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Ma femme m'a trompé...et cela a tout changé !

Chapitre 15

Première épreuve

Avec plusieurs femmes
La femme qui me faisait face ne pouvait pas être là ! 

C’était impossible, inconcevable, à la limite de la faute de goût !

Si cela ne la dépassait pas, d’ailleurs. On naviguant dans une autre dimension, à cet instant. 
Mais force était de constater la classe et le sex-appeal qu’elle dégageait par sa simple apparition alors que je ne l’avais jamais remarqué sous ses airs parfois rebelles. 
Son maquillage inhabituel et ses cheveux bouclés tombant en cascade sur ses épaules de façon artistique me permettait de découvrir une nouvelle identité alors que je pensais la connaître si bien. 

Elle était sublime dans son ensemble de lingerie noire. Jamais je n’avais imaginé une telle sensualité cachée derrière cette façade austère et tournée vers le professionnalisme le plus exacerbé. 

Sa poitrine était plus importante que je ne l’avais supposé. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir eu l’occasion d’en profiter. Mais le quotidien à ceci de particulier qu’il nous endort et ne nous permet plus, lorsque les habitudes sont prises, de remarquer le remarquable. 

J’avais en face de moi une paire de seins très attirants et magnifiquement mis en valeur. Un appel au regard et à l’admiration. 

Ronds et imposants, tels que je les aime. L’âge avait fait son œuvre mais dans l’ensemble, ce buste restait fort appétissant et possédait tout ce qui peut faire plaisir à un homme. Le ventre était plat et tonique. Les jambes parfaitement misent en valeur par des bas auto-fixant, ne possédait pas beaucoup de cellulites et les cuisses étaient harmonieuses. Enfin, le string, totalement transparent, me permit de constater l’absence de pilosité. La dame était donc une adepte de l’épilation intégrale, curiosité à laquelle j’avais bien l’intention de faire succomber mon épouse prochainement pour tester ses limites. 

Elle s’avança vers moi, féline, en ondulant des hanches et en posant à nouveau ses mains sur les seins d’Enza. Puis tourna la tête vers elle et posa ses lèvres sur les siennes. 

Je vis, pour la première fois de ma vie, mon épouse embrasser langoureusement une autre femme. Et, si elle était novice en la matière, elle y mettait un entrain et une fougue qui faisaient plaisir à contempler. Les bouches s’ouvrirent et deux langues se croisèrent dans l’interstice présenté. Elles tournèrent l’une autour de l’autre, caressantes et humides, curieuses et exploratrices,  vivaces et vivantes. 

Chacune des femmes gardait les yeux ouverts et me fixait du coin de la rétine, dans l’attente d’un signe de ma part, testant ma résistance et cherchant ma limite. Mais je gardais une position flegmatique, profitant de cet instant que je ne pensais pas vivre un jour, pour me repaîrte et me rassasier de cet échange d’une grâce et d’un érotisme inégalable. 

Au bout de quelques secondes d’un baiser qui restera, quoi que l’avenir nous réserve, dans ma mémoire parmi les moments les plus intenses de ma vie sexuelle, elle se tourna vers moi et m’adressa enfin la parole, de cette voix que je ne connaissais que trop bien.

-       Alors Alexis ? Tu n’aimes pas ce que tu vois, patron ?

Ce fut le coup de fouet nécessaire pour me sortir de ma léthargie. M

-       Nathalie ? Mais…que fais-tu… ?

-       J’embrasse Enza ! Cela me semble évident, pourtant ! Quelle question stupide de la part d’un homme pourtant intelligent ! Me dit-elle, provocatrice. 

-       Tu as très bien compris ma question !

-       Je vois que ton épouse ne t’a pas prévenue, petite cachottière ! Dit-elle en posant les lèvres sur celles de ma soumise en se tournant à nouveau vers elle. Je vais t’expliquer, à moins que tu ne désires que cela soit Enza qui le fasse ?

-       Non, je t’écoute ! Dis-je en regardant mon épouse avec des yeux noirs. Elle, par contre, tentait de conserver calme et dignité. Mais la façade de sa prestance, en me voyant en colère, se fissurait au bord d’une panique grandissante.

Sentant l’atmosphère se refroidir, Nathalie enchaîna sur l’explication de sa présence

-       Tu sais que nous sommes très proches, toutes les deux ! Nous jouons même, parfois, le rôle de confidentes l’une pour l’autre. Elle n’ignore rien de ma vie privée, comme je n’ignore pas grand-chose de la sienne. 

Elle laissa un moment pour me laisser digérer la portée de cette phrase. J’éclatais !

-       QUOI ! TU SAVAIS POUR SES AMANTS ?

-       Oui ! Elle a eu besoin d’en parler avec moi. 

-       ET TU NE M’AS RIEN DIT ?

-       Dit quoi ? Tu me vois, entre deux dossiers te dire « Au fait, Patron, ta femme se fait sauter par un inconnu cet après-midi ! Je ne sais pas où, mais ce n’est qu’un coup de bite, rien de bien grave. Tu peux signer ce papier, s’il-te-plaît ? ». J’imagine sans peine la scène, tiens ! Non, Alexis ! Je ne pouvais rien te dire pour deux raisons. La première est simple. C’est une question de confiance entre Enza et moi. Et tu me connais assez pour savoir que je ne trahis pas la confiance que l’on me donne. Jamais ! La seconde, c’est que je t’ai pourtant prévenu plusieurs fois des tendances de ton épouse à essayer de résister à l’attrait du sexe avec un autre avant qu’elle ne m’avoue y avoir cédé. Tu n’as rien voulu entendre, j’ai considéré que mon rôle auprès de toi avait été rempli. Ce n’est pas à moi de faire mon autocritique, Alexis. C’est à toi ! Mais je conçois que c’est un point de vue typiquement féminin et qui me permet de m’arranger avec ma conscience. 

-       Je comprends ton point de vue et je me souviens de tes mises en garde. Mais comme Enza, je ne les ai pas entendues. Mais cela ne répond pas à ma question de départ !

-       Ce que je fais devant toi, dans cette tenue, en train d’embrasser ton épouse et mon amie ? C’est simple. Arnaud et moi sommes libertins, Alexis ! Enfin, Arnaud l’était au départ. Je le suis devenue depuis plusieurs années par la grâce de sa patience et de ses enseignements. 

-       HEIN ?

La foudre venait de tomber à mes pieds. Nathalie et Arnaud ? Libertins ? Ce couple si sage et si poli ? Ma secrétaire personnelle depuis tant d’années vit une vie de liberté sexuelle avec son mari, cet homme si effacé et si porté sur l’intellect ? 
Qu’ai-je dit à propos du fait que l’on ne connait pas les siens ?

-       Je sais que cela peut paraître étrange. Rien dans notre attitude quotidienne ne permet de le deviner. Et c’est très bien ainsi, d’ailleurs. Mais Arnaud est particulièrement porté sur le sexe et il m’a entraîné dans ce monde de luxure depuis notre mariage. Et je dois avouer que je ne le regrette pas, même si j’étais offusquée et réticente dès le départ. Les restes d’une éducation bornée, que veux-tu ? Il m’a faite, façonnée, éduquée et j’ai dépassé ses attentes. Alors lorsqu’Enza m’a appelé en me parlant de ta demande, je n’ai pas beaucoup hésité. Tu es un bel homme, patron, et cela me plaît de m’encanailler avec ton épouse qui est, de mon point de vue, la plus belle femme que je connaisse. Ma proposition a trouvé écho auprès d’elle et elle a compris qu’il lui serait plus simple de débuter dans sa découverte du sexe au féminin avec une femme expérimentée et qui serait, en plus, proche d’elle. Sans jugements et sans lendemains. Car nous en avions déjà discuté ensemble. Ce n’est plus un sujet expérimental pour nous. Même si elle n’a cédé que par amour pour toi. Mais je ne vais pas dire que je le regrette, au contraire. 

-       Tu veux dire que tu es là…pour nous baiser ?

-       Bien sûr ! Pour quelle raison suis-je en lingerie, à ton avis ? Pour t’apporter un dossier ? Alexis ! J’ai envie de baiser avec vous depuis que je vous connais. Vous êtes beaux et séduisants. Pour une femme comme moi, c’est un crève-coeur de devoir résister, tu n’imagines même pas !

-       Mais…Nathalie… !

-       Je te promets que tu ne remarqueras rien au boulot ! Si tu savais combien de collaborateurs ou de collaboratrices, pourtant bien plus jeunes, j’y ai baisé, tu tomberais de ton fauteuil. Pourtant, tu n’as jamais rien remarqué parce que je sais cloisonner ma vie sexuelle et ma vie professionnelle. Rassure-toi, il en sera de même avec toi ! Au boulot, lorsque je suis avec toi, tu as l’une des parties de ma personnalité. Stricte, professionnelle, rigoureuse et exigeante. Mais il y en a d’autres, dont celle portant sur le sexe où je suis sans limite et sans retenue, libertine et prédatrice. C’est ainsi. Je ne connais pas tout de toi, non plus. Mais je sens que je vais en découvrir une partie ce soir, et ce n’est pas pour me déplaire.

Je ne savais plus quoi dire ! Je m’attendais à tout, sauf à cela. Je pensais à un dernier argument mais il me paraissait totalement insultant envers elle. Mais, comme je vous l’ai dit, cette femme me connaît mieux que je ne me connais et elle comprit l’objet de mes cogitations uniquement en me regardant.

-       Et ne t’imagine pas que notre différence d’âge est importante. Je te parie que je tiens bien mieux la route que toi. Ce n’est pas parce que j’ai dix années de plus au compteur que je ne serai pas la dernière debout et encore vaillante. Alors, en piste ! Tu voulais que ta femme découvre le sexe lesbien, tu vas être servi, patron. Et comme elle en a très envie puisqu’elle veut te faire plaisir tout en jouant son rôle de soumise, elle n’a pas le choix. Je vais me permettre de jouer les enseignantes et de déguster son corps de rêve en lui montrant les bases de cette sexualité. Je sens que ma chatte va finir trempée, avec une femme comme celle-là ! Dit-elle en passant sa langue sur ses lèvres.

Et sur ces paroles, elle agrippa à nouveau Enza pour lui rouler une nouvelle pelle d’anthologie. Je pouvais parfaitement distinguer les langues qui pénétraient les bouches, les lèvres qui se soudaient et les mains qui partaient en exploration. 

-       Mmmhh….Tu as décidément une paire de seins phénoménale, Enza ! Je vais me régaler. Depuis le temps que j’en rêve !

-       Ah oui ? Demanda mon épouse. Explique-moi pourquoi ! J’aime lorsque tu me parles.

-       Parce que tes seins sont imposants, fermes et d’une rondeur exquise. J’aime les caresser et poser mes mains pour en prendre possession. Ils sont incroyables. Je rêve d’une paire de seins pareilles. Et toi ? Tu aimes mes seins ? Demanda ma secrétaire en poussant son buste en avant. Tu penses que je devrais les faire opérer ? Quand je vois les tiens, je me dis que ce ne serait pas une mauvaise idée.

-       Ils sont très beaux, également ! Et ta lingerie les met parfaitement en valeur. J’adore sentir leur fermeté sous mes doigts. Et si tu veux te les faire refaire, je n’en vois pas l’intérêt. Du moins, en l’état actuel. Tu as un poitrine à se damner et j’adore ce décolleté. J’ai envie d’y plonger ma bouche.

Je vis mon épouse se pencher et déposer le bout de sa langue sur la surface laiteuse de la poitrine de Nathalie. Celle-ci lança sa tête en arrière, profitant de l’instant où mon épouse dégustait sa première mamelle. Elle descendit elle-même le bonnet retenant son globe et tendit son téton à la bouche vorace d’Enza. Enfin, mon épouse déposa ses lèvres sur le morceau de chair turgescent d’une autre femme et l’entoura de ses lèvres humides. Elle tétait comme une affamée ce sein offert par la main tendue de Nathalie. 

De son autre main, je pouvais voir qu’elle lui caressait les cheveux. 

Ce moment était d’un érotisme torride. Ma queue allait exploser sans même que je la touche. Je devais me calmer sinon j’allais passer pour un éjaculateur précoce. 

Nathalie agrippa alors son second sein et le tendit à mon épouse. Celle-ci posa sa bouche sur l’autre téton offert et recommença sa tétée. Pendant ce temps, je distinguais la main de ma secrétaire se diriger vers sa chatte. Elle la passa sous son string et entama une masturbation lente et calme, en suivant le rythme de la succion de ses seins. 

-       Mmmhhh…Tu me suçes bien ! Continue, j’adore que l’on me tète la poitrine. 

-       Mmmhh…. ! Alors j’en profite ! J’adore ce que je découvre ! Dis mon épouse entre deux coups de langues. 

La masturbation de Nathalie s’accentua et je pus voir qu’elle se pénétrait d’un doigt. Son plaisir grandit à cet instant et elle ne put se retenir de nous le faire savoir

-       ARGGHHHH ! Encore…ouiiiiii….C’est bon ! Tu es pleine de surprise, ma chérie ! Encooooore….Plus fort ! Bouffe mes seins ! Laisse-toi aller, suis ton instinct....ouiiii...encooore....

Enza ne se le fit pas dire deux fois et elle accentua la prise de ses mains sur les seins de Nathalie et goba littéralement l’un d’entre eux dans sa gorge. J’avais l’impression qu’elle cherchait à l’aspirer. 

-       OUIIIIIIII ! OH QUE C’EST BOOOON !  Hurla alors Nathalie, deux doigts coulissant alors dans sa grotte trempée. 

Elle se calma un instant, visiblement satisfaite de cette entrée en matière. Elle embrassa Enza et porta son doigt trempé à la bouche de mon épouse. Celle-ci n’hésita pas et ouvrit sa bouche pour que cet index se pose sur sa langue. Elle le suça quelques secondes, goutant ainsi à un jus autre que le sien. 

J’étais au bord de l’explosion mais je tentais de faire bonne figure. Ces deux femmes allaient réussir l’exploit de me faire éjaculer sans même me toucher. 

Nathalie coucha alors Enza sur le divan et écarta ses jambes. Elle posa directement sa langue sur la chatte offerte de mon épouse et entama un cunnilingus de folie. Un éclair passa dans le regard d’Enza lors du premier contact puis, lorsque la langue de Nathalie se mit en marche, elle rejeta dans un cri d’animal blessé sa tête en arrière.

-       AARRGHHHHH…. ! OOOOOHHHHHH PUTAIN ! 

Je vis un rictus sur le visage de ma secrétaire mais elle ne ralentit pas le rythme. Par contre, sa langue se faisait plus légère sur le clitoris, à présent émergé, de mon épouse. Cette dernière commença à caresser ses seins, les sortant de leur prison de dentelles et étira lentement ses tétons, les grandissant et les rendant plus sensibles. Nathalie la pénétra d’un doigt inquisiteur et entama un mouvement très lent, entrant et sortant du vagin d’Enza. Sa bouche prit possession du clitoris et elle l’embrassa avec force et vigueur, sa langue tournant autour de ce point si sensible. 

-       OH OUIIIIIIIIII ! PLUS FOOOORT ! PUTAIN QUE C’EST BOOOOOON ! JE JOUIIIIIIS…. ! Hurla Enza dès que Nathalie entra un second doigt et entama un va-et-vient endiabler dans la chatte ouverte de mon épouse. 

Au moment où Enza jouit, je vis un jet de cyprine atterrir dans la bouche ouverte de Nathalie. Jamais mon épouse n’avait eu, à ma connaissance, un orgasme aussi ravageur et aussi impressionnant. Elle venait d’éjaculer en jouissant comme rarement. 

Son corps était en convulsion et elle tremblait. J’eus un instant peur pour elle mais Nathalie, me coupant l’herbe sous le pied, se positionna au-dessus d’Enza et l’embrassa avec fougue, la ramenant à la réalité. 

-       Nath ! Bon sang ! C’est toujours ainsi avec une femme ?

-       Qui d’autre qu’une femme connait une femme, ma chérie ? 

-       Bordel ! Il faudra que tu recommences ! Si j’avais su, j’aurais essayé bien avant. Que de temps perdu ! Tu me le referas ?

Là, c’était ce qu’il ne fallait pas dire. Enza s’en rendit compte et corrigea le tir.

-       Enfin ! Si mon Maître y consent ! 

-       Tu joues à ce jeu-là, Alexis ? Demanda Nathalie. Tu y joues vraiment ? 

-       Cela t’ennuie ?

-       En fait…non ! Si chacun y trouve son compte, pourquoi pas ! Et si Enza le veut et que tu es d’accord, nous pourrons recommencer. Mais en attendant, j’ai envie aussi de jouir ! Alexis ? Tu permets qu’Enza me fasse jouir à son tour ?

-       Mais je ne sais pas comment faire ! Dit-elle.

-       C’est instinctif, ma chérie ! Tu verras ! Alexis ?

-       Bien sûr ! Enza, fais donc jouir celle qui t’a initié avec talent ! Car jamais tu n’avais eu un orgasme aussi dégoulinant. 

Nathalie me sourit et s’installa dans le divan. Elle écarta ses jambes après avoir retiré son string. Sa chatte imberbe était luisante de sa mouille et elle était parfaitement dessinée. 

Mon épouse passa un doigt le long des lèvres offertes, remonta vers le clitoris ce qui eut pour effet de faire frémir Nathalie. Un frisson de plaisir. Enfin, elle approcha sa bouche et posa ses lèvres sur une chatte pour la première fois de sa vie. Elle sortit sa langue et entama de lécher le sexe présenté. Elle la passa avec une lenteur toute calculée de haut en bas, remontant et descendant pour pénétrer doucement le vagin de Nathalie à chaque passage. Cette dernière ronronnait de plaisir en regardant sa protégée lui donner son premier cunnilingus de sa vie tout en caressant ses seins qu’elle avait éjecté de son soutien-gorge. 

Je les admirais en silence. Les seins de ma secrétaire étaient merveilleux. Ils semblaient doux et fermes malgré la différence d’âge entre nous. Je me maudis de ne les avoir jamais remarqués lorsque je me remémorais qu’elle était toujours habillée de façon assez stricte au bureau et que je ne l’avais jamais vue avec un décolleté autre que très sage, à la limite de l’eucharistique. 

Elle cachait décidément bien son jeu. Qui aurait pu croire que ma secrétaire, de dix ans mon aînée, si sévère professionnellement, était en fait une femme avide de sexe, masculin comme féminin ? Pas moi ! Je prenais une nouvelle leçon en pleine figure ! Mais je dois avouer que je l’adorais, celle-là. 

Le temps de mes cogitations, je vis qu’Enza avait pris possession du vagin de Nathalie en y insérant un doigt lancé à la recherche d’un point particulier tandis que son autre main s’aventurait dans des terrains plus au sud. 

-       OUIIII ! Vas-y aussi…pousse ton doigt dans mon cul, j’adore cela !

Elle était pleine de surprises toutes plus agréables les unes que les autres. 

Mon épouse obéit à cette injonction et je vis Nathalie écarter ses fesses de ses mains pour faciliter le travail anal de mon épouse. Elle replia ses jambes sur son buste, faisant preuve d’une souplesse incroyable pour son âge, donnant un parfait accès à Enza à la cible recherchée. 

Je vis la première phalange de l’index de mon épouse disparaître dans le fondement de ma secrétaire et entamer un lent et très doux va-et-vient, opposé à celui qui entrait et sortait de sa chatte béante et ruisselante. 

-       ARRGGHHH…C’EST BON ! CONTINUE ! TU ES DOUÉE, ENZA ! ENCOOOOORE ! AAARGHH.....

Enza ne se le fit pas dire deux fois et accentua légèrement sa poussée comme son rythme. Elle goba le clitoris de sa victime qui, sous le triple assaut, rendit les armes en aggripant la chevelure de mon épouse et en pressant sa tête contre sa chatte béante et offerte à la voracité de son tourmenteur. 

-       OUIIIIIII…CONTINUUUUUUUE….JE JOUIIIIIIIS ! 

Un nouveau flot de cyprine jaillit, inondant la bouche ouverte d’Enza qui reçut sa première douche. Son visage était trempé et elle dégoulinait du jus de Nathalie qui avait l’orgasme très théâtral. 

Cette dernière se releva, vaille que vaille, et lécha le visage de mon épouse. Elle la nettoya avant de poser sa langue sur celle d’Enza pour mélanger son goût avec elle. Et visiblement, Enza adorait cette sensation car ses mains repartirent à l’assaut de la poitrine de Nathalie, caressant ses seins, tirant ses tétons. 

Ma queue allait trouer mon pantalon. Je n’avais jamais vu un truc pareil. C’était tellement mieux que dans les mauvais pornos dont internet nous abreuve à longueur de clics. 

-       Tu as aimé ? Demanda une Enza timide, pourtant certaine du plaisir qu’elle avait donné à Nathalie.

-       Bien sûr ! C’était terriblement bon ! Tu es une élève douée, Enza. Mais je n’en doutais absolument pas ! 

-       J’ai encore envie de jouir par tes bons soins avant de nous occuper d’Alexis !

-       Pas de problème. Couche-toi sur le tapis ! Je prends un peu la direction des opérations.

Mon épouse s’exécuta. 

Nathalie se positionna au-dessus d’elle, en passant ses jambes entre celles de mon épouse. Elle approcha son sexe de celui d’Enza et, lorsqu’ils se touchèrent, elle entama un mouvement ondulatoire contre la chatte baveuse en face de la sienne. 

Enza comprit immédiatement et porta, elle aussi, sa chatte à la rencontre de celle de Nathalie. Les deux femmes se relevèrent et, s’embrassant goulûment, frottèrent leur sexe l’un contre l’autre.

-       Ooohhh….C’est booon ! Découvrit mon épouse. C’est terriblement sensible et excitant. Je sens tes lèvres caresser les miennes, c’est bon. Encore !

-       Regarde ! Dis Nathalie en se penchant un peu en arrière, ce qui eut pour effet d’accentuer la pression contre la chatte de ma femme.

-       OUIIIIIII ! 

D’une main, elle agrippa les seins d’Enza et commença à la caresser. Elles ne se quittaient pas des yeux et je pouvais sentir le plaisir émaner d’elles. L’orgasme était proche mais elles maintenaient le plaisir sans aboutir à l’extase. Je voyais bien que Nathalie était prête mais s’amusait du plaisir que prenait mon épouse, qui faisait durer de moment, retardant l’inévitable qui, je le voyais, montait lentement entre ses hanches. Lorsqu’Enza se pencha à son tour en arrière, la pression devint insupportable pour les deux femmes car elles jouirent à l’unisson en quelques secondes.

-       OUIIIIII ! TU ES SI BOOOOONNNE….AARRGGGHHHH.....

-       NATHALIIIIIE ! JE JOUIIIIIIS…….AAAAHHHHHH....

Elles s’effondrèrent ensemble, reprenant leurs esprits après cette course à l’orgasme qui avait débuté quelques minutes auparavant. 

Pour une première, c’était une belle première. 

Mon épouse avait rempli son contrat en m’offrant ce que je lui avais ordonné. 

Un spectacle lesbien dans lequel elle tiendrait un rôle participatif. Elle avait dépassé mes espérances et comblait mon orgueil. Elle avait eu l’audace et la finesse de choisir une partenaire expérimentée et attentive à ses demandes tout en tentant une pratique qu’elle ne connaissait pas sans arrière-pensées et sans remords. Encore un point pour elle. Ainsi, elle avait mis un point d’honneur à respecter à la lettre ce que j’avais exigé d’elle. 

-       C’était divin, Enza ! Je veux pouvoir refaire cela avec toi. Alexis ? Il faudra que tu l’y autorises, d’accord ?

-       Nous verrons, Nathalie ! Si elle est obéissante et sage, je pourrai peut-être l’envisager.

Je vis au regard d’Enza qu’elle avait bien l’intention de recommencer le plus rapidement possible. Cela m’assurait, du moins pour un temps, son obéissance et sa soumission à mes fantasmes et mes demandes si je mettais cette possibilité dans la balance. 

-       Mais il me semble que tout n’est pas terminé ! Enza ? Ne devions-nous pas honorer également ton mari ?

-       C’était ce que j’avais prévu, Nathalie. Mais tout dépend de lui, à présent. En a-t-il envie ? Car moi, il ne me touche plus et toi, tu es tout de même sa secrétaire.

Ces deux femmes étaient démoniaques. Lequel d’entre vous, messieurs, aurait refusé à cet instant de se faire baiser par ces deux femelles en rut ? 

C’est bien ce qu’il me semblait.

Pour seule réponse, je souris et ouvris la braguette de mon pantalon. Mon sexe jaillit de sa prison de toile, tendu comme il ne l’avait jamais été. 

-       Mmmhh…Tu as une belle queue, patron ! Quoi qu’un peu plus petite que celle d’Arnaud. Mais ne dit-on pas que ce n’est pas la taille qui compte ?

Elle m’étonnait, là. 

Arnaud est un homme plus petit que moi, un peu trapu et ventripotent. 

Et visiblement particulièrement bien membré. 

Non pas que je doive rougir de mes attributs mais je ne m’estime pas hors moyenne nationale. Mon sexe n’est pas celui que l’on voit à foison sur les écrans pornographiques. 

Nathalie ne me laissa pas le temps de la réflexion, elle posa ses lèvres sur mon gland érigé et ouvrir la bouche pour avaler l’objet de son désir, sans la moindre hésitation. Elle m’électrisa en un quart de seconde et je m’affalais en arrière, pris par le plaisir

-       OH MERDE ! NATHALIE….

-       Ouiiiiii ? Me dit-elle malicieusement.

-       Qui êtes-vous et qu’avez-vous fait de ma secrétaire ?

-       Respire, patron ! Enza et moi allons te faire exploser la queue.

Je vis mon épouse me sourire et s’approcher de mon sexe, toujours dans la bouche de Nathalie. Cette dernière lui laissa la place, non sans déposer un baiser sur les lèvres tendues. Enza prit alors possession de son bien et entama une fellation dont elle a le secret. 

Sa langue tournait le long de la couronne de mon gland tendit qu’elle montait et descendait le long de ma tige. Nathalie ne put s’empêcher de faire un commentaire

-       Elle a une technique redoutable ! 

-       OHHHHH ENCOOORE…

-       Oui ! Redoutable !

Nathalie laissa Enza me sucer quelques secondes puis posa ses lèvres sous celles de mon épouse et s’occupa de la base de ma queue. Deux bouches s’affairaient, dorénavant, sur mon sexe. C’était le paradis. Et lorsqu’Enza laissa son amie vagabonder dans ses territoires, elles emprisonnèrent mon sexe entre leurs lèvres qui se touchaient dans un baiser, coinçant ma queue entre leur bouche, montant et descendant en parallèle, pour mon plus grand plaisir, leur langue triturant chaque recoin de ma queue.

Quelques minutes de ce traitement suffirent à me faire éjaculer. 

J’avais été au supplice en les regardant, il ne fallut pas grand-chose pour que j’explose. 

Je prévins ces dames de l’imminence de l’éruption mais Nathalie n’en eut cure et goba ma queue, ce qui eut pour effet de m’achever et de me permettre de me répandre dans cette cavité chaude et accueillante. 

Lorsque, après trois spasmes, le flot se tari, Nathalie se tourna vers Enza, lui empoigna la tête et posa sa bouche sur celle de mon épouse. Elle poussa sa langue contre celle de ma femme et un nouveau ballet gluant commença. Elle se partageait le fruit de leur travail dans un baiser laiteux du plus bel effet. C’en était divin pour les sens. Surtout lorsque leurs langues sortirent de leur bouche pour se caresser alors que ces démons femelles me fixaient simultanément, comme pour me défier.

Repues par cet exercice final, je proposais un rafraichissement que les deux femmes acceptèrent. 

Je sortis une bouteille de champagne du frigo et servis trois coupes. 

Nous n’échangeâmes pas un mot, profitant de la fraîcheur du breuvage. 

L’assaut vint encore de Nathalie qui se positionna à quatre pattes sur le divan, le cul tourné dans ma direction.

-       Alexis ! Ton épouse m’a doigté le cul tout à l’heure. Mais j’ai envie de ta queue ! Cela te tente ?

Je ne pus retenir un regard vers Enza. Je suis son Maître et je n’aurai même pas dû demander son avis. Je ne le fis pas, mais ce geste me prouva que j’avais encore du chemin à parcourir pour être celui que je souhaitais devenir. 

Je me positionnais alors derrière Nathalie. Enza m’enfila un préservatif qu’elle avait eu la précaution d’emmener ce soir avec elle, lécha le cul présenté puis me regarda. Je repris le pouvoir en disant

-       Tiens mon sexe et présente-le à son cul. Tiens-le droit lorsque je vais pousser. 

Enza s’acquitta sans broncher de sa tâche. Elle tint ma queue tendue juste en face du petit trou de Nathalie. Je poussais tandis qu’elle écartait les fesses pour me laisser la place. Ma queue fut aspirée à l’intérieur du cul ouvert, preuve d’une habitude de cette pratique chez ma secrétaire. 

Mon mouvement se fit rapidement ample mais doux. Je ne tenais pas, non plus, à passer pour une brute incapable de se dominer. 

Et j’avais acquis auprès d’Elle, une expertise certaine de cette pratique. 

Je poussais ma queue en cadence et en rythme à l’assaut de ce cul offert sur un plateau. Les premiers râles de plaisir résonnèrent dans la pièce lorsque je dis

-       Enza ! Lèche ses seins. Je suis certain qu’elle y sera sensible, dis-je en me souvenant qu’elle l’avait évoqué au début de notre jeu.

-       OUIIIIII ! Viens me sucer, ma petite, viens me téter les nichons. 

Sous l’effet du plaisir, le vocabulaire de Nathalie commençait à changer, preuve que je ne m’y prenais pas trop mal. 

Je vis Enza se pencher et ouvrir la bouche. Elle avala un téton et, du bout de la langue, commença son travail de sape. 

Je sentis le cul de Nathalie se tendre sous l’effet du baiser de mon épouse. Elle aimait vraiment se faire sucer les siens. 

-       Caresse l’autre, tire son téton…Fais la couiner !

-       OUIIIIIII ! TU ES UN BEAU SALAUD, ALEXIS ! J’ADOOOORE…PLUS FOOOORT ! BAISE-MOI MAINTENANT !

Je ne me fis pas prier et lâchais les chevaux. 

Mon rythme augmenta et je lui défonçais le cul. Mais cela eut aussi pour effet d’accroître mon plaisir en un instant. Malgré le préservatif, je n’étais pas certain de tenir assez longtemps pour la faire jouir de cette façon. 

-       ENZA ! Dis-je dans un souffle. Suce son clito !

Mon épouse apparut à côté des seins qu’elle léchait, me sourit comprenant le sens de ma requête et plongea tête la première sous les jambes de Nathalie, qu’elle écarta ce qui eut pour effet de renforcer la pression sur mon sexe. Je n’avais plus que quelques secondes devant moi. Mais Enza vint à mon secours car, lorsqu’elle posa sa langue tendue contre le clitoris de Nathalie, son orgasme se déclencha.

-       OOUUIIII ! AAAHHHH SALOOOOOOPE ! TU M’AS FAIT JOUIIIIIIIIR….. !

Entendre Nathalie traiter ma femme de salope aurait eu, normalement pour effet, de me faire débander illico. Mais la pression qu’elle mit contre ma queue à cet instant me fit ressentir que ce n’était pas une insulte mais un hommage à son talent. 

Je me répandis d’une traite dans le caoutchouc protecteur. Peu de sperme sortit car je venais de jouir de belle façon quelques minutes auparavant. Mais suffisamment pour m’en sentir fier et heureux. 

Je sortis mon sexe lentement du cul de Nathalie et allais jeter mon préservatif dans la poubelle. Enza et Nathalie s’embrassaient langoureusement, leurs mains passant et repassant le long de leur poitrine. 

Je souris en me dirigeant vers la porte de la cuisine lorsque je vis qu’elle bougeait sur ses gonds. 

Avions-nous laissé une porte ou une fenêtre ouverte ?

Tandis que j’entrais dans la pièce, il me semblait qu’une ombre se faufilait dans le noir du couloir. Je n’y fit pas plus attention que cela et retournait voir mes deux femelles. 

Leurs langues jouaient toujours ensemble et leur regard m’indiquait que cette première ne pourrait rester longtemps sans une suite. L’assaut ne viendrait pas d’Enza, puisqu’elle n’avait plus rien à décider, mais j’étais certain que Nathalie ne se priverait pas d’en faire la demande, quitte à me menacer ouvertement au boulot. 

Je devrais aviser. 

Je les regardais s’embrasser et se caresser lentement, prenant un plaisir évident à s’être découvertes l’une et l’autre. 

-       Tu as parfaitement rempli ta première mission, Enza ! Je dois avouer que je ne m’y attendais pas. Tu mérites des éloges. 

-       Cela signifie-t-il que vous êtes satisfait, Maître ?

-       Je le suis, effectivement.

-       Je mérite une récompense ?

-       Pas encore ! 

-       Et moi ? Demanda Nathalie ?

-       Toi ? Pourquoi devrais-je te récompenser ?

-       Pour l’initiation que j’ai pratiquée.

-       Tu as pris ton pied ! C’est un gage de réussite suffisant. Tu veux quoi ? Une augmentation ? Dis-je en plaisantant. 

-       Non ! Ta femme durant une nuit, rien que pour moi !

-       Je verrai. Je vous ai promis d’y réfléchir.

C’est alors qu’un nouveau mouvement attira mon attention. Cette fois j’étais certain d’avoir vu quelqu’un dans l’embrasure de la porte communiquant avec le hall d’entrée de la maison. 

Je pouvais distinguer, malgré l’obscurité, deux yeux qui nous regardaient. 

Et ces yeux, je les connaissais parfaitement.

-       Oh non ! Enza ? Tu as appelé les filles ? Demandé-je doucement en tournant la tête vers mon épouse comme pour lui dire un secret.

-       Oui, Maître ! Répondit-elle de la même façon, sans comprendre le sens de la question. Pourquoi ?

-       Parce que l’une d’elle est rentrée à la maison depuis un moment !
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