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La femme vendue

Chapitre 3

Ré-éducation, première journée

Lesbienne
Ré-éducation, première journée

J’ai bien fait de suivre le conseil de Pierre. Pour remplacer mon assistante Edith, j’avais pensé embaucher une petite jeune, trente ans max. Mais il m’a fait comprendre qu’on jaserait vite pendant les pince-fesses professionnels. Et, avec mon caractère, la coopération avec une femme plus expérimentée serait plus productive, et probablement plus sereine.Finalement, malgré l’étrangeté du mode de recrutement, je suis plutôt satisfait de mon choix.J’apprécie beaucoup Madame Saint-Yves, sérieuse, professionnelle, toujours d’humeur égale, et souriante. Et si chic.
Ce matin, elle est élégamment vêtue façon exécutive woman, jupe droite au genou, en tissu anthracite, avec de fines rayures blanche, juste ajustée, mais pas serrée. La veste ouverte du tailleur est du même tissu.Pour mettre ses formes en valeur, elle a gainé sa taille par un petit gilet , bien serré en tissu blanc rayé de de gris foncé, avec le même motif que le tailleur mais en inversant les couleurs . Sa poitrine ronde, emballée dans un corsage blanc tout simple, écarte l’encolure du gilet.La prime de fringue est vraiment bien utilisée.Et puis, je ne peux m’empêcher de regarder ses cuisses, en imaginant la peau blanche au-dessus des bas bien tendus.

J’ai repéré le manège du boss. Tous les matins, comme par hasard, il passe prendre son petit café, à la machine, au moment où mes copines et moi, prenons le nôtre.Je sens son regard parcourir mes formes. J’avance un peu la jambe gauche, pour tendre le tissu de la jupe. Il marque légèrement au niveau de l’attache du porte- jarretelle. Mon patron remarque ce détail, un léger sourire remonte le coin droit de ses lèvres. Je lui rends son regard. J’aime savoir que nous partageons ce petit secret coquin. Sans me quitter des yeux, il annonce.
— Aujourd’hui, c’est moi qui paie le café, Mesdames, et il poursuit.— Et la prochaine fois, c’est vous qui me rincerez, d’accord.— D’acco dac, lui répond Colette, toujours espiègle.

Mon boss me sourit en me tendant mon gobelet. Nos doigts se touchent, je fonds. J’aimerai déjà être vendredi. Surtout que depuis deux semaines, il a commencé à me traiter à la cravache.
— Pouvez-vous passer ce soir, avant votre départ, avec le parapheur.— Bien sûr.


Je me débarrasse des documents à signer sur le bureau, Monsieur m’invite à le rejoindre, sur le canapé.
— Bien, ma chère Madame Saint-Yves, ce prochain vendredi, une femme viendra vous chercher. Vous passerez le week-end end avec des amies qui se chargeront de votre rééducation anale.
Il me cueille à froid. J’ai peur, je me rappelle mes soirées avec mon mari, avec d’ignobles pénétrations. Je sors une bêtise.
— Il y aura des hommes, des blacks.— Non, rassurez-vous, c’est une confrérie féminine. Vous ne serez pas partagée. En fait, vous allez passer deux trois jours avec une bande de quinqua qui vont prendre soin de vous et de votre petit trou du cul. Et un peu jouer avec.— Mais notre rendez-vous hebdomadaire?— Annulé. Préparez une valise avec quelques toilettes élégantes. Vous ne déparerez pas au milieu d’elles. Départ vers dix-sept heures.

Dans une demi-heure, on passe me prendre, mais je ne peux me résoudre à partir sans avoir offert mon cul à Monsieur, alors je pousse sa porte, sans frapper. Dans le même mouvement, je verrouille la serrure. Il lève les yeux, interrogatif. Toujours muette, je contourne son bureau, j’ouvre ce tiroir que je connais si bien. J’y prends la cravache, et je reviens face au bureau. Je pose l’instrument de mon supplice devant Monsieur. Je me tourne et je fais glisser la fermeture de la jupe de mon tailleur. Je la fais tomber, lui exposant mon cul opulent de mature, au-dessus de la lisière de mes bas. J’ouvre mon corsage, et j’en sors mon abondante nichonnaille, je me penche face à lui. Je pose ma poitrine sur sa table de travail. Mes tétons se durcissent à cause du froid du verre. Je regarde mon maitre dans les yeux.
— Monsieur, j’implore votre sollicitude.
Il se redresse, saisit la cravache, et passe derrière moi. Il tapote l’intérieur de mes cuisses. J’écarte mes jambes, et j’étends mes bras en croix, la joue droite collée sur le bureau.

J’apprécie énormément le corps de Madame Saint-Yves. Ce n’est pas celui d’une jeunette, ni celui d’un mannequin, quoiqu’il serait idéal pour un catalogue de lingerie. Avec sa poitrine abondante et légèrement tombante, son petit bedon, son sexe touffu, son croupion opulent, sa belle cambrure, et ses cuisses charnues, elle a une silhouette divinement érotique. On ne peut que s’imaginer la livrer aux plus délicieux sévices.
Je remonte ma cravache le long de sa cuisse, je passe au-delà de ses bas et j’insinue le jonc entre ses grandes et petites lèvres. Un petit aller et retour dans sa fente. La tige en ressort brillante de mouille. Elle soupire.Je relève mon bras, et j’abats ma badine, en travers de ce beau cul bien blanc. La tige semble couper la chair de ma suppliciée. Elle tremble de tout son corps, je l’entends étouffer un cri.
C’est atroce, j’ai à peine entendu le sifflement de la tige souple, puis la brulure instantanée en plein milieu de mes fesses. Je retiens mon cri mais je ne peux m’empêcher de pleurer. Mes genoux me lâchent et je glisse au sol.
J’y suis allé un peu fort, ma soumise sanglote doucement. Je me penche, je saisis sa main, et je l’aide à se relever. J’en profite pour la serrer contre moi. J’apprécie le moelleux de son corps. Son parfum discret et délicat flatte mes narines.
Son portable vibre.
— Je crois qu’on vous attend en bas.

Je replace mes seins dans leur corbeille et je reboutonne mon corsage. Je me penche et j’enjambe ma jupe en prenant bien soin de tourner le dos à Monsieur, pour lui exposer mon cul dans toute sa splendeur. Je sens son regard caresser mes formes. J’imagine son sourire appréciateur. Le tissu remonte en frottant ma cicatrice. Je pousse un petit aie au passage de la doublure. Je vacille légèrement, il me rattrape par le coude et me retient pour éviter que je chute.

Elle a failli tomber, mais je l’ai attrapée à temps. Je la tiens contre moi. Je respire son parfum mêlé à une ombre de sueur. Il ne faut pas que je m’attendrisse. Je la guide jusqu’à la porte, et je lui ouvre. Elle glisse devant moi sans me quitter des yeux.Elle passe le seuil et elle s’éloigne dans le couloir, ondulant légèrement. J’imagine sa balafre frottant contre la doublure de sa jupe. Quelle femme exquisément sensuelle. Comment vais-je faire pour attendre vendredi prochain ?

Anne So
La porte de l’ascenseur s’ouvre, laissant sortir une jolie mature. Elle se dirige vers moi. Elle a un beau visage ovale, et surtout une jolie bouche aux lèvres finement ourlées. Mais ses orbites semblent légèrement ombrées
— Bonjour, je suis Anne Sophie, votre chauffeur.— Enchantée, moi c’est Judith.
Je lui tends la main, mais je la retire aussitôt, embarrassée.
— On se fait la bise.
Elle tend sa joue, je pose mes lèvres sur sa peau incroyablement douce, puis c’est elle qui m’embrasse. Nos deux poitrines se touchent. J’éclate de rire, et elle aussi.C’est exactement le genre de femme que j’aime, depuis que Mel m’a séduite et initiée aux amours féminines. Je prends sa valise et je la guide jusqu’à ma Mini. Je lui ouvre la portière, elle s’assied en laissant échapper un petit gémissement.
— J’ai demandé à Monsieur d’honorer mon gros cul, avec sa cravache, avant de partir.— Ca explique vos yeux bordés d’amour.

Judith
Anne-So guide sa mini en souplesse dans les bouchons du vendredi soir. Elle se dégage des embouteillages, et roule maintenant sur une petite route de campagne. Elle rentre dans une voie menant à une jolie maison d’architecte.
— Voilà nous sommes arrivées chez Mel.
Comme pour confirmer ses dires, deux matures sortent sur le perron. Je reconnais Hélène à sa belle chevelure noire, l’autre, la blonde doit être Mel.
Après avoir posée ma valise dans ma chambre, je les rejoins dans le salon, où nous grignotons quelques tapas en guise de diner. Nous papotons jusqu’à une heure avancée de la soirée quand Hélène lance.
— Je suis crevée, alors, je vais mettre la viande dans le torchon.
Je laisse échapper un bâillement, et je réponds.
— Moi aussi.
Nous nous levons et nous regagnons nos chambres.
Je n’arrive pas à dormir, je me retourne sans arrêt dans mon lit. J’entends des bruits légers venant de la pièce voisine. Je me lève et je marche à pas de loup dans le couloir. La porte de la chambre de Mel est entrebâillée. Je jette un œilHélène est à quatre pattes. Pour surélever ses fesses, elle s’est posé sur ses coudes. Anne-So s’est glissée sous elle, la tête entre les cuisses de la brune. Mel s’approche par derrière, et écarte ses fesses. Elle sort sa langue et plonge dans le sillon culier de la brune. Hélène roucoule.
— Allez mes salopes, faites plaisir à votre maitresse.— Mel, bouffe moi le cul, rentre bien ta langue.— Anne-So aspire mon clito, et branle moi.
Après je n’entends plus que des râles, et des gémissements. Hélène tremble violement, et lance un gros soupir, puis elle s’abat sur le côté,
— Ah trop bon les filles.
Les trois femmes s’installent l’une dans l’autre, en petites cuillères. Je peux voir des mains empaumer des seins.
— Allez mes chéries, on dort. On a une rude journée demain.— C’est plutôt pour la nouvelle que ça va être difficile.— Je suis sûre que tu voudrais être à sa place.
Je retourne dans ma chambre, avec cette pensée: monsieur m’a jetée dans un nid de gouinesIl est plus de onze heures quand Mel me réveille.
— Prenez le temps de vous doucher. Inutile de vous habiller, vous aller finir à poil!
Je me lave, et je passe quand même un peignoir de soie. Je les trouve déjà habillées dans la salle de séjour.
— Ah voilà la plus belle me lance Anne-So.— On s’occupe de vous, et on déjeune après, ordonne Hélène.
Mel pousse au milieu du salon un meuble bizarre, une sorte de chevalet monté sur un robuste piètement de guéridon.
— On va vous installer dessus commande la brune.— C’est quoi ce truc.— C’est un meuble anglais, pour présenter une jolie femme.
On me pose à plat ventre sur une sorte de large planche rembourrée, mes seins pendent de chaque côté d’un arc en bois qui soutient mon menton. Derrière mes cuisses sont maintenues écartées, On me bascule légèrement en avant pour surélever mes fesses. Mon sexe, et mon anus sont bien dégagés, disponibles pour toutes les pénétrations et attouchements. Ma nuque est désagréablement cassée en arrière. Hélène s’en aperçoit et elle abaisse la mentonnière.
— Voilà, ce sera plus confortable. Je vais finir de vous préparer.
Elle fait pivoter l’engin, pour présenter mon cul et mon entre cuisse. Un doigt suit la marque de la cravache sur mes fesses.
— Monsieur ne vous a pas loupé. Il a l’air d’apprécier vos formes.— C’est moi qui lui ai demandé ce petit au revoir.— Belle preuve de soumission, ou d’amour, peut-être.
Elle glisse un doigt dans mon anus, elle s’exclame.
— Mon dieu, plus aucune tonicité! Que vous a t’on fait subir?— Des hommes, beaucoup d’hommes, mon mari trouvait amusant qu’ils m’utilisent.— Quel con! Massacrer un si beau cul! Vous aviez mal?— Au début oui, après, plus rien?— Alors vous n’avez jamais connu le plaisir anal.— Non jamais,— ...— Enfin, si une fois, quand Monsieur m’a prise lors des enchères, après m’avoir fouettée.
Elle rassemble ma chevelure en queue de cheval. Puis elle attache mes mains dans mon dos. Me voici sans défense, et j’aime ça.
— Les mains liées, ce n’est pas absolument nécessaire, mais c’est plus sexy.— On vous a déjà mis dessus cet engin ?— Oui, et pas qu’une fois. C’est très confortable, on est totalement disponible. Mon maitre peut me prendre la bouche, la chatte, l’anus. Et on peut être fouettée, ou on peut vous pincer partout, et elle conclut.— J’adore.
Elle s’arrête, passe une langue coquine sur ses lèvres. Puis elle reprend.
— Je vais vous poser les électrodes sur les seins.
Elle se penche, et embuche mon téton droit, et l’aspire, Il se gorge de sang.
— Ce petit coquin à l’air bien content. On ne va pas le décevoir.
Tranquillement, Hélène l’enserre dans les mâchoires à picots. Je serre mes dents, j’ai mal, mais la souffrance passe assez vite, pour ne laisser qu’une petite douleur lancinante.Malgré ça, malgré ma position, je me sens incroyablement bien, presque heureuse d’exposer mes orifices.
Elle fouille dans ma fourrure intime, écarte mes petites lèvres, et dégage mon clitoris. Elle le câline doucement, ça ne loupe pas, il se gonfle, et s’érige. C’est délicieux. J’ai beau savoir ce qui m’attend, je gémis de plaisir.
— Je vais vous faire un peu mal.
Et sans pitié, elle pince mon petit haricot avec la troisième électrode. Je souffle un grand coup comme pour apprivoiser la douleur.
Derrière, on me tartine l’œillet avec un peu de lubrifiant. Puis on pousse dedans un petit plug. Il ne me fait pas grand mal, vu le nombre de bites qui sont passées par là
Hélène se penche prés de mon oreille, elle m’explique ce qui m’attend. Il est question de plug gonflable, de dilatation, de stimuli électriques, et ce que je dois faire pour éviter de me faire exploser le cul.
— Voilà, vous êtes prêtes, vous avez bien compris?— Oui, une décharge, et je serre mon sphincter.— Serrez fort dès le début, même si la puissance de gonflage est progressive. C’est bon, on peut y aller.— Oui, je crois.— On commence en douceur.
Une petite chatouille, et j’entends un bruit de pompe. Le god gonfle dans mon rectum et le remplit en totalité. Ce petit massage est délicieux. Mais je sens aussi que mon anneau est forcé. Vite, vite je contracte mes muscles et je serre. Une fuite siffle, et tout se dégonfle, je me détends.
— Ça va.— Oui.— Faites attention, ça va être de plus en plus fort.
Je me concentre. Une décharge électrique, et je serre. Ca va un temps, et puis l’intensité de l’électricité augmente. Et sous la douleur, j’oublie de me contracter. Le plug enfle repoussant les parois de mon rectum. Puis c’est mon sphincter qui est distendu. J’essaie de me crisper, mais je suis impitoyablement dilatée. J’ai tellement mal que je sanglote. Coup de chance, le plug se dégonfle. Je souffle. Mais une autre stimulation électrique me secoue. Je verrouille mon sphincter.
Mon supplice continue pendant encore une demi-heure, puis le casse-noisette s’arrête.Je suis épuisée, et essoufflée, ma peau est couverte de sueur, et en plus je sens des écoulements suspects à l’intérieur de mes cuisses. J’ai mouillée.
— C’est bon, c’est fini pour aujourd’hui. On va vous débarrasser.
Hélène desserre avec douceur les pinces pour éviter la douleur du retour de sang dans mes boutons.Mel délie mes mains et retire le god de mon cul. Elle m’aide à me redresser. J’ai un peu le vertige.
— Je me sens sale. Je prends une douche et je reviens.
La pluie qui coule sur moi me fait un bien fou. Je me savonne partout, mais je commence à m’attarder sur mes mamelons. Mes tétons se gonflent, en me faisant délicieusement mal. Puis ma main droite glisse vers ma fente. J’écarte ma vulve et je faufile mes doigts entre les poils de ma toison pubienne, pour écarter mes lèvres. Je trouve mon clitoris, et je commence à le caresser. Il se gorge de sang. J’abandonne mes seins gonflés, et je glisse ma main gauche entre mes fesses. Mon index trouve mon anus et se glisse dedans. Etrangement je me sens plus serrée. Je joins mon index et je commence à masser mon conduit anal. Branlée devant, doigtée derrière, je commence à perdre pied, et je pars dans un splendide éblouissement solitaire.
Je reprends mon souffle. J’arrête la douche, et je cherche une serviette. Une main me tend un drap de douche. Hélène.
— Vous m’avez vue.— Oui, à la fin.— Vous allez me prendre pour une salope.— Non, seulement comme une femme qui sait prendre son plaisir où il est, et elle continue.— Vous êtes superbe dans l’orgasme. J’espère que vous l’êtes autant quand Monsieur vous fouette.

Elle marque une pause et reprend.
— Prenez votre temps pour vous habiller. On déjeune léger. Et après...— Et après.— Et après, on glande sur les canapés, entre filles.
Avant d’aller me laver, j’ai noté que ces dames étaient décontractées question fringues. Alors, par mimétisme, je m’habille comme elles: Corsage blanc cassé, au décolleté bien ouvert et jupe à grand plis, au mollet, en soie voire fleurie de roses de toutes les couleurs. Dessous un soutien-gorge gris pale, emboitant, mais laissant une belle échancrure en V, une large culotte, et un galbe-taille assortis. Et pour compléter le tout, une paire de Gerbe légèrement dorés, avec des coutures, et des talons bien sages environ huit centimètres.
J’entre à peine dans le salon que je suis accueillie par un...
— Quelle élégance.— Vous êtes à croquer ma chère.— Et quelle jolie façon de mettre votre poitrine et vos hanches en valeur.
Je rougis. Je n’avais pas subi autant de compliments depuis ? Depuis mon mariage, en fait.Et venant de femmes aussi chics, ça fait du bien.Je m’assieds à coté de Mel. Hélène pioche une crevette dans le saladier, la trempe dans la mayonnaise et la porte à sa bouche. Elle surprend mon regard interrogatif.
— On mange avec les doigts, et on picore ce qu’on veut dans les plats. Au fait comment vous appelez vous?— Judith. Judith Mar... Non Judith Saint-Yves.— Eh bien, belle Judith, bon appétit.
Après les petits fours, nous nous alanguissons sur les divans. Mel se vautre sur Anne-Sophie, qui, sans gêne, fouille dans son décolleté. Visiblement cela plait à la blonde qui laisse échapper des petits soupirs de bonheur. Hélène me regarde avec un léger sourire coquin.
— Bon, il faut passer à la suite du traitement.— Pardon !— Mettez-vous à genoux sur le fauteuil.
Je lui obéis, croisant mes bras et posant ma joue sur le haut de l’assise. Je sens ses paumes sur mes mollets. Elle remonte sur mes jambes, retroussant ma jupe. Elle passe sur mes cuisses, au-dessus de la lisière de mes bas. Je frissonne. Pour conclure, elle rejette la soie au-dessus de mon dos.
— Regardez ce beau cul, et cette jolie lingerie, lance Hélène.— Elle est toute grise, on dirait des dessous de bonne sœur.— Tu es méchante, Mel. Si toutes les bigotes avaient de telles fesses, et une telle lingerie, il n’y aurait pas de crise de vocation chez les curés.
Un éclat de rire général clôt la conversation.
Hélène fait glisser ma culotte, je me dandine d’un genou sur l’autre pour la dégager.
— Ecartez vos fesses.
Un doigt humide passe et repasse sur mon petit cratère, puis s’enfonce dans mon sphincter.
— Serrez, s’il vous plait.
Je me concentre et je me contracte.
— C’est pas mal, mais il faudra une autre séance, en attendant...
Elle me met sous les yeux un gros rosebud.
— Sucez-le, il faut bien le lubrifier.
Et elle l’enfourne dans ma bouche.
— C’est bon, je vais vous le poser.
Elle le retire, et pose la pointe sur ma rosette. Elle pousse.
— Aie, il est trop gros, il ne passe pas.— Mais si ça va passer, relâchez-vous.
Elle force. Et plop !
— Oh, c’est rentré !— Rajustez-vous, ma belle.
Je rabats ma jupe sur mes fesses, et je me redresse. Je fais un ou deux pas.
— Oh c’est lourd, je vais le perdre.— Mais non, il suffit que vous vous contractiez votre sphincter.— il bouge dans mon rectum quand je marche, on dirait un massage.— C’est agréable, n’est-ce pas.— Oui, c’est vrai.— Quand vous marcherez, vous aurez peur de la perdre. Alors vous contracterez. — Je remets ma culotte ?— Non, restez les fesses à l’air.
.La fin de l’après-midi coule doucement, je me sens bien au milieu de cette petite confrérie, et intérieurement, je remercie Monsieur de m’avoir confiée à ces femmes délicieuses
Vers dix-neuf heures, nous décidons de finir le samedi au restaurant. Le diner se passe agréablement, et après le dessert tombe la question...
— On fait comment pour l’addition ?— On partage en quatre.— Non on va jouer le repas à la culotte, décide Hélène.— C’est quoi, jouer à la culotte.— Judith, c’est très simple. Vous comptez jusqu’à trois, et la dernière qui met son slip sur la table paie la bouffe.— Mais alors, je ne peux pas jouer.— Evidement, mais ça sera pour la prochaine fois,— Et vous aurez intérêt à vous entraîner. Et maintenant mais vous allez compter pour donner le signal.— Un, deux, trois, partez.

Les trois matures se soulèvent sur leur siège, fouillent sous leurs jupes. Sans se soucier qu’un client ou un serveur s’aperçoivent de leur manège. Mel pose triomphalement un petit bout de dentelles jaunes à côté de son assiette, suivie par Hélène qui dépose une jolie culotte rouge. Anne So est la dernière.
— Je suis restée coincée par l’attache de la porte jarretelle.— Tu es la dernière, tu paies, pas de pitié, lui lance Hélène.

Une fois rentrées à la maison Mel saisit Anne So par la main et l’entraine.
— On vous laisse les filles, nous on va se coucher.
Je me dirige vers ma chambre quand Hélène me rattrape.
— Vous venez avec moi. Je n’aime pas dormir seule,
Une fois à côté du lit elle me demande
— Déshabillez-moi.
Je fais glisser sa robe, puis son balconnet. Je descends à genou, et je tire sa culotte vers le bas. Je peux admirer sa touffe bien soignée, teinte en rouge. J’empaume ses fesses et je l’attire vers mon visage. Je renifle à plein poumon son parfum mêlée à son odeur de femme et à la sueur de la journée. J’approche ma langue
— Mes bas, s’il vous plait.
Je dégrafe ses nylons et dans le même mouvement, le galbe-taille. Je la déchausse. Elle est nue.
— A vous!
Elle me débarrasse de ma jupe et de mon corsage, puis de mes sous-vêtements. Elle me tire sous la douche.
— Savonnez-moi !
Mes mains courent sur son corps, l’enduisant de mousse; j’insiste particulièrement sur sa toison rouge. Mes doigts farfouillent dans ses poils, découvrant ses lèvres percées, et son clitoris annelé.Je commence à le câliner quand elle m’interrompt.
— A moi de jouer.
Elle me nettoie sans se priver de me peloter. Je glousse quand elle me tripote les nichons.
— Les deux mains sur le mur, s’il vous plait.
Je lui obéis. Elle fait couler un peu de gel sur mes reins, qui s’insinue dans mon sillon inter-fessier. Elle faufile sa main droite dans ma raie culière. Elle croche la rosace du rosebud, et tire. A mon grand étonnement, le bijou sort de ma rosette sans résistance. Elle câline mon cratère, puis masse mon périnée, et enfin pénètre ma chatte entrebâillée. Elle remonte ses doigts, et enfonce son pouce dans mon anus. Son majeur et son index fouillent ma vulve. Je roucoule.De sa main gauche, elle dégage mon petit haricot et entreprend de le caresser. Je commence à gémir, je laisse tomber ma tête entre mes bras. Elle me branle le bouton et agite son pouce dans mon cul. Je râle. Elle pince mon clitoris. Je me cambre et je jette ma tête en arrière. Je spasme et je crie de bonheur. Mes jambes me lâchent et je glisse à genoux sur le carrelage.
Je lève les yeux, Hélène me contemple avec un regard bienveillant. Elle me tend la main pour me relever.
Nous nous essuyons mutuellement. Elle prend ma main et me tire vers le lit. Elle s’installe sur le dos, je me coule contre elle la tête posée sur son torse juste sous sa poitrine, elle éteint la lumière. Doucement elle caresse mes cheveux. Je glisse mes doigts jusqu’à son aine. Je farfouille dans sa fourrure.
— Non, s’il vous plait, je suis fatiguée. Mais laissez votre main là. C’est bien bon.
Je laisse passer un petit silence. Et puis je me lance.
— Mel et Anne -So sont vos soumises?— Non, seulement Mel, en théorie.— En théorie?— En fait, je suis la soumise de mon mari. Et la maîtresse de ma belle blonde.— Et Anne-So, dans tout ça.— C’est assez simple, je vous la fait courte, et elle continue. — Un jour, après mon divorce, je suis tombée, au sens propre sur un homme. J’ai tout de suite été amoureuse. Et il partageait mes sentiments. Il a fait mon éducation sensuelle. C’était délicieux. Un jour, il m’a demandé si je voulais être fouettée. J’ai acceptée. J’ai eu très mal, mais j’ai adoré. Ensuite, il m’a dressée progressivement, au fouet et à d’autres sévices tous aussi délicieux.— Mais Mel?— Un jour, il m’a demandé de séduire une femme, bafouée par son mari. Et j’ai pris goût à l’éduquer. Elle m’a aussi aidée à révéler mon côté dominatrice. Pour moi maintenant Soumission et domination sont les deux faces d’une même pièce.— Et puis Anne-So est entrée dans notre petit monde, Mel lui a révélé son homosexualité, et son appétit pour le martinet. Et voila.— Moi aussi j’ai été la soumise de mon mari.— Non, pas une soumise, vous n’étiez que son esclave sexuelle, il vous donnait à n’importe qui pour satisfaire son ego narcissique.
Une pause
— Monsieur est un vrai maître, il vous traite durement. Mais il fait attention à ne jamais vous humilier, ni vous blesser. Même s’il vous fouette, il reste attentif à votre plaisir.
Elle continue.
— Vous aviez connu des femmes, avant.— Oui mais je n’ai pas aimé.— Ah.— Il en avait parfois dans les partouzes ou les gang-bangs dans lesquels mon mari me livrait. J’étais obligée de bouffer des chattes ou des culs, et toujours très propres. Et puis, il y avait de vraies salopes qui aimaient jouer avec mon sexe ou mon anus. Il y a même eu, une fois, un concours à celle qui me défoncerait la rosette avec le plus gros god-ceinture.— Je comprends mieux l’état de votre oignon.— Mais avec vous trois, c’est très agréable.— Vous êtes trop gentille, mais maintenant, il faut dormir. Demain, on recommence casse-noisette.
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