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La Fenêtre

Chapitre 3

L’éveil d’une femme, le réveil d’une soumise

SM / Fétichisme
Cette histoire fait suite à la version de « la fenêtre » écrite par ma compagne. L’histoire m’a inspiré, et j’ai décidé de lui donner une suite.
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Elle s’éveillait à peine, se prélassant comme une chatte alanguie dans les draps soyeux de son vaste lit. La matinée était déjà bien avancée, mais son sommeil avait été agité, plein de folles images sans doute tirées des sons qu’elle avait entendu durant la nuit. Elle se demanda l’espace d’un instant si elle avait rêvé, mais le gode posé à coté de son oreiller était là pour témoigner que tout avait été bien réel. D’ailleurs, elle se sentait encore bien excitée par les bruits de la veille et ses rêveries nocturnes. À tel point que, presque machinalement, sa main se porta entre ses cuisses ; nul doute, elle était déjà bien humide. Elle commença à masser lentement son sexe avec l’entièreté de sa main, prenant tout son temps pour profiter des ondes de plaisir naissantes qui montaient dans son bas-ventre, se faisant mouiller chaque fois un peu plus.Quand elle estima l’humidité suffisante, elle glissa un doigt puis deux dans sa fente brulante, recueillant la cyprine au bout de ses phalanges avant de remonter pour caresser tendrement son clitoris qui déjà dardait de plaisir. Elle attrapa de son autre main le gode qui reposait sur le coté du lit et elle l’approcha de son entre-jambe.Elle retira ses doigts et elle passa le large sextoy sur sa chatte trempée, humidifiant encore et encore le jouet, accroissant par la même son plaisir. Elle joua ainsi quelques instants avant de descendre et d’appuyer la pointe du gode à l’orée de son anus encore frémissant aux souvenirs de la pénétration de la veille.Elle enfonça à nouveau l’objet sans difficulté tant elle était restée ouverte, et elle reposa ses doigts sur son clitoris affolé, se masturbant frénétiquement alors qu’elle faisait aller et venir le gode au plus profond de son petit cul.
Une sonnerie retentit soudain, la coupant net dans son ascension vers l’orgasme ; elle hésita un instant mais la sonnerie retentit à nouveau : l’importun semblait insister, peut-être était-ce une urgence… Elle se leva à regret, déposant le gode sur le lit encore chaud et elle se dirigea vers l’entrée après avoir enfilé un déshabillé en satin noir. Elle entrouvrit la porte. Un homme d’une quarantaine d’année se tenait face à elle, souriant et avenant.« Je suis votre voisin du dessus, lui expliqua-t-il. Je tenais à venir m’excuser, nous avons dû faire du bruit cette nuit et vous déranger ».Elle resta interdite un instant devant le franc sourire et les yeux pétillants ; il venait s’excuser ? Elle reprit consistance.« Mais non, vous ne m’avez absolument pas dérangée, dit-elle. Je ne vois même pas de quoi vous parlez ?— Vous êtes sûre ? répondit-il. Pourtant, croyez-moi, ma compagne hurle comme une vraie catin à chaque fois que je la sodomise comme une chienne, tant elle aime cela.— Comment … ? Quoi… ? … Comment osez vous parler ainsi de votre compagne ???— Les appartements sont mal isolés dans les deux sens vous savez… Et j’ai eu l’impression hier soir que ce que vous avez entendu vous a plutôt… plu…— Mais non, pas du tout, je…— Ne vous moquez pas de moi, lui dit-il en souriant. Nous vous avons entendu. Franchement, vous aussi vous avez hurlé comme une catin. Nous nous sommes d’ailleurs posés la question du « Comment » ma compagne et moi ; j’ai imaginé un gode entre vos fesses et un doigt sur le clitoris, car cela avait l’air très puissant ; tu penses comme moi mon coeur ? »
Et en prononçant cette phrase, il se tourna sur le coté, à l’extérieur, comme si il parlait à quelqu’un. Elle sortit légèrement de son appartement pour regarder, et il y avait effectivement quelqu’un sur les marches de l’escalier ; c’était une jeune femme brune, très belle, petite, avec des formes superbes, magnifiquement mises en valeur dans une belle robe noire moulante.« La même chose, oui. Çà a du être un bel orgasme, lui dit-elle avec un beau sourire. Et je suis vraiment désolée pour le bruit, madame, mais c’est plus fort que moi : quand il m’attache et qu’il me sodomise, je ne peux rien faire d’autre que hurler quand je jouis. Je sais que ce n’est pas très féministe de dire cela, mais c’est tellement bon cette sensation d’être prise ainsi, comme une chienne soumise au plaisir de son mâle. Vous ne trouvez pas ? ».Elle fut désarmée par les mots et le ton de la jeune femme. Et en même temps, elle avait entendu ses hurlements de plaisir et elle ne pouvait pas douter que ce fut effectivement « tellement bon » ; au fond, elle ne pouvait s’empêcher de l’envier. Absorbée par cette pensée, elle ne remarqua pas tout de suite le regard de l’homme et de la femme, un regard braqué sur son corps… En effet, elle n’était plus abritée derrière la porte et son déshabillé cachait à peine ses formes. L’échancrure de satin offrait d’ailleurs une vue plongeante sur sa poitrine opulente.
Elle voulut se reculer, entrer à nouveau chez elle, mais son vêtement se prit dans la poignée, et le déshabillé s’ouvrit en grand, tombant à ses pieds, dévoilant ses seins durcis et son sexe encore luisant de l’effet de ses caresses matinales. Elle rougit en essayant de masquer avec ses bras sa nudité tant bien que mal, mais elle ne pouvait guère tout cacher.« N’ayez pas honte, lui dit la femme. Vous avez des formes magnifiques !— Montre lui donc les tiennes mon Amour pour ne pas la laisser dans l’embarras, enchérit l’homme en s’adressant à sa compagne. ». La jeune femme sembla hésiter un court instant, mais, sur un regard de l’homme, elle défit le zip de sa robe, libérant sa poitrine nue, dévoilant dans le hall ses deux globes de chair majestueux. Elle n’en croyait pas ses yeux, et elle n’en revenait pas d’une si jolie poitrine dont elle avait du mal à détacher le regard. « Mais elle fait tout ce que vous lui ordonnez ? demanda-t-elle à l’homme avec incrédulité.— Elle a été éduquée, dressée, à obéir. Çà demande du temps, de la patience, mais le résultat est là, il est gratifiant et je suis fier d’elle ».À cette expression de fierté, le visage de la jeune femme s’éclaira d’un immense sourire en regardant son compagnon.Éduquée… dressée… ces mots tournaient dans sa tête. Une partie d’elle était choquée, mais de manière infime ; car ce qu’elle ressentait surtout, c’était de l’excitation. Ces mots réveillaient en fait ses fantasmes les plus profonds, les plus secrets.
L’homme s’avança, appuyant sur la porte, la faisant reculer. « Si cela ne vous dérange pas, je propose que nous entrions, j’ai peur que ma compagne prenne froid », dit-il. Et joignant le geste à la parole, il prit la main de la jeune femme et entra avec elle dans l’appartement avant de refermer la porte derrière lui.« Mais que voulez vous ?, balbutia-t-elle, perdant pied.— La même chose que vous, je pense lui répondit l’homme. Pour commencer, vous allez vous faire mal aux bras dans cette posture, mettez les le long du corps ; vous êtes particulièrement belle, vous n’avez pas à avoir honte de votre corps ».À coté de lui, la jeune femme venait de faire glisser sa robe au bas de ses jambes. Tout comme sa poitrine, son sexe était nu sous le vêtement ; elle ne portait qu’un porte-jarretelle noir et des bas assortis. Elle était vraiment magnifique. Aussitôt elle écarta les jambes et croisa ses mains dans le dos. Presque par mimétisme, elle fit de même, écartant d’abord ses bras pour faire apparaitre à nouveau ses seins et son sexe qu’elle cachait à peine ; puis elle plaça ses mains dans son dos, et elle écarta légèrement les jambes.La jeune femme ne bougeait pas, lui faisant face ; l’homme quant à lui s’approcha et tourna autour d’elle. La sensation d’être ainsi scrutée, détaillée dans toute sa nudité faisait monter en elle une excitation comme jamais elle n’en avait connue. Elle avait imaginé qu’il allait en profiter, lui sauter dessus pour pétrir ses formes, ce qui aurait sans doute rompu le charme et l’aurait poussée à les chasser de chez elle. Mais non, au lieu de cela, il tournait, la regardait, mais il ne l’effleurait même pas ; et ainsi, progressivement, c’est elle qui éprouvait l’envie de plus en plus forte d’être touchée, caressée. Une envie qui devenait progressivement insoutenable, à tel point qu’elle décida de s’avancer vers l’homme.« Ne bouge pas ! », dit l’homme d’une voix ferme. L’ordre claqua comme un coup de fouet et elle s’immobilisa sans savoir pourquoi, simplement parce qu’il l’avait ordonné. « Tu ne bouges que si tu en reçois l’ordre ! », poursuivit-il. Elle reprit alors la pose, attendant la suite.
Il vint se placer derrière elle, et pour la première fois ses mains entrèrent en contact avec sa peau. Un contact léger, un effleurement de ses phalanges sur la pointe de ses seins. Ce fut pour elle comme une décharge électrique, une piqure de plaisir intense qui irradia de sa poitrine dans tout son corps.La caresse cessa presque aussitôt qu’elle avait commencé. Ses mains restaient pourtant à quelques millimètres de ses tétons, et elle se mit malgré elle à tenter d’avancer légèrement sa poitrine pour ressentir à nouveau ce contact si délicieux. « Ne bouge pas, dit-il à nouveau. C’est la dernière fois que je te le dis ! ». Elle s’arrêta complètement.Soudain les mains de l’homme se posèrent entièrement sur ses seins, les enveloppant et les enserrant d’une poigne à la fois douce et ferme. Il resta ainsi sans bouger, remuant légèrement les paumes pour agacer lentement les pointes qui dardaient comme jamais. « Tu sens mes mains qui tiennent, qui détiennent ta poitrine ? Lui murmura-t-il à l’oreille. C’est ainsi que bientôt tu vas te sentir toute entière : complètement offerte à mes mains, entièrement à moi. C’est ce qui va se passer si tu décides de t’engager sur la voie de la soumission, et nous te guiderons. Le veux-tu ? ».Elle sentait la chaleur des mains sur sa poitrine, la fermeté de leur étreinte et la délicieuse caresse sur ses tétons ; elle hocha lentement la tête en signe d’acquiescement. «Très bien, dit l’homme. Pour commencer tes jambes ne sont pas assez écartées ! Je dois pouvoir accéder à ta chatte comme bon me semble et sans difficulté.— Attendez, je… », dit-elle hésitanteElle sentit une main s’abattre sur sa fesse avec un claquement sonore. « Tu obéis et tu te dépêches ! Et surtout tu te tais ! », lui dit l’homme du même ton ferme. Sous le coup de la fessée et du ton autoritaire, elle écarta davantage les jambes, presque à quarante-cinq degré.« Très bien, reprit l’homme. Il va vraiment falloir que tu apprennes à obéir dès que je te donne un ordre, je n’aime pas attendre… ». Il se positionna alors face à elle, la regardant droit dans les yeux. Il humidifia son doigt en le passant sur ses lèvres et il descendit ensuite sa main ; elle voulut suivre ce mouvement mais immédiatement il la rappela à l’ordre, lui intimant de ne pas quitter son regard.Elle avait donc les yeux rivés sur les siens quand elle sentit le contact de ses doigts sur sa vulve brulante. Il fut plus électrique encore que la caresse sur ses seins. Il explora sa fente, humidifiant davantage ses doigts avec sa mouille qui coulait en abondance, avant de venir caresser lentement son clitoris qui réagit immédiatement à ce toucher. Elle gémit sans lâcher son regard.Comme pour ses seins, la caresse cessa immédiatement et elle en ressentit une frustration intense. Il porta ses doigts à sa bouche et les lécha doucement. « Elle a un goût délicieux elle aussi », dit-il à l’adresse de sa compagne. Et il porta de nouveau sa main contre son sexe, le massant avec douceur. Il retira sa main rapidement, et il la tendit à la jeune femme« Goûte toi aussi ! » ordonna-t-il à la jeune femme. Et elle vint immédiatement lécher ses doigts, semblant savourer la cyprine qui ruisselait sur ses phalanges.« Tu vas prendre plaisir à la lécher, je pense… », dit-il, toujours à l’adresse de sa compagne.La jeune femme acquiesça avec un enthousiasme certain, faisant mine de s’avancer vers elle ; mais l’homme l’arrêta d’un geste.« Si et quand je le décide ! ». Elle cessa tout mouvement et reprit sa posture. L’homme glissa alors sa main entre les cuisses de sa compagne, lui arrachant à elle aussi un cri de plaisir. Il approcha ensuite sa main du visage de la femme.« Il n’y a pas de raison qu’elle te goûte et que tu ne la goûtes pas !, lui dit-il avec assurance.— Mais je ne vais quand même pas… », commença -elle, à nouveau interdite devant cette main humide de sécrétions. Une autre fessée, plus puissante celle-ci, s’abattit à nouveau sur son postérieur.« Je suis ici pour faire de toi une soumise, rugit l’homme. Cela veut dire, entre autre, faire de toi une chienne, ma chienne ; une chienne obéissante qui n’oblige pas son Maître à se répéter à chaque fois qu’il lui demande quelque chose. Si tu n’y es pas prête, nous te laissons, sinon : lèche ! ».Elle ouvrit la bouche et elle tendit timidement sa langue. Elle commença à lécher doucement les doigts, à laper le liquide qui les couvrait, avec son odeur et sa saveur si particulière. Elle avait elle aussi un goût délicieux, c’était indéniable.« C’est bien ma petite chienne ; ce n’est pas compliqué d’obéir, tu vois ? Toi aussi je pense que tu vas prendre plaisir à la lécher quand je te le dirai… Et elle va aimer cela aussi, crois moi ».
« Trêve de discussion et de caresses, il est temps de voir tes talents… », reprit l’homme. Immédiatement il posa sa main sur sa nuque, pressant fortement pour qu’elle s’agenouille. Elle savait bien où il voulait en venir et, en effet, il sortit très vite son sexe de son pantalon, le lui tendant. Elle avait compris la leçon, et elle avait de toute manière très envie de ce sexe. Elle approcha ses lèvres, déposant de timides baisers avant de le saisir entre ses lèvres. L’homme la laissa faire un instant, mais il finit par poser à nouveau sa main sur sa nuque. « C’est très timide tout cela, il va falloir aussi t’éduquer dans ce domaine… ». Il appuya alors fortement sur l’arrière de sa tête, avançant en même temps son bassin, faisant pénétrer son sexe plus profondément dans sa bouche. Il tentait de forcer l’entrée de sa gorge et elle essaya de résister avec ses mains, de repousser cet assaut en retirant ses lèvres. Il la relâcha alors, visiblement agacé. Elle tenta de happer à nouveau son sexe, mais il se déroba à ses lèvres. « Je suis désolé », murmura-t-elle. Il passa alors derrière elle et, avec célérité, il se saisit de ses poignets pour les attacher l’un à l’autre dans son dos. Il revint ensuite se positionner face à elle, tendant à nouveau son sexe devant son visage. Il fit un signe de tête à la jeune femme qui s’approcha alors, se positionnant derrière elle. Elle sentit ses mains se poser de part et d’autres de son visage. « Salive bien », l’entendit-elle lui murmurer à l’oreille.Elle appuya alors sur sa tête pour la diriger vers la verge tendue. Elle ouvrit ses lèvres pour l’accueillir à nouveau, mais la jeune femme ne cessa pas d’appuyer, pressant encore et encore. Ses mains attachées dans son dos et sa tête maintenue par la poigne de la jeune femme, elle ne pouvait aucunement lutter et elle dut se résoudre à sentir chaque centimètre du sexe turgescent pénétrer sa bouche jusqu’à enfin forcer sa gorge et en prendre totalement possession.Elle gargouillait et salivait sur le chibre tendu tandis que la jeune femme ne relâchait pas sa poigne ; elle ferma les yeux pour se concentrer sur sa respiration. « Regarde moi ! », ordonna l’homme d’une voix ferme. Elle obéit immédiatement, ouvrant à nouveau les yeux pour plonger son regard dans le sien. Il la contemplait de toute sa hauteur, savourant visiblement la sensation et le pouvoir qu’il avait à cet instant sur elle. La jeune femme tira alors sa tête vers l’arrière, libérant sa gorge. Elle eut cependant à peine le temps de reprendre son souffle que déjà elle appuyait à nouveau pour enfoncer le sexe entre ses lèvres. « Plus vite ! » lui dit l’homme. Immédiatement, elle sentit la cadence accélérer. Dressée à obéir pensa-t-elle tandis que sa bouche allait et venait sur le sexe tendu sans qu’elle n’y puisse rien. Elle avait à peine le temps de souffler entre deux introductions, elle sentait chaque fois le gland buter un peu plus au fond de sa gorge et elle salivait abondamment comme la jeune femme le lui avait conseillé pour faciliter cette pénétration buccale intense.Enfin tout s’arrêta sur un ordre de l’homme. Elle haleta en cherchant à reprendre son souffle. De la salive coulait abondamment le long de sa gorge et sur sa poitrine. Le haut de son corps en était couvert suite à cette gorge profonde ininterrompue.
« Il est temps d’explorer tes autres orifice ». Et l’homme passa ses bras autour de ses épaules pour la relever.« Laissez moi un peu reprendre mes esprits, je…, tenta-t-elle de dire — Tu parles décidément beaucoup trop…, s’exclama l’homme. Une soumise se tait, elle ne parle que si elle y est autorisée !— Oui, mais… »L’homme l’interrompit d’un geste de la main et il soupira, comme un professeur dépité par un cancre. Il passa derrière elle et elle sentit soudain un objet dur appuyer contre ses lèvres ; par instinct, elle ouvrit la bouche et l’objet, une boule, vint se positionner entre ses mâchoires. Elle tenta de la recracher, mais l’homme tirait vers l’arrière pour la maintenir en place. Elle sentit ensuite une lanière de cuir se refermer derrière sa nuque, maintenant en place le bâillon-boule qui remplissait désormais sa bouche, l’empêchant totalement de parler. L’homme revint se positionner face à elle, contemplant son visage, visiblement satisfait. Il l’emmena alors, la tirant par le bras, cherchant visiblement la chambre qu’il finit par trouver. Il jeta un oeil au lit encore chaud, et il ne manqua pas de repérer le gode encore luisant qui reposait sur l’oreiller. Il sourit à cette vue. Puis il l’allongea sur le lit, sur le dos.« Tu peux la goûter et te faire plaisir si tu le souhaites ; mais bien entendu, tu ne jouis pas, dit-il en s’adressant à la jeune femme.— Merci Maître ! » Répondit cette dernière avec un grand sourire aux lèvres.Aussitôt, elle vint se placer à califourchon sur son visage, et elle plongea aussitôt ses lèvres contre son sexe grand ouvert. Elle léchait divinement bien, avec une application et une science qu’elle n’avait jamais connues. Aucun recoin de sa chatte n’échappait à sa langue chaude et humide et elle se mit très vite à gémir bruyamment malgré le bâillon. Ce bruit de plaisir étouffé ne fit que rajouter à son excitation.Très vite, la jeune soumise vint positionner son propre sexe contre le fameux bâillon et elle commença doucement à onduler du bassin, se masturbant contre la boule, la couvrant très vite de ses sécrétions intimes qu’elle sentit bientôt couler entre ses lèvres.Elle sentait la jouissance monter en flèche grâce au talent inouï de la jeune femme ; l’apothéose s’annonçait grandiose… mais tout cessa. La jeune femme se releva, quittant le lit, la laissant dans un état de frustration intense. « Tu ne croyais quand même pas jouir comme cela ?, lui demande l’homme. Tu ne jouis d’ailleurs que si tu en reçois l’autorisation, et pour l’instant tu ne l’as pas ». Le ton de l’homme ne laissait une fois de plus pas de place à la discussion.
Il s’approcha d’elle, encore pantelante de désir, et il se saisit de ses chevilles une à une, les tirant vers le haut et vers l’arrière pour les attacher aux pieds, à l’avant du lit. Elle se retrouva ainsi avec les cuisses grandes ouvertes, et le bassin relevé, offrant une vue imprenable sur son intimité.« Prépare là et prépare toi au passage ! », ordonna l’homme à sa compagne. A ces mots, la jeune femme vint se positionner à quatre pattes, entre ses cuisses à nouveau, et elle cambra au maximum sa croupe magnifique. Elle remarqua alors, entre ses fesses, la base d’un plug noir. L’homme se positionna derrière elle et il retira le plug. « Je n’aime pas perdre de temps, expliqua-t-il. Surtout quand je souhaite prendre le cul de ma soumise. C’est pour cela qu’elle porte un plug : pour être prête en permanence à se faire mettre ». Et, sans attendre, il saisit son sexe en érection, encore humide de salive, et il s’enfonça d’un coup sec dans le cul offert. La jeune femme creusait ses reins au maximum pour lui faciliter le passage. Dressée à obéir…Alors que l’homme allait et venait en elle sans ménagement, elle plongea son visage entre ses cuisses ; elle attendait à nouveau avec délice le contact de sa bouche contre son sexe… Mais, à sa grande surprise, ce ne fut pas sa vulve trempée que la petite langue vint laper, mais l’orée de son anus. Elle frémit aussitôt sous la caresse. Là aussi les coups de langue étaient divins, d’une précision diabolique. Rapidement la pièce résonna d’un concert de gémissements, étouffés sous l’effet du bâillon ou de la bouche enfouie entre les fesses, le tout rythmé par les coups de boutoir incessants qui besognaient sans relâche le fondement de la jeune femme.L’homme se retira après un long moment des fesses de sa soumise. Elle se releva aussi, s’écartant. Il s’avança entre les jambes de la femme, le sexe tendu. Elle savait ce qu’il allait faire, elle sentait son anus tressautait d’envie et elle n’était de toute manière pas en posture de résister…Il appuya son gland à l’entrée de ses fesses humides de salive. Il la regarda droit dans les yeux et il commença lentement à s’enfoncer en elle, forçant petit à petit l’étroit passage, sans la quitter un moment du regard. Elle le sentait la remplir progressivement de toute la puissance de son sexe. Il l’observait avec un mince sourire aux lèvres, savourant visiblement cette prise de possession totale.Totalement possédée, c’est en effet ainsi qu’elle se sentait. D’une dernière poussée, il finit de ficher son sexe entièrement en elle. Elle était sodomisée jusqu’à la garde, et elle en éprouvait un plaisir qu’elle n’avait jamais ressenti. Cette sensation d’abandon, de perte totale de maîtrise, elle en avait rêvé mille fois et elle le vivait enfin.
L’homme ne bougeait pas, la laissant bien prendre conscience de son état, de son état de soumission totale. Elle était à lui, il le savait, et il voulait qu’elle le sache, qu’elle le ressente au plus profond de sa chair et de son être. Il retira le bâillon de sa bouche :« Que veux-tu ? lui dit-il.— Je…— Que veux-tu ? insista-t-il — Que vous me preniez…— Quoi ? Je n’entends rien— Que vous me preniez !— Je n’entends toujours rien !— Que vous me preniez !!! Baisez moi, je vous en supplie !!!! Baisez mon cul, faites ce que vous voulez avec, je veux être votre chienne ; défoncez moi comme une petite salope. Je n’en peux plus, s’il vous plait !!!!!!! — Si c’est ce que tu veux… », lui répondit-il avec un sourire narquois.Il replaça le bâillon entre ses lèvres, et elle sentit sa verge commençait à bouger en elle, à aller et venir lentement dans toute sa longueur. Il prenait tout son temps, lui arrachant à chaque fois un long râle de plaisir qui sortait de sa bouche malgré la boule entre ses lèvres.Il fit un signe de tête à la jeune femme qui vint à nouveau se positionner entre ses cuisses. Elle se mit aussitôt à lécher avec application son clitoris qui dardait de plaisir est ses cris redoublèrent. « Mets lui 3 doigts ! » cria-t-il.Trois ? Pensa-t-elle. Mais elle ne pouvait rien faire d’autre que subir et elle sentit les doigts venir se poser à l’orée de sa fente trempée, tellement trempée qu’ils s’enfoncèrent en elle sans difficulté ; elle n’en revenait pas d’être ouverte à ce point. L’homme accéléra ses mouvements de bassin tandis que la jolie soumise lapait son clitoris en faisant aller et venir ses doigts en elle, fouillant vigoureusement son vagin en feu.Elle ne pouvait plus résister, le plaisir irradiait partout dans son corps, sa tête tournait. Elle explosa enfin, hurlant à travers le bâillon sa jouissance immense à se faire prendre ainsi le cul et la chatte. Tout son corps était parcouru de saccades incessantes et son orgasme ne semblait pas vouloir cesser.Sous l’effet de ses contractions, l’homme sentit à son tour le plaisir venir et il se retira vivement, approchant son sexe de son visage. Elle vit les giclées blanches jaillir de son sexe et elle les sentit atterrir partout sur son visage, couvrant ses joues, son front, ses lèvres. La jeune femme s’approcha alors d’elle et elle se pencha, la bouche grande ouverte. Lentement, elle lécha chaque goutte du chaud liquide qui coulait sur sa peau. Une fois terminé, elle se retourna vers l’homme et elle ouvrit la bouche, lui montrant fièrement toute la semence qu’elle avait recueilli entre ses lèvres. Il répondit par un signe de tête, et elle avala goulument le précieux nectar.
L’homme entreprit de la détacher avec douceur. Elle récupérait tant bien que mal du plaisir dévastateur qu’elle venait de vivre.« Merci, murmura-t-elle.— Merci ? Répondit l’homme. Mais il ne me semble pas t’avoir donné à aucun moment le droit de jouir, est ce que je me trompe ? ». Elle se souvint alors de ses paroles, du fait qu’elle ne devait pas jouir sans son autorisation… Derrière l’homme, elle vit le regard de la jeune femme ; un regard qui en disait long sur ce qui l’attendait pour avoir osé désobéir…
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