Emma fête le bac avec ses professeurs de sport et son CPE...
La soirée d’Emma était magique et même la pluie qui se déchaînait ne semblait pas être en mesure de la gâcher. Pour la jeune femme, cette journée était l’une des plus belles de ses dix-huit dernières années, car aujourd’hui, elle avait eu le baccalauréat et avec mention s’il vous plaît. Une journée étape dans la vie qui marquait la transition entre l’innocence de l’adolescence et le monde des adultes. Depuis la lecture des résultats sur les panneaux d’affichage du Lycée Condorcet, la journée d’Emma s’enchaînait à toute allure, comme si elle était plongée dans un rêve éveillé. Après avoir passé la soirée avec sa bande au restaurant et à écumer les bars de la ville pour fêter dignement le baccalauréat, ses amis l’ont déposée dans un petit quartier résidentiel pour qu’elle puisse rejoindre son petit ami et finir la soirée dignement, comme une femme, comme la femme naissante qu’elle était. L’amoureuse transie avait hâte de rejoindre son homme et de lui dévoiler la tenue qu’elle avait achetée rien que pour lui et ses beaux yeux, avec elle se sentait désirable et avait l’impression d’afficher quelques années de plus au compteur. Emma, perchée sur ses talons hauts, détonait dans le paisible quartier résidentiel. Elle portait une petite robe noire moulante, qui laissait apparaître la forme de ses sous-vêtements et accessoirement son plus beau string. L’ex-lycéenne ne comptait plus le nombre d’hommes qui l’avaient matée et dévorée des pieds à la tête tout au long de la soirée. Un homme assez vieux pour être son père avait même tenté de la draguer, sans succès, mais l’intérêt était flatteur et lui conférait une assurance nouvelle. Toutefois, ce soir, une seule personne avait le droit de la toucher et d’enlever sa robe bien trop moulante et elle était devant son porche pour lui faire passer la soirée de sa vie. Malheureusement, son copain avait un peu trop fêté le bac lui aussi et n’était pas encore rentré. La petite Emma était donc seule sous la pluie à minuit passé... Elle était trempée, tremblante. La soirée commençait à prendre une tournure désagréable. Elle sonna plusieurs fois, se rongea les ongles et retourna dans la rue, au bord de l’hystérie, complètement perdue et déboussolée. — Emma ? Tu vas bien ? demanda un homme qui lui sembla familier. L’homme se rapprocha dans la lumière du réverbère et Emma put mettre un nom sur le visage, et poussa un soupir de soulagement. Il s’agissait de Jean-Charles, le voisin et ami proche de ses beaux-parents qu’elle avait eu l’occasion de croiser à plusieurs occasions lors des célèbres barbecues dominicaux des parents de son petit ami. Lui aussi semblait fêter quelque chose, car il portait des cadavres de bouteilles et de la musique s’échappait de sa maison. — Que fais-tu à la porte sous la pluie ? s’enquerra-t-il inquiet. Ne me dis pas que Mathéo t’a mise dehors par ce temps, il n’aurait tout de même pas osé faire ça à sa ravissante petite-amie ?— Non, monsieur, il m’a juste oubliée, Mathéo boit un dernier verre en ville. Sa petite amie ne doit probablement pas être si ravissante que ça...— Ah ! Les jeunes mecs, je te jure... Tu veux venir t’abriter à la maison, le temps qu’il rentre ? lui demanda gentiment le voisin. J’organise une petite soirée avec des amis profs pour fêter la réussite de nos petites têtes blondes. Emma hésita une fraction de seconde. L’enseignant n’était qu’une connaissance. Ce n’était peut-être pas très prudent de le suivre en pleine nuit ? De plus, qu’allaient penser ses invités en la voyant ainsi vêtue ? Voyant son hésitation sur son visage, Jean-Charles lui adressa son sourire le plus encourageant et amical. Ses peurs se dissipèrent. En confiance et se sentant en sécurité, elle accepta l’offre du voisin. La jeune majeure était alors loin de se douter que cette décision allait la faire basculer plus vite que prévu dans le monde des adultes.
En pénétrant dans la maison, Emma écarquilla ses yeux de biche. Elle venait de tomber sur un spectacle qu’elle n’aurait jamais pu imaginer observer durant sa vie. Devant elle se trouvait son CPE, ivre, des épingles à linge sur le visage. Hilare, il comptait une série de pompes. Pompes qu’effectuait torse nu son professeur d’EPS, M. Bastien. La jeune femme rougit instantanément, surtout dès que son regard effleura innocemment les abdominaux saillants et en sueurs de l’homme. — Tu sembles surprise ? Eh oui, les professeurs fêtent aussi le bac et le résultat de leurs élèves, expliqua Jean-Charles en se grattant la tête, visiblement un peu gêné par le spectacle que ses comparses offraient à son invité. Bon, je t’avoue que la soirée a un peu dérapé et que les copains se donnent des gages par rapport à la réussite de leurs élèves. Tu veux boire quelque chose ? Jean-Charles lui indiqua le canapé, elle s’y rendit, ses talons claquant sur le sol. Les deux autres hommes s’aperçurent alors de sa présence et tous les regards se braquèrent sur elle. Rouge comme une pivoine et timide, elle se dépêcha de s’y engouffrer maladroitement. En arrivant, sa robe un peu trop courte remonta un peu trop, offrant sa lingerie à la vue de tous. Heureusement, aucun des enseignants ne sembla y prêter attention, trop concentré sur la série de pompes de M. Bastien qui venait de reprendre avec une facilité déconcertante. Dire qu’au bout d’une pompe, Emma haletait et beuglait déjà comme une grosse et vieille vache, malgré sa ligne svelte. — Tiens ! Un verre de rouge de ma cave, et félicitation pour ton bac Emma ! Son hôte venait de lui tendre un verre en souriant. Quelques secondes plus tard, les deux autres vinrent les rejoindre pour trinquer, et M. Bastien en profita pour s’asseoir à côté de son ancienne élève. Emma rougit de nouveau, il était là à quelques centimètres d’elle, la touchant presque. Elle défaillit en observant de près ses abdominaux en béton, et une odeur de sueur et de muscs pas désagréable envahit ses narines. Elle avait besoin d’air, Dieu seul savait, le nombre de fois où avec ses amies, Emma avait roucoulé sur leur professeur et fantasmait sur ses fameux abdominaux... Pour se donner une consistance et reprendre ses esprits, elle vida son verre d’un coup sec et toussa. Ridicule, la future étudiante accepta un autre verre sous les rires admiratifs des trois hommes. Assise à boire entre son professeur et son conseiller principal d’éducation, Emma était tellement troublée par la situation insolite qu’elle ne se rendait plus compte que ses mains ne retenaient plus sa robe et que sa lingerie s’offrait de nouveau à la vue de tous. Rapidement, la jeune femme se mit à boire et à rire avec ses professeurs. Finalement, ils étaient loin de l’image sévère et sérieuse qu’elle se faisait d’eux au lycée, ils étaient même plutôt sympathiques, décontractés et avenants. Prise par l’ambiance chaleureuse, elle en oubliait complètement Mathéo et son lapin. — Vodka ! cria soudain le CPE en remontant du sous-sol avec une bouteille translucide à la main. Allez ! On reprend les gages. — Les gages ! Les gages ! crièrent tous les convives, même Emma, un peu trop à l’aise ou ivre, c’était au choix. — Premier gage, annonça Jean-Charles, tel un maître de cérémonie. Féliciter Emma pour son bac et sa mention. Aussitôt, les deux autres professeurs déposèrent une bise sur les joues de la jeune fille pour la féliciter puis lui offrirent chacun un shooter de vodka. Les lèvres et les poils des barbes finement taillés des deux hommes firent un peu trop d’effet à la jeune fille qui en frissonna. Sans compter qu’elle avait pu fugacement sentir les abdominaux contre son corps. Emma avait de plus en plus chaud, mais se mit à rire à gorge déployée avec les autres. Les gages s’enchaînèrent plusieurs minutes dans la bonne humeur, M. Bastien perdant au passage de plus en plus de vêtements... au grand bonheur des yeux de la lycéenne. — Gage pour Emma, dit Aymeric, le CPE, entre deux verres. Je pense qu’il est temps qu’elle nous présente les résultats de ces trois années d’EPS au lycée. Je propose qu’elle réalise une démonstration de danse sportive pour son professeur. Et attention, nous serons juges, si la petite n’a pas une note valant la mention, son cher professeur d’EPS devra faire une centaine de pompes, après tout, c’était son travail de lui apprendre à se servir de son corps. Emma se leva à toute vitesse, et faillit tomber sous l’effet de l’alcool présent dans tous les pores de son corps combiné à l’action de ses talons un peu trop hauts pour elle. Debout, elle resta interdite quelques secondes, elle ne voulait pas décevoir son professeur et elle avait toujours craint les mauvaises notes... La jeune femme prit le gage un peu trop au sérieux, un peu trop chauffée et dans l’ambiance, elle se mit à twerker devant son professeur. Petit à petit, elle rapprochait un peu trop ses fesses de l’homme qui ne distinguait maintenant que trop bien les formes de son string... La raison aurait dit que c’était le moment de tout stopper, avant d’aller trop loin, mais la raison semblait disparue de cette maison. Les hommes profitaient du spectacle, ils sifflaient, applaudissaient, et Emma se sentait heureuse d’être le centre de l’attention. Le regard carnassier des hommes sur elle la rendait chèvre, et une boule de désir se formait en elle à mesure qu’elle dansait et se faisait reluquer, elle se sentait désirable et pour la première fois avait l’impression d’être regardée comme une femme. Jamais des hommes n’avaient posé un tel regard sur elle. Dans un élan de folie, Emma fit tomber sa robe sur le sol sous le regard incrédule et libidineux des hommes. Tout aussi surpris qu’excités par ce qu’il se passait sous leurs yeux. En légère tenue de combat, Emma fit également tomber son soutien-gorge sur le sol tout en dansant pour offrir son petit 90B à la vue de tous. Prise d’un deuxième coup de folie, elle monta à califourchon sur son ancien professeur de sport et plongea son décolleté dans le nez de celui-ci et avec plaisir constata qu’une magnifique érection venait d’apparaître contre sa cuisse. N’y tenant plus, elle déposa ses petites mains sur les abdominaux, puis entre deux mouvements de hanches sensuelles, descendit la langue, pour goûter les muscles et la magnifique odeur salée de la sueur de M. Bastien... La soirée venait officiellement de déraper, et là, l’ex-lycéenne, tel le chaperon rouge venait de s’offrir aux loups.
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