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La femme du train

Chapitre 1

Erotique
La femme du train.
J’étais dans le train. C’était l’automne. Il faisait presque nuit. Une simple lumière, telle une veilleuse, permettait aux voyageurs de distinguer l’allée et les rangées dans le wagon où nous étions pour ce voyage de quelques heures entre Montréal et Toronto. J’étais seul, assis sur une banquette devant une autre complètement libre où je pouvais poser les pieds pour relaxer tout le long du trajet. J’avais un peu froid et je demandai une couverture et un oreiller au préposé pour me réchauffer et appuyer ma tête au cas où je tomberais endormi. Ce qui fut le cas.
Je fus réveillé par des gémissements féminins qui venaient d’une rangée très près de la mienne. Je vis qu’une jeune femme avait pris place sur le siège qui était dos à la banquette où mes pieds reposaient, soit la rangée suivante d’où je me trouvais. La respiration de la jeune femme s’accélérait et sa tête bougeait dans tous les sens avec ses longs cheveux blonds qui descendaient sur un côté du dossier que je pouvais voir au travers de la partie médiane de la banquette devant moi. Ces murmures n’étaient pas le fruit du hasard car cette femme se masturbait en pleine nuit avec un jouet sexuel qu’elle contrôlait avec son téléphone intelligent. L’orgasme sembla particulièrement intense car elle se crispa d’un coup pour ressentir toute la jouissance que son petit appareil lui avait procuré.
De mon côté ma queue avait pris de l’ampleur dans mon pantalon. Je détachai ma ceinture et descendis ma braguette pour libérer mon sexe bien gonflé sous la couverture que j’avais mise pour me réchauffer. Déjà une goutte de liquide pré séminal avait lubrifié le gland de ma verge que je saisis d’une main pour commencer à mon tour à me masturber. Cette femme avait réussi à éveiller, en moi, ma libido et mes désirs sexuels les plus fous en l’espace d’un instant.
Au bout de quelques minutes la jeune femme se leva de son siège pour se diriger vers les toilettes du wagon. En passant je vis qu’elle portait une très jolie robe noire moulante qui découpait parfaitement les courbes de son corps. Ses fesses bombées, ses jambes effilées et habillées de bas de nylon, de beaux escarpins en cuir verni et sa poitrine volumineuse lui donnaient cette allure de femme fatale que l’on voit dans les magazines de mode à l’occasion.
Elle jeta un coup d’œil de mon côté et dût s’apercevoir que mon pénis était en pleine érection sous la couverture que j’avais étendue sur mes jambes et mon bassin. Elle esquissa un léger sourire et continua son chemin. Mon cœur battait fort dans ma poitrine et le sang qui circulait à fond de train dans ma verge la rendait de plus en plus longue et dure. Elle avait atteint les quelques dix-huit centimètres de sa pleine érection et soulevait inévitablement une partie très visible, en pignon, au milieu de ma couverture.
La jeune femme revint de son court séjour aux toilettes et s’arrêta au niveau de la rangée où je me trouvais. Elle fît un virage à quatre-vingt-dix degrés, se dirigea et s’accroupit entre les deux banquettes. Elle posa une main sur ma queue pour ressentir toute la rigidité qui l’animait au travers cette pelisse. Elle posa l’autre main pour bien découper cette queue sur ce morceau de tissu et en apprécier la longueur et son volume. Elle la massait de haut en bas et de bas en haut en s’attardant sur le gland et les testicules qui le composaient dans tout son être, prêt à satisfaire quiconque en voudrait bien.
Elle approcha sa bouche pour la mordiller et décida de glisser ses mains sous la couverture et la retirer avec sa bouche. Ses yeux devinrent grands et émerveillés de voir ce morceau de chair bien bandé qui désormais lui permettait de s’exciter davantage après l’aventure vécue avec son jouet sexuel personnel qui l’avait fait jouir quelques minutes auparavant.
Elle posa sa bouche et engloutit mon pénis de tout son long à l’intérieur de celle-ci. La léchant avec sa langue avec ardeur telle une femme assoiffée de sexe et de sensations fortes. Ses murmures et gémissements ne laissaient aucun doute sur toute l’excitation qui l’habitait.
Elle descendit une main à la hauteur de sa chatte pour commencer à doigter son clitoris tout en maintenant sa fellation sur ma queue de manière soutenue. Je l’entendis gicler sur le plancher du wagon. Elle lâcha un geignement en ouvrant la bouche lorsqu’elle atteignit l’orgasme tant souhaité. Pendant ce temps je relevai le bas de sa robe qui enveloppait son cul et m’aperçut qu’elle avait retiré son string probablement lors de son aller-retour aux toilettes. Je commençai à doigter sons anus en y insérant un doigt, ce qui l’a surprise sur le coup. Elle continua tout de même à me manger la queue avec avidité.
Tout à coup la porte du wagon s’ouvrit et nous venions d’être surpris par le contrôleur de train qui effectuait une tournée nocturne et regardait la scène. Sans dire un mot il mit un doigt devant sa bouche et déclencha un clin d’œil complice et approbateur de ce qui se passait dans ce wagon du train. Il avait une allure jeune et athlétique, début quarantaine, et se réjouit de participer à l’aventure dont elle l’avait discrètement invité. Nous vivions désormais un plan à trois. Un fantasme qui m’avait toujours habité.
Il se pencha derrière la femme, plongea son visage vers son cul et commença à lui imposer un analingus et un cunilingus endiablés. Elle mit ses mains sur ses fesses pour les ouvrir plus grandes et apprécier encore plus ce geste inattendu et spontané. Le contrôleur s’empressa d’ouvrir sa braguette et sortit sa verge en pleine érection prête à pénétrer cette pute qui en redemandait. Il glissa sa queue sur son anus en le taquinant de son gland et passa entre les lèvres humides de son vagin jusqu’à son clitoris qu’elle doigtait maintenant en même temps que l’extrémité de son pénis. Après quelques ratissages, passant de son clitoris à son point G il la pénétra d’un trait au fond de son vagin. Elle se cambra et engloutit mon pénis au fond de sa gorge à la limite de l’étouffement. Les entrées et sorties à répétition du contrôleur dans son intérieur provoquèrent une nouvelle éjaculation de sa part qui éjecta le pénis du contrôleur hors de son vagin.
Elle se retourna rapidement, abandonnant la fellation dont je profitais et me fit signe que c’était à mon tour de lui enfouir ma queue dans ses entrailles. Avant de s’occuper de la verge du contrôleur, elle me dit qu’elle voulait être sodomisée. Je me relevai et me plaçai derrière elle, ma queue sur son anus que j’avais lubrifié avec ma salive ainsi que sur le gland de mon pénis. L’ouverture, bien qu’étroite, permit une pénétration de son antre anal sans effort jusqu’où la longueur de mon dard pouvait se rendre. Les mouvements de son bassin devenaient de plus en plus saccadés comme une femelle voulant se défaire de sa monture tout en accentuant le plaisir de le porter et d’y prendre goût. Elle avait descendu le devant de sa robe et gâtait particulièrement le contrôleur du train avec une branlette espagnole entre ses seins fermes et voluptueux qu’elle maintenait serrés avec ses mains sur sa queue.
Ses mamelons étaient surexcités et se pointaient, durcis par le pincement de ses doigts sur chacun d’eux. Les mouvements s’accéléraient, la respiration, les murmures et gémissements également dans ce tumultueux plan à trois qui mena inévitablement à des orgasmes mutuels, de nous trois, accompagnés d’abondantes éjaculations sur ses seins, dans son rectum et sur la plancher entre les banquettes du wagon du train. Nous avions lentement ralenti nos ébats tout en savourant ce moment de pur plaisir charnel.
Elle embrassa passionnément ses deux partenaires sexuels avant de passer à nouveau aux toilettes tout comme le contrôleur du train et moi. Bien heureux de ce plan à trois que nous avions partagé ensemble, le contrôleur me chuchota qu’il restait encore une longue route avant l’arrivée du train à destination et que la nuit était bien jeune.
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