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La fête du bac

Chapitre 5

vendredi

Hétéro
Chap 12. Vendredi
Pour ce dernier jour de travail de la semaine, je me lève en même temps qu’Aurélie. Je dois finir le site de vente impérativement aujourd’hui.
— Tu es venu tard hier soir au lit, tu faisais quoi ?— Des trucs, pour le boulot. Je dois finir le site de la charcuterie Crost aujourd’hui, tu sais.— Oui, mais du coup, j’ai même pas eu le droit à mon câlin comme tu le faisais ces derniers jours. Je vais être en manque toute la journée, moi.— Bah c’est pas la première fois qu’on dort sans rien faire.— Oui, mais dernièrement on le faisait, j’ai pris des habitudes.— Pas en une semaine ...— Tais-toi et mange, tu vas encore dire une bêtise.
Je me tais et finis mon déjeuner. Avant de partir, elle me fait un bisou sur les lèvres.
— Tu ne m’oublies pas ce soir, hein ?

Elle me fait un clin d’œil et ferme la porte derrière elle.
Je monte travailler. Il me reste à entrer les nouveaux produits dans la base de données pour les rendre accessibles aux potentiels acheteurs. Le travail est rébarbatif, mais essentiel. Noms, prix, indications, tout doit être à jour et surtout sans faute d’orthographe, sinon les acheteurs n’auraient pas confiance. Je me relis plutôt deux fois qu’une. Tout est maintenant prêt sur le serveur de développement. Il me reste à téléphoner à Nathalie pour lui demander de regarder le site qui va être mis en ligne lundi prochain pendant que j’effectue les derniers tests. A ce moment, la porte du bureau s’ouvre. Emma et Clara entrent.
— Bonjour Monsieur, je voulais vous remercier de m’avoir permise de dormir cette nuit chez vous avec Emma.— C’est normal Clara, tu seras toujours la bienvenue chez nous, tu le sais.— Oui, mais c’est gentil quand même. Vous faites quoi ?— Ca ? C’est le site de vente en ligne que je prépare pour la charcuterie. Tu veux voir ?
— Oh oui, d’accord, j’adorerai travailler dans le web plus tard, comme vous.— Euh, OK, ben je vous laisse alors. Clara tu sais rentrer chez toi de toute façon. Dit Emma.— Si tu veux cet été, j’ai un projet pour maintenir le site de la mairie en même temps que je pourrai terminer le développement de gestion de la maintenance des machines de la charcuterie. Je peux te faire un contrat pour un job d’été d’un mois si tu veux, et si tes parents sont d’accord. Par contre, je ne pourrai pas bien te payer, pas plus que le SMIC a priori. Si ça t’intéresse, tu me le dis.
Clara est venue s’assoir sur le tabouret à côté de ma chaise. Sa minijupe est remontée très haut sur ses cuisses. Je ne peux m’empêcher de penser à son absence de culotte. Je me retourne vers l’ordinateur afin qu’elle ne voie pas la tente qui se forme dans mon pantalon.
— Regarde, j’ouvre le site sur Firefox, il faut que je vérifie sur les principaux navigateurs si tout est bien visible ainsi que sur Android.— C’est beau, j’aime bien la photo du village avec les deux ponts.— C’est Nathalie la secrétaire de la charcuterie qui me l’a fournie. Je ne sais pas comment elle a pu la prendre.— Sans doute un drone, y en a qui font de belle photo.— Je n’y avais même pas pensé.— Si vous voulez, je regarde sur mon téléphone ce que ça donne pendant que vous testez sur votre ordinateur.— Ca m’aidera bien, tiens voici l’adresse du site. Ensuite, tu cliques partout où tu peux et s’il y a des choses que tu trouves pas terrible, tu me le dis.— D’accord je fais ça.— Quand tu auras fini, je te passerai un faux numéro de carte bancaire et tu essaieras de passer une commande. Tu me diras si c’est facile ou pas.— Oh merci.
Je la regarde, elle est penchée sur son téléphone. Son t-shirt à large ouverture a libéré son épaule de mon côté. Etant en hauteur par rapport à elle, je peux voir son soutien-gorge qui enveloppe ses petits seins dans une dentelle délicate. J’espère sincèrement que ses parents seront d’accord. Non seulement je pourrai avancer plus vite dans mon travail, mais en plus, sa présence n’est pas désagréable. Je jette un dernier coup d’œil à ses cuisses déjà légèrement dorées par le soleil. La tentation d’y poser la main dessus est forte, mais je n’ai pas le droit. Je me remets au travail.
Par moments, Clara me pose des questions, me propose des idées d’agencement du texte et des images. Elles sont les bienvenues, on en discute tous les deux et je lui montre comment modifier le site en conséquence sans risquer de casser ce que nous avons déjà validé. Elle a même trouvé deux fautes d’orthographe. Décidément cette fille fera une parfaite collaboratrice si je peux avoir l’accord de ses parents, mignonne et intelligente. Une fois le site pour Android vérifié, je lui fournis les éléments pour créer un faux compte client et passer une commande pour qu’elle puisse tout tester comme si c’était le site de production et qu’elle était une vraie acheteuse.
Avec son aide, j’ai pu terminer ce travail pour midi. Je lui donne un billet de cinquante euros en remerciement avant de la laisser rentrer chez ses parents après nous avoir fait la bise.
Chap 13.
A midi, Emma a ramené Enzo pour manger. Difficile de le prendre à part pour lui parler fellation et lesbianisme sans dévoiler mon logiciel sur l’ordinateur de ma fille. J’ai pour lui un sentiment contrasté, à la fois je le jalouse de pervertir les filles du village, à la fois j’admire sa capacité de persuasion sur ses jolies camarades. A la fin du repas, Manon et Mathis arrivent pour profiter de la piscine avec Emma et Enzo.
Je monte travailler. Je téléphone à Nathalie pour ajuster les derniers détails du site de vente. J’effectue mes derniers tests et enregistre les séquences avec Sélénium pour si je dois les rejouer plus tard. Dehors, j’entends les quatre jeunes s’amuser dans la piscine. A seize heures, j’ai fini ce que je voulais faire pour la semaine. J’envoie un dernier mail à la charcuterie pour leur dire que tout est prêt et que le site sera en ligne lundi matin. J’en profite pour envoyer la facture de ce lot, il faut bien se faire payer si on veut pouvoir vivre. Les vacances d’Emma et d’Aurélie sont assurées pour le mois d’août.
Je sors sur la terrasse en short de bain, une bière à la main. Les quatre adolescents jouent avec un ballon dans la piscine. Emma est topless. Je constate avec un sourire que les traces de bronzage de son ancien maillot commencent à s’estomper. Manon pour sa part a un maillot une pièce, qui la rajeunit encore en plus de son visage enfantin. Seuls ses tétons durcis par l’eau fraiche qui pointent à travers le tissu du maillot et sa taille trahissent son âge. Je sirote lentement ma boisson en les regardant, allongé sur un transat. Si leur jeu peut paraître innocent, je remarque tout de même que Enzo en profite plus que nécessaire pour toucher au corps de ma fille. Un sacré profiteur, ce garçon. Soudain, des cris de joie jaillissent des bouches de Manon et Mathis. Et après des « on a gagné » je les vois se faire une accolade bien plus qu’amicale, Manon va jusqu’à lui déposer un baiser sur la joue.
Une première pour moi, mais qui montre que le village en les appelant « les amoureux » ne s’est pas trompé.
Le jeu a repris quand Aurélie fait son apparition sur la terrasse. Je vois Mathis bouche bée, tandis qu’Enzo ne lâche mon épouse du regard. Si Emma n’a pas de réaction particulière, je peux voir la surprise dans les yeux de Manon. Il faut dire qu’elle avance topless vers la piscine. Elle rentre lentement dans l’eau, observée par cinq paires d’yeux. Mon épouse commence à nager sous les yeux des deux garçons qui ont tout loisir d’admirer son fessier toujours ferme pour son âge. De l’autre côté de la piscine, elle m’appelle. Je plonge pour la rejoindre.
Les jeunes ont repris leur jeu de balle alors que j’arrive au niveau de mon épouse pour l’embrasser. En nous voyant faire, Enzo et Emma commencent à nous imiter. Ma langue dans la bouche d’Aurélie, je vois ma fille et son petit copain se dévorer mutuellement la bouche. Manon et Mathis nous regardent en passant alternativement de nous au couple formé par ma fille et Enzo. Soudain, Emma saute pour s’accrocher par les jambes autour de la taille de son petit ami. Enzo la soutient, les deux mains sous les fesses, mais finit par basculer dans l’eau. Avec Aurélie, nous les regardons avec amusement. A peine a-t-il sorti la tête de l’eau qu’il plaque ma fille contre la piscine pour l’embrasser en lui caressant les seins. De leur côté, Manon et Mathis se regardent, se demandant ce qu’ils doivent faire. Leurs visages sont si proches qu’un instant, je pense qu’ils vont oser s’embrasser devant nous. Mais non, Manon saute dans l’eau pour se mettre à nager. Mathis a l’air déçu, mais ne dit rien.
Il nage jusqu’à l’échelle pour sortir et s’installer sur la serviette. Peu de temps après, Manon le suit et s’installe à côté de lui.
Dans la piscine, j’entreprends un jeu de course poursuite avec Aurélie. Bien sûr, étant bien meilleure nageuse que moi, elle m’échappe systématiquement. De leur côté, Enzo a sa bouche dans le coup de Emma et une main qui caresse sa poitrine. Leurs amis assis sur leur serviette les regardent avec intérêt. Il chuchote entre eux, Manon hausse les épaules tandis que Mathis rigole. Un nuage passe devant le soleil, rappelant par la fraicheur qui s’en suit que la soirée a déjà débuté. Avec Aurélie, nous sortons de la piscine pour préparer un barbecue.
Alors que les merguez chauffent, mon téléphone sonne.
— Allo, c’est Clara, je ne vous dérange pas ?— Non Clara, je suis heureux de t’entendre. Alors tu as pu demander à tes parents pour cet été.— Oui, ils sont d’accord a priori. Ils vous en parleront dimanche quand ils me déposeront pour la fête. Merci.— C’est moi qui te remercie. Tu vas pouvoir bien m’aider et si là on fait du bon boulot ensemble, on pourra recommencer d’autres fois si tu veux.— Oh oui, ça me ferait plaisir. Vous êtes tellement gentil.— Bon je te laisse, j’ai des saucisses à retourner. A bientôt Clara.— A bientôt, merci.

Je repose le téléphone, il va falloir que je regarde comment on fait pour embaucher quelqu’un l’été, je ne l’ai jamais fait. J’espère que ce ne sera pas trop compliqué.
Chap 14.
Le repas fini, je monte dans mon bureau pour regarder le site de l’administration afin de préparer les papiers nécessaires pour que Clara puisse démarrer au plus tôt. Emma et Enzo sont devant la télé pour regarder un divertissement. Aurélie est montée dans la chambre.
Je vérifie les règles, je télécharge un formulaire type de déclaration d’embauche, ce ne sera pas un souci pour le remplir. Pour l’accord de la médecine du travail, je connais le docteur, je peux prendre un rendez-vous pour la semaine prochaine. Je téléphonerai lundi. Pour l’inspection du travail, ça risque d’être plus long, mais bon si tout est bien ficelé, la semaine prochaine, j’irai faire un tour à Castres pour soutenir le dossier devant l’administration. Avec la politique en faveur de l’emploi des jeunes actuels, je ne vois pas de raison d’avoir un refus. Le salaire, je lui ai promis un SMIC entier donc ça marche, par de travaux dangereux d’un point de vue physique ou moral à déclarer. C’est bon, juste le site de la mairie à reprendre, on n’entre pas dans ces cas de figure.
Je suis soulagé en lisant tout ça. Je pourrais faire travailler Clara, je vais juste prévoir deux semaines pour faire tous les papiers et recevoir les autorisations. Je devrais pouvoir la faire commencer pour la mi-juillet. Tous les documents sont téléchargés, remplis. Je télécharge aussi un contrat de travail type, il faudra que je lui demande quelques informations personnelles, mais le reste est prêt à être imprimé et signé.
Déjà onze heures passées quand j’ai fini tout ça. Il est temps de rejoindre Aurélie au lit. J’éteins l’ordinateur, ferme la lumière et pars dans la chambre. Mon épouse n’est pas là. Je me mets en pyjama et l’attends un peu. Un quart d’heure que je suis dans le lit et elle n’arrive toujours pas. Je décide de descendre au salon, elle est peut-être devant la télévision.
En entrant dans le salon, j’entends Arthur faire ses blagues à la télé, suivies des rires forcés du public. Je me demande comment on peut s’amuser de ça, d’ailleurs dans le salon, il n’y a aucune réaction des téléspectateurs. De dos, je vois Enzo entre ma femme et ma fille. Toutes les deux ont leur tête sur l’épaule du garçon.
— C’est bon ce que tu me fais. Dit ma femme.
Je m’inquiète un peu de ce que j’entends et avance à pas feutrés sur le côté du canapé. Enzo a posé chacune de ses mains, l’une sur la cuisse de Emma, l’autre sur celle d’Aurélie. Je regarde ma femme qui a les cuisses légèrement écartées. La main du garçon n’est pas statique et fait de petits cercles à l’intérieur si haut sur la cuisse que la chemise de nuit relevée ne cache rien de l’intimité mon épouse. Je n’ai pas le temps de terminer mon mouvement que j’entends un « Mmmm » sortir de ses lèvres alors qu’elle referme d’un coup ses cuisses sur la main de l’adolescent.
Je me racle bruyamment la gorge. Immédiatement, trois paires d’yeux me regardent. Ma femme se redresse sur le canapé tandis qu’Enzo retire ses mains des cuisses de ma fille et de mon épouse.
— Ce n’est pas ce que tu crois ! Me dit Aurélie.— Ah ? Et qu’est-ce que je crois ?— J’étais tendu de ma journée et comme tu ne venais pas au lit, je suis descendu les rejoindre devant la télé. Et Enzo a proposé de me masser pour se détendre ...— Et bien sûr tu as accepté !? Emma monte dans ta chambre. Toi, Enzo t’as intérêt à être en forme demain sur le terrain, maintenant rentre chez toi !
Les deux adolescents quittent la pièce sans dire un mot. J’entends la porte d’entrée se refermer et les pas dans l’escalier. Je regarde ma femme.
— Nicolas, arrête, on avait dit plus de scène.— La dernière fois d’accord, on était serré sur le canapé. Mais là, il y avait la place. Et j’ai bien vu sa main entre tes cuisses !— C’était juste un massage.— Un massage érotique oui, pas pour détendre les muscles. Que dirais-tu si je me faisais sucer par Léa ?— Ah tu le prends comme ça ? Maintenant ton nouveau fantasme c’est la fille du voisin !— C’est pas ce que je voulais dire.— Eh bien c’est ce que tu as dit, désolée ! Mais si c’est ça, on fait un concours, d’accord ?— Que, quoi ?— On va voir qui est le plus « cool » d’entre nous deux comme t’aimes le dire. Je te parie que je couche avec un des ados avant que tu te fasses sucer par Léa.— Mais ca va pas ?— Hein, t’as peur de perdre, hein, c’est ça ? Si tu gagnes, je ferai tout ce que voudra pendant notre week-end en amoureux à Lacanau du quatorze juillet.— Si tu le prends comme ça, mais Enzo ne compte pas, il a déjà le béguin pour toi.— OK, dis-moi lequel alors.— Lucas. Dis-je sans trop réfléchir.
Lucas, c’est le premier nom qui m’est venu à l’esprit. Et vu sa nature réservée, je ne prends aucun risque. Ma femme accepte le pari, si elle gagne je devrais lui acheter la bague qui lui fait envie depuis quelques mois.
Nous montons au lit, mais pas de câlin ce soir. Chacun s’endort de son côté.
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