.
— Gardes, enlevez-leur leurs capes et masques !
Apparurent alors Barbara en robe de soirée blanche très longue, Aline en tailleur Chanel noir, et ma femme Cécile, en robe de cuir assez courte avec un très beau décolleté. Elles n’en menaient pas large.
— Votre choix est très simple ; vous nous donnez un petit spectacle très érotique, en obéissant au moindre de mes ordres, ou alors vous prenez la porte sans aucune prébende... alors que choisissez-vous ?— Mais, mais, Fred, nous sommes ensemble, tu ne peux pas me virer comme ça ? (c’était Cécile au bord des larmes)— Étions ensemble. Je ne sais pas si ton mari voudra te reprendre, mais tu as intérêt à obéir au moindre de mes caprices, si tu veux encore exister socialement ! — Bon OK, on va faire ce que tu veux, mais ne pousse pas le bouchon trop loin !— Ah, au fait une petite projection des exploits de vos deux maris avec Cécile, devrait peut-être vous décider à plus de fantaisie. Lumières !
Et tout s’éteignit, alors qu’un écran de cinéma s’abaissait, sur lequel apparurent les images d’un film fort instructif. C’était les dernières soirées très hot au séminaire. Barbara et Aline purent ainsi découvrir leurs maris dans un rôle qu’elles ne leur connaissaient pas : libertins de belle facture ! Je vis alors des scènes que j’avais imaginées, voire pour certaines déjà vues : ma femme, reine du bal dans les orgies données par Fred, à ses plus proches collaborateurs. Et évidemment Barbara et Aline, le regard plein de haine pour Cécile et leurs deux conjoints, virent les protagonistes se livrer aux plus belles scènes de cul, qui n’auraient pas déparé dans un bon "Marc Dorcel " !Après 4 minutes de projection relatant les plus beaux moments, où ma femme et mes deux ex-patrons étaient en pleine activité créatrice, le spectacle s’arrêta, et les projecteurs se rallumèrent illuminant les trois femmes au milieu du donjon ...Les yeux brillants de défi et de vengeance, Barbara et Aline commencèrent à se déshabiller.
— Gardes, mettez toute nue ma sémillante ex-petite amie, elle sera la première victime expiatoire de notre spectacle de ce soir ! Si elle est d’accord bien entendu, sinon tu sais où se trouve la porte ma chère Cécile !
Cécile n’en était plus à une orgie près, et elle se disait que "Paris valait bien une messe"! Alors elle se laissa faire par les deux brutes, vêtues comme des bourreaux. Sa robe de cuir fut dézippée sur le côté et elle tomba à ses pieds. Cécile apparut dans toute la gloire de sa nudité. Les deux sbires la conduisirent sur la croix de Saint-André et lui lièrent chevilles et poignets... ma femme était à disposition de tous. Et à voir son air d’attente anxieuse, elle se situait entre excitation sexuelle intense et crainte de ce qui allait lui arriver. Car, se retrouver à disposition de deux femmes qu’elle avait faites cocues, n’était pas vraiment pour la rassurer.Lorsqu’elle tourna son regard vers moi, qui avait été détaché de mon collier de fer, me laissant la libre disposition de mes moyens, je vis qu’elle était à la fois honteuse et excitée, d’être ainsi exhibée nue devant son mari, ainsi que de toute l’assistance. Fred reprit la parole:
— Mesdames, Cécile est à vous ! Faites-en ce que bon vous semblera, mais ne me l’abîmez pas trop quand même... son mari pourrait à nouveau en avoir l’usage !
Barbara, la blonde sculpturale et plutôt grande, portait un ensemble bas blancs et porte-jarretelles, soutien-gorge de la même couleur. Après avoir fait glisser sa longue robe de soirée blanche, elle envoya un regard de mépris vers son mari, Jean-Louis et sans aucune pudeur, retira son string blanc, qu’elle lui lança à la figure. Elle lui dit:
— Ainsi tu as profité de cette salope de Cécile, ordure, et bien tout le monde verra ma chatte, privilège qui t’était réservé jusque-là !
Aline, quant à elle, retira sa veste de tailleur noire, son chemisier blanc ainsi que son soutien-gorge gris. Elle laissa voir à l’assistance une belle poitrine bien fournie, qui devait avoisiner les 95 D. Elle, par contre garda le bas...Les deux femmes s’avancèrent vers Cécile, emprisonnée sur sa croix de Saint-André. Barbara lui cracha au visage, tandis qu’Aline lui palpa ses petits seins, ma femme faisait un 85 B, puis violemment lui décocha une gifle sous le sein droit, tandis qu’elle pinçait cruellement le téton gauche. Cécile cria... Les réjouissances avaient commencé !Frédéric plutôt amusé par cette entrée en matière s’adressa aux trois femmes :
— Aline et Barbara... Barbara, j’adore ta petite chatte blonde avec ce petit ticket de métro. Je me demande bien pourquoi je ne t’ai jamais attiré dans l’un de nos séminaires ? Enfin c’est trop tard, maintenant... dommage ! Quant à toi Aline, ton excès de pudeur va te jouer des tours dans quelques dizaines de minutes ... Enfin pour le moment je vous laisse vous amuser avec la sémillante Cécile ! Il est à votre disposition un ensemble d’ustensiles qui raviront ici, ceux qui sont adeptes de sensations fortes. (Il leur désigna la table recouverte du drap de toile noire). Quant à toi ma chère Cécile, tu es ici pour payer tout le mal que tu as fait à ton pauvre mari, ici présent... c’est lui qui décidera lorsque ton supplice prendra fin. Note qu’à chaque instant, tu peux toujours demander à être libérée... mais l’acceptation de ta rédemption par les sévices que tes deux petites camarades vont t’infliger sera proportionnelle au montant du chèque que tu percevras pour services rendus à la société ! Vois cela comme une indemnité de départ, un congé définitif avec solde ! Alors qu’est-ce qui sera le plus puissant en toi ? L’acceptation de ta déchéance sexuelle et ta souffrance ? Ou bien l’appât du gain et la possibilité de récupérer ton mari, ainsi que nous en avons convenu tous les deux ? Seul l’avenir nous le dira ! " Disant cela, Fred retroussa ses lèvres en un rictus démoniaque et pervers.
Sur un geste, l’un des sbires retira le drap de toile noir recouvrant la table, d’un coup sec... et révéla un ensemble d’instruments de "torture" et de SM : pinces diverses et variées, martinets, chats à neuf queues, fouets longs ou courts, bougies...Cécile jeta un regard sur la table et s’évanouit !
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