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Femmes de rappelés désespérées

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Femmes de rappelés désespéréesDark Dilemma of a Soldier’s Wife
Coulybaca / Dark Demon

Le sergent Reggie Carter, un vétéran engagé depuis 20 ans dans l’armée, riait rien n’était plus jouissif que les temps de guerre, participer aux combats était dans son sang, l’adrénaline montait dans ses veines quand son environnement le considérait comme une machine à tuer.Les hommes participant à cette guerre étaient principalement des rappelés qui ne voulaient pas combattre mais était forcés de le faire maintenant qu’ils avaient longuement jouis des avantages d’appartenir à l’armée de réserve.Ils ne s’attendaient pas à être rappelés à moins que le pays ne soit attaqué par un autre pays, faire partie de la réserve en temps de paix était un gros avantage qui leur rapportait une substantielle paye.Mais les choses avaient changé et ils se trouvaient maintenant en premières lignes, dépendant grandement d’un sergent vétéran de qui dépendait le fait de rentrer au pays en une seule pièce ou dans un cercueil de pin.
Tout juste de retour de son deuxième séjour au front, le sergent Carter était regardé comme un héros en raison de sa bravoure qui l’avait amené à mettre en jeu sa propre sécurité pour sauver plusieurs de ses hommes blessés qui se trouvaient sous le feu d’un sniper. Le sergent Carter avait carrément porté sur son dos le capitaine Mike McCoy qui s’était pris un éclat d’obus dans l’aine et était incapable de marcher, de plus, si dans son peloton plusieurs de ses hommes avaient été sérieusement blessés, ils étaient tous rentrés en vie, et c’était ce qui avait importé le plus lors de son retour alors qu’il se tenait maintenant fièrement au centre d’une cérémonie pendant laquelle un officier supérieur venait de le décorer en lisant sa citation.Alors que l’officier commandant la base révélait les circonstances des exploits lui valant cette citation, le sergent Carter regardait la foule de civils assistant à la cérémonie.
Au troisième rang était assis le capitaine Mike McCoy et sa ravissante jeune femme, ils étaient mariés depuis un an.Et tandis que le colonel Dempler continuait le récit de son héroïque comportement, Reggie observait le jeune homme qu’il avait sauvé poser la main sur l’épaule de sa ravissante jeune femme qui reniflait en essuyant les larmes qui perlaient dans ses yeux.Reggie serrait les lèvres tant son attention était forte, il s’empêchait de toutes ses forces d’éclater de rire car il savait que pour tous les gens les environnant, ces reniflements et ces pleurs saluaient le retour en vie de son mari à la maison.Mais Reggie savait quelque chose que personne d’autre que lui ne savait, que la somptueuse Cheryl McCoy n’était pas si joyeuse que cela de voir son mari de retour.
Reniflant et essuyant ses larmes alors que le chef de corps continuait à détailler le sauvetage de son mari par le sergent Carter, Cheryl avala sa salive, alors que frissonnante de culpabilité elle sentait son cour battre la chamade.— La, la... Je suis à coté de toi ma chérie ! Je m’en suis sorti en vie ! Tentait de la consoler son mari en lui tapotant le dos.Alors qu’assise tremblante à ses cotés, Cheryl se remémorait ces deux dernières années et comment elle avait été prise de panique à la pensée que son fiancé ne puisse pas revenir en vie du front.Mike était vraiment un citadin, il avait rejoint la garde nationale pour ses avantages sans jamais envisager qu’il pourrait être appelé à défendre la patrie, elle avait alors craint le pire.Il ressentait le même stress que tous les membres de son unité qui espéraient tous rester au plus prêt du sergent vétéran sachant qu’il était le plus à même de leur assurer la survie.

A l’insu de Cheryl, le sergent avait vu Mark contempler une sa photo, le pervers sergent avait tout de suite pensé qu’avec un peu d’habileté il pourrait assouvir avec elle ses appétits de luxure.Il avait attendu la journée ouverte organisée à l’adresse des femmes et des proches des rappelés, Mark avait ébahi lorsque le sergent Carter lui avait annoncé qu’il était le plus prometteur de ses soldats et qu’il l’avait désigné pour faire une démonstration de close combat.Il avait tout juste noté que le sergent Carter s’était installé à coté de sa femme pendant sa démonstration devant la foule.S’adressant au sergent Carter assis à coté d’elle, Cheryl l’avisa :Je suis tellement surprise... Mark m’avait toujours assuré qu’il manquait d’assurance lors des entraînements ! Je me tracasse tant pour lui ! Je me demande toujours s’il parviendra à rester en vie ! C’est vraiment un grand réconfort de vous entendre dire qu’il est votre recrue la plus prometteuse sergent Carter !
Un frisson d’angoisse parcourut la colonne vertébrale de Cheryl à la vue du sourire démoniaque qu’arborait le sergent Carter alors qu’il se penchait sur elle en murmurant :— Vous rappelez-vous m’avoir entendu dire que l’habileté ne suffit pas, il faut aussi avoir de la chance mademoiselle Miller ! Mais qu’est qui fait qu’on ait... La poisse... Ou du pot !— Le genre de chance que je réserve à Mark repose dans vos mignonnes petites mains ! Savez-vous que la chance des soldats dépend des ordres que leur donnent leurs chefs... Par exemple, vous ne pourriez savoir le manque de pot des soldats désignés pour des missions périlleuses... Croyez-moi, Mark est loin d’être la meilleure recrue... C’était juste une façon de ne pas l’avoir dans les pattes en m’asseyant à vos cotés !
Alors que la démonstration allait commencer et que tous les têtes se tournaient dans cette direction, Cheryl frémit en sentant la main du pervers sergent lui caresser le bras.Figée par la peur de contrarier le sergent de Mark, Cheryl se força à demeurer passive alors que le colosse chauve prenait sa main gauche et jouait avec sa bague de fiançailles.Puis le vil sergent l’informa :— Je peux cependant garantir que Mark ne se retrouvera jamais en première ligne ! Si tu te montres gentille avec moi je le prendrai sous mon aile et m’assurerai qu’il rentre en une seule pièce à la maison... En vie... Et pas dans un sac à viande ! Tout cela dépend de toi ma petite chérie... Sinon, je ne peux que te prévenir d’une chose, ne fais pas de plans de mariage... Quelque fois qu’il ne rentrerait pas en vie ! Réfléchis rapidement avant qu’il vienne nous rejoindre... Son sort dépend de toi ma chérie !
L’innocente et naïve Cheryl était pétrifiée de peur.Lorsque la démonstration de Mark se termina, elle ne voyait pas comment elle pourrait lui rapporter la proposition que venait de lui faire le sergent Carter, proposition dont dépendait son sort sur le front.L’opération porte ouverte de la base terminée, Cheryl se força à rejoindre le bar ou le sergent Carter lui avait donné rendez-vous.Une fois qu’elle fut arrivée et qu’il eut dégusté quelques boissons fortement alcoolisées, Cheryl sentit que ses sens étaient engourdis par l’absorption inhabituelle d’alcool en de telles quantités.Elle autorisa le sergent Carter, piaffant d’impatience, à lui caresser ses cuisses gainées de nylon sous la table, sa main glissant sous l’ourlet de sa jupe.
Apeurée, stressée Cheryl ne comprenait pas tout ce que lui disait ce pervers qui lui disait :— Elle est si jolie... Si élégante... Etc, etc...Mais elle entendit très bien le sergent Carter l’aviser :— Relis les lettres que tu rédiges pour ton fiancé, dis-lui à quel point il t’est pénible de rester vierge jusqu’au soir des noces ! C’est tout de même in croyable, 24 ans et toujours pucelle !Pire encore il ajouta :— Dire que c’est moi qui vais avoir l’honneur de cueillir le précieux pucelage d’une ravissante jeune femme blanche !Jusqu’à cet instant elle avait nourri le fol espoir qu’il se contenterait d’une discussion conviviale autour de quelques verres !— Oh mon Dieu... Dire que je conservais ma virginité pour moi-même... Pour Mark ! Mais... Mais si je ne me sacrifie pas... Il ne pourra peut-être jamais clamer sa joie de m’avoir tout à lui ! Réalisait-elle brutalement.Les larmes au bord des paupières elle couina misérablement :— Vous... VOus enfilerez un préservatif... N’est ce pas ? Je ne peux pas me permettre ce genre de risques...
Le sergent Carter se réjouissait d’avoir tiré le maximum de bénéfices de ma prise en charge de ces mollassons de rappelés.Et sa première victoire était d’avoir subjugué ma douce et naïve Cheryl Miller (maintenant Cheryl McCoy) en lui faisant des propositions totalement indécentes, cela avait marché incroyablement bien et bien plus rapidement qu’il ne l’avait prévu.
Il avait emmené la douce et innocente jeune femme dans le motel de l’autre coté du parking, aussitôt il l’avait positionné à genoux lui suggérant de faire de son mieux si elle voulait que son fiancé revienne en entier au pays.Ses menaces lui permettaient d’être le premier homme à lui fourrer sa grosse mentule en pleine bouche... Bordel c’était totalement irréel... Jamais il n’aurait cru qu’elle puisse l’accueillir aussi aisément en pleine gorge... Il aurait plutôt cru qu’elle dégueulerait tripes et boyaux rien qu’à cette idée ! Gloussait-il silencieusement.
Naturellement, ce n’était que le début de l’épreuve que la ravissante jeune femme dut endurer pendant toute la soirée, elle dut se livre à des actes insoupçonnables... Elle dut lui offrir son précieux trésor qu’elle avait su préserver depuis tant d’années... Son pucelage !Une fois que ses nausées disparurent, quoi qu’elle soit encore des envies subites de vomir, elle avait du accomplir un strip-tease enjôlant pour complaire aux désirs de Reggie.
Pour éviter qu’elle ne change d’avis Reggie avait du enfiler une capote, sachant pertinemment qu’elle ferait machine arrière s’il refusait cette condition.Ce fut cependant un moment de joie intense à voir la jeune et inexpérimentée beauté dérouler la capote sur bite, une tâche à laquelle elle ne s’était jamais livrée auparavant.Dans ce motel minable situé à coté d’un bar populeux, personne ne s’inquiétait d’entendre une femme hurler de douleur et Reggie tira avantage de ce fait en ne montrant aucune pitié lorsqu’il plongea sa bite gorgée de sang dans sa chatoune jusqu’ici inviolée.Ses hurlements de douleur et de peur ravissaient ses oreilles l’encourageant à dévaster un max sa chagatte distendue.
Alors que la naïve je ne fille tout juste déflorée sanglotait le suppliant de la laisser en paix, Reggie récupérait lentement.Mais comme sa pleurnicharde victime cherchait à récupérer son souffle avant qu’il ne la saute à nouveau, Reggie roulait sournoisement le préservatif sanguinolent pour l’enlever.Endolorie par son violent dépucelage elle ne se rendit pas compte qu’il avait enlevé sa capote lorsqu’il l’enfila de plus nouveau, les reliefs sanguinolents de son dépucelage facilitant son intromission.Sa ruse avait marché comme sur des roulettes et Reggie se prépara à projeter son foutre au fin fond de la foufoune de cette stupide petite chienne !L’esprit embrouillé par l’alcool qu’elle avait ingurgité, complètement inexpérimentée en ce qui concerne le sexe, il était évident qu’elle ne se souciait que de sentir sa douleur s’apaiser sous le flot de pommade qui l’emplissait à ras bord... Sans même se douter qu’il s’agissait de son foutre !
Reggie n’était pas le type à laisser échapper une chose savoureuse, et l’adorable Cheryl Miller était vraiment succulente.Puisqu’il l’avait possédée une première fois pour la dépuceler, il pensait qu’il lui serait facile maintenant de lui faire écarter à nouveau ses jolies cuisses.Et, comme il avait traité en ami ce stupide gars qu’elle allait épouser, lui promettant de le faire rentrer en vie de sa première vacation au front, Mike McCoy lui avait fait l’honneur de lui demander d’être un de ses garçons d’honneur.Avant que la réception ne se termine il avait tendu une boisson droguée au marié, et c’est lui qui avait honoré la jeune épousée lors de sa nuit de noce.
Bien que la jeune chienne se soit donnée à lui à contrecour à chaque fois qu’il lui en avait fait la demande, Reggie savait que ses performances égalaient pour le moins celles de son cornard de petit mari mollasson.Et comme il s’était avéré totalement incapable de l’honorer lors de sa nuit de noce, la jeune épouse frustrée l’avait rapidement supplié de la baiser à couilles rabattues.Il ne restait rien de l’innocente jeune beauté qui s’était sacrifiée pour sauvegarder la vie de son fiancé, elle s’était muée en une insatiable nymphomane affamée de sexe.Cette salope avait suggéré même qu’il envoie son mari sur les endroits les plus risqués du front, lui suggérant que, si elle se retrouvait veuve de guerre elle se mettrait avec lui !
Dammée salope ! Se maudissait Reggie lorsqu’elle lui fit cette proposition.Cela lui enlevait toute joie d’avoir piégé la jeune femme.Se voir lié à une salope de la trempe de Cheryl McCoy était bien la dernière chose qu’il souhaitait, il savait pertinemment que de toute manière elle était prête à descendre sa culotte pour écarter les cuisses selon ses voux.C’est sur c’était maintenant un sacré bon coup, mais il n’en tirerait plus grand plaisir maintenant qu’elle ne demandait pas mieux.Elle devait maintenant prendre soin de son mari blessé, ce mari incapable de la satisfaire sexuellement avec sa petite bite mollassonne.— Je ferai peut-être mieux de prostituer cette foutue salope, y a pas mal de gars qui paieraient pour se la faire dans la base, je m’frai ainsi quelques billets sur son cul ! Rigolait-il en son fort intérieur.
Mais déjà de nouvelles recrues rejoignaient la compagnie et un nouveau stage d’entraînement intensif commençait, Reggie était très occupé à entraîner les bleus.Et avec cette nouvelle journée portes ouvertes aux épouses et aux proches des recrues qui se pointait, Reggie avait programmé de se livrer à une étroite surveillance des invités, avec autant de minutie que s’il surveillait des lignes ennemies.C’était un type de surveillance qu’il adorait, il espionnait les ravissantes fleurs blanches qu’il avait hâte de dévorer.Confiant en ses techniques de surveillance, Reggie instaurait un bon degré de trouille dans chaque nouvelle recrue en les faisant évoluer sur le champ de manouvres et en sapant leur peu de confiance en leurs capacités de combat, les convaincant que plus d’un d’entre eux rentrerait dans un sac à viande.
La compagnie s’était même vue dotée d’un nouveau lieutenant chargé de la compagnie B, la compagnie dans laquelle il oeuvrait en tant que sergent-chef.C’était du à sa récente promotion, Reggie avait lu le dossier du lieutenant Gary Brenner et avait ainsi appris que c’était un pied tendre !— Eh merde alors, Je pensais qu’il n’y avait plus de ces jeunes lieutenants issus d’une formation militaire supérieure pendant leurs années de fac, il avait surtout pratiqué les terrains de sport de la fac pour mériter ses barrettes et partir au combat.— Bordel de merde  ! Se maudit-il à ce constat désabusé.Mais le jour de la porte ouverte arrivait, L’adorable madame Jennifer Brenner en profitait pour venir visiter son époux après plusieurs mois de séparation.Ses longs cheveux bruns flottant sur ses épaules captèrent tout de suite l’attention de Reggie.
— Je me demande si elle se tracasse pour la santé de ce connard d’officier qu’elle a épousé ? Aimerait-elle que je jette un oeil sur lui pour m’assurer de sa sécurité ? Gloussa-t-il à sa vue.Il avait poursuivi son cursus de formation militaire supérieure en quittant le lycée pour la fac, bien que ce ne soit pas son projet initial, mais il avait grand besoin de consolider sa position en fac.Ses parents avaient fait un bon boulot en lui permettant de suivre des études mais la soudaine maladie de sa mère avait drainé les ressources familiales détournant beaucoup de fonds qui devaient être consacrés à ses études et à celles de sa sour.
Il avait été particulièrement heureux quand sa mère avait récupéré, afin de donner à sa sour la possibilité de suivre des études il avait signé un contrat avec l’armée où il s’engageait à servir quatre ans dans l’armée.Il avait peur d’aller au front pour la première fois, peur de montrer sa couardise, ou d’être blessé et pire encore tué, Gary n’était plus qu’une boule de nerfs.
Jennifer Brenner, aurait nettement préféré qu’on son mari ne suive pas cette formation liée à un contrat d’engagement militaire, mais elle avait été obligée d’accepter puisque c’était une des conditions clefs de leur mariage.Mais après avoir lu un article sur les conditions des combats, elle sentit son estomac se contracter en apprenant que la cible privilégiée de l’ennemi n’était autre que les officiers à la tête de leurs troupes.Cet article était plus que sensé, mais il ne concernait certainement pas le lieutenant Gary Brenner qui avait le grade le plus bas des officiers sur le champ de bataille, Jennifer avait maintenant franchement peur que son mari ne revienne pas vivant du champ de bataille.Le cour battant la chamade Jennifer craignait de se voir veuve de guerre à 25 ans.
Exactement comme Reggie se le figurait, le peureux lieutenant était prêt à lécher le cul des officiers supérieurs et de leurs femmes pour tirer les marrons du feu.Ayant été présenté à l’adorable madame Brenner un peu pus tôt, Reggie s’approcha d’eux alors que le lieutenant était requis pour reprendre son léchage de cul.— Monsieur, puisque le lieutenant est pressé de se plier à ses obligations, je me ferai un honneur de faire visiter la base à son adorable jeune femme... Proposa-t-il aimablement.— Merci sergent chef ! Répliqua le lieutenant Brenner pressé de rejoindre le capitaine.Maintenant qu’il avait la ravissante jeune femme sous sa coupe comme il l’avait programmé, il pouvait révéler des informations tendancieuses visant à l’affoler.
Alors qu’ils déambulaient de ci de là, le sujet du front vint dans la conversation, la bite de Reggie frémit d’excitation lorsqu’elle s’ouvrit à lui :— J’ai récemment lu dans un article sur le front que les chefs de patrouille sont les cibles préférées de nos ennemis, est-ce vrai ?Sentant son inquiétude transparaître au ton de sa voix, Reggie de donner tout d’abord la réponse classique évitant pour autant de se montrer convaincant en bégayant :— Euh oui madame... Il ne faut pas croire tous ces articles... Beaucoup... Nombre de leurs auteurs n’ont jamais fait la guerre...Puis la jolie jeune femme du lieutenant lui rétorqua comme il l’espérait :— Je vous en prie chef, dite-moi la vérité... Je veux savoir ! Je veux savoir si je dois me sentir concernée par cette mauvaise nouvelle !— Euh oui madame... Malheureusement l’auteur de cet article a raison... C’est une chose que chaque parti recherche... Abattre le chef de groupe ! Mais dans cette guerre si particulière, cela n’est pas aussi évident avec l’emploi mines... En patrouille, le plus dangereux c’est de visiter les lieux maison après maison, on risque toujours de sauter sur une mine ! Rapporta Reggie à la malheureuse jeune femme dans le but de l’affoler.Il ajouta ensuite :— Mais ne vous tracassez pas pour cela chère madame, on apprend instinctivement à repérer les bâtiments dangereux, et le lieutenant Brenner apprend vite d’après ce que je vois ! Je pourrai lui apprendre tout ce que j’ai moi-même appris et même veiller sur lui de façon à ce qu’il revienne vivant et en une seule pièce du théâtre des opérations.
Jennifer se sentit quelque peu soulagée en entendant ces propos.— Je me sens un peu soulagée... S’il vous plait, promettez d’aider mon mari à surmonter cette épreuve...Si ce robuste sergent chef enseignait tous les trucs et de plus veillait sur sa sécurité, Jennifer ne doutait pas qu’il sortit vivant de sa première vacation au front.Son mari avait mentionné à plusieurs reprises cet instinct de survie dont semblait doté le sergent chef au cours de ces deux derniers mois.De fait lors d’un coup de fil la semaine dernière son mari assez désolé, avait fait mention de son manque d’expérience en lui disant :— Ce que j’aimerai posséder le même instinct de survie que mon sergent-chef ! Je dépends totalement de lui et de l’expérience du combat qu’il a acquise au de plusieurs vacations sur le front... Pendant les manouvres d’aujourd’hui, on allait de bâtiment en bâtiment, il ne s’est pas fait piéger une seule fois !
— Oh madame, je vous promets qu’il n’aura pas une écorchure quand il rentrera de son tour de vacation d sur le front ! Je vous en donne ma parole ! La prochaine fois que le lieutenant vous appellera, il vous dira à quel point sa confiance en lui a grandi depuis ce jour ! Je m’en porte garant, je veillerai à lui apprendre les ficelles du métier tout en gardant un oeil sur lui ! Lui promit-il gentiment.
Quelques secondes plus tard, le lieutenant Brenner revint vers eux accompagné du commandant et de son épouse madame Stanton, Reggie les salua poliment avant de quitter les officiers et leurs épouses.Comme il se dirigeait vers les recrues accompagnées de leurs ravissantes femmes, Reggie sourit, ses affaires marchaient comme sur des roulettes, il était certain de bientôt pouvoir refermer son piège dans quelques semaines.Bordel, la petite femme du lieutenant Brenner est sûrement un sacré coup ! Elle a vraiment de longues jambes blanches, bien galbées, lisses, sans défauts ! Que se sera bon de les sentir verrouillée dans mon dos ! Les jambes d’une femme d’officier, bordel ce que l’attente va être dure ! Pensait-il émoustillé.
Il gagna l’observatoire le plus proche et interpella le garde en poste :— Prends un quart d’heure de repos caporal Gates, je vais te remplacer !Une fois la sentinelle partie, il empoigna ses jumelles et scanna la foule, bien entendu il se focalisait sur les plus belles femmes de recrues.Immédiatement une grande blonde capta son attention, il braqua ses jumelles sur elle, se pourléchant les babines il reluqua longuement les charmes de cette beauté vêtue d’un chemisier rose et d’une jupe multicolore.Il remarqua bien vite la bague de fiançailles brillant à son annulaire.
— Cette petite blonde... Une vraie beauté ! Elle a l’air si jeune et si innocente... Elle va pleurer comme une madeleine quand je la déflorerai ! Oh oui ma chérie... J’adorerai l’entendre pleurnicher ! Gloussait-il émoustillé.Lorsque son militaire de mari s’approcha d’elle et posa son bras autour de la taille de la beauté blonde, Reggie l’identifia :— Bien, la recrue Benton, pas de risque qu’on le considère comme la meilleure recrue, aussi je suppose que je vais devoir changer un peu les choses, je vais l’élire le soldat le plus habile pour démonter et remonter son AK-47 ! Et lorsqu’il devra démontrer ses capacités devant la foule, ce sera le meilleur moment d’aborder sa ravissante femme pour la convaincre des risques importants qu’il rentre dans un cercueil et que son sort dépend surtout de la manière dont elle écartera ses ravissantes cuisses pour m’accueillir.
Il se remit alors à scruter la foule à la recherche d’autres proies potentielles, une somptueuse rouquine qui portait un chemiser vert olive sur une jupe blanche ne tarda pas à attirer son attention.L’alliance à son annulaire renseigna Reggie sur son statut de femme mariée, et la vue de ses longues jambes blanches le firent bander comme un âne.Comme elle était éloignée pour l’instant de son mari, Reggie ne pouvait déterminer, pour l’instant son identité.Il garda ses jumelles braquées sur la ravissante rouquine, il sourit alors en réalisant à qui elle était mariée, la recrue Thornton, lui je l’annoncerai comme le soldat le plus performant pour parcourir la piste du combattant ! Ravissante femme... Elle aussi je vais la convaincre que ses jolies jambes sont son argument essentiel pour éviter à son mari de rentrer dans un sac à viande.
Continuant à scruter la foule, une menue beauté asiatique attira son oeil, ses longs cheveux noirs soyeux tranchaient sur son teint crémeux réveillèrent la bandaison de Reggie.Il observa attentivement la ravissante jeune femme qui suivait son mari lequel se dirigeait vers un escalier métallique.— Bordel, elle ne doit pas peser plus de 50 kg ! Merde, je parie que ma bite a au moins la taille et l’épaisseur de son avant bras ! Ce qu’elle est menue... Elle parait drôlement jeune pour être mariée... La recrue Dawson a épousé un véritable petit ange... Ca lui vaudra l’honneur de démontrer ses qualités de tireur cet après-midi ! Projetait Reggie en gloussant sourdement :— Elle saura bientôt ce qui arrive aux petits anges comme elle lorsque qu’un grand diable noir se pointe à sa porte ! Bordel, je me demande si une merveilleuse petite chose comme elle a déjà sucé une bite auparavant ? Quelle joie ce sera, de glisser ma grosse bite entre ses lèvres pulpeuses !
Alors que des enfants couraient de droite à gauche admirant les équipements militaires et les groupes paradant, les recrues et leurs épouses regardaient le sergent chef Carter s’emparer du micro pour annoncer le soldat le meilleur dans le domaine du démontage et de l’assemblage du fusil d’assaut AK-47.Ebahi la recrue Mark Benton regardait sa femme avec des yeux écarquillés comme de soucoupes lorsqu’il annonça son nom.Lorsque son époux s’avança pour faire sa démonstration, Melinda Benton se sentait fière de son époux d’autant plus qu’il avait coutume de se plaindre de se faire fréquemment enguirlander par son sergent parce qu’il était souvent le dernier dans le maniement des armes.
La jeune Melinda Benton, âgée d’à peine 21 ans était si contente d’avoir pu prendre un jour de congé pour se rendre à la journée porte ouverte, et ce d’autant plus que cela ne faisait que 6 mois qu’elle travaillait dans cette banque.Ils s’étaient mariés six mois plus tôt ayant avancé leur mariage de 8 mois lorsque Mark avait été appelé pour servir son pays, l’avenir de son mari l’inquiétait énormément.Lorsque Mark avait rejoint son unité il semblait qu’il y avait énormément de troupes rappelées et la malchance de partir au front semblait infime.Mais les choses avaient mal tourné, les besoins en troupes fraîches n’avaient fait que grandir, et de plus en plus de troupes partaient pour le front.
Un peu plus tard, le sergent chef se retrouvait à nouveau sur le podium pour découvrir cette fois le plus compétitif en ce qui concerne le parcours du combattant.Quelques instants plus tard, la recrue Ben Thornton recevait les baisers de félicitation de sa ravissante jeune femme de 20 ans Kim.A sa grande surprise Kim regardait son mari, un genoux au sol prêt à prendre le départ, elle se demandait pourquoi il s’était toujours plaint de son entraînement s’il s’en tirait si bien !Il avait fini par lui avouer qu’il ne terminait plus bon dernier des recrues, mais delà à être le plus performant !Voulant passer le plus de temps possible avec son mari, pendant ce week-end consacré à la porte ouverte de la base, et se refusant à faire le chemin retour immédiatement à la fin de cette manifestation, elle avait pris un jour entier dans l’agence notarial dans laquelle elle travaillait, elle était arrivée par un vol de nuit qui l’avait amenée à 9 heures la veille.Comme il n’y avait que peu de motels dans les environs proches, elle avait retenu une chambre au "Starlight Inn" où ils avaient passé la nuit ensemble à faire l’amour.Comme tous les couples qui avaient programmé leur mariage dans 1 an ou 2, ils avaient avancé leurs noces à l’annonce de sa convocation dans une unité partant au front.
Quarante cinq minutes plus tard le sergent chef faisait sa dernière annonce, citant la recrue Tim Dawson comme le meilleur tireur de la compagnie. Après avoir reçu les félicitations émues de sa fiancée, la douce DeAnn Kawakami, le caporal, extrêmement surpris de cette distinction rejoignit le pas de tir pour effectuer une démonstration de ses talents.— Mon Dieu je dois avoir touché toutes les cibles du pas d’entraînement hier  ! C’est incroyable ! Le sergent instructeur m’avait dit que je serai mort avant même que je ne serre la crosse de mon arme et voilà qu’on me cite comme le tireur le plus per-formant ! C’est vraiment irréel... Pensait-il ébahi.
La recrue Dawson ne se doutait pas que tandis qu’il alignait sa mire sur la rangée de cibles à abattre, son robuste sergent instructeur avait les yeux braqués sur une toute autre cible, sa ravissante fiancée.S’il avait su la proposition que faisait son chef à sa somptueuse fiancée, il ne l’aurait sûrement pas supplié de regagner son hôtel à l’issue de la journée porte ouverte pour leur éviter des adieux larmoyants.
DeAnn était arrivé de bonne heure ce matin même juste avant l’ouverture de la journée porte ouverte bien que Tim aurait voulu passer avec elle la nuit précédente.Elle lui avait donné une raison valide de ne pas arriver avant ce matin, très tôt, prétextant qu’elle ne pouvait pas délaisser ainsi, au moindre prétexte, les étudiants qu’elle avait en charge, en fait Tim savait bien qu’elle ne voulait pas prendre le risque de se laisser tenter, ruinant ses espoirs de remonter l’allée de l’église dans la peau d’une véritable vierge...
Comme la journée porte ouverte de la base devait se terminer tard dans l’après-midi, les troupes restant consignées dans la caserne, les visiteurs qui n’étaient pas venus avec leur propre voiture devraient attendre les navettes qui les mèneraient de la base ou de leur hôtel vers l’aéroport.De son observatoire, le sergent chef Carter assistait aux tendres embrassements et adieux larmoyants des couples qui se séparaient.Comme les troupes avaient bénéficié d’une journée de perme la veille et la nuit précédent la journée porte ouverte pour jouir au mieux de la présence de leurs visiteurs, il était resté de service à la base pour vérifier que tout était en ordre.De ce fait il avait pris un jour de détente à l’issue de la journée porte ouverte, lorsque la presque totalité des visiteurs serait repartie et qu’un sergent pourrait le remplacer sans problème.
Les petites amies, les fiancées, et les épouses soldats mariés de l’unité essayaient de retenir leurs larmes en s’embrassant avant de se séparer.
Mais Melinda Benton, Kim Thornton et De Ann Kawakami pleuraient comme des madeleines à l’idée de perdre leurs bien-aimés.Elles s’étaient toutes entretenues avec le pervers sergent chef tandis que leurs "hommes" démontraient leurs talents, elles avaient toutes trois rapidement compris que le sort de leurs époux reposait entre leurs mains, qu’ils reviennent en parfaite santé ou dans un sac à viande de leurs vacations sur le front.Bien qu’il ne les ait pas directement menacées, le sens de son discours était clair... Ou elles couchaient avec lui ou leurs maris succomberaient au combat !
Melinda Benton avait programmé de retourner à "l’Evergreen", le motel où ils avaient passé la nuit dernière dans les bras l’un de l’autre, d’y passer la nuit seule avant de prendre le chemin du retour tôt le lendemain matin.Son cour battant la chamade, tremblant de tous ses membres Melinda se remémorait la proposition du sergent instructeur de son mari.— Pouvait-elle se plaindre de ces propos ? Cela ne serait-il pas encore pire pour son mari si elle accusait son sergent instructeur de chantage ? Ne donnerait-elle pas l’impression de l’accuser pour chercher à faire retirer son mari de la section qui devait partir au front ? Se demandait-elle angoissé.
Le lendemain matin, ayant réglé sa chambre de motel elle retournait chez elle, elle s’efforçait de retenir ses larmes mais bien vite de grosses larmes ruisselèrent sur ses joues.
Est-ce qu’avoir des rapports sexuels avec un autre homme que son mari dans l’espoir de sauver son mari pouvait être considéré comme le tromper ? Se demandait-elle tout en conduisant.Ce serait sûrement considéré comme un chantage si cet homme s’avérait être le sergent instructeur de son mari et qu’elle parvenait à prouver qu’il l’avait menacée de voir son époux rentrer dans un sac à viande si elle refusait de "passer à la casserole" ! Pouvait-on parler de viol dans une telle situation ?— Que me demanderait la police ?— Exigerait-elle des détails ? Réfléchissait Melinda.Elle continuait de conduire profondément plongée dans ses pensées, formulant les questions que pourraient lui poser les policiers, et les réponses qu’elle pourrait leur offrir.— A-t-il employé la violence ?— Oui..— Avez-vous résisté ?— Oui...— Qu’avez-vous fait pour résister ?— Je poussais sur ses épaules pour l’obliger à se retirer ? J’ai cherché à l’empêcher de me faire violence mais il était trop fort, trop gros, trop lourd pour que j’y parvienne !— Que s’est-il passé ensuite ?— Il a bloqué mes poignets au-dessus de ma tête et m’a violé !— Portait-il un préservatif ?— Non !— A-t-il éjaculé dans votre intimité ?— Oui...
Si c’était là les seules questions auxquelles elle devrait répondre Melinda irait rapporter son viol aux services de police.Mais elle avait peur qu’on lui pose d’autres questions, questions qui jetteraient un éclairage moins favorable quant à sa résistance.Son esprit était déjà tellement embrouillé lorsqu’elle y réfléchissait d’elle-même.Que dire s’ils me demandaient ceci ou delà ?Elle serait obligée de répondre sans mentir à ces questions gênantes.— Comment est-il entré dans votre chambre ?— Je lui ai ouvert lorsqu’il a frappé à ma porte !— A-t-il forcé le passage lorsque vous avez ouvert la porte ?— Non, j’ai reculé et l’ai laissé entrer !— Vous a-t-il forcé à vous dévêtir ?— Il m’a dit que j’étais très sexy et qu’il voulait que je lui fasse un petit strip-tease...
Melinda savait déjà que ce point demanderait plus de questions et que la police lui demanderait d’expliquer en détail quand elle avait commencé à se débattre et à lui résister.Elle sentait ses yeux se remplir de larmes alors qu’elle tentait de se concentrer sur la route qu’elle devait suivre, son esprit revint en arrière se remémorant les événements qui avaient suivi la fin de la journée porte ouverte de la caserne.Il y avait un bon quart d’heure qu’elle était rentrée dans sa chambre d’hôtel lorsqu’on frappa à sa porte.Elle avait braqué les yeux sur la porte pendant une longue minute avant de répondre, elle savait pertinemment qu’il s’agissait du sergent chef Carter.En voyant le colosse elle haleta de peur alors qu’elle reculait au centre de sa chambre, le sergent instructeur pénétra dans la chambre et verrouilla la porte dans son dos.Melinda savait pertinemment que ces réponses entraîneraient de fâcheuses conclusions de la part des services de police.Elle ne pourrait pas faire face à leur questionnement ni répondre à certaines questions précises qu’ils risquaient de lui poser.— Vous voulez dire qu’il vous a demandé d’écarter les cuisses et que vous lui avez obéi docilement ?— Et qu’avez-vous fait lorsqu’il vous a demandé d’empoigner son pénis gainé d’un préservatif et de le guider en vous?— Voulez-vous dire que vous ne vous êtes défendu physiquement que lorsqu’il eut retiré le préservatif avant de vouloir vous pénétrer à nouveau ?— Criez-vous au viol uniquement parce qu’il vous a utilisé sans préservatif ?— Donc, s’il avait gardé son préservatif vous ne vous plaindriez pas de vous être fait violer, si nous comprenons bien ?
Lorsqu’il lui avait affirmé son désir de la voir se déshabiller pour qu’il puisse contempler son adorable corps si sexy, Melinda se rappela que de grosses larmes avaient envahi ses yeux alors qu’elle se disait qu’elle s’exécutait pour sauver la vie de son mari.Elle avait tendu la main dans son dos pour trouver l’attache dans le cou et descendre la fermeture dorsale de sa petite robe bleue ciel, puis elle avait repoussé les manches sur ses épaules avant de se dépouiller de sa robe.Elle se rappelle avoir haleté nerveusement alors que le sergent Carter la complimentait— Laisse moi voir tes gros nibards que vous me cachez madame Benton !Elle s’était alors défait de son soutien-gorge de dentelle dénudant ses nichons pour le grand plaisir de son suborneur.
Melinda avait alors fermé les yeux et mordu ses lèvres charnues alors que le vil sergent chef pétrissait ses grosses miches comme s’il se trouvait sur le marché pour tester la maturité de gros melons.— Owwwwwwwwwwwwww ! Cria-t-elle lorsque le pervers bâtard se pencha sur elle pour mordiller ses tétons dardés.Elle ne pouvait que sangloter de honte alors qu’il allait d’un mamelon à l’autre.Il roula soudain sa petite culotte sur ses hanches puis sur ses jambes et enfin sur ses chaussures, elle se souvint s’être tenue sur la pointe des orteils alors qu’il se penchait sur elle enfouissant son visage dans sa toison dorée.
Comme le sergent Carter le lui avait enjoint, Melinda avait déboutonné le treillis du sergent instructeur, posé la main sur l’énorme bosse déformant son pantalon, descendu son vêtement révélant l’énorme bite dont il était doté.
Elle empoigna instinctivement l’épieu noir qui avait jailli heurtant son poignet, Melinda entreprit de le branler machinalement le regardant ébahie doubler de taille ce qui l’amena à penser :Elle doit bien mesurer 37 bons centimètres ! Et quelle épaisseur.Elle ne pouvait s’empêcher de comparer cet énorme pal à la queue de son mari qu’elle manipulait encore la veille dans cette même chambre, elle pensait que le membre de ce salaud était au moins deux fois plus épaisse que celle de son mari !Forcée de s’agenouiller, Melinda savait ce qu’il attendait d’elle, aussi ouvrit-elle la bouche en grand !
Après plusieurs minute le gland du sergent en pleine bouche, la langue s’enroulant autour de la hampe pour mieux la flatter, il repoussa Melinda sur ses avant-bras.Délogeant la grosse mentule de sa bouche distendue elle se tenait debout dans ses hauts talons, le visage tourné vers le lit, elle comprit que le lit serait son prochain but.Mais, après un premier pas dans cette direction, il encercla sa taille de sa grosse main noire.En un instant il la retourna la tête pendant vers le bas, il la maintenait à l’envers... La tête de Melinda à hauteur de sa bite turgescente, la sienne dans sa fourche juteuse.
C’était impensable, c’était la première fois qu’elle se tenait dans une position aussi acrobatique. Le sang affluant à sa tête, les bras pendant au sol, elle les tendit pour empoigner les fesses de son sale bâtard de suborneur.La suite l’épata encore plus lorsqu’elle réalisa qu’ils se trouvaient en position de 69 debout.Elle dut rapidement admettre que ce pervers savait se servir de sa mangue alors qu’elle orgasmais à plusieurs reprises sous ses caresses labiales.Elle réalisait d’après sa position et la façon dont le salopard lapait son jus intime avec des "slurps" évocateurs que sa cyprine devait inonder sa chatoune embrasée.Un flot de foutre épais et chaud s’écoulant dans sa gorge interrompit alors le fil de ses pensées.
Jetée sans cérémonie sur le lit, son corps claquant sur le matelas, Melinda restait immobile les yeux rivés au plafond.Elle surveillait le sergent Carter du coin de l’oil, qui se branlait machinalement, impatient de se replonger dans l’action.C’est alors quelle fit entendre sa première protestation en affirmant :— Seulement avec un préservatif ! C’est le plus mauvais moment de baiser pour moi !Bien sur la veille, dans les bras de son mari, ils n’avaient pas employé de préservatif, mais il faut dire qu’elle aurait adoré que son gentil mari l’engrosse !Soulagée, Melinda le vit ouvrir un paquet de préservatif, sa bite agressive et potentiellement fertile fut alors recouverte de sa pellicule de latex.
Et lorsque le sergent instructeur de son époux s’approcha du lit, Melinda obéit à sa demande :— Ecarte tes somptueuses cuisses pour moi ma chère madame Benton ! C’est entre tes cuisses que repose le sort de ton cornard de mari !Et, comme il s’agenouillait sur le lit se positionnant à son aise, il lui enjoignit :— Empoigne ma bite ! Guide-moi dans ta petite fentine ! Tendant la main entre leurs deux corps elle attrapa sa bite gainée de latex qu’elle branla instinctivement avant de la presser contre l’ouverture de sa caverne affolée.— Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Se mit-elle à couiner, jamais sa chatoune n’avait été autant distendue et c’était vraiment très, très douloureux.— Oh mon Dieu... C’est trop gros ! Criait-elle affolée.— Oh mon Dieu... Mon Dieu... haletait-elle d’une voix pleurnicharde alors que centimètre après centimètre il enfouissait sa grosse mentule dans sa chatte tuméfiée.Les doigts accrochés au couvre-lit, Melinda réalisait qu’une énorme portion de bite restait encore à l’extérieur de sa chatoune, seul le tiers de sa monstruosité était enfoui en elle !Ses larges mains lui bloquant les hanches il se recula légèrement avant de se ruer à nouveau en elle avec une violence extrême, elle hurla de douleur, il lui semblait qu’il venait de pourfendre sa foufoune en deux !
Alors que son maître chanteur continuait à la baiser il informa Melinda :— Je ne sens pas grand chose avec cette enveloppe de latex !Soudain il arracha son chibre de sa bouche, étourdi par cette nouvelle péripétie, Melinda écarquilla des yeux comme de soucoupes elle vit qu’il roulait la gaine de latex sur sa hampe tendue.— Non... Non... Ne l’enlevez pas ! S’écria-t-elle éperdue.Pourtant quelques secondes plus tard elle avait les yeux rivés sur son gland turgescent., il l’avisa alors :— Tu vas goûter à ma bite dénudée ma chérie... Ne te tracasse pas pour si peu ! Si je t’engrosse, comme cette vacation va durer un an tu pourras accoucher discrètement et abandonner ton bébé aux services d’adoption ! Ton mari ne saura jamais rien de notre petit secret !
C’est à cet instant qu’elle avait commencé à sa débattre, tentant de le repousser ses deux mains rivées à ses épaules pour chercher ensuite à lui échapper.Mais elle n’était pas de taille à vraiment se défendre contre ses assauts lubriques.Il l’empoigna par les hanches et la cloua sur le lit et la pénétra de nouveau, mais cette fois de sa bite dénudée.
Comme la location de la chambre de motel se terminait à midi, Melinda s’était débrouillé pour dormir un peu pendant la nuit et une heure après le départ du sergent instructeur vers 10 heures 30.Il lui avait semblé insatiable, réclamant de plus en plus de rapports au cours de la nuit et bien sur toujours sans la protection d’un préservatif.De temps à autre il valait une pilule bleue qui faisait effet un quart d’heure après la prise.Assise sur lui, empalée sur sa bite tendue, il lui semblait chevaucher un étalon courant un derby.Puis à quatre pattes il avait voulu la baiser comme une chienne en chaleur... Et cela avait continué jusqu aux aurores où il s’était accordé une petite pause d’une heure.
Il l’avait baisée de façons inimaginables dans sa recherche de tous les plaisirs.Il avait même gicla dans sa chevelure en éclatant de rire :— Oh oui chérie... Quel bon shampoing nourrissant ! Des autre fois, alors qu’elle le masturbait d’une main habile, elle se rendit compte qu’il voulait lui gicler... En plein visage.Le pire était advenu été lorsqu’il lui avait demandé à nouveau de se diposer à quatre pattes, elle pensait qu’il voulait la prendre à nouveau en levrette, choquée, elle l’avait senti engouffrer sa bite dans son anus avant de la sodomiser longuement.Ses hurlements de douleur avaient du s’entendre dans tout l’hôtel mais cela n’affola personne.C’est à cet instant, après tous ces préliminaires où il l’avait amplement baisée gainé de latex, il était surtout intéressé par le fait de gicler dans ses profondeurs intimes... Droit dans son utérus fertile !Et Melinda ne pouvait rien faire pour l’en empêcher :— Non... Non... S’il vous plait... Pas ça ! Sortez votre bite... Sortez là ! S’il vous plait... Le suppliait-elle misérablement.

Quelques secondes plus tard il se mit à grogner sourdement, son corps fut secoué de spasmes nerveux signalant l’imminence de son éjaculation.En fait la semence brûlante l’emplissait déjà tapissant ses profondeurs internes.Recevoir sa semence fertile en pleine intimité la faisait sangloter dévastée par l’humiliation et la peur de se retrouver grosse, pire encore, il s’était endormi allongé sur elle et elle était incapable de le repousser.Ce bâtard s’était endormi sa mentule toujours emboîtée en elle ce qui lui interdisait de se ruer dans la salle de bain pour prendre une douche vaginale dont elle avait acheté un flacon, par précaution, en retournant au motel.
De retour aux baraquements, la recrue Benton fut tout surpris de voir son sergent instructeur s’arrêter à coté de sa couchette pour échanger quelques mots avec lui.Il lui confia :— T’es vraiment un gars verni d’avoir une aussi ravissante femme ! J’ai discuté un peu avec elle alors que tu démontrais tes talents... Elle se tracassait un peu de te voir partir au front mais je lui aie promis que je garderai un oeil sur toi pour m’assurer que tu rentres en une seule pièce chez toi.Détendu par cet aimable échange de propos, lorsque son sergent instructeur lui demanda s’ils avaient planifié une grossesse, Mark lui répondit spontanément :— Eh oui... Nous aimerions fonder rapidement notre petite famille !Le sergent Carter gloussa en lui tapotant le dos reprenant :— Et vous avez essayé à ’l’Evergreen" ? Je parierai mon dernier dollar que ton adorable femme est maintenant enceinte !
Quant à Kim Thornton et DeAnn Kawakami elles avaient toutes deux pris la navette qui les ramenait à l’aérodrome prendre leur vol de retour.Lors de ces vols, les deux jeunes femmes retenaient leurs larmes en se replongeant dans la conversation qu’elles avaient eue avec le sergent instructeur de leurs maris pendant leurs démonstrations.Kim réfléchissait au dramatique sort de son mari, et DeAnn faisait de même avec celui de son fiancé.Le sergent Carter avait fait de claires allusions à la façon dont pouvait revenir leurs époux, soit en, soit dans un linceul. Il avait ajouté que leur sort dépendait en grande partie de lui.Elles s’étaient toutes deux figées dans un silence éprouvant lorsqu’ils les avait avisées :— C’est moi qui choisis les missions des hommes de troupe et je sais très bien quelles sont les missions pourries et les missions pépères ! Les endroits sans danger et les endroits piégés !
Le jour de départ au front approchant, tous les soldats étaient consignés à la base, seuls les officiers et le personnel instructeur pouvaient prendre des permissions.Kim Thornton devait prendre sa décision, elle devait appeler la caserne et demander à parler au sergent chef Carter. Elle devait libérer un week-end, Kim savait pertinemment ce qu’entraînerait l’acceptation de la proposition qu’il lui avait faite... Elle accepterait d’avoir des rapports sexuels avec le sergent chef Carter pour sauver son mari d’une mort certaine !
Il en était de même pour DeAnn Kawakami, à la seule différence qu’elle devait attendre le jeudi suivant pour assurer l’avenir de son mari.Les larmes ruisselaient sur ses joues lors du vol retour, car elle savait très bien que si elle agréait son infâme proposition elle ne serait plus vierge lorsqu’elle descendrait l’allée centrale de l’église le jour de son mariage.
Quant à l’adorable madame Jennifer Brenner, ses angoisses s’étaient quelque peu apaisées grâce aux assurances que lui avaient données le sergent chef Carter.Son mari lui avait lui-même exprimé sa stupéfaction de constater un tel instinct de survie dans les situations de combat, elle savait que si le sergent appliquait sa promesse de veiller sur lui il avait toutes les chances de revenir en vie, en une seule pièce.Une semaine plus tard son époux lui disait à quel point son sergent devinait mystérieusement les endroits piégés et les endroits sans danger.Bien sur il ignorait totalement que le sergent instructeur avait consulté les plans des manouvres et savait donc pertinemment quels étaient les endroits piégés.
Ainsi, lorsque Jennifer Brenner reçu un appel du téléphone de son mari deux semaines plus tard, elle eut la surprise de sa vie en entendant la voix du sergent chef Carter.— Quelques nouvelles de votre mari madame Brenner... Il dirige une traversée de rivière et il m’a juste confié ses affaires personnelles... Je vous appelle au sujet de la promesse que je vous aie faite le jour de la porte ouverte... Vous rappelez-vous ma promesse ? L’entendit-elle l’interpeller.— Bien sur Chef, et je vous en remercie ! Répliqua-t-elle étonnée.Puis était venue l’ignoble proposition émanant du sergent instructeur.— Vous savez, madame Brenner, une promesse de ce type est très difficile à tenir ! Bien sur si vous trouviez des motifs de vraiment me stimuler vous me conforteriez ans cette décision... Et je tiendrai plus sûrement ma promesse !— Qu’entendez-vous par là Chef ? L’interrogea-t-elle d’une voix rageuse.Elle avala alors sa salive lorsqu’il répliqua :— Le lieutenant Brenner est consigné sur la caserne ce week-end, il commande le peloton de garde ! Cela lui prendra la totalité du week-end ! Peut-être pourrions nous nous rencontrer au motel proche de la caserne pour discuter des propositions que vous me ferez pour que je veille sur votre mari pour qu’il revienne en vie du front !
Cela posait un sacré dilemme à Jennifer Brenner.— Dois-je parler à Gary de ce coup de fil du sergent Carter ? Comment un sergent instructeur peut-il faire des propositions aussi ignobles ? A moi... Une femme d’officier ! Se demandait-elle amèrement.Mon Dieu, n’importe quel problème pourrait lui arriver si son sergent cessait de lui indiquer les endroits piégés... Il pourrait délibérément laisser Gary s’enferrer... Le poussant à se faire tuer ! Pensait-elle misérablement.Elle trembla alors à la pensée de se rendre au motel pour discuter des privautés qu’elle accorderait à ce salopard de maître-chanteur, sachant pertinemment quel genre de faveur convoitait le pervers sergent chef... Il voulait la sauter ! Frémit-elle de tous les fibres de son être.
16 juin 2008CoulybacaAvec l’aimable autorisation de Black Demonblackdemonstories@yahoo.com
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