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Ma femme m'a trompé...et cela a tout changé !

Chapitre 19

L'ouverture sicilienne !

Avec plusieurs femmes
En sortant du salon de tatouage dans lequel mon épouse s’était fait peindre dans sa chair par une encre indélébile la preuve de sa soumission, il me semblait que je commençais lentement à respirer un peu mieux. 

Humilier ce bellâtre tatoué, certain de sa puissance physique et de sa belle gueule, en lui faisant comprendre que je menais la danse et qu’il ne lui restait plus aucune chance de tenter de recontacter mon épouse dans le but de lui fourrer sa queue dans la chatte, m’avait permis de prendre conscience de ma situation devenue plutôt avantageuse.

Par contre, ma colère contre Enza ne faisait que s’amplifier lorsque je comprenais que j’en étais réduit à me rabaisser à ce petit jeu stupide alors que mon temps était précieux. 

Cela étant dit, je passais d’agréables moments grâce à son attitude. Et ma jouissance, pourtant totalement imprévue, au salon d’esthétique en était la preuve la plus éclatante. Les doigts de cette professionnelle resteraient longtemps gravés dans ma mémoire.

Oui, cette journée avait été bonne. 

Mon épouse, se tortillait sur son siège en essayant de ne pas trop s’appuyer sur ses reins, qui étaient à présent d’une sensibilité redoutable. Elle devait souffrir un peu mais, à vrai dire, cela me rendait euphorique de le savoir et une pointe d’excitation se faisait ressentir à la fois dans mon cerveau et dans ma queue qui durcissait lentement dès que j’y pensais. 

Arrivés à la maison, Enza marchait difficilement et je la soutenais un peu en la prenant sous le bras. 

-       Merci, Maître !

-       C’est si douloureux que cela ? Demandé-je, tout de même un peu inquiet.


-       Non ! Mais c’est lancinant et continu. C’est, en fait, assez épuisant ! Mais comme le tatoueur me l’a dit…

-       Ton ex-amant ! Rectifié-je.

-       Oui, Maître ! Pardonnez-moi, Maître ! Mon ex-amant me l’a dit, je ne souffrirai pas longtemps. Je vais, avec votre permission, prendre un cachet de paracétamol et allez me coucher.

-       Bien volontiers. Passe tout de même une bonne nuit, Enza !

-       Me rejoindrez-vous rapidement ? Demanda-t-elle en baissant les yeux.

-       Je n’en sais rien ! J’aviserai ! Pourquoi ? Tu as quelque chose sur le cœur ? Demandé-je, sournois et joueur.

-       J’ai des questions, Maître !

-       Je m’en doute ! Dis-je en riant. Mais cela peut attendre que tu te sentes mieux. Va te coucher ! Je te rejoindrai peut-être.

Je l’observais s’éloigner après lui avoir refusé le baiser qu’elle réclamait. Mon regard était noir et elle comprit que ma colère d’avoir mis un visage sur un nom, jusque-là abstrait, ne me rendait ni aimable ni enclin à lui octroyer ce qu’elle désirait. 

Elle marchait lentement mais je ne pus m’empêcher d’admirer sa croupe dessinée dans ses vêtements. Elle était bandante à souhait. En levant mes yeux de quelques centimètres le long du bas de son dos, je souris en pensant au dessin qu’elle portait à présent pour l’éternité. Il me semblait le voir en transparence sous sa veste et je ne pus réprimer un soupir d’aise en repensant à la situation dans laquelle je me trouvais, par les bonnes grâces de ma garce d’épouse. 

Je me dirigeais vers la cuisine lorsqu’une voix retentit derrière moi

-       Peut-on savoir ce qu’il se passe avec Maman ? 

Je souris en reconnaissant l’intonation et le son de cette voix, celle qui m’avait rendu le plus heureux depuis que je l’entendais. J’avais oublié sa présence ce soir et je me réjouissais de terminer le travail entamé depuis quelques jours. Je répondis sans me retourner

-       De quoi veux-tu parler, Anaëlle ?

— Pourquoi Maman a-t-elle des difficultés à marcher et pourquoi lui as-tu demandé si c’était douloureux ? Ne me dis pas que tu l’a frappée ?

Sa consternation et son étonnement face à la situation transpirait de son être lorsque je lui fis enfin face.

Je souris en la regardant et, plutôt que de me rendre dans la cuisine, je pénétrais dans le salon pour la rejoindre et me servir un verre. Après tout, la journée avait été riche en enseignements et je méritais de me faire encore un peu plaisir.

-       Elle n’a rien, Anaëlle ! Tu n’imagines tout de même pas que je serais capable de lever la main sur ta mère ? Dis-je en jouant l’homme vexé par une telle affirmation.

-       Je n’en sais rien, Papa ! Je te trouve tellement différent depuis quelques jours.

-       À qui la faute, ma chérie ?

Elle baissa les yeux, en signe de défaite. Elle venait de m’entraîner, en quelques secondes, sur le terrain qu’elle voulait pourtant éviter à tout prix. 

-       Je suis content de te voir, reprit-elle. 

-       Moi aussi, ma puce ! Dis-je comme s’il était incongru qu’elle me dise cela. 

-     Que se passe-t-il dans cette maison ?

-     Que veux-tu dire ?

-  Pourquoi n’ai-je de nouvelles de personnes et que mes appels restent lettre morte ?

Je reconnais bien là ma fille adorée. Toujours directe et sans ambages. Droit au but !

-       De quoi parles-tu ? 

-       Ni Maman, ni Isa ne me répondent. Et toi-même, tu ne prends plus la peine de décrocher mes appels.

Je pris mon téléphone en main et regardais l’écran, l’interrogeant du regard. J’avais effectivement plusieurs appels manqués, notamment ceux dont ma fille parlait. Mais j’avais pris garde de ne répondre à personne depuis deux jours. Je pus donc lui mentir sans honte.

-       J’ai oublié mon téléphone hier et je n’y ai pas prêté attention de la journée. En plus, il est sur mode vibreur. Je n’ai pas entendu tes appels, ma puce ! C’était urgent ?

-       Non ! Pas plus que cela. Si on excepte le fait que je suis sans nouvelles de ma famille depuis plusieurs jours.

-       Et tu penses que cela pourrait être délibéré ?

-       Je pense que oui !

Comme je l’ai dit, toujours directe dans ses intentions !

Je détaillais ma fille pour la première fois de ma vie avec des yeux de prédateurs. J’avais pu goûter aux charmes immenses de ma fille aînée, de ma secrétaire et de mon épouse dans des positions inhabituelles. J’étais, à présent, comme un drogué et en manque de chair fraîche. 

Ma petite fille, si belle et si délicate, semblait un met de luxe pour un palais raffiné. 

Elle portait un cache-cœur vert, dévoilant le sillon de ses seins, obus gonflés et fermes dans une lingerie exquise dont la dentelle dépassait négligemment des pans resserrés. Sa jupe en cuir blanc remontait haut sur ses cuisses et, assise, il n’était pas difficile de distinguer la couture de ses bas. Il me semblait deviner l’attache d’une jarretelle, mais je n’en étais pas plus certain que cela. 

Ses cheveux étaient détachés et tombaient en cascade sur ses épaules. 

Elle était parfaitement maîtresse de sa féminité et elle savait en jouer à la perfection. Il faut dire qu’elle avait été à bonne école, avec un orfèvre en la matière. C’était la copie conforme de sa mère dans ce domaine. Une féminité constante et un goût immodéré pour l’apparence. 

-       Alors ? Ai-je raison ?

-       Oui !

Ma réponse fusa, nette, claire et précise. Elle en resta, un instant, estomaquée. Puis, reprenant consistance, elle attaqua

-       Peut-on savoir pour quelle raison ?

-   Comment s’est passé ta soirée lorsque je t’ai quitté ?

Elle ne s’attendait pas à cela. Elle en resta, à nouveau, surprise.

-       En quoi cela a-t-il un rapport avec notre discussion ?

-       Réponds-moi ! Sont-ils revenus chez toi ?

-       Papa ? Que veux-tu savoir exactement ?

-       Réponds à ma question et tu le sauras.

-       Oui ! Ils sont revenus. 

-       Et vous avez baisé, je présume ?

-     Vu qu’ils étaient là pour cela, oui ! Nous avons baisé, comme tu dis !

-       Y as-tu pris du plaisir ? 

-       Oui !

-       Mais… ?

-       Mais quoi ?

-       Mais quelque chose te trottait dans la tête, n’est-ce pas ?

-       Je ne vois pas de quoi tu veux parler ! Déclara-t-elle mal à l’aise. 

-       Ma chérie ! Je lis en toi comme dans un livre ouvert. 

-       Bon, ça va ! Oui, j’étais un peu perturbée par notre conversation. Tu es content ?

-       Oui !

-       Alors, explique-moi maintenant cet ostracisme. 

-       Non !

-       HEIN ? PAPA ? 

-       Laisse-moi savourer cet excellent whisky, puis nous parlerons. Va m’attendre dans mon bureau. Je pense qu’il est temps de mettre les choses au clair et de prendre une décision définitive te concernant, jeune fille.

Quelques minutes plus tard, l’ayant laissée macérer un peu, j’ouvrais tranquillement la porte de mon bureau et, posant mon verre à nouveau rempli, je m’assis, non sans jeter un coup d’œil aux jambes magnifiques de ma fille, ce qui me permit de constater qu’elle portait bien un porte-jarretelles. 

Décidément, elle avait toutes les qualités.

-       C’est l’heure H, ma chérie ! L’instant des décisions. 

-       De quoi parles-tu ?

-       Peux-tu me reposer ta question de départ ?

-       Laquelle ?

-   Celle qui m’a surprise lorsque ta mère nous quittait.

Elle réfléchit une seconde puis me demanda

-       Peux-ton savoir ce qu’il se passe avec Maman ? 

-       Elle est définitivement soumise à son Maître !

-       De quoi parles-tu ?

-     Anaëlle ! Vous m’avez menti, bafoué et humilié. Il est temps d’expier vos fautes envers moi. Ta mère et ta sœur ont compris où se trouvait leur intérêt ainsi que la raison de ma colère envers vous. Et elles ont accepté de se soumettre à ma volonté dans le but de racheter cette conduite inqualifiable envers moi qui ai tout fait pour vous durant l’entièreté de ma vie familiale. 

-       Que veux-tu dire par « soumise à son Maître » ?

-       N’est-ce pas clair ?

-       Tu veux dire…comme dans la série Fifty Shades ?

-       J’adore ta comparaison ! Mais oui, c’est cela. 

-       PAPA ! Tu veux dire que Maman et Isa sont…dévouées à tes fantasmes ?

-       On peut dire cela de cette façon.

-   ET TU ATTENDS QUE JE FASSE PAREIL ?

-    Bien sûr ! Mais, dis-je sans lui laisser le temps de prendre la parole, je ne pense pas que tu en sois capable. Tu es réfractaire à l’autorité, insoumise et parfaitement autonome dans tes choix de vie. Je vais donc en rester là avec toi. Tu fais ce que tu veux de ta vie sexuelle et tu fais librement tes choix que tu assumes, d’ailleurs, sans problème. Personnellement, je n’y vois aucun inconvenient. Mais il n’est plus question pour moi de me faire berner par une petite manipulatrice. Je t’aime, Anaëlle. De tout mon cœur. Mais votre trahison a laissé une marque au fer rouge dans mon cœur. Et elle ne pourra plus jamais disparaître. Va ! Quitte cette maison. Vis ta vie. Je serai toujours là pour toi. Mais plus comme tu l’as connu. 

-       PAPA ? MAIS…NOOOOON…

-    Si ! Il le faut pour ton bien. Je te ferai du mal si tu restes à mes côtés. 

— PAPA ! NOOOON…JE T’AIME TELLEMENT, NOOOON ! NE ME CHASSE PAS DE TA VIE.

-       Mais je ne te chasse pas de ma vie, Anaëlle. Je viens de te le dire. J’ajuste notre relation future. Cela dit, ta mère et ta sœur ne te contacteront plus. Je ne le permettrai pas. 

Des larmes coulaient sur ses joues, ruinant son maquillage pourtant élaboré. Elle était tétanisée et prise au piège, à son tour. Je jouissais déjà de la clôture de cette machination dont j’étais certain du dénouement. Et il ne tarda pas !

-       Làààà ! Calme-toi, ma chérie ! Ce n’est qu’un mauvais moment à passer. Tu comprendras, à tête reposée, que tu obtiens ce que tu as toujours désiré. Ta liberté ! Et elle est totale. 

Elle reniflait mais je voyais qu’elle réfléchissait à plein régime. Sa faculté d’analyse est au moins égale à la mienne. Ce qui signifie qu’elle cherchait une échappatoire. 

-       Papa ! Reprit-elle avec un calme olympien, tu me chasses de ta vie ? Moi ? 

-       Ce n’est pas de gaieté de cœur, ma chérie ! Mais tu dois comprendre que j’en ai besoin pour me reconstruire. Vous m’avez détruit ! Et je ne suis pas homme à ne pas me relever face à la difficulté. Mais pour cela, j’ai besoin d’espace et de me sentir à nouveau en pleine possession de mes moyens. Cela passe par la prise de décisions et la mainmise sur la famille. Comme je te connais et que je sais que tu refuseras cela, je te laisse libre de tes mouvements. C’est aussi simple que cela.

-       Et si je ne le veux pas ?

Bingo ! Elle est piégée et j’ai gagné.

-        Que veux-tu dire ?

-   Tu penses sincèrement que je pourrai vivre sans Maman, sans Isa…et sans toi ? Rajouta-t-elle en baissant la voix et les yeux. 

-       Que souhaites-tu, alors ?

-   Toi ! Papa, je t’aime tendrement depuis toujours, tu le sais. Jamais je ne pourrai me passer de ta présence, de ta force ou de ton amour. Tu m’as éduquée dans ce sens, comment voudrais-tu que je renie qui je suis ? 

-       Ce n’est pas ce que je te demande, Anaëlle !

-       Que me demandes-tu alors ? Dis-le-moi !

-       C’est simple ! Ta soumission totale. 

-       Comment ?

-     En signant ce contrat que ta sœur et ta mère ont signé.

Je poussais le dernier exemplaire sous ses yeux. Je me levais et déclarais

-       Je te laisse le lire ! Si tu acceptes ce que j’exige de toi, signe-le. Si cela te paraît indécent, exagéré ou incompatible avec ta personnalité, dépose-le sur le bureau et sors de cette maison. Tu n’y reviendras qu’en tant qu’invitée. Est-ce clair ?

-       Oui ! Répondit-elle en avalant sa salive sous le choc du ton de j’avais employé ainsi que de la teneur de ma menace. 

En prenant mon verre, je sortis de la pièce en souriant. 

J’avais gagné.

Anaëlle n’avait pas froid aux yeux. Elle était moins perverse que sa sœur aînée mais bon sang ne saurait mentir. Elle était également la fille de sa mère. 

Quelques minutes plus tard, je revins pour m’apercevoir, à ma grande stupeur, que le contrat était encore sur le bureau mais que ma fille avait disparu sans le signer. 

-       Merde !

Ce fut le seul mot qui me vint à l’esprit à cet instant. 

C’est la tête basse que je sortis en éteignant mon bureau. Ainsi, elle m’avait tenu tête et avait refusé de se plier à ma volonté. J’avais tout faux la concernant. Elle garderait ainsi sa liberté. Mais je venais de perdre ma fille adorée. 

Cela en valait-il réellement la peine ? 

Je me maudissais de mon attitude et de ma stupidité en passant devant la porte de la salle de bain du rez-de-chaussée lorsqu’un bruit attira mon attention.

Je m’approchais de la porte fermée et j’entendis à nouveau ce bruit étrange. 

Comme un râle ou une respiration un peu forte. 

N’y tenant plus, je tendis l’oreille tout en regardant par le trou de la serrure pour apercevoir ma fille Anaëlle, assise sur les toilettes, jambes écartées et tête en arrière, en train de caresser sa chatte sous un string blanc. 

Elle se masturbait ! 

Et elle y prenait, visiblement, un plaisir certain ! 

Son doigt pénétra son vagin et j’entendis le bruit de sa chatte trempée par l’accélération de son mouvement. 

-       Ooohhh….

Elle montait vers un orgasme impressionnant. 

Une main écarta le tissu de son cache-cœur et je pus apercevoir son sein dissimulé par une lingerie de qualité. Là encore, je pouvais voir l’œuvre d’Enza. Elle qui était un afficionado des belles parures avait visiblement contaminée ses filles. 

Anaëlle passa le bout de ses doigts sur son téton qui pointait au travers de la dentelle de son soutien-gorge, ce qui eut pour effet de provoquer un nouveau râle de plaisir

-       Oooohhh….

Elle agrippa alors l’ensemble de son sein et le malaxa au rythme de sa propre pénétration. Son bassin s’avançait à la rencontre de sa main et je pouvais constater que sa chatte émettait des sécrétions importantes. Ma fille était en train de mouiller comme une fontaine.

Je ne sentis qu’à cet instant que ma queue me faisait mal dans mon pantalon. Je bandais comme un âne en admirant ma cadette dans ses œuvres. J’eus beaucoup de mal à ne pas sortir mon sexe et à ma masturber comme le dernier des voyeurs face à ce spectacle d’une intensité rare. 

-       Papaaaaa….Ouiiiiiii….

Hein ? 

Avais-je bien entendu ? 

Ma fille se masturbe en pensant à moi ? Bon sang, je vais éjaculer dans mon pantalon sans même me toucher, si cela continue. 

-       Oohhh…Mais quel cochon ! Quel pervers ! Aaaahhh…..Ouiiiiiiii…..BAISE-MOI !      

C’en fut trop !

Mon sexe se tendit et j’éjaculais dans mon boxer. 

Ma fille venait de me faire jouir, juste en la regardant. 

Je n’en revenais pas ! 

J’avais beaucoup de mal à rester debout et à respirer tant l’orgasme qui venait de m’assaillir avait été aussi puissant qu’inattendu. 

En me relevant et en claudiquant, je me rendis dans mon bureau, non sans maudire cette maudite éjaculation qui engluait l’ensemble de mon bas-ventre. De quoi avais-je l’air ? Heureusement, personne n’avait été témoin de cette scène et je m’en sortais avec ma dignité intacte. 

C’est assis que j’attendis en prenant un air navré de circonstance. 

Comme si je venais de découvrir que ma fille avait refusé mon offre. 

Quelques minutes plus tard, elle revint. Elle était fraîche comme la rosée et rien n’aurait pu me faire penser qu’elle venait de s’offrir un orgasme puissant si je ne l’avais pas constaté moi-même.

-       Ah ! Tu es déjà revenu ? Me demanda-t-elle un peu mal à l’aise, la salle de bain ne se trouvant qu’à quelques mètres de mon bureau.

-       Oui ! J’ai compris également que tu avais refusé de signer. Que fais-tu encore là ?

-       Je suis allée me nettoyer le visage. Mon maquillage a coulé et je n’aime pas ressembler à Bettlejuice. 

-       Cela n’enlève rien au fait que tu n’as pas signé.

-       Papa ! Donne-moi ce contrat.

-       Tiens ! Dis-je en le lui jetant. 

Elle prit le stylo sur le bureau et, dans un geste un peu rageur, comme pour montrer une désapprobation qui n’était, je le savais à présent, que de façade, apposa son seing sur le papier.

-       Voilà ! Tu es heureux ?

-       Oui ! 

-    Vraiment ? Me demanda-t-elle un peu surprise.

-       Oui ! Vraiment !

-    Tu m’en vois ravie. Que dois-je faire ?

-       As-tu bien lu le contrat, Anaëlle ?

-       Bien sûr !

-    Je t’ai pourtant appris à ne rien signer que tu n’as entièrement lu ! 

-       Bon, ça va ! Je n’ai pas tout lu.

-       Et pourquoi ?

-       Parce que !

-     Pourquoi, Anaëlle ! Ne m’oblige plus à me répéter.

Elle me fixa un instant, comme pour peser le poids de sa réponse. Puis, elle se lança

-   Parce que cela m’excite terriblement.

-       Ah oui ?

-       Oui !

-       Qu’est-ce qui t’excite à ce point ?

-       T’obéir, t’être soumise, devenir ton jouet, ne dépendre que de toi ! 

-       À quel point de vue ?

-       Tous ?

-       Sois explicite !

-       Sexuel !

-   Tu es excitée de m’appartenir…sexuellement ?

-       Oh oui ! Cela me rend dingue et…

-       Et… ?

-       Papa ! Je mouille comme une folle.

-       Pardon ?

-       Je mouille comme une folle. 

-       Montre-moi !

-       Hein ?

-       Montre-moi ! 

-       Mais…Papa ?

-     Tu n’as pas lu le titre qui est le mien, à présent, Anaëlle. J’entends que tu ne m’appelles plus qu’ainsi sauf quand je t’y autoriserai. 

Elle réfléchit et la lumière fut. 

-       Maître ! Vous désirez que je…vous montre mon sexe trempé ?

-       Oui ! 

-       Mais… ! Commença-t-elle

-   Tu peux quitter cette demeure, Anaëlle. Sur-le-champ ! 

-      Non, ce n’est pas ce que je souhaite, Maître ! Mais ce n’est pas si évident, vous pouvez le comprendre, non ?

-       Pourquoi t’ai-je posé ces questions sur ta fin de soirée, Anaëlle ?

-       Parce que tu voulais savoir si je ne t’avais pas menti à propos de mes amis.

-       Effectivement ! Mais aussi pour être certain de ce que tu es capable de faire par désir. Et je sais, à présent, que ma petite fille n’a pas beaucoup de respect pour les limites fixées par la morale ou par la société. 

-       On ne peut rien te cacher !

-       Donc, ce que je te demande ne devrait pas te choquer outre-mesure.

-       Je n’ai jamais dit que cela me choquait ! j’ai dit que ce n’était pas évident. 

-       Un point pour toi ! Mais détruire les évidences, tu le comprendras très vite, vont devenir ton quotidien. N’as-tu pas autre chose à me dire en ta faveur ?

-       De quoi parlez-vous ?

-       Tu m’as dit avoir réfléchi à ce que je t’avais dit. Jusqu’où t’ont mené tes réflexions ?

-       Jusqu’à l’inconcevable. 

-    Et n’as-tu jamais réagi physiquement à ces pensées ?

-       Si !

-       Explique-moi !

-     La masturbation et les fantasmes, Maître !

-       Te serais-tu caressée sous l’effet de ton imagination ? Dis-je machiavélique.

-       Oui, Maître !

-       Souvent ?

-       Oui, Maître !

-       Quand était-ce la dernière fois !

-    Il y a quelques instants ! J’ai été saisie en lisant votre contrat et mon excitation est montée en flèche. J’étais absente parce que je devais jouir ! Vous m’excitez terriblement, Maître, et je suis allée me masturber en pensant à tout ce qui devenait possible. 

-       Petite dévergondée ! Et tu joues les effarouchées lorsque je te demande de prouver ton état ?

Ma fille s’installa alors dans le fauteuil qui avait servi à Isaline pour se masturber en face de moi. Elle écarta ses jambes et me montra, volontairement pour la première fois de sa vie d’adulte, son sexe sous son string. 

-       Regardez, Maître ! Ma lingerie est trempée par l’excitation du moment. 

-       Je le constate !

-       Désirez-vous en voir plus ?

-       Non !

Ma réponse l’étonna. 

-       Je ne vous plais pas ?

-    Cela ne te regarde pas, soumise ! Maintenant, je vais t’envoyer la copie de ton contrat. Va te coucher et étudie-le en détails. Aucune erreur ne sera tolérée. Tu t’y plieras en tout point sous peine de tout perdre. Suis-je clair dans mes propos ? 

-       Oui, Maître !

-       Et ne penses pas un instant que tes charmes, si tentant soient-ils, pourront me faire dévier du chemin que je me suis tracé. Tu es à moi, à présent, comme toutes les femmes de cette maison. Tu te plieras à ma volonté, à mes caprices, à mes désirs et à mes plaisirs. N’oublie plus jamais quelle est ta place. Va !

Elle se leva, réajusta sa jupe sur ses bas et quitta la pièce, la tête baissée face à ma détermination et ma volonté. Elle venait, je le savais, de tenter une ultime pirouette pour se rendre à nouveau maîtresse de moi. Mais elle venait de perdre.

Je dois vous avouer que si je n’avais pas vu sa chatte et ses seins quelques minutes auparavant, cela n’aurait pas été aussi simple pour moi de résister à la beauté et au corps parfait d’Anaëlle. 

La faiblesse de ma fille m’avait permis de faire preuve de fermeté et de puissance. 

J’en étais heureux car, dans le cas contraire, il aurait été délicat, pour ne pas dire difficile, de reprendre la main.

Je souris en repensant à sa tête mais aussi à l’état de mon pantalon et de mon boxer. J’étais rempli de mon foutre que cette petite dévergondée avait fait jaillir sans même le savoir. J’allais devoir faire preuve de plus de self-control à l’avenir car, au milieu de cet essaim de femmes toutes plus libidineuses les unes que les autres, je risquais juste de me faire humilier à nouveau, ce qui n’était pas le but final de cette entreprise.

Non !

Le but que je recherchais par toutes ces manipulations et ces soumissions à la chaîne était bel et bien différent et tourné exclusivement à mon avantage !

La partie s’annonçait serrée mais tel un joueur d’échec, je venais de placer tous mes pions sur l’échiquier. 

Je pouvais passer à la suite de mon plan ! Les choses sérieuses allaient enfin débuter après cette mise en bouche, à présent que mes victimes désignées étaient réunies sous ma bannière et sous celle d’une soumission allant les conduire à la déchéance la plus totale.

Je n’avais plus qu’à les manipuler, l’une après l’autre pour les amener directement là où je l’avais décidé en me lançant dans cette aventure. 

Mes pions venaient de prendre l’avantage sur ceux de l’équipe adverse. 

Pour les férus d’échec, je venais de lancer, depuis quelques jours, une ouverture sicilienne. 
J’avais perdu un temps de développement en contrôlant la zone de jeu et en empêchant les femmes de prendre possession du centre de la partie et de récupérer l’avantage. 
Perdre un peu de temps pour maîtriser l’ensemble. 
Car vous devez penser que nous tournons en rond, n’est-ce pas ? 
Un bon général doit connaître et préparer le terrain pour s’assurer de la victoire. En perdant quelques jours pour leur faire croire qu’elles pourraient, en se soumettant, tenter de récupérer la main sur moi, j’avais établi les règles et elles étaient miennes. 

La seule chose, c’est que ces femmes ne savaient pas encore, c’est que par mes mouvements sur le damier, je venais de gagner !

J’avais pris le temps de les encadrer et de les enfermer sans possibilité de trouver un échappatoire. Maintenant, le jeu allait démarrer. Pour moi, car, même si j’avais donné un peu d’argent à l’un des amants de mon épouse infidèle, ce n’était que des clopinettes pour ma fortune et, m’avait permis de regarder dans les yeux l’un des responsables de ma haine. 
Non, mon plaisir allait exploser. Et le leur diminuer.

Je n’avais plus qu’à profiter de leurs dernières tentatives pour s’échapper et retourner la situation à leur avantage, ce qu’elles ne manqueraient pas de faire tout en se débattant dans une partie perdue d’avance mais qui allait être terriblement excitante.

Surtout pour moi !
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