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Ma femme m'a trompé...et cela a tout changé !

Chapitre 14

Ce qu'homme veut...!

Hétéro
En m’éveillant le lendemain, un grand sourire éclairait mon visage. 

La veille, mon épouse m’avait offert sa soumission totale et définitive. Car, si ce contrat n’avait pas de valeur réellement légale, il n’en demeurait pas moins un pacte concret signé de sa main. Et dans ce dernier, figurait en toutes lettres que cette situation perdurerait jusqu’à réparation du préjudice que j’avais subi. 

Cependant, à quel moment un homme peut-il prétendre que le mal qu’il a ressenti s’évapore et que la dette morale est remboursée ? De mon point de vue, cette situation pourrait s’éterniser plusieurs dizaines d’années. 

La clause libératoire est, en tout cas, unique et parfaitement claire. En cas de ma moindre défaillance, elle perdrait tout ! Ainsi, il lui suffirait de ne plus m’obéir et tout s’arrêterait pour elle. 
Cela dit, la maison est à moi. Elle est à mon nom propre.
Je l’avais payée et entretenue intégralement durant notre existence avant qu’Enza ne puisse participer aux frais, ce qui ne se fit pas rapidement. En fait, elle n’en finança rien. 
Car si son affaire fonctionne bien actuellement, et ce ne fut pas toujours le cas, et c’est, surtout à présent, parce qu’une certaine société très discrète en est actionnaire et injecte souvent des fonds. 

Ai-je besoin de vous faire un dessin ? 

Allez, je lis sur vos visages que vous n’y croyez pas ! 

Vous ne m’en pensez pas capable ! 


Le petit Alexis, victime de sa méchante femme et de ses manipulatrices de filles...N’est-ce pas ? C’est l’image que vous avez de moi ? Sérieusement ?
Tttttttt…
Quelle erreur de jugement ! 

Ne jamais se fier aux apparences, messieurs et mesdames. 

Jamais !

Mais pensez-vous sincèrement qu’il n’y a que les femmes qui soient machiavéliques ? Lorsque j’ai appris la situation dans laquelle je me trouvais, par la faute de ces trois garces, j’ai agi comme je le fais lorsque je suis au pied du mur. Sans pitié et en écrasant complètement et définitivement mon adversaire en lui faisant rendre l’âme dans un râle déchirant d’incompréhension et de douleur. 

Ce n’est pas faute de vous avoir prévenu plusieurs fois que j’étais redoutable dans mon domaine professionnel, me semble-t-il pourtant ?

Je vous explique donc !
Ma société a fondé une autre société, il y a quelques mois, plus petite et dont l’objet social est unique. 

Elle a créé à son tour une autre société dont l’unique employé n’est autre que votre serviteur et dont le siège social se situe aux Iles Cayman. Enfin, cette petite société, nommée A-Inv (pour Alexis-Investments), n’a qu’un seul objet et un seul intérêt. Servir de prête-nom à un investisseur dont l’unique centre d’intérêt est la santé financière de la société dirigée par mon épouse. 

Vous voyez de qui je veux parler lorsque je parle d’un investisseur unique ? 

Eh oui ! Enza m’appartient bel et bien en tout !

En fait, et elle n’en sait rien, je possède actuellement cinquante pourcent plus une action de sa société qui est, de fait, la mienne. Je veille, discrètement et de loin, à la gestion parfaite de mon épouse concernant ce qu’elle pense encore être à elle. Mais qui est, à présent par le jeu des actions et obligations, dans mes mains. 

J’en possède officiellement trois pourcents à mon nom, ceux que j’ai acquis lors de la mise sur le marché de sa société, sur mes excellents conseils financiers... 

Officiellement, je ne suis donc pas important dans la gestion. 

Le reste de ce qui a été acquis parfaitement légalement par différentes sociétés qui appartiennent toutes à…A-Inv. 

Donc, à moi ! 

Vous suivez ?

Si j’ai agi de la sorte, c’est, avant tout, parce que j’ai eu vent de différents intérêts concernant la boîte que dirige mon épouse quelques semaines avant qu’elle ne m’avoue ses forfaitures et me mette au pied du mur. J’ai donc, à cet instant, juste coupé l’herbe sous les pieds d’investisseurs peu scrupuleux en m’emparant, parfaitement légalement, d’une partie suffisante des actions en circulation pour les rendre moins gourmands. Mon épouse en possédant toujours quarante pourcent, nous sommes – enfin, je devrais dire elle est – à l’abri d’un rachat agressif. Comme on le dit dans le jargon, d’une OPA !

Mais nous nous égarons à nouveau. 

J’avais l’intention de lui révéler ma machination et de lui léguer la part des actions de sa société en ma possession pour la protéger définitivement. 
Mais depuis ses errements conjugaux, je n’en vois plus la nécessité. Vous voyez où je peux en venir si je le désire ? 

Surtout depuis que j’ai racheté discrètement le reste des parts en circulation pour acquérir la majorité à laquelle j’ai fait référence.

Elle n’en sait rien et pense que je ne possède toujours que trois pourcents du capital, les autres sociétés détentrices d’une partie de sa société ne lui disant absolument rien. Elle ne sait pas qu’il n’y a qu’une seule personne derrière tout ce micmac financier et administratif.

Je garde ce joker dans ma poche pour m’assurer sa docilité en cas de défaillance. Car imaginez un instant que j’aille trop loin pour elle ? Tout s’arrêterait et je perdrais mon nouveau jouet. 
Et de cela, il n’est pas question. 

Comme je l’ai dit, c’est à mon tour de jouer et j’en ai bien l’intention. Par tous les moyens, y compris celui de me mettre au niveau moral des ces trois femmes. 
Ce n’est pas bien, selon vous ? 
Si vous saviez comme je m’en moque. Oeil pour oeil, dent pour dent ! 
Comme je vous l’ai dit précédemment, la Loi du Talion dans laquelle tous les coups sont permis est pour l’instant ma seule Loi. 

Ainsi, en me levant ce matin, j’ai décidé de commencer à prendre mon nouveau rôle très au sérieux. 

J’ai déboulé comme un fou dans sa chambre, et, en ouvrant les rideaux, je hurlais presque

-       BONJOUR MA CHÉRIE ! QUELLE BELLE JOURNÉE ! 

Elle sauta en l’air, réveillée par le volume sonore et la lumière qui faisait irruption dans sa chambre, jusqu’à lors plongée dans le noir.

-       PUTAIN ! ALEXIS ! NON MAIS CA NE VA PAS ??? POUR QUI TU TE PRENDS À ME RÉVEILLER AINSI ???

En d’autres temps, j’aurai ri à sa réaction. Mais plus aujourd’hui.

-       Pardon ? Je n’ai pas compris ? Tu ne serais pas en train de me menacer, tout de même ?

Elle me regarda conserver mon calme et la lumière fût ! Elle se souvint de son nouveau statut. "Fiat Lux", comme le disait le sage.

-       Excusez-moi, Maître ! Mais je ne suis pas du matin et vous m’avez surprise. 

-       Je vois cela, dis-je en riant de bon cœur. Allez, je passe pour cette fois. Mais plus question de me parler ainsi, Enza. 

-       D’accord ! Je vais devoir m’y faire ! Dit-elle dans une moue de dégoût qui me fit hurler de rire. 

Vous devez savoir que mon épouse n’est pas du tout du matin. Elle l’est devenue par la force des choses. Mais cela reste toujours aussi difficile pour elle d’émerger de son matelas. 

-       Dès demain, ce sera plus simple, ma chérie ! Je serai à côté de toi pour te réveiller doucement. 

-       Hein ?

-       Aurais-tu oublié que ce soir, je réintègre le lit conjugal ? 

-       Ah oui ! Pardon ! Pffff….j’ai la tête en vrac. Ne pourrait-on en discuter après mon premier café ?

-       Je te laisse trente minutes pour boire un café et te rendre présentable. 

-       Que veux-tu dire ?

-       Totalement sexy aujourd’hui. Je veux que tu fasses bander tous les hommes et que les femmes mouillent leur string sur ton passage.

-       ALEXIS !

-       Quoi ? C’est notre deal, tu te souviens de ta première mission ?

-       Comment l’oublier ! Murmura-t-elle.

-       Allez ! Zou ! Tu as trente minutes.

-       Bien ! Je serai présentable, me dit-elle en baillant. 

-       Prends-en alors quarante-cinq mais rends-toi irrésistible. 

-       Bien Maître !

-       Je suis curieux de voir cela. Je te fais un café et je pars courir un peu. À dans trois quart d’heures ! Dis-je sous son regard éberlué par ce que je venais de lui dire.

Je rentrais finalement un peu plus tôt que prévu. 

J’avais décidé de me remettre au sport après plusieurs années de disette. Mais je présumais encore de mes capacités et c’est crevé que je rentrais après une vingtaine de minutes de course à pied. En fait, l’une des clauses du contrat était qu’Enza devait avoir une ligne parfaite et une bonne condition physique en prévision de ce que j’attendais d’elle. Mais je ne pouvais pas exiger cela sans, en contrepartie, posséder à mon tour une condition physique qui avait été la mienne. Il y a quelques années. 

Je montais donc prendre une douche salvatrice dans mon ancienne salle de bain lorsqu’en passant devant notre chambre, je reçu un coup de foudre.

PUTAIN ! Pensé-je. 

Enza était devant moi. Elle se regardait dans la psyché posée sur le mur latéral. Elle ne pouvait me voir. 

Elle portait à bout de bras une robe que je ne lui connaissais pas. Mais qui semblait totalement indécente. Ouverte dans le dos et fendue sur les jambes. De couleur crème et noir, elle semblait très jolie. 

Mais ce qui retint mon attention et provoqua cette obscénité dans mon esprit, c’était sa tenue actuelle. 

Elle était revêtue d’une lingerie dingue.

Mon épouse était recouverte d’un voile diaphane et décoré de dentelles sur l’ensemble de son buste et de ses bras. Mais la poitrine était totalement découverte, lui provoquant un décolleté au travers duquel ses seins étaient rehaussés par un effet bombant. Le bas de ce vêtement était pourvu de jarretelles qui retenaient des bas à motifs du plus bel effet. Et, cerise sur le gâteau, elle ne portait pas de string, sa chatte parfaitement soignée respirant à l’air libre.

Je bandais comme un fou ! Son corps restait le plus dingue à mes yeux et rien, ni personne, ne pourrait me faire renoncer à lui. 

Je salivais à l’avance de ce que j’allais pouvoir en faire. Car à présent, plus rien ne m’était interdit et les limites étaient repoussées.

C’est en souriant que je pris une douche apaisante pour mes muscles endoloris mais, ma queue bandée à mort par le spectacle auquel je venais d’assister et par la perspective d’un avenir parfait, je ne pus m’empêcher de me caresser lentement. 

La corps d’Enza hantait mon esprit et je la voyais, face à moi, se caressant les seins tout en mordillant la lèvre inférieure. Puis, elle passait un doigt entre les lèvres humides de sa chatte avant de se pénétrer et d’expirer d’aise tout en me fixant. Je me voyais assis, trônant dans un fauteuil confortable, assistant au spectacle de la montée du plaisir de mon épouse. Ses mains fleuretant avec ses hanches, remontant vers ses seins, les emprisonnant et les pressant l’un contre l’autre, sa langue léchant ses lèvres devenues humides et le regard brillant par le plaisir qu’elle m’offrait. 

Je serais un peu plus ma verge de mes doigts et accélérait le mouvement le long de mon sexe.

J’imaginais Enza, se coucher en face de moi, écartant le compas de ses jambes pour me donner la primeur de sa masturbation. Imaginant deux doigts entrer dans sa chatte, son autre main caressant ses seins sous sa lingerie. 

Soudain, mon esprit s’emballa. 

Le corps de mon épouse me stimulant à nul autre pareil, je la voyais parfaitement se vautrer dans une luxure totale, pousser plusieurs doigts dans son sexe tout en soupirant de plaisir. Sa chatte ruisselante de bonheur et n’attendant qu’une queue pour obtenir la plénitude à laquelle elle aspirait. 

Ses mouvements devinrent, dans mon esprit, saccadé par l’orgasme approchant. Elle s’enfonçait quatre doigts à présent dans un sexe ouvert et obscène par son désir de se faire ramoner par une queue gigantesque.

Mes mains couraient sur ma queue et je sentis, à cette idée, mon plaisir affluer depuis mes testicules pour éjaculer dans un râle de plaisir, mon sperme s’étalant de quelques jets sur la vitre de la douche. 

Je sentis mes jambes trembler à la fois par l’effort que j’avais fourni en courant et par l’orgasme qui venait de me prendre. 

Je caressais encore lentement mon sexe, comme pour le calmer du plaisir qu’il venait de me procurer et je souris. 

Enza allait réaliser ce fantasme. J’en avais envie. Et mes envies devenaient lois. 

Je ne mis que quelques minutes pour me sécher et m’habiller.

Je descendis, pour la première fois depuis des jours, en costume. Mon épouse a toujours aimé me voir tiré à quatre épingles. Et, de nouveau, dans un sentiment de réciprocité, je ne pouvais faire moins qu’elle. Si elle avait suivi mes ordres, je ne pouvais me présenter en jogging et en baskets ? 

J’avais beau savoir à quoi m’attendre, je fus tout de même scotchés en découvrant mon épouse, assise dans la cuisine, sirotant un café.

-       Maître ? Me demanda-t-elle en me voyant. Suis-je à votre goût, cette fois ?

Je mis un moment pour réaliser que cette Vénus me parlait. Mais je repris contenance rapidement et répliquais sèchement

-       Lèves-toi ! Et montre-moi à quoi tu ressembles !

Elle obéit et fit quelques pas. 

Bon sang ! Elle était à tomber. D’ailleurs, elle allait en faire tomber. 

Je vous ai décrit sa lingerie, pas besoin de revenir là-dessus. Mais la robe qu’elle portait était tout simplement indécente et puait le sexe.

Elle avait revêtu une robe rouge, dont le décolleté central ne laissait planer aucun doute sur la taille et le bonnet de ses seins. Il ressemblait à une goutte d’eau, un peu ovale, laissant l’ensemble de sa poitrine visible, hormis le bas, retenu par sa lingerie. C’était démentiel, un appel au sexe et à la caresse. 

Le bas de robe, en triangle, laissait la place pour admirer le galbe parfait de ses mollets et de ses cuisses, fuselées dans ses bas à jarretelles. 

Elle portait des chaussures à plateforme dont les talons étaient vertigineux. 

Je ne l’avais jamais vue ainsi. Elle était torride, éruptive, solaire. 

-       C’est parfait, ma chérie ! Tu es divine. Ta sensualité et ton sex-appeal fonctionnent du tonnerre dans cet ensemble. 

-       Je vous remercie, Maître ! 

-       As-tu contacté les filles ?

-     Oui ! Selon vos désirs. Elle pense que rien n’a changé. Mais je me suis permise de leur dire que le statut quo s’installant, j’allais passer à un autre niveau de chantage affectif. 

-       Ah ? Dis-je surpris par cette initiative.

-       Oui, Maître ! Je pensais vous faire plaisir, me dit-elle en m’interrogeant du regard.

-       De quoi parles-tu ?

-     Eh bien, je n’aurais plus de limites et je serais donc libre de vous satisfaire vis-à-vis des filles. Elles ne seront pas étonnées si certaines de vos exigences dépassaient un peu ce qu’elles attendent de nous en général.

-       Je vois ! Ainsi, tu es en train de me dire que rien ne me sera refusé à l’avenir ?

-       C’est exactement cela, Maître !

-       Explique-moi !

-       J’ai réfléchis, cette nuit, seule dans mon lit à ce que je venais de faire en signant votre contrat. Il ne revêt rien d’officiel entre nous. Légalement, il ne vaut rien car personne ne peut soumettre une autre personne, même volontairement. C’est ce que l’on appelle les Droits de l’Homme.

-       Continue ! Dis-je soudain euphorique par ce que j’imaginais.

-       Il revêt surtout un contrat d’ordre moral entre les parties. Ainsi, j’accepte de me soumettre à votre volonté et de vous octroyer ce titre de « Maître ». Si je ne l’accepte pas, vos menaces seront mises à exécution.

-       C’est cela ! 

-       Mais cela revêt également une contrepartie.

-       Je t’écoute !

-       Celle que je recherche en ayant monté ce plan stupide. Celle de mon plaisir, de mes orgasmes et une excitation quasi permanente. 

-       Je confirme !

-      Donc, si j’obéis à vos demandes, ce sera dans un double but. Celui de m’asservir et de me donner du plaisir. J’accepte donc de jouer le jeu et de me soumettre corps et âme à vos décisions. 

-       Pourquoi ? Dis-le ! 

-       Parce que cela m’excite terriblement de me sentir femelle sous vos ordres, de mouiller ma chatte et d’être entièrement à vous !

-       Je vois ! Donc, tu t’estimes gagnante dans ce processus ?

-       Oui !

Je souris ! Je m’attendais à cette sortie plutôt humiliante pour moi. Mais elle n’avait aucune idée de ce que j’allais lui demander pour me venger. Et la première étape que j’avais exigé de sa part n’était qu’un test grandeur nature par rapport à la suite de ma vengeance. Car elle n’était pas la seule à m’avoir entourloupé. 

-       Et tu penses donc que les choses vont être si simple ? Enza ! Tu me déçois à nouveau.

Elle perdit de sa superbe en me regardant. Je suis certain qu’à cet instant, elle a frémi de peur. Car mon regard devait être dur comme la pierre et froid comme la glace. 

-       Que voulez-vous dire ?

-       Que tu vas expier ta faute, tes fautes devrais-je dire, avant de pouvoir essayer, j’ai bien dit essayer, de regagner un peu de ma confiance. Dans le cas contraire, tu perdras tout ce que tu as. 

-       C’est une menace ? Me demanda-t-elle à nouveau sur la défensive.

-       Non !

-       Ah !

-       C’est un fait ! Et ta situation est bien pire que ce que tu ne peux imaginer. As-tu compris ?

-       Oui !

-      Ne penses pas un seul instant que tu restes maitresse du jeu. Je suis devenu ton Maître et tu n’imagines pas jusqu’où je peux aller. Alors obéis, sois une bonne soumise et surtout, surtout, ne t’avise plus jamais de te penser plus intelligente que moi. Est-ce bien clair ?

-       Oui Maître ! 

-       Bien ! Maintenant que tout est clair, je te laisse vaquer à tes occupations. Ton téléphone doit être joignable à n’importe quel moment de la journée. J’aurais peut-être envie d’un petit plaisir personnel. Mets-toi en chasse et exécute ce que je t’ai ordonné. Rappelle-toi que tu n’as pas beaucoup de temps. J’en meurs d’envie.

-       Bien Maître !

Elle partir au boulot, fier et élégante, à bord de sa voiture. 

Je respirais un grand coup lorsqu’elle ferma la porte, fier de moi et satisfait de la tournure des événements. 

Trois heures plus tard, alors que la pause méridienne approchait, je lui téléphonais.

-       Ma chérie ? Ta journée se passe-t-elle bien ?

-       Oui !

-       Oui, qui !

-       Alexis, je ne suis pas seule !

-       Oui, qui ! Dis-je plus vertement.

-       …

-       …

-       Oui, Maître ! Me dit-elle en murmurant.

-       Je n’ai pas compris ! Dis-je en attendant qu’elle le dise à voix haute.

-       … Alexis…s’il-te-plaît !

-       …

-       Alexis ?

-       … Il te reste cinq secondes avant que je ne raccroche définitivement ! 

Puis, je rajoutais

-       Soumise !

-       Oui, Maître ! 

Elle venait de le dire à voix normale. Les personnes autour d’elle ne pourrait ignorer son état. Petite satisfaction personnelle de l’humilier un peu sur son lieu de travail, entourée de ses collaborateurs les plus proches. 

-       Bien ! J’ai envie de t’entendre jouir, soumise ! Il est l’heure de me rendre ce que tu as donné à d’autres.

-       C’est-à-dire ?

-       Tes orgasmes. 

-       Vous voulez que je…

-       Non ! J’exige que tu !

-       Maintenant ? Mais je suis en pleine réunion.

-       Je m’en moque ! Tu es la patronne, non ? Alors pause et masturbation. Et je veux entendre ton plaisir sonore, pas d’images pour cette fois. Ne commets surtout pas l’erreur de le simuler. Je le saurais. Tu as dix minutes. 

Je raccrochais, ne lui laissant pas le temps de discuter. 

Sept minutes plus tard, un message vocal arrivait sur mon téléphone.

Je l’ouvris et j’entendis 

-       AAARRGGH….OUIIIIII….MMMMHHHHHH….

Ces sons se superposaient à ceux de ses doigts pénétrant sa chatte trempée. Le clapotis si reconnaissable d’un sexe féminin humide de son plaisir et ramoné à grands coups d’index est si caractéristique. 

Je bandais à nouveau en l’entendant. 

-       OOOOOHHH….OOUUUIIIIII….PUTAIN QUE C’EST BON ! 

Elle tentait de parler en retenue, mais son orgasme et son plaisir n’étaient pas feints. Elle était excitée à l’idée d’avoir congédié ses collaborateurs pour aller se masturber sur ordre et je pouvais entendre parfaitement que sa jouissance était bel et bien réelle. Ma femme avait donc un côté soumis que nous ignorions tous les deux. 

-       OUUUIIIIIIII…..AAARRRGGGHHHH !

Elle venait de jouir. Ma queue me mettait au martyre et j’avais un mal fou à ne pas m’empoigner pour me faire éjaculer à mon tour. Je respirais calmement et, apaisé, je lui envoyais un message.

-       Je suis fier de toi ! Tu as été une bonne petite soumise ! Tu peux retourner travailler. 

-       Y avez-vous pris du plaisir, Maître ?

-       Cela ne te regarde pas ! Au travail ! J’attends que tu me donnes ce que je demande. 

-       Bien, Maître ! Ce sera fait.

Le reste de la journée se passa calmement. Je la laissais travailler car je savais que cette semaine était importante pour elle. 

Mais j’avais encore quelques détails à régler avec elle.

Elle rentra tard, fatiguée mais heureuse de la tournure de sa journée.

-       C’était terriblement excitant de me masturber pour vous, Maître ! Je ne pensais pas y prendre autant de plaisir. 

-       Tu m’en vois ravi. Tu as voulu ce qu’il t’arrive, alors profites-en tant que tu le peux. 

-       Que voulez-vous dire ? Me demanda-t-elle, un soupçon d’inquiétude dans la voix. 

-       Tu verras ! Assieds-toi ! Je t’ai servi un verre de vin. Je dois te poser encore quelques questions.

-       Bien, Maître !

Sa robe se releva lorsqu’elle s’assit, me donnant une vue parfaite sur ses jambes et ses bas.

-       Enza ! As-tu d’autres secrets à m’avouer ? Car c’est ta dernière chance de le faire sans conséquences. Car si je découvre que tu m’as caché d’autres événements ou d’autres personnes, ma colère sera terrible.

-       Il y a peut-être encore un élément que vous devriez savoir, même s’il ne me semble pas lié à notre histoire.

-       Je t’écoute !

-       C’est un peu délicat, car je n’en suis pas certaine. En fait, c’est surtout un sentiment, vague, mais persistant. 

-       Tu peux m’en dire plus ?

-       Je ne sais pas, Maître ! Car cela pourrait rejoindre ce que vous m’avez ordonné de faire, votre première demande. 

-       Ah oui ? 

-       Oui ! Me permettez-vous de m’en assurer avant de vous en faire part ?

-       De combien de temps as-tu besoin ?

-       Très peu ! En fait, je peux m’en assurer dès demain. Un coup de téléphone et un rendez-vous, ce sera réglé. 

-       Je te donne mon accord. Mais si ce n’est pas le cas, je veux que tu m’en informes demain soir.

-       Comme vous voudrez !

-       Raconte-moi, maintenant ! As-tu vraiment aimé ce que je t’ai ordonné ce matin ou l’as-tu fait à contrecœur, par simple obéissance à ton Maître ?

-      Pour être honnête, Maître, j’ai eu peur. Parce que j’étais entourée d’hommes et de femmes qui me connaissent parfaitement. Puis, mon excitation a pris le dessus et je vous ai parlé. Ma secrétaire et deux collaboratrices qui étaient à mes côtés à cet instant, m’ont regardée comme si je tombais du Ciel. 

-       Continue !

-       J’ai été très excitée de vous appeler ainsi en face d’elles. Puis, en me rendant dans mon bureau pour me caresser, je sentais ma chatte se liquéfier. J’ai eu un orgasme terriblement bon à vous obéir et à me faire jouir à cet endroit, en cet instant. 

-       Tu m’en vois ravi. La prochaine fois, nous irons un peu plus loin.

-       Tout ce que vous voudrez !

-       Ne t’emballe pas, tu n’as aucune idée de ce que tu as déclenché, Enza ! 

-       Bien, Maître !

-       Allons manger ! tu dois avoir faim après une telle journée. 

-       Oui, Maître !

Le repas et le reste de la soirée se passèrent à discuter comme si de rien n’était. 

Je ne lui demandais rien de plus, visiblement à sa plus grande stupéfaction. Elle s’attendait certainement à se faire baiser. Mais cela aurait été lui faire trop d’honneur. Je la laissais frustrée et m’endormis juste après elle. 

Le lendemain, j’étais debout le premier. Elle ne tarda pas à me suivre dans la cuisine, prête pour une nouvelle journée.

Elle avait revêtu, cette fois, un pantalon crème et un chemisier noir. Mais, pour répondre à mes souhaits, elle avait mis une lingerie blanche dont la dentelle dépassait de son décolleté. Je la voulais désirable et le centre des regards. 

Cette ligne blanche autour d’un fond noir collait parfaitement avec ma demande. 

Elle était, en plus, vraiment belle dans cet ensemble. Ses cheveux ondulaient jusqu’à ses épaules et son maquillage rehaussait l’éclat de ses yeux. 

-       Je vous préviendrai s’il y a une évolution dans votre demande, Maître !

-       Bien ! Bonne journée ! Dis-je en la congédiant. 

La journée se passa lentement. J’en profitais pour faire un tour dans la ville voisine, faire quelques achats parfaitement ciblés dans l’espérance de la réalisation de ma première demande et des autres ratifiées par son contrat. 

Celle-ci ne reflétait pas vraiment un fantasme, même si j’avoue y avoir pensé souvent durant ma jeunesse et dont j’étais certain qu’il me stimulerait de façon remarquable. 

C’était plus une expérience afin de tester Enza et sa docilité. 

Non ! Mes fantasmes sont plus…, comment dire ?, plus extrêmes ?, oui, cela convient. Plus extrêmes que cette première demande. D’ailleurs, je ne m’attendais pas à ce qu’elle le réalise tant je savais son opposition à cette pratique, pourtant commune si l’on en croit les réseaux sociaux, les sites érotiques et les actrices pornographiques. 

Mais je sais faire la part des choses entre le virtuel et le réel. 

C’est pourquoi je ne m’attendais pas à ce qu’elle me préparait.

Le soir venu, j’entendis Enza rentrer rapidement. Le son de ses talons claquant sur le carrelage de notre maison.

-       Mon chéri ? Maître ? J’ai une faveur à vous demander. Puis-je ?

-       Tu peux essayer !

-       Pourriez-vous aller vous changer en vue d’une soirée toute en votre honneur ?

-       Pardon ?

-       J’ai envie de vous faire plaisir et pour cela, je souhaiterais vous voir porter votre dernier costume Armani ! Cela serait-il envisageable ? Cela m’aiderait dans la situation que j’ ai prévue et qui, vous le savez, me met mal à l’aise. Mais pour vous plaire, j’y consentirais quoi que vous fassiez. 

Je la regardais avec circonspection. Puis, en souriant, j’accédais à se demande en prenant son menton entre mes doigts

-       On dirait que tu te permets beaucoup de familiarités, ma chère ! Cela sera puni ! Mais j’accède à ta demande car tu attises ma curiosité. Très bien ! 

-       Puis-je encore vous demander de ne pas descendre avant 20 heures ? Je souhaiterais que la surprise soit totale. Vous pourrez encore me punir pour cet acte insolent !

-       Tu n’as pas froid aux yeux, petite soumise ! Bien ! Tu l’auras voulu. Je descendrai à 20 heures piles. Et tu recevras, ta double punition. Sauf si j’estime avoir été suffisamment surpris par ce que tu me proposeras et que j’y aurais goûté une forme de plaisir, rachetant ainsi ton audace ! 

-       Bien, Maître ! Merci, Maître ! Je suis certaine que vous ne serez pas déçu.

En regardant ma montre, je constatais qu’il était dix-huit heures vingt. J’avais un peu de temps. Je décidais de prendre une douche, me raser convenablement et lire un peu les comptes-rendus de la semaine. Je n’avais pas pensé au boulot depuis mon coup de téléphone à Nathalie et, pour la seconde fois, j’admis que cela ne me manquait pas dans la mesure où je consacrais l’entièreté de mon temps à chercher des idées pour soumettre mon épouse infidèle et me venger de ses affronts et de ses complices femelles. 

À l’heure dite, je posais le pied sur la marche supérieure de l’escalier et je descendis les marches au son du carillon du hall d’entrée. 

En poussant la porte du salon, je constatais qu’il était plongé dans une lumière tamisée réalisées à l’aide d’ampoules rouges placées dans les lustres et de bougies installées à différents endroits stratégiques.

-       Soyez le bienvenu, Maître ! Me dit une voix venant de derrière moi.

En me retournant, je découvris Enza, vêtue d’une guêpière noir et feu du plus bel effet, rehaussant sa merveilleuse poitrine par la grâce de baleines renforcées. J’avais l’impression que ses seins voulaient m’éborgner tant leur volume était impressionnant. 

La réaction dans mon pantalon de toile se fit immédiatement. Je bandais. 

Elle portait le string assorti et des bas retenus par des jarretelles, mon péché mignon. Enfin, ses escarpins Louboutin complétaient cette panoplie complète et merveilleuse pour le regard masculin. 
Cela dit, je la sentais inquiète et un peu mal à l’aise. 

-       Bonsoir, Enza ! Alors ? À quoi dois-je m’attendre ?

-       Vous m’avez ordonné de réaliser l’un de vos fantasmes ! Eh bien, je vais le réaliser ce soir.

-       Pardon ?

Là, elle me scotche ! je ne pensais pas qu’elle serait capable de le faire et en si peu de temps. 

-       Tu veux dire…que tu as trouvé une partenaire de jeux ?

-       Oui, Maître !

-       Tu m’épates !

-       Merci, Maître ! Mais je dois vous avertir que vous allez probablement recevoir un choc en découvrant son identité.

-       Hein ? 

Là, je commençais à m’inquiéter un peu. Mais ce n’était rien en comparaison d’Enza, dont la voix et la tenue perdirent encore un peu de leur superbe. Elle était, à présent, véritablement mal a l’aise. Je comprenais l’origine de ce malaise et il etait double. Car, non seulement, elle allait s’accoupler devant moi avec une femme, ce qu’elle avait toujours refusé prétextant ne pas y trouver d’intérêt ni de désir, mais en plus, nous la connaissions. 
Sa voix, en reprenant son explication, reflétait ce mal-être énorme chevrotant un peu. 

-       Oui ! Hum ! Comme le délai était court, j’ai dû faire appel à l’une de mes connaissances dont je savais que cela ne la rebuterait pas et, même, qu’elle serait partante pour oublier son statut et prendre du plaisir en notre compagnie. C’est de cela que je devais vous parler lorsque vous m’avez posé la question et pour lequel je vous ai demandé un petit délai. 

-       Tu veux dire qu’il s’agit d’une personne proche ?

-       Oui !

-       Mon Dieu ! Dis-je effaré. Ainsi, tu m’as encore fais des cachotteries ? 

-      Ce ne sont que des paroles échangées entre femmes, Maître ! Des discussions de salon de coiffure ou de lèche-vitrines. Mais j’ai retenu l’information en son temps et je m’en sers aujourd’hui. Je n’étais, simplement, pas certaine que cette personne restait dans les mêmes dispositions. Ce qui explique le délai que j’ai sollicité. Mais lorsque je lui ai dit qu’il s’agissait surtout de votre bien-être, elle n’a pas hésité une seule seconde car elle a énormément d’affection pour vous. Plus que vous ne le pensez, d’ailleurs !

-       Ah !

Oui, je sais ! C’est un peu ridicule comme réponse, mais rien d’autre ne sortait de ma bouche que l’effarement le plus total. 

-       Avant qu’elle n’entre et me rejoigne pour votre plus grand plaisir, asseyez-vous et dégusté votre breuvage préféré. Je m’occupe du reste jusqu’au moment où vous en déciderez autrement. Je le fais pour vous prouver mon dévouement à venir et je le prends comme une expérience à découvrir. Soyez indulgent pour cette véritable première. 

Je m’exécutais, plus par effarement que par volonté de me laisser guider. 

Mon épouse se posta devant moi et entama une dance lascive, passant à l’infini ses mains sur son corps et ses seins, ouvrant une bouche humide et me regardant avec des yeux qui ne me lançaient qu’un seul signal : baise-moi !
Mais elle n’avait pas ce regard habituel et je sentais parfaitement qu’elle se préparait à un acte qui, si il ne l’a répugnait pas, n’en était pas moins totalement nouveau et inhabituel pour elle. Elle en tremblait d’émotion, de peur, de crainte mais, je pouvais le sentir aussi, une pointe d’excitation de se voir contrainte et forcée dans cet acte. 

Elle chassa donc ce sentiment en passant a la vitesse supérieure. 

Elle écarta son string, se masturba juste sous mes yeux, sortis ses seins de leur carcan et les plaça sous mon nez, jouant avec ses tétons pour les faire exploser d’excitation. Elle me montra son cul et alla jusqu’à se pénétrer d’une phalange dans cet accès interdit. Son petit rond plissé palpitant sous la caresse. Elle se lâchait complétement et faisait exploser les barrières morales et culturelles. Elle voulait devenir ma soumise ! Sans arrière-pensée et sans retour en arrière.

Je bandais ! 

Cette femme me rendait fou de désir et d’excitation mais je devais garder le contrôle. 

C’était fondamental. 

Je pris donc sur moi de ne rien montrer si ce n’est une érection que mon pantalon ne pouvait absolument pas cacher. Et je n’en avais, de toute façon, pas l’intention.

Soudain, Enza, tout en continuant de sa caresser, appela en se tournant vers la cuisine

-       Vous pouvez venir ! Il est prêt ! 

Je tournais la tête vers la porte que je voyais s’ouvrir avec une lenteur toute calculée. Alors qu’une jambe sublime et gainée de noir apparu, le visage de mon épouse se posta juste devant mon regard et elle m’embrassa langoureusement. Sa langue pénétra ma bouche et entama un ballet suave contre la mienne. Elle prit mes mains et les posa sur ses seins, mimant des siennes les gestes qu’elle désirait. 

Je la laissais faire, profitant de ce mouvement lorsque je sentis deux mains nouvelles se poser sur les miennes. Notre invitée se trouvait juste derrière Enza mais je ne pouvais pas encore la voir, mon épouse occupant tout mon champ de vision. 

-       Êtes-vous certain de le vouloir, Maître ?

Les mains inconnues caressaient lentement la poitrine de mon épouse. Pour la première fois, devant moi, une femme caressait la mienne. Je fixais ces mains manucurées et vernies qui passaient sous la lingerie et étiraient voluptueusement les tétons de mon épouse qui réagit

-       Mmmmmhhhh…..ouiiiiiii….. ! Dit-elle dans un souffle.

-       Tu aimes, Enza ?

-       Ouiiiii ! dit-elle toujours doucement, juste pour mes oreilles. Et j’en suis la première étonnée ! Mais cela me plaît car cela vous excite beaucoup.

-       Tu veux plus ?

-       Uniquement si vous le voulez, Maître !

-       Y prendras-tu du plaisir ?

-       Uniquement si vous m’y autorisez, Maître !

-       Alors présente-moi à ton amie qui te permet de te découvrir aussi en cet instant ! 

-       C’est aussi la vôtre, Maître !

Mon épouse se recula pour le permettre d’apprécier l’anatomie et l’identité de notre invitée.

Et c’est peu dire que celle-là, je ne l’avais pas vu venir !
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