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La fête de fin d'année

Chapitre 1

Gay
Je déteste les fêtes de famille, il y a toujours trop de monde, particulièrement dans ma famille beaucoup trop nombreuse. Je préfère les petites réunions de famille où l’on a le temps de se voir et de jaser. Les fêtes de fin d’année sont malheureusement un passage obligé des partys familial. La fête battait son plein, la nourriture ne cessait plus de sortir et nous continuions à manger au-delà de notre faim. L’alcool aussi coulait généreusement. Durant la soirée, l’estomac plein et les sens embrouillés, je me glissai en douce à l’extérieure, question de prendre un peu d’air froid. Lorsque j’arrivai sur le trottoir, je vis que je n’étais pas le seul à avoir eu cette idée. J’étais déçu, car j’avais espéré un moment de solitude.
Le conjoint de mon cousin était lui aussi sorti dans le même but que moi, soit prendre l’air et se reposer un peu. Par politesse, je me dirigeais vers lui et entrepris la conversation. Je le connaissais très peu et les sujets de conversation vinrent à manquer assez vite. Nous n’avions non plus pas grand-chose en commun, je suis dans la trentaine, il est dans la cinquantaine. Un grand mince adepte du vélo très en forme, en fait beaucoup plus que moi. Il a beaucoup voyagé et fait du vélo partout à travers le monde. Il commença à me parler de son dernier voyage à San Francisco. Il me raconta tous les détails, les endroits qu’il avait visités, le paysage des parcs et celui de la ville.
La discussion était intéressante, si bien que je ne vis pas le temps passer, et j’en avais oublié le froid de l’hiver. Mais la morsure du froid eut vite fait de nous rattraper. Il me proposa alors de rentrer à l’intérieur et de me montrer ses photos. Ce que j’acceptai avec grand plaisir. Une fois à l’intérieur, il se dirigea vers la cuisine, échangea quelques mots avec son chum, mon cousin. Il prit deux coupes et une bouteille de vin et nous montâmes à l’étage dans le petit bureau. Il remplit les coupes de vin et m’en offrit une. Il ouvrit l’ordinateur et commença à faire défiler les images en les accompagnant d’anecdotes. Je savourai mon vin tout en appréciant la chaleur de l’alcool qui réchauffait mon corps gelé. J’ai dû boire mon vin trop vite, car bientôt, j’eus chaud et mes joues étaient rouges et chaudes. L’esprit embrouillé, j’avais de la misère à suivre son récit, alors que lui semblait encore en parfait contrôle.
Une photo capta mon attention, mais il la fit défiler très vite, donc je n’eus pas le temps de bien voir de quoi il pouvait s’agir. Je lui demandai de revenir en arrière sur la photo. C’était une photo de lui sur la plage en maillot de bain, fort probablement désinhibé par l’alcool, je ne pus m’empêcher de passer un commentaire :
— WOW ! C’est que tu es encore pas mal bien sexy pour ton âge.
Il rit de ma boutade et joua le gars frustré en me disant qu’il n’était pas si vieux que ça. Si cela m’était possible, je rougis encore plus, bredouillant que ce n’est pas ce que j’avais voulu dire. Je prétextai devoir aller à la toilette, et m’éclipsa dans la salle de bain adjacente au bureau. Je profitai de mon passage à la salle de bain pour me passer un peu d’eau froide au visage. Lorsque je retournai au bureau, il était assis face à l’ordinateur, je n’arrivais pas à voir ce qu’il faisait. Je toussai un petit coup pour signaler ma présence et il tourna sa chaise vers moi. Sur l’écran de l’ordi jouait une vidéo porno, il me regarda avec un sourire en coin, sa braguette ouverte et tenait en sa main une belle queue bien circoncise de sûrement près de 8 pouces. Je figeai sur place, ne sachant plus trop ce que je devais faire ; partir ou continuer de fixer sa verge bien en érection. Il me dit :
— Moi, le vin, ça me donne toujours envie de me crosser. J’en pouvais plus d’attendre.
Je bredouillai un OK et lui dis que j’allais le laisser finir tranquille.
— Tu n’es pas obligé de partir, viens t’asseoir.
Je me retournai pour fermer la porte du bureau, mais il me dit de la laisser ouverte, car il trouvait ça plus excitant. De sa main libre, il saisit la bouteille de vin et remplit de nouveau nos coupes et me tendit ma coupe. Je retournai m’asseoir sur ma chaise en prenant une grosse gorgée de vin. Il reporta son attention sur la vidéo qui jouait toujours.
— As-tu vu le gars ? Comme il est bien musclé et que ses fesses sont belles. Regarde ma queue, ne trouves-tu pas qu’elle a l’air aussi grosse que la sienne ? Il se leva, touche mon cul, voir si le mien est aussi ferme que le sien.
Je déposai le bout des doigts par-dessus son pantalon pour sentir son cul, il me semblait bien dur. Il prit ma main et la glissa sous son pantalon, directement sur son cul.
— Non, je veux que tu y touches pour de vrai.

Je palpais directement son cul et je lui répondis qu’il était bien ferme et doux, sûrement encore mieux que le gars du vidéo. Satisfait de ma réponse, il se rassit sur sa chaise et regarda la vidéo tout en se caressant le pénis gonflé. Je voyais son gland perler, et il continuait de se caresser sans trop se soucier de moi. Mon malaise grandissait au même niveau que mon érection, mais jamais je n’oserais faire la même chose que lui, donc ma queue continuait à prendre toute la place dans mon jeans. Il ramassa du bout de son doigt le precum qui lui perlait le bout, et le porta a ses lèvres et se délecta se son propre jus.
— Que je suis mauvais hôte, je ne t’ai rien offert à boire.
Je portai ma coupe à mes lèvres pour lui signifier que j’avais de quoi boire, mais je compris bien vite qu’il ne parlait pas de vin. Il ramassa une autre généreuse portion de précum et porta ensuite son doigt à mes lèvres. Je refermai ma bouche autour de son doigt et le suçai, goûtant le délicieux liquide de mon hôte. À ce moment précis, j’entendis des pas monter les escaliers, j’éloignai aussitôt ma chaise de lui, et vis la tête de mon cousin passer par la porte. Je craignis que bientôt, la colère de mon cousin éclate, mais il n’en fut rien. La vidéo porno avait été remplacée par les photos, mon hôte avait avancé sa chaise de sorte que seulement moi pouvait voir la formidable érection, et il avait repris bêtement ses anecdotes comme si de rien n’était. Moi, je regardai mon cousin tout en ayant le goût de son chum dans ma bouche. J’avalai le reste de ma coupe comme pour faire disparaître les dernières preuves de la perversion de mon hôte.
— On se part une tablée de cartes, vous venez jouer ?— On allait regarder les photos de San Diego, répondit mon hôte en se tournant vers moi et me dit, tu as envie d’aller jouer aux cartes ?
Voyant mal comment mon hôte pourrait se lever sans que mon cousin ne voit son pénis qu’il devait déjà connaître par cœur, je répondis que j’aimais bien regarder les photos, et que de toute façon, moi les cartes, je n’aime pas. C’est avec soulagement que je vis mon cousin repartir et que je l’entendis redescendre rejoindre la famille. Croyant que cet événement avait sûrement dû refroidir les ardeurs de mon hôte, je fus surpris qu’il est reparti la vidéo et semblait encore plus bander qu’avant. Il semblait encore plus excité qu’au début et sa queue était encore plus humide et coulante.
— Je ne pourrai pas tout te porter, ce jus à la bouche, il agrippa ma tête qu’il dirigea vers son membre, vient boire direct à la source.
J’approchai volontiers ma bouche vers sa verge, lichai le bout de son gland pour le goûter, mais avant de faire plus, je suggérai d’aller d’abord fermer la porte.
— Tu touches pas à la porte et tu la laisses ouverte, me répondit mon hôte, au lieu de dire n’importe quoi, utilise donc ta bouche pour de quoi de plus utile.
En disant cela, il m’enfonça son gros 8 pouces au plus profond de ma bouche. La raideur avec laquelle son organe s’enfonça dans ma bouche me donna aussitôt une nausée, mais il me tenait avec tant de fermeté que je ne pus faire un mouvement pour la retirer. J’étouffais et je sentais le fond de ma gorge se remplir de son jus. Tout en maintenant ma tête, il accomplit un mouvement de va-et-vient dans ma bouche, me permettant ainsi de respirer entre les coups.
— T’as fini de paresser ? Je ne vais pas me taper tout l’ouvrage, faudrait que tu suces, allez, suce ma grosse queue.
Un peu surpris par la raideur de son ton, lui qui était habituellement si calme, je resserrai ma bouche sur son membre et commençai à la sucer. Il poussa aussitôt un fort gémissement de jouissance. J’allai retirer sa queue de ma bouche pour lui faire remarquer d’être plus discret pour éviter d’attirer l’attention, mais il retenait ma tête si fort que j’ai dû continuer à le sucer de plus belle, tout en espérant ne pas être entendu. Il contrôla le jeu de la pipe pendant ce qui me parut une éternité, j’étais surpris qu’il ne soit pas encore venu. J’aurais joui depuis longtemps à sa place, et je m’attendais à tout moment de le sentir décharger dans ma bouche. Mais il demeurait en plein contrôle de son fluide. Lorsqu’il se retira de ma bouche, je crus qu’il allait m’exploser au visage, et je me préparai à recevoir son sperme, sa queue était pleine de ma salive. Il détacha son pantalon qu’il descendit aussitôt.
— J’aimerais que ton cousin soit un aussi bon suceur que toi. Maintenant, je veux voir de quoi tu es capable avec un cul.
Il se retourna aussitôt et se penchait vers l’avant, m’offrant généreusement son cul. Je tendis d’abord l’oreille quelques instants pour m’assurer que personne ne venait et je m’enfouis le visage entre ses deux belles miches bien fermes. Je commençai à lui licher doucement les fesses en me dirigeant vers son anus bien rose. J’avais la bouche pleine de salive, donc je n’eus pas de misère à le mouiller, et à chaque passage sur son trou, j’appuyais de plus en plus fort avec ma langue afin de bien humidifier le tout. Je m’étirai aussi de temps à autre pour le lécher du trou jusqu’à ses belles couilles sans poils. J’agrippai ses deux fesses et les ouvris le plus possible pour bien exposer son trou que je continuai de le travailler de ma langue. Lorsque ma langue réussit à se glisser à l’intérieur, j’y approchai mon doigt et le fis entrer doucement en lui. Au passage de mon doigt, je sentis son anus se contracter avant de complètement se relâcher.
Je pus rapidement exercer un mouvement de va-et-vient dans son trou.
Lorsque je le sentis détendu, j’y glissai un autre, non sans d’abord lui avoir craché entre les fesses pour que mon deuxième doigt le pénètre sans difficulté.
— J’aime ça quand tu te rentres les doigts dans mon cul. Regarde comme ma queue coule chaque fois que tes doigts me fourrent.
Il semblait apprécier que je le pénètre avec mes doigts. Je faisais des mouvements de va-et-vient et sentais son anus se contracter sur mes doigts. Pendant que je le fourrais, il agrippa sa queue et se masturbait en même temps au rythme de mes doigts. Je lui crachais dans le cul pour garder son trou bien humide. Il me laissa beaucoup de temps pour explorer son cul, il appréciait vraiment la sensation. D’un coup, il se retourna et je crus que c’était le moment où il allait me mettre son sperme à la figure. À ma grande surprise, il n’en fit rien. Il retira complètement son pantalon et m’agrippa la fourche de pantalon et commença à caresser ma queue par-dessus le pantalon. Il se pencha à mon oreille et me dit tout bas :
— Ta queue est dure comme le roc et prête à remplacer tes doigts dans mon cul. Libère ta queue et viens me fourrer.
Pendant que je baissai mon pantalon, il sortit dans le passage, complètement nu, sa queue bien dure pointait vers le haut et se rendit à la salle de bain. Il revint aussi vite devant la porte du bureau, et sans entrer, il me lança un condom qu’il avait été chercher dans la salle de bain.
— Enfile ça et vient me fourrer le cul.
Je mis le condom sur mon membre raide et vu qu’il n’entrait pas dans le bureau, je me rendis devant la porte et vis qu’il était penché vers l’avant, appuyé contre la rampe, m’offrant son cul. Il voulait que je le prenne en plein passage, au-devant de l’escalier, où on pourrait nous surprendre et nous entendre. J’hésitais à le suivre jusque-là. Il sentit mon hésitation et me fit signe de venir. De son autre main, il s’enfonçait un doigt, le cul pour garder le passage bien ouvert. Je sortis le rejoindre et lui demandai s’il voulait qu’on utilise du lubrifiant, puis que la grosseur de ma queue est plus grosse qu’un doigt. Il se cracha dans la main et alla s’humecter le cul.
— Arrête de poser des questions et vient me piner dès maintenant.
Je jetai un rapide coup d’œil vers l’escalier pour m’assurer que personne ne venait, et je glissai mon membre dans son cul serré, mais bien lubrifié. Lorsque ma queue fut complètement en lui, je l’entendis étouffer un cri et il me supplia de m’activer et de lui ramoner le cul. Je commençai un léger mouvement de va-et-vient tout en essayant de demeurer silencieux aussi. La chaleur et l’étroitesse de son cul donnaient à ma queue des sensations divines.
Je pénétrai ce charmant cul bien gourmand tout en étant à proximité du reste de la famille. On pouvait entendre leurs conversations, on les sentait tout juste à côté de nous. Si nous pouvions facilement les entendre, eux aussi auraient pu nous entendre. C’est pourquoi nous retenions tous deux nos soupirs et essayons de demeurer silencieux. Cette situation accentua mon excitation si bien que je ne pus le pénétrer très longtemps, car bientôt je sentis le condom se remplir de la chaleur de mon sperme. Jouir en silence était une torture. Je retirai ma queue de son cul. J’avais la queue encore dure et du sperme partout. Il alla à la salle de bain me chercher une serviette. Je ne remarquai pas qu’il n’avait pas pris qu’une serviette et que sa queue avait revêtu une capote.
Pendant que je m’essuyais, il s’appuya derrière moi et je sentis son érection entre mes fesses.
— Maintenant que tu as eu ton plaisir dans mon cul, c’est mon tour de te mettre ma bite au cul.
Je sentis son gland s’appuyer fortement contre mon trou. N’ayant pas d’abord été lubrifiée, je redoutais un peu la sensation que j’allais ressentir. Mais il prit la peine de me cracher entre les fesses avant d’enfoncer son énorme bite au cul. La douleur et le plaisir que je ressentis lorsqu’il me fourra furent si intenses que je ne pus retenir un cri.
Mon cri fut entendu par le reste de la famille, alors bientôt, on entendit la voix de mon cousin au pied de l’escalier, demandant si tout allait bien. Sans cesser son mouvement de va-et-vient, le chum de mon cousin lui répondit que tout était correct, qu’il avait seulement failli tomber. Alors que j’avais toujours sa grosse queue qui continuait de me labourer le cul, lui avait répondu d’une voix calme et en parfait contrôle. J’eus peur que mon cousin décide de monter, mais je l’entendis s’éloigner.
Il a continué à me fourrer le cul comme je ne l’avais jamais été, c’était si agréable que j’éjaculai partout, mon sperme revola au sol et sur le mur. La grosse queue qui m’enculait si bien se retira, et il me fit face en fourrant sa queue dans le fond de ma gorge.
— Petit salaud, tu en as mis partout. Tu as intérêt à ne rien laisser couler de ma queue, sinon tu vas devoir tout licher pour nettoyer.
À peine eut-il le temps de finir sa phrase que je sentis de puissants jets de sperme chaud dans le fond de ma gorge. J’eus l’impression de sentir 5 ou même 6 jets. J’avais la bouche pleine d’une quantité incroyable de son sperme. Comme j’eus peur qu’il mette sa menace à exécution et que je doive licher mon sperme partout, je ne laissai aucune goutte couler et avalai sa douce semence.
Il m’embrassa passionnément sur la bouche, explorant ma bouche de sa langue comme s’il s’assurait que plus rien ne reste. Nous nous sommes nettoyés et nous sommes assuré que rien ne trahissait la baise torride qu’on le venait d’avoir. Je cachai les deux condoms dans un mouchoir et le mis dans ma poche afin de le jeter ailleurs que chez lui. Rien ne devait paraître de nos chauds ébats. C’est avec une légère douleur au cul, les vêtements froissés que je retournai auprès de ma famille qui était toujours en train de s’affronter aux cartes. Je bus une dernière coupe de vin et quittai la fête presque aussitôt. Je ne voulais pas que l’on devine mon trouble et surtout je me sentais honteux face à mon cousin.
Je n’eus plus de nouvelles de mon cousin et de son chum pour un mois ou deux. Mais un soir, je reçus un message texte : « Séances de visionnement de photos ce samedi, on a du bon vin et surtout viens seul... ton cousin. »
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