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La femme vendue

Chapitre 1

Les enchères

SM / Fétichisme
La femme vendue: chapitre 1 : Les enchères

La soie glisse sur ma cuisse gainée de nylon gris. Machinalement je replace le tissu, mais il tombe à nouveau.Dans quelques instants, je vais être vendue. Voilà mon histoire.
Je m’appelle Judith, j’ai quarante-six ans. Physiquement, je ne suis pas trop mal foutue. Bien sur la jeune fille mince que j’étais a pris du poids, essentiellement dans les seins et dans les fesses. Par chance, j’ai gardé une taille mince, et des attaches fines, et une belle chevelure auburn.
Je me suis mariée, il y a vingt ans avec Jean Michel. Au début tout allait bien, puis doucement le désir et l’envie de l’autre se sont étioles. Alors mon mari m’a proposé d’élargir nos pratiques. J’ai accepté par faiblesse, et pour lui faire plaisir, j’ai participé à des trios libertins avec des inconnus.Puis il a fait la connaissance de Marc son mauvais démon. Et j’ai été entrainée dans des gang-bangs, des exhibes sur des aires de parking, des bukaké. Ce petit con prenait plaisir à me voir baisée, salie, souillée, spermée.Ca durait depuis trois ans quand avant hier...
Je me suis retranchée dans la douche. Je me pomponne, à la fois pour retarder le moment de mon humiliation, et puis parce que c’est le seul moment de plaisir et de sensualité que je connaitrais de la soirée.
Mais il faut bien que je sorte et je rejoigne le salon. Ils sont trois. En plus des deux compères, il y a cet homme, en costume bleu nuit, chaussures rouges, chemise blanche, pas de cravate, mais une pochette jaune agrémente sa veste. Visage mince, et crâne rasé, Il a visiblement passé les cinquante ans. Un léger sourire adoucit son regard.
Il tient deux feuillets à la main. Il regarde mon mari.
— Nous sommes bien d’accord.— Euh! Oui.— Alors donnez-moi vos clés et filez. Et rappelez-vous bien, vous n’avez plus le droit d’approcher Madame.
Marc, et Jean-Michel disparaissent comme deux péteux.
— Asseyez-vous Madame.

Je me pose dans le canapé, lui dans un fauteuil. Je l’observe, il me rappelle quelque chose, puis je me souviens.
— Vous êtes le Monsieur de la clairière, avec la femme masquée en robe en latex.— Oui, c’est bien moi.— Que me voulez-vous? Pourquoi avez-vous viré mon mari, et son pote?— Ceux sont des cons, vous méritez mieux.— Mais pourquoi?— Une personne à qui je ne refuse rien, me l’a demandé.
Il marque un silence.
— Je peux changer votre vie de façon radicale.— Comment ?— Je ne vous le dirai pas maintenant, il faudra que vous fassiez vos choix quand ils se présenteront.
Encore une pause.
— Je viendrai samedi vers dix-neuf heures. Si vous voulez vous engagez dans le chemin que je vous propose, vous m’attendrez nue, et vous laisserez votre porte ouverte.
Un silence.
Il se lève et disparait, me laissant complétement déboussolée.

J’ai passé une mauvaise nuit, la discussion de ce soir tournant dans ma tête. Puis j’ai revécu la scène de la clairière, me rappelant cette bouffée de désir et m’imaginant à la place de la femme masquée. Alors, aux premières lueurs de l’aube, j’ai pris ma décision, je ne voulais pas revivre ce que j’ai vécu avec Jean-Michel. Et je me suis endormie enfin apaisée.
Je me suis réveillée tard, vers deux heures de l’après-midi. Je traine en pilou, entre télé et cuisine.Le temps coule.J’essaie d’imaginer ma future vie. Vais-je devenir comme la femme de la clairière, avec ses si beaux yeux bordés d’amour ?
Il est déjà six heures. Il faut que je me prépare. Me préparer à quoi ?Je n’en sais rien, mais ce ne sera plus cette vie d’avilissement, et de souillure sans plaisir.Je sors de ma douche, et machinalement j’enfile mon peignoir, je chausse mes mules. Je jette un œil à l’horloge. Zut il est presque dix-neuf heures. Je fonce vers la porte. Clac, clac, deux tours de clé et je déverrouille la serrure. J’entrebâille la porte. Et rassurée je retourne au salon quand...
— Bonsoir.
Je pivote sur mes talons. L’inconnu de la clairière est là, pile à l’heure.
— Madame, vous acceptez ou vous refusez ma proposition ?
Sur le coup, je ne comprends pas. Je reste comme une sotte. Et je réalise que je porte encore mon kimono. Je dénoue la ceinture, et je laisse glisser la soie qui me couvre. J’ouvre mes bras, pour me montrer au naturel.
— Voilà qui supprime toute ambiguïté.
Un beau sourire de loup éclaire son visage.
— Vous avez un joli corps.— Vous exagérez, j’ai quelques kilos en trop.— Oui, mais ils sont bien placés, Tournez-vous!— J’ai un gros cul n’est-ce pas?— Je dirai plutôt qu’il est opulent, et très tentant.
Un silence, et je me décide.
— C’est quoi la suite des événements? Vous allez me baiser dans mon salon, maintenant que vous avez viré mon mari?— Ce n’est pas ce qui est prévu.— Qu’est-ce qui m’attend?— D’abord vous allez vous habiller pour sortir. J’ai apporté ce qu’il faut.
Je baisse les yeux, il a posé deux grands sacs sur le plancher. Il en sort trois paquets dont un petit, et les pose sur la table basse du salon.
— On commence par celui-là.
Je soulève le couvercle. Dessous, j’y trouve une splendide guêpière ivoire ornée de broderies de rose rouge, oranges, et de jonquilles, ainsi qu’une paire de bas gris pale à couture. Je la prends et je me dirige vers ma chambre.
— S’il vous plait, habillez-vous ici dans le salon.
Je passe cette belle lingerie, et galamment, il finit de l’agrafer dans mon dos. Il me tend les bas. Je me tourne, lui offrant le spectacle de mon cul de mature. Je les fais glisser sur mes jambes. Je les attache aux jarretelles et je les tends sur mes cuisses.
— Les chaussures, fait-il en me tendant le plus petit des paquets.
J’ouvre la boite, deux louboutins avec des talons de dix centimètres m’attendent.Sans m’assoir, en m’appuyant sur l’épaule de l’inconnu, je les passe. Je pivote sur mes talons. Je me contemple dans le miroir. Je replace mes seins dans le balconnet. Mes tétons sont à peine dissimulés dans la dentelle, et en plus ils pointent. Un faux mouvement et ils s’échapperont de ma lingerie.
Je tourne le dos, à la glace et je me tors la nuque pour voir mon cul. La guêpière s’arrête juste à ma taille, dégageant le haut de mes reins. Entre la dentelle, les jarretelles, et la lisière des bas, mon cul ressemble à une belle pèche bien fendue.Je me place de profil. J’ai déjà une belle cambrure naturelle, mais elle est accentuée par le port des talons, et le cintrage de l’armature.La dernière fois que j’ai porté une guêpière, c’était à mon mariage. Depuis, mes formes de mature se sont affirmées, mais je ne peux m’empêcher de penser que je suis plus sexy en dessous qu’à vingt ans.Je me penche pour fouiller dans la boite, je tourne le dos à mon invité. Il peut discerner sans peine la friche qui couvre mon abricot.
— Vous cherchez quelque chose ?— Oui, la culotte.— Il n’y en a pas.— Pardon.— Vous n’en aurez pas besoin.
Un silence.
— Vous ne voulez pas essayer la robe?— Euh! Oui bien sûr !
J’ouvre la troisième boite. Dedans, c’est un scintillement de rouge de jaune et d’orange. Je la déplie. C’est une robe toute simple, deux larges emmanchures pour les bras, et juste un cordon pour la refermer autour de la taille.Je la soulève à deux mains pour mieux la voir.
— Elle est magnifique.— Oui, elle a été coupée dans de la soie changeante.— De la soie changeante.— Oui, ce sont les italiens de la renaissance qui l’ont inventée. Elle est tissée avec un fil de trame en soie d’une couleur, et le fil de chaine d’une autre teinte. On peut compliquer le jeu de couleur avec un fil oblique.— Comme les personnages des tableaux du Tintoret?— Exactement, vous aimez la peinture ?— Oui j’aime bien les visites de musée.— Si vous la passiez!
Je l’enfile. La robe est superbe. Elle descend sous mes genoux, les larges manches s’arrêtent au-dessus du coude. Un simple cordon permet de la fermer autour de la taille. Je l’admire dans la glace.
— Elle est superbe.— Vous n’êtes pas mal non plus.
Je virevolte, et la soie vole en remontant à mi-cuisse, puis retombe en caressant mes fesses nues.
— Vous permettez que je vous l’ajuste.— Oui, bien sur.
Il remonte les petits lacets de mes épaules, pour dégager la moitié de mes bras. Si je lève les bras, on peut voir la dentelle de la guêpière sous mes aisselles. Il resserre aussi la ceinture de la robe mettant en valeur ma taille fine, et mes hanches rondes.
— Vos coutures ont tourné. Je vais les replacer.
Ses deux mains caressent mes mollets, en tournant légèrement. Il fait de même autour de mon genou. Il remonte sur ma cuisse. Je frémis sous le contact de ses paumes. Un instant, je regrette que ses doigts se soient arrêtés à la lisière des bas. Il fait de même sur mon autre jambe. Je frissonne sous tant de sensualité. Je ne suis pas habituée à des attouchements d’une telle douceur. Je sens une humidité suspecte suinter de ma vulve dénudée.
— Je vais me coiffer.— Oui, mais choisissez une coiffure qui dégage votre visage, vous avez un bel ovale, ne le cachez pas.
Je pousse un soupir de soulagement dans la salle de bains. Je me trousse et je me penche en avant. Je m’essuie avec un gant de toilette imbibée de lotion d’hygiène féminine. Ma fourrure est trempée de l’anus au mont de vénus. Jamais les mains d’un homme ne m’avaient fait un tel effet. Je repasse une lingette parfumée deux fois sur mon vison, puis je le sèche avec une serviette. Je suis bien fournie, avec une pilosité auburn qui cache ma fente. Et puis en plus je l’ai laissée en friche. C’est vrai que je ne mettais pas en frais pour être souillée en gang-bang. Trop tard pour passer chez l’esthéticienne ou sortir le rasoir. Je peigne ma touffe, et je vaporise un petit peu d’Opium sur mon gazon.Voilà c’est fait. Un coup de brosse sur ma chevelure, un petit cerceau pour maintenir mes cheveux en arrière et dégager mon front. Un petit trait de rouge à lèvres, et me voici avec un joli look BCBG, de bourgeoise pour sortir. Je retourne au salon.
— Vous êtes juste parfaite.— Vous exagérez!— Non, non, vous êtes très chic.— Grace à vous.— On y va! fait-il en me tendant le bras.

Nous sommes sortis de Paris, et nous roulons vers l’ouest. Je suis nerveuse;
— Ou allons-nous?— En soirée privée.
Je frissonne.
— Vous allez me partager avec d’autres hommes?— Non pas vous partager, vous vendre.— Me vendre?— Oui vous vendre, aux enchères.
Je suis abasourdie, sonnée,
— Votre compagne, dans la clairière, vous l’avez achetée?— Non. Elle s’est donnée.
Je reste silencieuse, jusqu’à l’arrivée devant une belle villa. L’inconnu me guide jusqu’à un petit salon.

La soie glisse sur ma cuisse gainée de nylon gris. Machinalement je replace le tissu, mais il tombe à nouveau.Je lève les yeux, une grande femme mince et noire, aux traits fins de princesse éthiopienne se tient devant moi.
— Venez Madame, c’est l’heure.

Elle me conduit dans un grand salon, avec une petite estrade au fond, Nous traversons une assemblée élégante d’hommes en costume et de femmes en tenue de soirée. Ça me change de mes gang-bangueurs habituels. Je monte sur la scène. La lumière dans la salle s’éteint ne laissant qu’un éclairage rosé plutôt doux, centré sur moi.
Mes yeux s’habituent la légère pénombre. . A côté de moi, la maitresse de cérémonie lance les enchères.
— Aujourd’hui, l’objet de notre vente est une belle quadra, presque quinqua. Comme vous pouvez le constater, elle est dotée de formes harmonieuses.
Elle marque une pause et s’adresse à moi.
— Madame, pouvez-vous tourner sur vous-même?
Je pivote sur mes talon, faisant onduler et scintiller la soie de ma tenue. Je réalise alors que la transparence de ma robe, et l’éclairage par derrière dévoilent mes formes comme si j’étais nue.Et ce qui me trouble le plus, c’est que ne n’ai même pas honte de me montrer. Au contraire, j’apprécie le regard de ces inconnus.
— Madame n’a pas été éduquée, ni initiée. Elle attend d’être dressée par un maitre ou une maitresse expérimentée.— Mise à prix mille euros.
Un petit silence
— J’ai la bas, une offre à mille cinq-cents.
Les acheteurs signalent leurs enchères d’un simple mouvement des mains. Maintenant, ils ne sont plus que trois enchérisseurs. Un homme grand et élancé, dans les cinquante-soixante, une quinqua à la chevelure noir abondante, et vêtue d’une robe de soie rouge Elle a collé sa hanche contre mon chauffeur et s’appuie nonchalamment dessus. La troisième acheteuse est une femme très mince, aux cheveux argentés avec un mini robe de même couleur.
La femme en rouge est la première à caler. Un instant, je regrette de ne pas être devenu l’esclave de ce couple.Quelques signes de mains plus tard et je suis adjugée à l’homme élégant.
Mon acheteur montre sur l’estrade, il me contemple avec un léger sourire.
— Je peux vous essayer?— Euh…— Vous pouvez, répond la commissaire-priseur, à ma place, et elle poursuit.— Nous avons tout le matériel nécessaire.— Hélène, vous pouvez venir m’aider, et la préparer?
La femme en rouge s’approche de moi, et fait un geste circulaire de l’index de la main droite. Une corde descend du plafond
— Vous permettez?
Sans attendre de réponse, elle défait la ceinture de la robe, et la fait glisser des épaules jusqu’au sol. Je l’enjambe. Elle me prend les poignets et les glisse dans deux dragonnes attachées au filin. Encore un mouvement circulaire de l’index et mes bras sont tirés vers le haut, j’ai les mains légèrement au-dessus du visage. La quinqua s’approche, à me toucher, je peux la dévisager. Ces yeux, ces lèvres, je les reconnais.
— Vous êtes la femme de la clairière?— Oui.— Que va-t-on me faire.— Vous fouettez un peu, et...— Et...— C’est votre seigneur qui choisira.
Un silence. Puis ma maitresse lance.
— Combien?— Combien quoi?— Combien de coups de fouet, voulez-vous ? me demande la quinqua.— Dix, douze.— Il faut un nombre impair.— Alors treize!— Non, ça porte malheur, ce sera quinze, conclut-elle.
Tranquillement, elle colle ses lèvres sur les miennes, et fouille profondément ma bouche.Il y a un mois, j’embrassais cette femme, après son supplice, et maintenant c’est moi qui attends le mien.Elle me fixe avec un sourire coquin.
— Vous allez voir, vous allez être très heureuse.
Elle s’écarte. Celui que j’appellerai bientôt Monsieur s’approche, un martinet à longues lanières à la main.
— Madame, j’avais deviné votre corps, à travers votre robe. Vous êtes superbe. Vous avez des formes magnifiques.
Il passe une main fine sur mon cou, me caressant du bout des doigts. Il glisse le long de mon épaule, puis il descend sur le coté de ma poitrine. Je peux sentir la légère griffure de ses ongles coupés courts sur la fine peau de mes seins.
Il pose sa paume sur ma fesse gauche. Il en apprécie le moelleux, puis il la laisse aller jusqu’au petit pli qui sépare ma croupe de ma cuisse. Il soupèse ma miche. J’apprécie cette caresse. Ca me change des pelotages brutaux et sans égards de mes baiseurs habituels
— Un peu tombante, comme j’aime. Ce sera un délice à fouetter!
Je frissonne.Il caresse ma fourrure auburn.
— Vous êtes bien fournie, ça tombe bien, je n’aime pas les sexes de petites fille.
Il me fixe dans les yeux.
— Madame, vous ferez une très belle soumise.
Je ne peux que répondre un banal…
— Merci,
Il reprend.
— J’ai hâte de vous entendre crier, et de vous voir vous tordre sous le fouet.
Il se recule, et lance ses lanières sur ma croupe opulente. Je serre les dents. Je ne veux pas lui céder.
Il attend, puis deux allers-retours sur mes fesses et mes cuisses. Je crispe mes mâchoires.Un arrêt. Il me fouette à nouveau. Je danse d’un pied sur l’autre. Mes seins se sont échappés de la guêpière, ils ballottent à chacun de mes mouvements.
Une pause, je souffle, mais il balance une cinglée en plein milieu de ma poitrine, j’hurle.Il me me laisse déguster ma souffrance. Puis il reprend ma flagellation, ciblant alternativement mon cul, mes cuisses, et mes seins, une fois de plus.
Il ne reste que quelques coups. Monsieur s’arrête. Mon cul me lance, ou plutôt, il me chauffe. Je ne sais pas ce qu’il me prend. Je prends appui sur les liens, et je pousse ma croupe en arrière. Je me cambre comme pour appeler les lanières. Un aller-retour s’abat sur ma croupe insolente.
Une pause.
Il me reste une cinglée à administrer à ma soumise. Elle est magnifique, elle a un croupion qui appelle le fouet. Mais je veux vérifier mon intuition. Je glisse le manche du fouet entre ses cuisses. Je le pousse dans sa chatte, ouvrant sa vulve. Quand il sort, il produit un bruit de succion.Il brille de mouille. Je le présente à ses lèvres. D’elle même, elle ouvre la bouche, sort sa langue, et le lèche.Elle me regarde dans les yeux,
— Vous allez me prendre pour une salope!

Je ne réponds pas. Je me place derrière elle, et je l’achève d’une dernière cinglée, elle sanglote.
J’espère que c’est fini, je n’ai pas tenu le compte. Mon cul et le haut de mes cuisses me cuisent. La femme en rouge s’approche de moi.
— Là, là, ça va aller, je vais vous détacher.
Elle fait glisser mes mains hors des dragonnes, j’essaie de me tenir debout, mais mes genoux fléchissent. Je me raccroche à son cou.
— Vous sentez très bon.— Vous n’en avez pas fini.— Vous allez encore me fouetter?— Non, mais vous allez aimer.
Elle m’accompagne devant un cheval d’arçon. Elle me couche à plat ventre sur le cuir entre les deux poignées. Elle me rabat les deux mains dans le dos et les menotte.Des doigts crochent mes hanches rondes. Je sens quelque chose de dur s’appuyer sur mon anus. On va m’empaler.
Il pousse, il est en moi. Il remplit mon rectum. C’est une sensation si agréable. Je me croyais devenue inaccessible au plaisir anal.L’homme fait quelques va-et-vient, puis fait une pause. J’ai l’impression qu’il est énorme, et pourtant mon pauvre cul a vu passer des kilomètres de bites. Ou alors, c’est l’effet de la flagellation qui m’a crispée et rendue plus sensible. Je veux qu’il reprenne son enculage. Je gigote du croupion. Il comprend le signal, et recommence son délicieux pistonnage.
Je râle. Il me défonce en force. Je me sens flotter. La quinqua croche ses doigts dans ma chevelure. J’ouvre les yeux, elle me sourit, en me montrant les petites pinces à ressorts avec dents acérées. Elle enserre doucement mes mamelons. Puis elle lâche brutalement les petites mâchoires. Elles me mordent cruellement. J’hurle et je me contracte brutalement. Il éjacule violement dans mon rectum. Je pars dans un orgasme anal éblouissant.Je m’écroule haletante. On libère mes seins, puis mes mains, on m’emballe dans un grand manteau. L’homme me soulève et m’entraine à travers les couloirs, vers sa voiture. A peine assise, je m’endors épuisée.
Je ne me réveille qu’au pied de mon appartement.Je me laisse conduire jusqu’à ma chambre. Il n’allume que la lampe de chevet, pour tamiser l’éclairage. Ma robe tombe. Il dégrafe mes bas, puis ma guêpière. Il m’allonge nue dans le lit, et rabat la couette sur moi. Il se penche, et murmure.
— Merci pour cette excellente soirée. Si vous vous voulez poursuivre avec moi, dans cette voie, lisez le petit mot sur la table du salon. Sinon, oubliez tout, je ne vous importunerai pas plus.
Il se relève
— Dormez bien.

J’ai très bien dormi, mais je me réveille un peu courbaturée, Mais une bonne douche chaude a tôt fait de réparer tout ça. Mais j’ai envie de voir l’état de mon pauvre derrière, je dispose deux miroirs en angles, et je mate mon postérieur. Il a encore une couleur légèrement rosée, et quelques stries plus rouges, mais rien de plus profond.Je n’aimais pas cette partie de mon anatomie, je le trouvais trop gros, peut-être parce que mon con de mari me traitais de "gros cul". Mais là, allez savoir pourquoi, mais même si je crois qu’il est un peu fort, je le trouve élégant, surtout décoré par son nouveau propriétaire.Mais arrêtons le narcissisme, j’ai de la lecture. J’attrape un peignoir en soie.
J’ouvre l’enveloppe…
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