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Ma femme, soumise et fière

Chapitre 1

Hétéro
Tu es magnifique quand tu es nue, tu me souris et je t’admire, ton visage, tes seins, ton triangle parfaitement épilé. Tu te retournes, tu sais que j’aime ça, j’aime voir tes fesses, tu te penches en avant, tu t’écartes, tu me montres tes magnifiques orifices, comme une invitation. Je te pousse et t’allonge sur le ventre, et d’un coup, j’enfonce ma langue dans ton minou je te lèche, je te déguste, tu te régales, et tremblotes sous mes coups de langue, je m’aventure un peu plus haut, pour lécher ton orifice le plus sensible, tu prends d’autant plus de plaisir et te secoues le bassin pour m’inciter à y aller plus fort.

Tu n’en peux plus, tu veux toi aussi occuper ta bouche, tu te mets à quatre pattes face à moi et me déboutonnes, tu sors mon manche et commences à le prendre en bouche, tu commences par faire des va-et-vient. Dans un réflexe de plaisir, je pose ma main sur ta tête, toi tu prends ma main et tu m’obliges à appuyer sur ta tête pour m’enfoncer dans ta gorge et te posséder la bouche. Je le sais, tu as beau être féministe, tu aimes être dominée dans ces circonstances. Je te prends la bouche quelques minutes, t’étouffant quasiment sous mes coups. Au bout d’un moment, je me retire, et je t’allonge sur le dos. Je m’enfile un préservatif, je déteste ça, toi aussi, mais tu ne prends pas la pilule, on ne peut pas prendre de risques. Je m’allonge sur toi et te pénètre d’un coup de reins, tu es mouillée et chaude, c’est magnifique. On reste comme ça une vingtaine de minutes, je te défonce le corps, je lèche tes seins, tu adores ça, c’est comme ça que je t’ai fait découvrir ton corps.
Tu veux prendre les commandes, on change de places et tu te mets à me chevaucher, mais très vite, tu te plains de la sensation désagréable que tu ressens en toi, le préservatif te gêne. Alors dans ton élan, tu me demandes de l’enlever, je suis étourdi par le plaisir que je ressens, je ne pense plus et je n’en veux que plus encore. Je m’exécute et te pénètre à nouveau, c’est magnifique, là tu gémis bien plus fort tandis que tu sautilles sur mon membre. Je suis aux anges, je saisis tes fesses, les claque, les serre, je continue de te lécher les seins. Au bout d’un moment, tu veux plus, alors tu te mets à quatre pattes à nouveau, je me place derrière toi, c’est notre position préférée. On est comme des animaux, je te pénètre et je t’éclate, je me défoule, tu cries et jouis une première fois. Je t’écarte les fesses et t’enfonce un doigt là où il y a de la place, de mon autre main, je tire tes cheveux, tu adores, je te traite de chienne, de pute, de salope, de trou bon à satisfaire mes désirs.
Tu en redemandes, encore et encore, alors je te plaque la tête dans le coussin pour te faire taire et te faire comprendre que tu n’es pas là pour parler. Cela dure bien une quinzaine de minutes et je me sens défaillir, je ne suis pas sûr de devoir me vider en toi, mais tu t’en moques, tu ne veux que ça, alors je redouble d’efforts et augmente la cadence jusqu’à te faire jouir une nouvelle fois sous mes assauts avant de moi aussi me décharger en toi, savourant le plaisir de nos jouissances et me moquant des conséquences. On s’écroule satisfait et rassasié.
Je pars me laver, et à mon retour à la chambre, tu es à quatre pattes encore, sur le sol, cette fois les fesses tendues et tu me demandes de te sodomiser. Tu as toujours un peu de mal avec ça, mais tu adores essayer. Rien qu’à cette demande, je reprends ma vigueur et m’approche de toi, je te prépare avec ma langue, avec mes doigts, et de façon très naturelle, je m’enfonce en toi, ce n’est pas sans douleur, mais tu m’acceptes. Je m’enfonce en toi par le même endroit où je t’ai prise pour la première fois. Et tu me donnes l’ordre d’y aller à fond, alors je m’exécute et te défonce, ce trou-là aussi, faisant sortir la semence de ton minou. Tu souffres un peu, mais tu en veux et je t’en donne, je t’éclate, t’insulte, te soumets à ton rôle de femelle, qui n’est d’occurrence que dans ces moments-là.
Après avoir bien profité de tes fesses, je jouis en toi, et tu adores cette sensation de chaleur qui t’envahit, tu dégoulines des deux côtés, et tu te sens remplie et satisfaite, tu te mets un doigt dans ta magnifique petite chatte et récupères le surplus pour y goûter. Je sais que tu adores, alors j’approche mon vif de ton visage pour que tu le nettoies avec ta bouche, tu aimes te goûter. Je m’allonge près de toi et je te dis que je t’aime.
On s’endort paisiblement, dans un sommeil profond, je fais un rêve magnifique, je rêve de toi et de ta beauté. Je ressens un certain plaisir, et c’est lorsque je me réveille que je te sens, je sens ta bouche sur mon pieu au réveil, je sens ta langue tournée autour de mon gland, tu me suces divinement bien, si bien que je me sens défaillir. Tu t’en donnes à cœur joie et me fais profiter de ta bouche et de ta gorge, si bien que je finis par me vider dans ta bouche. Tu t’approches de moi pour me montrer le jus que je t’ai donné dans ta bouche, tu me regardes droit dans les yeux et l’avales d’une traite, me montrant que tu te nourris de ce que je te donne.
Puis tu m’en demandes plus, alors tu te mets à la fenêtre, ouverte sur la rue en bas de chez toi. Tu me tends ta croupe et tu attends de moi que je te prenne et que je montre ta beauté soumise, au monde. Je m’enfonce en toi dans ton corps, la sensation de chaleur et d’humidité de ton intérieur est une drogue, je te donne de grands coups, les gens te voient te secouer au rythme de mes va-et-vient. Je te saisis les seins, les caresse, les presse, je te saisis par le cou et te l’embrasse. Puis d’un coup sans te prévenir, je te prends ton cul, tu as mal, mais tu continues de bouger, tu le veux plus fort et plus profond. L’étroitesse de cette entrée m’est délicieuse, mais j’ai envie de faire varier les plaisirs, alors je change de trou, tu gémis d’autant plus fort, de par la soudaineté de cet acte, puis je passe de ta chatte douce et chaude à ton cul étroit, et je fais ça encore et encore. Pour que finalement sous l’action de mes assauts, tu jouisses de tes deux trous.
Tu en trembles, c’était un orgasme puissant, mais moi je n’ai pas fini, alors je sors de toi, te tire les cheveux pour t’amener à genoux et je te prends la bouche, pour finalement me vider sur ton visage. Tu es fière d’être recouverte de cette semence et tu te montres aux gens. Tu es fière d’être ma femme, je te donne une petite claque sur les fesses et tu te dandines comme pour m’en remercier.
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