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La fête d’anniversaire tourne à l’orgie

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Samedi 18 juillet 2020 à 12 heures
Je m’appelle François, j’ai quarante-huit ans, marié à Anne-Marie âgée de quarante-deux ans, avec laquelle nous avons eu deux enfants : l’aîné Richard vingt ans et la cadette Margot dix-huit ans et demi.Il y a trois mois, ma femme avait organisé une grande fête pour le vingtième anniversaire de notre fils Richard. Elle avait invité à cette occasion, nos amis de toujours, Sylvie, son époux Denis et leur fils Christophe, un bon copain de notre fils. Sa sœur Christine avec son mari Bernard et leur fille Céline, mais également, mon frère Michel, sa compagne Isabelle et quatre autres copains de Richard : Benoit, Jérémy, Stéphane et Johan.
Toutes ces personnes avaient accepté l’invitation et seraient présentes à cette manifestation qui devait se dérouler à la maison.Cette fête était prévue pour le samedi soir à partir de dix-neuf heures.La semaine précédant l’anniversaire, je me trouvais à Paris pour des raisons professionnelles et je devais rentrer en TGV dans l’après-midi. La SNCF étant en plein conflit social ; comme souvent ; mon train fut annulé à la dernière minute. Je dus faire des pieds et des mains pour obtenir mon billet pour le train suivant. Malheureusement, je ne pouvais plus être à l’heure. De surcroit, ce TVG prit vingt minutes de retard.
Enfin en gare de Lyon, le train partit à 17 h 30. Une place confortable près de la vitre, j’en avais pour quatre heures pour parvenir jusqu’à Marseille et une demi-heure jusqu’à la maison.Mon arrivée était prévue vers vingt-deux heures, j’avais donc largement le temps de me reposer. J’étais plongé dans mes pensées érotiques - nous avions prévu avec Anne-Marie d’essayer de rattraper la semaine d’abstinence en fin d’après-midi.
Tous les deux d’une sexualité débordante, encore à notre âge, nous avions des difficultés à rester plus de deux jours sans faire l’amour. Cela faisait une semaine, je n’en pouvais plus d’attendre et à cause de la SNCF, je serai obligé de patienter et d’attendre encore la fin de la fête d’anniversaire pour me soulager les bourses.
Je m’imaginais en train de lui faire l’amour comme elle aimait après notre soixante-neuf, je la prenais dans plusieurs positions, du missionnaire à la levrette, en passant par l’Andromaque ; c’est la position préférée de mon épouse, elle aime me chevaucher ; et nous finissons en général en cuiller. C’est dans cette posture que j’éjacule le plus facilement lui envoyant ma semence dans son vagin largement trempé
En général, elle jouit au moins deux fois. Nous avions prévu de recommencer après avoir pris une petite collation avant que les invités arrivent.Ma femme est la reine de la fellation et elle adore les faire. Sa bouche et sa langue me font un effet énorme, je ne mettrais pas longtemps à reprendre forme entre ses lèvres. Mais ce n’était que partie remise.
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Céline et Margot étant du même âge, les deux cousines, sont inséparables. Ces deux adolescentes, sortaient et flirtaient avec des copains de leur âge mais pour cette soirée, elles avaient prévu de séduire ; et plus si affinité ; respectivement, Christophe et Jérémy, deux des amis de Richard.
Les deux jeunes filles s’étaient occupées des boissons préparées maison. Ce punch à base de rhum, comportait entre autres du jus de framboise, du miel et quelques produits dont elles avaient le secret, telle la dopamine en particulier, qui avait le pouvoir de déclencher le désir.

Les quatre amis de mon fils, le croyant puceau et sans copine depuis plus d’un mois, avaient l’intention d’amener à sa fête une jeune salope qui avait des vues sur lui.Ils lui offriraient Laetitia, en cadeau d’anniversaire.Pour le dessert, Johan, le pâtissier de service, sous les conseils des deux cousines avait préparé le gâteau. Chocolat, vanille, gingembre râpé, quelques éléments chimiques que Margot et Céline lui avaient fournis.
La soirée devait être très propice à l’amour ; les cousines voulaient coucher avec les deux garçons ; elles s’étaient occupées de la décoration, de nombreuses bougies brûlaient çà et là, l’odeur était enivrante et quelques posters érotiques avaient remplacé les cadres traditionnels accrochés aux murs du salon.
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Dès que le train fut en gare de Marseille, je dus faire vite, je me dirigeai vers le parking et pris ma voiture, une bonne trentaine de minutes après, je garai mon véhicule dans le garage de notre maison.
Lorsque j’ouvris la porte de mon domicile, Céline se trouvait dans l’entrée. Ma nièce assise sur le petit meuble à chaussure, son teeshirt relevé, laissait apparaitre sa poitrine nue, que pétrissait Christophe l’ami de mon fils. Elle me regardait mais cela ne la gênait absolument pas, elle ne s’occupait pas de moi.
Elle se penchait en avant dans une position indécente et s’activait sur le sexe de son partenaire qui, avec sa main derrière sa tête, lui caressait sa belle chevelure.Céline lui massait les bourses et lui branlait la base de sa verge dans une savante fellation. Je vis Christophe libérer tout le sperme de ses bourses entre les lèvres de ma nièce qui s’en délecta puis, en ouvrant largement la bouche, elle lui montra qu’elle avait tout avalé.
Je n’en revenais pas, Céline ma petite préférée, pouvant être aussi salope, elle avait bien grandi, elle était déjà majeure, je n’avais pas vu le temps passer :
— Bonjour tonton François. Ils t’attendent au salon. Il y a encore du gâteau au chocolat.
Je tournai alors la tête vers ma droite, dans la salle de bain dont la porte était ouverte en grand. Je vis mon fils derrière Laetitia.Elle aussi était torse nu, les seins à l’air, elle était penchée au-dessus de la baignoire avec ses mains au fond, sa jupe était relevée sur ses reins et sa petite culotte à ses pieds, pendant que Richard, les mains accrochées à ses hanches, allait et venait dans l’intimité de la jeune salope qui lui était offerte par ses copains.Elle cria son bonheur lorsqu’il ressortit après lui avoir arrosé les fesses de sa semence laiteuse, sortant de sa queue bandante, giclant en longs jets blanchâtres et gluants.Mon fils était lui aussi un grand garçon, du haut de ses vingt ans ; la roue avait bien tourné quand je me rappelai les baises que l’on organisait lorsque j’étais étudiant :
— Ça s’est bien passé ton voyage papa ? Prends du punch, il est excellent, tu verras.
Je cherchais ma femme, elle n’avait certainement pas vu le spectacle et il ne valait mieux pas qu’elle le voit.Je pénétrai dans le salon, juste devant moi, je vis Denis mon grand ami, le pantalon à mi-cuisse, sa grosse bite en érection entre les seins nus d’Isabelle, la compagne de mon frère.Il éjaculait sur sa magnifique poitrine, après une branlette espagnole digne de ce nom. Elle avait reçu du sperme jusqu’au menton.Mais que faisait mon ami avec ma future belle-sœur ?Je ne pouvais le concevoir, chez-moi en plus...Comment pouvait-il tromper sa femme Sylvie ?Où était-elle ?Je me posais beaucoup de questions :
— Bonjour François, prends du gâteau et viens nous rejoindre ! dit la compagne de mon frère.
Et ce n’était pas terminé, sur le canapé je découvris Michel mon frangin, qui baisait Christine, la sœur de ma femme. Ils étaient nus tous les deux, elle était allongée, ses jambes écartées reposaient sur ses épaules. Il lui astiquait le vagin à grand coup de queue. Ses allers-et-retours étaient assez sauvages mais elle avait l’air d’apprécier car elle venait de jouir lorsqu’il lui envoya la sauce sur le ventre dans des gémissements et râles que l’on devait entendre jusqu’à l’extérieur de la maison :
— Bois du punch François, on t’attend, dit ma belle-sœur.
C’était une orgie dans mon salon, je n’avais pas encore vu ma femme. Où était Anne-Marie ?Je n’étais pas voyeur mais j’étais très excité. Dans mon pantalon qui me semblait bien trop étroit, je bandais comme un cerf . Surtout que, devant le sofa, où sa femme Christine, baisait avec Michel, Bernard mon beau-frère était entre les cuisses de Sylvie l’amie de mon épouse, la limant avec force sur le tapis, dans la position de la levrette.Ils étaient également nus, elle criait son plaisir pendant que lui se déversait sur la raie de ses fesses.Ce n’était pas possible, je ne pouvais pas imaginer que cela puisse arriver. Je savais que ma fille avait prévu un philtre d’amour mais tout de même, je ne croyais pas à ses sornettes.
— Enfin te voilà François ! Je suis impatiente que tu viennes me baiser. Prends du gâteau et dépêche-toi !
Qu’avaient toutes ses femmes ? Elles voulaient toutes se faire baiser.Je changeai de pièce, me dirigeant vers la salle à manger, c’en était déjà trop pour moi, avec le spectacle auquel je venais d’assister, j’avais très envie d’y participer, moi aussi.J’aurais bien baisé ma belle-sœur ou la copine de ma femme, elles étaient toutes les deux bandantes et avaient l’air d’aimer se faire prendre comme des salopes.Cependant mon érection tomba d’un seul coup, lorsque je vis, sur la grande table en bois massif recouvert d’une nappe blanche où se trouvait encore tous les couverts et les plats, ma fille Margot.
Ma jeune princesse, juste majeure, était allongée toute nue, jambes écartées, se faisant tripoter les seins par Jérémy qui se trouvait entre ses cuisses et la labourait sans vergogne.Elle ne serait donc plus vierge lorsqu’elle se marierait, j’en étais désolé. Moi qui la prenais pour une sainte-nitouche. Je fus complètement abattu lorsque je la vis s’étendre avec ses mains le sperme que lui envoyait son partenaire sur le ventre et sur ses petits seins bien ronds.Néanmoins, cela était tout de même très excitant, mon érection reprenait forme. Même ma propre fille baisait devant tout le monde, c’était incroyable, je n’en revenais toujours pas :
— Bonsoir mon papa chéri... Le gâteau et le punch sont en bout de table, sers-toi c’est trop top.
Mais où se trouvait mon épouse bon Dieu ?Je pensais qu’elle était dégoutée de voir tout ça et qu’elle avait quitté la maison, ne pouvant pas imaginer son fils et sa fille dans une telle débauche de sexe. Mais mon attention s’était portée vers le fond de la pièce, j’entendais à la cuisine, d’autres gémissements, bien plus forts que ceux de ma fille.Je m’approchai doucement vers la porte ouverte et je vis enfin, ma femme Anne-Marie. Elle s’empalait sur la verge tendue du jeune Stéphane, allongé sur le sol carrelé de la cuisine. Il était planté dans son anus, elle lui tournait le dos pendant que Johan couché sur elle par devant, lui défonçait le vagin.
— Oui ! Défoncez-moi les jeunes ! C’est trop bon !
Elle jouissait en même temps que giclait le sperme d’un jeune que je ne connaissais pas, il éjaculait sur ses seins après la fellation que mon épouse venait de lui faire, ce devait être Benoit.J’étais très en colère, j’étais furieux de voir Anne-Marie ainsi, mais la voyant prendre autant de plaisir, j’étais heureux pour elle.
— Oh mon amour, te voilà ! Déguste ce qu’a préparé, Margot et Céline. Tu m’as beaucoup manqué mon François.
Je ne pouvais rien dire, je ne voulais pas intervenir, j’avais peur d’interrompre son orgasme et aussi sans doute par honte car je bandais plus fort, plus dur encore. Je me plaçai devant elle, baissai mon pantalon, sortis ma bite en pleine érection et me branlai en la regardant jouir une deuxième fois sous mes yeux.Je lui avais arrosée le visage de toute ma semence et il y en avait... après une semaine d’abstinence…Elle jouit une troisième fois et moi je m’étais vidé les couilles, lorsque j’entendis :
— Mesdames et Messieurs, votre attention s’il vous plait. Nous arrivons à Marseille ! dit une voix sortant des haut-parleurs.
Je me réveillai en sursaut, le pantalon mouillé, je venais d’éjaculer pendant ce rêve qui m’avait semblé durer une éternité.Comment allais-je trouver la maison pendant cette fête d’anniversaire ? En espérant que mon songe se transforme en réalité dans trente minutes.
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