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Ma femme m'a trompé...et cela a tout changé !

Chapitre 18

Un plaisir inédit et une marque éternelle

Avec plusieurs femmes
Je venais de quitter mon bureau, après avoir enfermé le contrat signé par ma fille aînée en lieu sûr, au côté de celui asservissant sa mère à mes désirs.

J’étais fier du tour que je venais de lui jouer.

Elle m’avait manipulé pour me liguer contre sa sœur et sa mère, se faisant passer pour la victime d’un chantage éhonté mais parfaitement crédible. Du moins avant que je ne comprenne les tenants et les aboutissants de sa personnalité.

Isaline était, depuis toujours, attirée par la sexualité et les rapports intimes. Elle avait néanmoins attendu un certain âge, que nous qualifierons de raisonnable, pour se lancer dans l’aventure qu’est la sexualité chez les humains. Elle en avait fait part à sa mère, lors des discussions dont je vous ai parlé précédemment. Mais visiblement, ces femmes gardaient une partie de leur secret pour elles. 

En fait, Isaline m’avait menti uniquement dans le but de se préserver de ma fureur si j’apprenais ses frasques et sa personnalité sans limite aucune. Lorsque je lui avais demandé la raison de cette attitude, elle m’avait répondu

-       Parce que Maman et toi m’avez éduquée dans le respect et une forme de circonspection au sujet de la sexualité. J’ai eu peur de te décevoir si tu apprenais ce que je fais et comment je vis ma propre recherche du plaisir. Alors, comme une idiote, je t’ai menti. Je n’ai pas réfléchi sur le moment, tu étais tellement en colère. Et tu sais que, depuis toute petite, j’ai peur de tes colères. 

-       Tu insinues que tu as dit tout cela juste dans le but de détourner ma colère contre d’autres que toi ?

-       Ce n’est pas glorieux, je te l’accorde. D’autant plus que vous m’avez apprise à assumer mes actes et mes choix, y compris lorsqu’ils peuvent être différents de votre point de vue.

-       Surtout lorsqu’ils sont différents de nos points de vue, Isaline. Tes choix déterminent qui tu es ! Ce ne sont pas des mensonges ou des non-dits qui te construiront et feront de toi une femme épanouie.


-       Je sais, Papa ! Tu me l’as souvent dit ! Mais que veux-tu ? Je reste, quoi que tu en penses, ta petite fille et je ne veux pas te décevoir. Même si, par mon attitude et par ce que tu as appris me concernant, tu ne dois plus avoir beaucoup d’estime pour moi.

Une alarme s’était mise en marche à cet instant et je compris que, si elle était parfaitement sincère, elle n’en restait pas moins démoniaque. J’étais certain qu’elle tentait de m’adoucir afin d’échapper à mon courroux. Je ne lui donnais donc pas satisfaction.

-       Ce que je pense ne regarde que moi, Isaline ! Et tu n’auras pas accès à mes pensées. Tu es devant moi pour expier tes fautes et obtenir mon pardon. Rien d’autre. 

C’est ainsi qu’elle signa ce contrat, puis m’octroya l’un des moments les plus intense de ma vie adulte en caressant sa chatte juste en face de moi et se donnant un orgasme terriblement ravageur. 

En sortant, je lui dis

-       Isaline ! N’oublie pas ce que je t’ai donné comme ordre ! Je veux une réponse rapidement. Très rapidement. J’en ai assez de jouer au chat et à la souris avec vous. Ta mère et toi êtes rentrées dans le rang. Je veux que ta sœur fasse de même. C’est compris ?

-       Oui, Papa !

-       Pardon ?

-       Oui, Maître ! Se reprit-elle. 

-       Bien ! Rapidement !

Je tournais les talons et me dirigeais vers la cuisine. J’avais besoin d’un nouveau café avant d’appeler Enza. 

Quelques minutes plus tard, je lui expédiais un message succinct. 
[SMS]>Rappelle-moi au plus vite !

Deux minutes plus tard, mon téléphone sonnait.
-       Alexis ? Maître ? Excusez mon retard, j’ai dû raccrocher avec mon fournisseur ! Que puis-je faire pour vous ? 
Je souris à ses excuses et au fait qu’elle semblait vraiment se soumettre.
-       Je vais t’envoyer une adresse dans la journée ! Je veux que tu t’y rendes à l’heure indiquée. Tu y suivras les consignes de la personne que tu rencontreras et tu lui obéiras comme s’il s’agissait de moi ! Est-ce clair ?

-       Oui, Maître ! Puis-je savoir de quoi il s’agit ?
Je pouvais entendre au son de sa voix que quelques craintes naissaient dans son cortex. J’en étais ravi. Mais je n’allais lui donner que matière à la réflexion et laisser croître son angoisse.
-       Disons qu’il s’agit d’une nouvelle épreuve destinée à vérifier ta docilité et ton obéissance. Un refus serait funeste pour ton avenir. Mais je suis certain que tu auras à cœur de satisfaire, sans la moindre discussion, les désirs de ton Maître pour lui apporter le bonheur et le plaisir auquel il a droit ! Bonne journée, Enza ! Nous nous verrons ce soir, après ton rendez-vous !

Je raccrochais sans lui laisser le temps de répliquer. 

Je jubilais ! 

Elle allait passer dans une autre dimension. J’avais eu beaucoup de chance en passant mon appel. De la place s’était libérée et le patron acceptait de recevoir mon épouse pour régler notre affaire à une heure plus tardive que ses horaires habituels, moyennant compensation que j’avais prévue avec lui en annonçant également, tout en riant, qu’il ne serait pas déçu du modèle.

Enza aurait probablement un petit sursaut de stupeur en reconnaissant cet homme, mais ce n’en était que meilleur pour moi. Je ne pus retenir un sourire de contentement et de savourer cet instant. Je me réjouissais de rejoindre mon épouse infidèle. Car elle ne pouvait deviner que je serai présent et que j’assisterai à la scène. 

Rien que d’y penser, je bandais ! 

Incroyable comme une trahison et un sentiment de vengeance peuvent vous permettre de vous connaître mieux que toute une vie de songes et de réflexions. 

En retournant dans mon bureau, je me mis à travailler pour la première fois depuis plusieurs jours. Il était temps que je reprenne en main mon entreprise, malgré l’excellent travail de ma secrétaire. 

Mais au bout de deux heures à lire des rapports et à passer quelques ordres, je me rendis compte que cela n’avait plus la même saveur. Pour la première fois de ma vie, mon travail m’ennuyait. 

En me relevant et en m’appuyant sur le dossier de mon fauteuil, je dus réfléchir à ce qu’il se passait. Et je dus admettre que tourmenter mon épouse et mes filles m’excitait dorénavant bien plus que de me concentrer sur des lignes de chiffres et sur des règlements européens en matière de concurrence. 

Un déclic s’était produit ! 

Et j’adorais cela !

Ce n’est que vers quinze heures, que je reçus un appel de ma fille aînée.
-       Papa ? C’est Isaline.

-       Qui ?

-       PAPA !

-       …

-       Papa ?

-       …

-       Maître ?

-       Oui ?

-       Pffff…. !
Je raccrochais immédiatement.

Ma fille appela à nouveau ! Plusieurs fois ! Mais je ne décrochais plus.

Il était temps qu’elle me témoigne le respect auquel j’aspirais. 

Finalement, je coupais mon téléphone et elle tomba sur la messagerie. J’espérais que le message était clair et qu’elle n’aurait plus qu’à venir me porter le sien de visu.

Une heure plus tard, elle fit irruption dans mon bureau, échevelée et rouge de colère.
-       ON PEUT SAVOIR CE QU’IL TE PREND DE ME RACCROCHER AU NEZ ET DE NIER MES APPELS ?

-       Assieds-toi !

-       TU TE PRENDS POUR QUI ?

-       Dernière fois ! Assieds-toi ou subis ma colère !
La menace fit son effet. Elle s’assit et repris
-       Excusez-moi, Maître ! Je n’ai pas encore bien assimilé vos règles. Je me comporte comme une idiote et je ne vous témoigne pas la reconnaissance nécessaire au vu de mes actes passés.

-       Voilà qui est mieux ! 

-       Merci, Maître !

-       Debout, jeune fille !

-       Bien Maitre !
Je passais derrière elle et je l’inclinais sur le bureau. Je pus admirer sa poitrine s’écraser sur l’acajou. Cette vue était des plus délicieuses. 

Je me positionnais juste derrière elle et je relevais sa courte jupe à volants. Elle ne portait plus que son string. C’était parfait. 

Ma main claqua sur sa fesse gauche dans un bruit sourd.

Isaline suffoqua de surprise. Mais elle n’eut pas le temps de répliquer qu’une seconde fessée atteignit son postérieur. 
-       Je t’ordonne de garder le silence, Isaline ! Si tu n’y parviens pas, je recommencerai jusqu’à ce que tu m’obéisses.
Une troisième, une quatrième et quelques autres suivirent. 

Elle garda le silence, même si les derniers coups frappés lui donnèrent des sueurs froides et que je pus percevoir une respiration haletante et un début de douleur. Elle avait mal, mais restait stoïque dans l’épreuve. 

Lorsque quinze coups eurent frappé chacune de ses fesses, laissant la marque de mes doigts sur son magnifique postérieur, je redescendis sa jupe et retournait m’asseoir dans mon fauteuil.

Elle resta penchée sur mon bureau, ne sachant comment réagir.

Je me délectais de son décolleté ravageur et de ses seins laiteux. Elle avait une poitrine faite pour la caresse et les baisers. Mais je n’étais pas encore prêt à franchir ce pas, si je le franchissais seulement. 
-       Tu peux t’asseoir, Isaline.
Elle obtempéra mais ne put retenir un léger cri de douleur en posant ses fesses rougies sur le cuir du fauteuil dans lequel, quelques heures plus tôt, elle m’avait offert le spectacle de sa masturbation. 
-       OUCH !

-       Douloureux ? Demandé-je.

-       Oui, Maître !

-    Tant mieux ! Ainsi tu vas comprendre, dans ta chair, ce que peut coûter l’outrecuidance et l’irrespect envers celui qui détient la signature de ta soumission.

-       Merci, Maître ! 

-       De rien, jeune fille ! Alors ? De quoi voulais-tu me parler ?

-       De ma sœur !

-       Je t’écoute.

-       Je lui ai parlé, ce matin, après vous avoir quitté.

-       Et après m’avoir donné un spectacle remarquable et inattendu. Continue !

-       Oui, Maître ! Je suis heureuse de vous avoir donné un peu de plaisir dans ce cas. Eh bien, elle comptait venir à la maison, ce soir. Il y a longtemps qu’elle est sans nouvelles de Maman et de vous et, pardonnez-moi, elle s’en inquiète car ce ne sont pas dans les habitudes familiales.

-       Parfait ! Que t’a-t-elle dit d’autre ?

-       Juste son inquiétude de la situation. 

-       T’a-t-elle parlée de ma visite chez elle ?

-       Non ! Elle obéit ainsi à votre injonction. 

-       Parfait ! Tu peux t’en allez, Isaline. Je te remercie pour ton dévouement. N’oublie plus, cependant, de me témoigner le respect dû à mon statut. Je reste ton Père, mais ne perds plus de vue que je suis, à présent, bien plus que cela.

-       Oui, Maître !
Elle se leva dans un rictus un peu douloureux, ses fesses lui faisant encore un peu mal. 

Elle quitta la pièce, me laissant dans mes réflexions. Ainsi, Anaëlle était inquiète. Tout était sur le point de se conclure, car elle venait de me donner l’argument décisif contre elle. Ce serait un jeu d’enfant de l’amener là où je le désirais. 

En regardant ma montre, je constatais que l’après-midi était déjà bien avancée. Je pris une décision sur l’instant. J’attrapais ma veste, mes clés et mon téléphone et je partis vers l’institut de beauté que fréquente généralement mon épouse. 

J’eus, à nouveau, la chance de tomber dans un créneau relativement calme, ce qui explique qu’une esthéticienne put s’occuper de moi. 

J’avais décidé de faire enlever les quelques poils retords sur mes épaules. Petit plaisir que je m’offrais de temps en temps et qui faisait également, alors, le régal d’Enza. 

Mais cette fois, en discutant avec la jeune femme qui s’évertuait à rendre ma peau glabre à grand renfort de bandes de cire et de gestes aussi précis que douloureux, nous en arrivâmes à parler d’épilation intime. 

Lorsque je m’interrogeais sur la douleur que les femmes pouvaient ressentir lors d’une épilation sur cette zone sensible de l’anatomie féminine, dans l’optique d’y faire passer au moins une fois mon épouse afin de me faire connaître mon goût ou non pour cette mode, elle m’assura que ce n’était effectivement pas le moment le plus agréable dans la journée. 

Je ris de bon cœur lorsqu’elle me raconta, par le détail, les spectacles comiques des réactions de ces dames lors de ces entretiens particulièrement privés, allant des cris aux sauts de cabris sur la table. Je ne sais plus exactement comment nous en sommes arrivés là, mais elle me proposa de tenter l’expérience. 

Bizarrement, je n’ai pas refusé. 

Ainsi, quelques minutes plus tard, je me retrouvais nu sous un voile de pudeur, entre les mains expertes de ma tourmenteuse. 

Elle sourit et je captais un regard discret mais acéré qui ne dura que quelques secondes, sur mon anatomie. Et le sourire qui lui échappa, ne m’échappa absolument pas à moi ! 

J’en étais flatté. 

C’était la première fois de mon existence qu’une autre femme que la mienne était si proche de découvrir ce qui, par tradition, doit rester le domaine exclusif de son épouse. Et, même si cette morale m’a toujours semblée un peu désuète, il n’en reste pas moins qu’elle était mienne depuis mon mariage. 

J’en ressenti une forme d’excitation que je ne pus contenir totalement. Il faut dire que ma jeune compagne du moment était tout à fait charmante et que ses charmes n’étaient pas des plus discrets sous son tablier réglementaire. 

Les pans étaient généreusement ouverts sur une poitrine délicatement emprisonnée dans un écrin de dentelles et que le galbe, ainsi offert, était tout à fait appréciable. Ses jambes, fines et musclées, étaient un appel à la caresse et son petit postérieur parfaitement moulé dans le bas de son habit. 

Mais ce qui m’avait, dès notre premier rendez-vous professionnel, marqué chez cette jeune fille, c’était son regard. Des yeux en amandes d’un bleu azur totalement hypnotiques. 

Elle était jeune, fraîche et resplendissante de candeur. 

Cela dit, elle me mettait dans une situation embarrassante et j’eus tout le mal du monde à maîtriser une érection que je sentais poindre et qui serait visible comme le nez au milieu de la figure, vu la position dans laquelle je me trouvais.

Comme si de rien n’était, elle se montra habile et professionnelle, retirant avec délicatesse les poils envahissants mon anatomie. Mais comme je n’avais jamais subi cette opération, c’est moi qui émit quelques cris et quelques borborygmes incohérents, à sa plus grande hilarité. Ce qui eut pour effet de calmer instantanément toute pensée obscène et, par la même occasion, de faire redescendre illico presto ce début d’érection dérangeante. 

-       Je commence à comprendre ce que vous vouliez dire ! Dis-je en la regardant d’un œil noir. 

-       Il n’y a pas de raison que seules les femmes subissent cela ! Après tout, nous aimons aussi que nos amants soient apprêtés et se donnent du mal pour nous. Ce n’est qu’un juste retour des choses, vous ne pensez pas ?

Je souris à sa remarque. Cette génération élevée dans un féminisme plus dur que la mienne n’a décidément pas sa langue en poche ! Personnellement, je trouve cela parfait, ayant toujours mis un point d’honneur à veiller à l’égalité parfaite entre hommes et femmes dans ma société. 

Lorsqu’elle eut terminé son travail de destruction définitive de ce qui faisait de moi un mâle – Mon pubis et mes testicules ne peuvent plus s’appeler ainsi après un tel traitement – elle m’annonça que la partie la plus agréable débutait.

Je la regardais avec circonspection lorsqu’elle approcha ses mains de la zone déterminée

Un baume apaisant d’une grande fraîcheur calma le feu de l’épilation instantanément. Elle massa lentement les zones qu’elle avait opérées et fit pénétrer avec une douceur infinie le produit. 

En levant les yeux, je vis que son regard était à nouveau fixé sur mon sexe, qui n’était plus caché par grand-chose. Et j’eus un choc. Elle semblait gourmande, désireuse de goûter à ma chair. Ses mains se rapprochaient imperceptiblement de ma queue tandis qu’elle ne se privait pas de masser langoureusement et avec une légèreté incroyable mes testicules douloureuses. 

Ce qui devait arriver, arriva.

Une nouvelle érection pointa et, cette fois, je ne pus la maîtriser.

-       Pardonnez-moi ! Dis-je, un peu embarrassé. 

-      Ne vous inquiétez pas, Monsieur ! Je vous ai dit que c’était la partie la plus agréable qui débutait. Si vous n’aviez pas cette érection, j’en serai meurtrie. C’est une réaction normale pour un homme lorsqu’une femme s’occupe de cette partie de son corps. Alors fermez les yeux, relaxez-vous et profitez du moment.

Je lâchais alors les chevaux et ma queue se tendit à son maximum, sous l’effet relaxant du baume ainsi que de la caresse inédite prodiguée par cette jeune femme experte dans ses gestes. 

-       Vous vous occupez également des femmes de cette façon ? Demandé-je, un brin curieux. 

-       Cela m’arrive, Monsieur ! Je me permets parfois de profiter de l’instant, lorsque je ressens, comme en cet instant précis, une sorte d’alchimie. Certaines d’entre elles sont, d’ailleurs, sensibles à ces massages plus féminins et apprécient un peu de réconfort après une telle séance. La douceur fait partie de chacune des femmes de ce monde et, sans me vanter, je pense qu’elle apprécie ce petit moment plus intime et plus ... subtil entre elles et moi.

-       Comme je les comprends ! Dis-je en riant et la laissant continuer son œuvre remarquable d’efficacité.

Elle accentua la pression sur mes testicules et mon sexe se tendit encore un peu. 

— Vous aimez ? Souhaitez-vous me voir aller plus loin dans l’orgasme que vous ressentez au creux de vos reins ? M’interrogea-t-elle.— Cela vous plairait-il ? Demandé-je en tentant de rester maître de mes émotions tant mon plaisir augmentait sous les doigts de cette jeune femme.— Beaucoup ! Je vous trouve terriblement magnétique et j’ai, je ne me l’explique pas, le désir de vous faire éjaculer. Ma chatte est trempée et mes seins me font mal tant cela m’excite. C’est inhabituel mais il m’est impossible de faire refluer cette envie. Me permettez-vous ? Dit-elle en accentuant un peu ses mouvements et en ondulant le long de la table, frottant son sexe contre le cuir blanc. — Alors je m’en remets à vous ! Dis-je en répondant à son sourire franc.

Soudain, je sentis sa main remonter le long de ma queue tendue et en caresser, avec l’aide du gel magique dont elle avait pris soin d’inonder à nouveau ses doigts, la couronne de mon gland ainsi que le frein. La jouissance monta instantanément et je n’eus pas le temps de la prévenir que l’éruption éclata. 

Je jouis magistralement et avec une intensité rarement atteinte dans un cri déchirant tout en l’admirant se donner du plaisir également en ouvrant le compas de ses jambes pour accentuer la pression contre sa chatte. Ce spectacle me fit rompre ma résistance et lâchait un cri salvateur.

-       AAAAARRRGHHHHHHHH….. ! 

Mon sperme jaillit en geyser et retomba sur mon ventre et sur les mains de ma tortionnaire. 

Elle ralentit le rythme de sa caresse afin de laisser redescendre la pression et l’excitation que je venais de vivre tout en respirant également à grandes goulées, son orgasme silencieux ayant répondu au mien.

Mes yeux se fermèrent quelques instants qui me parurent durer une éternité. 

En les ouvrant, je constatais que ma jeune compagne se lavait les mains et me souriait par-dessus son évier. Elle était jeune et fraîche mais son sourire manifestait une grande maîtrise d’elle-même et une maturité rare à cet âge alors qu’elle venait aussi de jouir de façon parfaitement honorable.

Elle m’intriguait mais je n’eus pas le temps de cogiter davantage

-       Il est l’heure de mon prochain rendez-vous, Monsieur ! J’espère vous avoir satisfait et que nous aurons l’occasion de nous revoir pour un nouveau soin. Passez une excellente journée.

-       Soyez-en certaine ! Vous avez des doigts de fée, jeune femme. J’en garderai un souvenir ému. Passez une excellente journée.

Elle sortit de la pièce sans se retourner, à nouveau totalement professionnelle.

Je me rhabillais rapidement et me dirigeais vers le comptoir pour honorer ma facture. 

À ma grande surprise, je ne dus payer que le dos et les épaules. En m’inquiétant, la seule réponse qui me vint fut

-       Aline m’a parfaitement expliqué le détail de vos soins. Elle a insisté sur ce point. Le dos et les épaules. 

-       Mais…elle m’a également fait le pubis et ... !

-       Monsieur ! Nous ne pratiquons pas ce genre d’épilation. La patronne tient à la réputation de son établissement. 

Le ton et la colère étaient sans appel !

Mais je pouvais voir dans son regard qu’elle n’en pensait pas moins. Et d’ailleurs, ma tortionnaire ne m’avait pas fait le dos mais uniquement les épaules. Ainsi, cette petite perverse se faisait de petits plaisirs sans prévenir son employeur, avec la complicité volontaire de ses collègues, qui devaient probablement agir de la même façon. 

Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai décidé à cet instant de revenir plus souvent dans cet endroit insolite, fréquenté régulièrement par mon épouse. Quelques questions me vinrent alors à l’esprit, notamment de savoir si elle avait reçu ce type de soins particuliers et, donc, si elle m’avait encore une fois menti ! Car ma jeune amie venait de m’avouer qu’il lui arrivait de pratiquer également sur certaines dames n’ayant pas froid aux yeux, description parfaite d’Enza depuis quelques mois maintenant.

En quittant cet endroit, j’avisais l’heure et il était temps de me rendre à l’adresse indiquée à mon épouse. J’allais, décidément, passer une excellente journée. 

Une demi-heure plus tard, j’étais rendu en face de l’adresse indiquée. 

Je poussais la porte du magasin, une petite cloche pendue au-dessus de la porte annonçant mon arrivée. 

Un homme trapu, plutôt costaud et me dépassant d’une demi-tête se présenta à moi.

Il avait une barbe de trois jours et ses muscles saillants semblaient vouloir déchirer les manches de son tee-shirt sur lequel se dessinait le logo d’un groupe de rock des années quatre-vingts. 
-       Monsieur, bonjour ! Que puis-je faire pour vous ? Me demanda-t-il poliment, son ton dénotant avec l’image qu’il renvoyait. 

-       Bonjour, Monsieur ! J’ai pris un rendez-vous pour ma compagne. Elle ne devrait plus tarder à présent.

-      Ah oui ! C’est vous qui bénéficiez du report d’un autre rendez-vous ! Enchanté de faire votre connaissance. C’est donc pour une dame que vous êtes là ?

-       Oui ! Tout à fait !

-       J’ai reçu votre projet par mail et il n’y a aucun problème technique ni artistique à le réaliser. Ce sera même assez simple, de mon point de vue. Et un plaisir de vous donner satisfaction. Puis-je savoir de qui vient l’idée ?

-       Cette initiative est personnelle mais elle n’y opposera aucune résistance, comme vous devez l’avoir compris en admirant notre projet ! En fait, elle va le faire pour moi, si vous voyez ce que je veux dire.

Il m’examina un instant et un franc sourire barra son visage austère.

-       Monsieur veut donner une marque de son affection à sa compagne ? C’est bien cela ?

-       Parfaitement !

À cet instant précis, la cloche retentit à nouveau. En me retournant, j’aperçus qu’il s’agissait de mon épouse qui fut surprise de me trouver dans la place

-       Alexis ? Mais…que fais-tu là ?

-       Bonsoir, Enza ! Je me suis dit qu’il serait préférable que je t’assiste en cet instant un peu délicat ! Dis-je évasif.

-       C’est gentil de ta part, mais je ne comprends pas ce que je fais…

Elle s’arrêta net de parler lorsqu’elle reconnut l’homme avec lequel je m’entretenais, comme si de rien n’était.

En me retournant vers lui, je vis qu’il venait d’associer la femme qui venait de pénétrer dans son salon avec celle qu’il avait baisée dans un hôtel sordide, il y a quelques semaines.

-       C’est moi, où j’ai l’impression que je viens de rater quelque chose ? Dis-je curieux, comme si j’ignorais tout de cet incroyable coup du hasard. 

-       Euh…, non ! Je pensais reconnaître Madame mais je me suis trompé ! Répondit un peu trop rapidement notre hôte de la soirée. 

-       Oui ! Moi aussi ! Déclara Enza en enlevant son manteau, franchement mal à l’aise. Bon ! Puis-je savoir pourquoi je suis ici ? 

-       Parce que notre ami, ici présent, va officier sur toi. 

-       Pardon ?

-       Il va te faire bénéficier de ses talents ! Et je suis certain, au vu de ce que je découvre, qu’ils sont nombreux. Monsieur ? Pourriez-vous lui montrer ?

-       Bien volontiers ! Me répondit-il, reprenant contenance alors qu’il bavait comme un mort de soif face au corps de mon épouse. 

Il faut dire qu’elle était radieuse et d’un sex-appeal dingue. Un appel au sexe et à la luxure dont je ne me lassais pas. Ses seins arrogants pointaient dans notre direction et je savais que notre homme n’avait qu’une envie, se jeter dessus.

Il lui montra alors le pourquoi de sa visite. 

Elle me regarda d’abord amusée, puis inquiète enfin paniquée. Elle se tourna vers moi, livide, en m’emmenant un peu à l’écart.

-       Maître ! Alexis ! Tu es sérieux ? Tu veux que je…

-       Oui !

-       Mais… !

-       Reviendrais-tu sur ton contrat ? Demandé-je, méchant !

-       Non ! Bien sûr que non ! Mais…

-       « Tout ce que tu voudras, je le ferai, Alexis », ce sont à peu près tes mots de ce matin, ma chérie. 

Je pouvais entendre les rouages de son cerveau tenter d’échapper à mon emprise. Mais le piège était refermé. Elle acceptait ou elle perdait tout !

-       J’ai peur, Maître ! 

-       Peur ? De quoi encore ?

-       La douleur ! L’irréversibilité ! Plus rien ne sera comme avant, tu le sais ?

-       C’est un peu douloureux, je te l’accorde. Mais rien de comparable à la blessure que j’ai pu ressentir après tes trahisons et tes mensonges, Enza. 

-       Tu ne changeras pas d’avis, n’est-ce pas ?

-       Non ! J’y tiens !

-       Tu es certain que c’est ce que tu veux ? Je n’ai même pas choisi le motif !

-       C’est moi qui l’est choisi pour toi ! Tu ne fais pas confiance à mon goût artistique ?

-       Non ! Répondit-elle effrontément dans la plus grande hilarité, ce qui détendit l’atmosphère entre nous. 

-       Ma chérie ! Je te promets que ce sera discret, de bon goût et que la douleur ne sera pas énorme. 

-       J’accepte, dans ce cas !

-       BIEN ! Dis-je plus fort. Madame est convaincue ! Vous pouvez procéder selon le schéma que je vous ai transmis.

-       Si Madame veut me dire dans quelle zone je dois travailler ?

-       Monsieur veut que cela soit dans le bas du dos, entre les reins ! Est-ce possible ? Dis-je, en ne laissant pas à Enza le soin de répondre.

-       Aucun problème ! C’est une zone fréquente pour cela.
Je poussais ma chérie vers son ex-amant qui allait avoir le privilège rare de marquer pour toujours mon épouse du signe de sa soumission et de ma domination dans sa chair. 
Car le tatouage que je voulais lui offrir n’était pas moins celui de mon prénom écrasant le sien. Le tout dans un décor un tant soit peu étudié, motifs floraux et de bons goûts. Nos prénoms seraient entrelacés mais le sien s’écroulant sous le poids du mien.  
Elle porterait à jamais la marque de son infamie et celui de ma victoire morale sur elle. 
Et c’était son ex-amant qui allait le lui graver dans le corps. 

Car Ali, puisque c’est de lui qu’il s’agissait, était tatoueur de métier. 

Ce sont mes pérégrinations sur le net ainsi que l’aide apportée par l’un des ingénieurs en informatique de ma société qui m’avait permis de remonter jusqu’à lui. Il paraît qu’une adresse IP est une mine d’informations. Je l’ai cru sur parole et j’en suis là ce soir.

Ma femme, dénudée et en soutien-gorge, montrant son dos magnifique à celui qui fut son amant d’un soir et qui, au vu de sa réaction, en a gardé un souvenir impérissable, s’installa confortablement. Ali venait de comprendre, par le dessin que je lui ai fait parvenir, que cette femme est dorénavant mienne. Qu’elle m’est soumise et que jamais il ne pourra la revoir sans mon consentement. Petite satisfaction de l’humilier également alors que je pouvais parfaitement distinguer son érection trop serrée dans son jeans délavé et troué à divers endroits. Mode ridicule s’il en est, de mon point de vue !

Je sais, par ailleurs, grâce à l’étude des boîtes mails de mon épouse, qu’il a tenté à plusieurs reprises de la revoir. Elle s’y était toujours refusé, suivant ainsi sa ligne de conduite. Mais preuve de son envie débordante de replonger sa queue dans la chatte de mon épouse infidèle. Pauvre petit, qui est obligé de toucher du bout des doigts le trésor qu’il convoite sans pour autant pouvoir l’emporter. J’en étais triste pour lui mais tellement euphorique pour moi !

La revoir pousser la porter de son enseigne lui a rendu l’espoir. Espoir que je viens de doucher définitivement en le mettant, lui, à contribution pour marquer mon épouse et ne plus lui laisser aucun espoir. 

Je jubilais dans mon coin, buvant un café en attendant la fin de l’opération, attentif au moindre détail. 

Lorsqu’il eut terminé et donné les recommandations d’usage à mon épouse, je lui dis de m’attendre dans ma voiture. Elle n’était pas en état de conduire. Nous nous occuperions de son véhicule un autre jour.

En payant la somme demandée, je me penchais vers le comptoir et dis
-       Vous avez compris, je suppose, que cette femme est mienne dorénavant ! Totalement à moi !

-       C’est bien ce qu’il m’avait semblé comprendre ! Me dit-il en me souriant, n’ayant pas compris à qui il avait affaire.

-       Je vous conseille donc de ne plus jamais tenté de la recontacter ! Si je trouve un message ou une tentative de message de votre part, je vous mets sur la paille ! Vous l’avez baisée une fois, dans mon dos. Maintenant, c’est son dos qui est marqué par moi ! Ai-je été clair ?
Il me regarda comme s’il me découvrais alors que nous venions de passer plusieurs heures ensemble. La pièce venait de tomber.
-       Vous êtes… !

-       Intransigeant et dangereux ! Ne l’oubliez jamais ! À bientôt, nous nous reverrons !
Je laissais un pourboire généreux en liquide que je jetais négligemment sur le comptoir et tournais les talons, pas peu fier de mon effet !

En allumant le moteur de ma voiture, Enza me posa la question qui lui brûlait les lèvres.

-       Maître ? Quel est ce qu’il m’a fait dans le dos ? Je n’en ai pas la moindre idée. 

-       Simplement le symbole de ce que tu es, Enza ! Mon épouse adorée et la femme de ma vie !

-       C’est si simple ?

-       Non bien sûr !

-       Alors ?

-       Alors ? Où serait le plaisir si je ne te laissais pas mijoter un peu ? Après tout, c’est ce que tu as fait avec moi, non ? Je ne fais que te rendre la monnaie de ta pièce. Mais j’y ajoute des intérêts ! Et ils sont élevés. Pour te donner un exemple, l’une des employées de la maison d’esthétique que tu fréquentes m’a fait divinement éjaculer de ses mains, cet après-midi, en conclusion d’une épilation magistrale de mes épaules et de mon sexe. La gratification de la douleur causée, probablement ! 

Sur ces paroles peu amènes, et lui ayant cloué le bec, je démarrais pour retourner à la maison.

Oui !

Cette journée avait été bonne !

Je ne savais pas que la soirée le serait encore plus !
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