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La Femmelette du Mont Sainte Michèle.

Chapitre 1

Divers
La Femmelette du Mont Sainte Michèle.
Mon Amazing Grasse, ma douce cornemuse, mon biniou mélodieux.
J‘ai crée pour notre auberge un plat à goinfrer les noces et banquets de notre région. Un plat tellement idéal ici qu’il devrait nous lancer aussi haut que les marées d’Equinoxe le Grand.
Cette recette normando-bretonne réconciliera les deux rives du Couesnon. Cancalaises et Granvillais, Rennais et Fécampoises, pourront enfin, sans s’étripper, brailler en cœur à mille voix : J’irai revoir ma Normandie enchaînée à La Paimpolaise. En ton honneur nous lui donnerons ton nom, si tu le veux bien mon amour :
« La Femmelette du Mont Sainte Michèle »Tsss, tsss, gourmande, je devine ta langue impatiente. Voilà, voilà !Ingrédients pour quatre à six personnes.     - Huit gros œufs de dindes.— Une douzaine d’huîtres creuses— Une douzaine de grosses moules fraîches du jour.— Six à huit bites sélectionnées, complètes avec poils et couilles, non épluchées.— Cent grammes de crème fraîche semi-épaisse.— Un bon choix de carottes crues, lavées, pelées.— Persil, ciboulette, citronnelle, estragon etc.
Recette :Battre les œufs en femmelette et cuire en omelette.
Déposer le résultat baveux au milieu d’un grand plat circulaire. Allonger délicatement la femmelette, reins cambrés, ventre en butte, nombril centré dans le plat.. Façonner et préciser des reliefs en formes alléchantes, le choix est vaste.
(Nous devrons, au début, afficher un choix lisible sur le menu: Femmelette normande et/ou bretonne, selon la clientèle du jour. Aventurons-nous avec diplomatie tout doucettement sur ce terrain sensible.)
- Ventres et mamelles de laitières, ajouter de grosses carottes pour figurer les tétons, des touffes de persil seront disposées à volonté aux endroits stratégiques. - Jeunes pucelles alanguies, seins aigus, minuscules carottes pointées vers le ciel, juste un poil de ciboulette hachée là, oui, juste là.Pour les gueuletons d’étudiants attardés, il faudra vérifier les cartes d’identité, ce plat ne pouvant être servi qu’à la majorité plus un jour. De même il faudra contrôler rigoureusement les dates de pontes des œufs et l’âge des pondeuses. Tout ce beau monde doit être majeur et vacciné.
- S’il s’agit d’un banquet de mariage, travailler des formes de femmelettes enceintes seraient d’un à propos judicieux. Ventre conséquent, gros mamelons saillants. Pour ces occasions, attribuer aux tétons les plus belles carottes du potager. Une lichette de crème fraîche liquide au sommet serait d’un goût exquis.
- Pour les réunions de clubs du troisième âge, les femmelettes seront laissées très baveuses, les plis seront fortement marqués, seins couchés, rabattus. Comme tétons utiliser les carottes des années passées, les bizarres, les fripées, les tordues. On pourra enrichir, figurer les mamelons, avec les tranches colorées de différentes espèces du potager, plutôt les granuleuses ou celles avec pépins.
Tout autour du plat, il faudra disposer en éventail les huîtres et les moules fraîches grandes ouvertes, encore coulantes, très légèrement égouttées. Les pointes dirigées vers le centre du plat.Cette première partie sera à ma charge et pour m’inspirer, tu pourras jouer avec tes seins, te branler large en me regardant ouvrir ces ruisselants mollusques.
Ensuite, je compte sur toi, tu seras alors bien échauffée et je te laisserai volontiers la main.Car au sommet de la femmelette. Il te faudra dresser les bites . Là il ne faudra pas hésiter, utiliser petits doigts et grands moyens ; branlette espagnole, pétrir avec les seins, caresser des tétons et de ta langue savante. Salive, bave, humecte, astique longuement et fais-moi reluire ces glands comme de précieux gemmes. N’oublie pas, mon ange, qu’il nous faut du luxueux, du brillant, du spectaculaire, de quoi faire mouiller les clientes. Il y va de notre avenir, de notre réputation. Tu disposeras les bites ainsi raidies, une par une, en bouquet bien droit. Les glands, courts ronds et trapus, alternant avec les effilés, les pointus, les gros avec les petits etc. Tu pourras prendre modèle sur le Mont, ses toits, ses clochers, son monastère. Tu harmoniseras les couleurs façon bouquet floral, du tendre rose fraise en passant par le rouge framboise et le mauve des mûres sauvages. Au besoin, tu pourras demander conseils à Eglantine la fleuriste. Dés lors qu’il s’agit de hampes, de glands, de fertilisation, d’odeurs et de couleurs, elle est fort compétente, crois-moi et j’ai souvent fait appel à ses talents.
Chaque bite sera accompagnée de sa paire de testicules disposée vers l’extérieur du groupe. Ces couilles figureront à ravir les rochers à marée basse. Les touffes de poils étalés, mouillées au jus des fruits de mer dessineront d’aguicheuses algues noires, brunes, rousses, blondes. (Evite les vertes et les pas mures, toujours ces histoires de majorité, d’âge.)Dans chaque trou de gland, on ajoutera quelques gouttes de crème fraîche débordant avec élégance.
Pour maintenir les bites dressées le temps du service, on plantera délicatement mais profondément dans leur trou, de longues et très fines bougies, des piquettes à apéritif, voire des hampes de fanions aux couleurs d’un club local.Possibilité de banderole qui ferait le tour du bouquet avec « Elle a gagné » ou « On a perdu » ou bien, « Pour les 90 ans de Mariage de Grand-Pépé et Grand-Mémé » etc.
Décorer le sommet d’une statuette de « Sainte Michéle Terrassant le Dragon » C’est une suggestion du Saint Abbé Michel Dumont, l’humoriste de la baie, un régional, ne blessons personne. Le Syndicat d’Initiative pourrait nous subventionner, du moins c’est ce que prétend ce moine défroqué.
Nous accompagnerons le plat d’un blanc trémousseux, sec, bouteilles humides. Aux clients anglais, américains, chinois et japonais qui, sois-en sûre ne manqueront pas, discrètement nous proposerons nos pissettes locales comme étant up to date, branched , the new « Coq à l’ail » pour les hommes et le « Hard Cock » pour les femmes. And yes sire, l’inverse is possibeul, ça dépend de only you ! Of course que zat is trou ! If, if, if !     …………………………………………………………………………
La grande première est pour ce soir ma chérie, ton anniversaire, un banquet intime. Quarante amis, pas plus. Tu pourras goûter ce qui devrait faire ta gloire et le succès de notre estaminet, notre fortune peut-être.J’ai préparé pour toi bites et amourettes à volonté, bougies et piquettes. Ce sera un repas couillu et bandant comme tu les aimes. De plus, il y aura moult femmelettes, dodues et chaleureuses, fumantes. Vulvettes bavissantes et trémoussantes. Pirouettes et Cacahuètes les jumelles que tu adores et qui te le rendent bien, seront de la partie. Toutes m’ont promis la grande forme pour l’occasion et juré de te combler de vicieux cadeaux-surprise.Les bouteilles de Vrai Champagne s’imposent, je sais que tu les apprécies en toutes circonstances, partout, avec ou sans leur bouchon. En couronnement de ton plateau d’anniversaire ma grosse amour, ni fanions, ni banderoles, j’ai sculpté une statuette toute en finesse et délicatesse, à ton image et que j’ai baptisé : « Sainte Michèle Masturbant les Glandons » J’espère qu’elle te plaira autant qu’à moi.En dessert Crêpes Sucettes Roulées - Citrons Pressés. Pets de Nonnes du monastère et nos Tartes-Taquines maison. Qu’en penses-tu ma divine archange ? Ça te va ?
Je t’attend ma Grasse Présidant le Ciel. Soyeux Anniversaire. Que ta santé humide se répande encore et encore par le devant et par le derrière.

PS : Notre restaurant a joyeusement prospéré. Sa publicité affichait en silhouette une photo du fameux plat sur fond de mer et lever de soleil. — Oh ! On dirait le vrai !Après édition de cartes postales, nous dûmes agrandir le parking. Pour les autocars.
Le banquet d’inauguration fut particulièrement réussi. Pour la première fois, estomaqués, nous entendîmes les moules brailler en chœur « Vive la Marée », leur hymne national, repris avec vigueur et enthousiasme par les huîtres et les crevettes des tables voisines.
Lors de cette soirée mémorable, la salle jouissait et re-jouissait à tour de bras, hurlements à fendre les vitres, les bites surbandaient à qui mieux-mieux, les rochers tremblaient, vibraient se tapant les couilles par terre, les algues trémoussaient, lambadaient, gigotaient, applaudissant follement les mille marées arrivant au galop. De grands jets de crème fraîche éjaculée s’épandirent partout, ensemençant les chants. Les langues bretonnes, cauchoises, anglo-normandes, armoricaines mélangées, entrelacées s’insinuaient ça et là. Le moindre trou de vase, la plus profonde cavité humide parmi les varechs était fouillé par elles bruyamment tout comme les tendres fruits de mères et les rugueux rochers des pères. Les crevettes, seins à l’air et tutus rose s’enlacèrent en folles farandoles, picotant de leurs antennes agiles les chairs grandes ouvertes des cons vifs et des convives, offertes du fond du cœur et plus bas encore. Le monde se gavait de trous normands, de bombardes bretonnes. Tous les légumes du jardin y sont passés ! Les concombres ? Engloutis. Les courgettes? Broyées! Les navets ? Disparus ! Ne parlons pas des carottes, bonnes à tout faire de la restauration, ni de cette crème de marrons de l’Ardêche, la favorite de certains gourmets et de certaines goulues. En fin de soirée, la pissette locale coulait à flot.. Bonne ambiance donc et grand succès pour notre établissement. Notre fortune était assurée dans la vie toute simple de nos prés salés.
Hélas, mille fois hélas, une fois la saison terminée, Sainte Michèle m’a tristement quitté. Masturber les glandons de temps en temps voire souvent, oui elle adorait. - Tous les clients et tous les soirs ?— Non mais ! Ça va pas la tête ?
Entendu ! Quand une femme dit non, c’est non ! En homme d’affaire avisé, je cogite, je cherche… Concocter de nouvelles recettes ? Prendre de nouvelles femmes ? Combien ?
FIN
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