Je ramenai ma très chère femme chez nous, je stoppai mon Audi devant la maison et la regardai….Il était 4h00 du matin, Céline me dit : — Alors ça t’as plu ce petit show ? Mon chéri ?— Ils ont assuré tes potes et ta chère femme ??— Je suis sûr que tu as bandé comme un taureau et que tu aurais bien voulu me prendre par mon p’tit trou de chienne en chaleur !!!— Hein ?? Quand je me suis mise à 4 pattes, l’anus dilaté par les queues de tes potes, tu as dû te rincé l’œil, salaud !!— Mais c’était pas pour toi, hi !hi !hi !— T’as vu comme ils m’ont défoncé avec mes godes ? pfffou ! Quelle partouze !!!— Tu m’emmerdes Céline, je me casse !— C’est ça pauv con, va la rejoindre ta salope de Coralie ! » Céline rentra dans la maison et vit de la lumière dans le salon…Là, l’attendaient ses deux grands garçons qui visionnaient un film porno sur l’écran de télévision plasma grand format. — Alors mes deux chéris d’amour votre vilaine maman est rentrée de cette interminable parti de tar…. ! La stupéfaction lui fit stopper sa phrase, en effet, elle se voyait sur l’écran en train de se faire partouzer chez Steph, à la partie de tarot, dont elle revenait, la bouche en cœur, en espérant faire croire à ses deux fils d’ amants pervers, que tout s’était passé le plus naturellement possible…Car, pendant que ma chère épouse se remettait de sa séance pornographique, j’avais envoyé le film pris sur place, par l’intermédiaire de mon Smartphone, que j’avais eu le droit de récupérer, faisant office de relai vers l’ordi familial.Alors j’avais envoyé un texto à Damien, lui demandant de lancer la vidéo, reçue par l’ordi sur le grand écran à plasma du salon…Petite vengeance bien méritée …Céline était figée au milieu du salon, bredouillant, rouge de honte. Damien se leva comme une flèche et s’approcha de sa mère l’air mauvais, il la gifla et la fit s’écrouler en pleurs dans le fauteuil. Son pardessus s’ouvrit découvrant son corps splendide complètement nu.
— Et en plus elle sort complètement à poil !— Salope !! Trainée !! Putain !! On ne te suffit pas ?? — T’aimes pas tout ce qu’on fait ensemble, quand on te baise à deux, qu’on te prend par tous les trous, ça te suffit pas ???— T’es vraiment qu’une sale pute, une merdeuse, une saloperie de nymphomane !!!! (Se frottant la joue, Céline lui répondit effrontément) — Petit salaud de fils, tu te prends pour qui ??? Même si tu peux me baiser, n’oublie pas que je suis ta mère, tu me dois le respect !— Tu vas voir comment je te respecte ma chère mère, je crois qu’il est temps qu’on se refasse une petite séance à la cave !— (Sentant une boule de désir dans son ventre, et sa vulve se remettre à la tirailler, Céline surjoua la terreur) non ! Je t’en supplie, pas la cave !!! La dernière fois vous m’avez massacré avec vos pinces vos chaines, vos martinets !!!!— (Baissant la voix et prenant un timbre menaçant, Damien fixa méchamment sa mère) Va dans la chambre te préparer pour la punition « Zara » (c’était le nom de code pour signifier le début d’une séance SM)— (Céline baissa la tête), oui maitre… Elle quitta la pièce très penaude, la tête basse.Arrivée dans la chambre de son fils Damien, elle ouvrit un tiroir et en tira une cape noire, une ceinture en mailles de laiton, un ensemble composé de courroies de cuir noir et de chaines en laiton, un chat a neuf queues ,une paire de menottes, la cravache, un stick en osier, un fouet, une paire de bottines montantes noirs avec des boucles métalliques en laiton brillant…Folle d’excitation, car elle adorait le SM et de se retrouver complètement à la merci de ses fils et de leur perversité, elle s’équipa comme pour aller au bal des débutantes.Elle se regarda dans le miroir et s’admira : les bottines noirs lui montaient jusqu’aux genoux, l’ensemble laissait la chatte apparente avec une chaine de laiton qui lui passait dans la vulve et la raie des fesses, il y avait moyen de serrer plus ou moins la tension ; elle serra au maximum.Elle savait que les coups de cravache ou de martinet sur son mont de Venus seraient encore plus douloureux, les maillons de laiton pénétrant chaque fois un peu plus son anatomie intime et martyrisant la chair de son sexe et de sa raie culière, un peu comme un cilice… La chaine dans l’entrejambe joignait la sangle de cuir arrière qui venait serrer le cou, avec un gros anneau placé sur sa gorge qui permettait d’y attacher une laisse ; tandis que devant, elle s’attachait à un triangle laissant le ventre nu, avec des sangles qui enserraient ses seins.Avec son 95 B, l’ensemble était divin ;Elle se passa la chaine en gros maillons de laiton sur le ventre, qu’elle laissa pendre devant son pubis ; revêtit la cape de laine version « Eyes wide shut » avec la capuche découverte. Elle ajusta son maquillage cette fois franchement criard : le « stick à lèvres noir brillant », crayon noir intense sur les sourcils et autour des yeux, fard à paupière brun foncé sous les yeux.La mère de famille s’était transformée en succube !!Elle se trouvait sublime, un archétype de perversion féminine, une démone tout droit sortie des enfers. Elle pensait pouvoir suborner tous les hommes par son pouvoir de séduction diabolique !Le désir sexuel à son début, elle se dirigea vers la cave une bougie à la main.Elle avait l’impression de descendre dans la salle des cachots d’un château médiéval. Alors elle imagina, qu’elle vivait au Moyen- Age, en pleine jacquerie… et son fantasme, elle le voulait pervers, elle avait envie de souffrir, de se faire maltraiter, violenter, violer et d’y prendre du plaisir …Peu à peu le fantasme prenait corps :Elle se voyait femme châtelaine, dont le château de son seigneur aurait été pris par des gueux ! Ses paysans voulaient se venger de leurs maitres, ayant massacré nobles et soldats du château, ils avaient emmené la dame du seigneur en bas dans les cachots.Ils l’avaient très vite déshabillée, et commencé à la peloter dans tous les sens mais elle n’avait pas encore été violée, cela c’était pour plus tard…(Tout en vivant cela en esprit, Céline se caressait la vulve et commençait à haleter …elle jouissait déjà de son imagination torturée.)Tout d’abord on allait la tourmenter!Elle laissait aller son imagination dans ce scenario : Elle se voyait livrée aux désirs lubriques d’hommes gras et sales, puant la sueur, avec leurs gros bras aux muscles saillants, leur cagoule, le regard vide d’émotions. Elle les regardait, torse nu, puissants, couverts de sueur et de crasse; l’incarnation d’une virilité dévoyée, malséante...mais cela même faisait déjà jouir la femme du châtelain, son sexe lui faisait mal...combien de fois elle s’était imaginée livrée nue à la soldatesque ou à ses paysans...Ils allaient profiter de son intimité, offerte à leur convoitise de mâle ayant une femme superbe et de haute caste à leur merci ; privilège unique dans leur vie de misère.Aussi allaient-ils se venger sur elle de toutes leurs frustrations…Elle sentait l’odeur de bouc de ses tourmenteurs, qui affolait sa féminité, elle se voyait à genoux, forcée de leur sucer une queue au gout très fort, pendant que le second fouetterait son dos et ses seins avec le martinet, elle hurlait et suçait en même temps.Avec des inquisiteurs qui allaient la placer sur un chevalet de torture, lui écarter les cuisses, la lier pour qu’elle ne soit plus qu’un objet de désir une victime sacrificielle soumise au bon (ou mauvais vouloir) de ses bourreaux.(Céline adore ce genre de fantasmes très hard, elle en jouit toujours beaucoup, elle est même toujours déçue de la faiblesse des coups qu’elle reçoit, en vrai dans le donjon, livrée à ses fils…elle veut toujours aller plus loin dans la violence et la perversité … Peut- être se cherche-t-elle au bout du tunnel, elle ne saurait le dire, en tout cas cela la met en trance ! )Elle reprend la suite de son fantasme…Alors ils allaient fouiller son sexe de leurs doigts sales aux ongles noirs, attraper et pincer son clitoris et ses lèvres avec des pinces, tirer dessus sans ménagement et puis on la violerait avec un manche de pioche qu’on aurait préalablement enduit de suif.Elle se voit nue attachée sur le dos avec le manche qui la pénètre avec violence elle crie et jouit en même temps !! Cela lui déchaine un orgasme phénoménal… - aaahhh !!!! nnooonnn !!!!! mmuhhhhhmmmmm !!!! Elle reprend ses esprits, affalée, à genoux, contre le mur du souterrain, devant l’entrée de la cave où se trouvent ses fils qui vont la maltraiter, la main entre les cuisses. — Maman, ça va pas ?? Tu t’es fait mal ???…. (C’était la voix de Michel).— Non mon amour, je jouis !— Déjà ? En rentrant dans la pièce que Damien a transformée en donjon, elle est presque déçue de n’y pas trouver chevalets et tables de torture, pinces, braseros, etc.… avec en lieu et place de ses bourreaux, ses deux beaux enfants. — Dommage !! Se dit- elle en se passant la langue sur les lèvres, mais quand même, je dois être complètement cinglée !
