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On va fêter nos retrouvailles

Chapitre 2

Contre-soirée

Hétéro
Après avoir remonté le courant au milieu de ses étudiants fêtards, nous quittons l’appartement pour nous retrouver dans celui de Margaux juste à côté. À l’intérieur, on distingue parfaitement la musique, mais on s’entend parler. Je m’assois sur son lit face à Margaux qui reste debout.
— Tu disais ?— En fait je… Je pense à toi depuis la fin de la colo ?— Tu penses à moi ?— Oui, je… je crois que je suis amoureuse de toi. Attends, ne dis rien, laisse-moi t’expliquer, dit-elle en paniquant. Pendant la colo avec les filles on rigolait en disant qu’on te trouvait beau et que c’était dommage que tu sois anim et qu’on puisse pas sortir avec toi. Les mecs de notre âge ne nous intéressaient pas de toute façon. Et puis à la fin de la colo je pensais qu’on oublierait tout ça, mais tu revenais tout le temps dans mon esprit. Plusieurs mecs de ma promo à l’université ont voulu sortir avec moi et je les ai toujours repoussés parce qu’au fond de moi c’était toi que j’aimais. En tout cas l’image de toi à la colo. Et là en arrivant à Toulouse c’était l’occasion rêvée de te revoir. Et je te trouve toujours aussi beau et je suis toujours amoureuse de toi. Et là je continue à parler et à monopoliser la parole parce que j’ai peur que tu répondes et que la réponse ne me plaise pas. Et en même temps j’ai pas encore vraiment posé ma question, mais je pense que tu as deviné, et j’espère que c’est pas trop bizarre, mais est-ce que tu veux sortir avec moi ?
Je laisse Margaux reprendre son souffle et ses esprits avant de répondre. Elle a les joues toute rouges, et je n’arrive pas à savoir si c’est l’alcool, la timidité ou l’essoufflement. Je prends aussi le temps de cogiter sur ce qui vient d’arriver. Je suis indécis mais je sais que je vais devoir répondre vite pour éviter un silence interminable et gênant depuis la fin de sa tirade. Dans ma tête tous les neurones sont sur le pont pour peser le pour et le contre et pour m’aider à prendre une décision.
À la fois les choses vont vite, on vient à peine de se retrouver, et je ne sais pas encore si je l’aime aussi. D’un autre côté, les bons souvenirs avec Margaux en colo me reviennent, et je me rappelle d’une jeune très chouette avec qui je m’entendais bien, dans un tout autre type de relation.
Et puis je ne peux pas m’empêcher de penser qu’elle est devenue très belle. Elle était déjà très mignonne quand elle était jeune, mais là mon cerveau est parasité par mon sexe qui tente de faire pencher la balance. Mes yeux, complices de mon entre-jambe, parcourent les lignes du corps de Margaux. Elle a des petits seins ronds qu’on distingue difficilement sous sa tenue de soirée, et des hanches qui ont l’air faites pour qu’on s’y agrippe. Je commence à avoir des images dans mon cerveau de Margaux nue et de ma bite qui coulisse entre ses mains ou entre ses fesses.
J’entends alors une sonnette d’alarme interne. "Mais Jo, c’est ta jeune tu n’as pas le droit de sortir avec une jeune." "Oui mais elle est adulte maintenant. Et c’est elle qui propose. Ce n’est plus du détournement de mineure." Les deux petits anges débattent sur mes épaules. J’ai un peu peur de la réaction que pourraient avoir mes amis avec qui j’avais animé cette colo. Je suis encore indécis, mais la décence voudrait que je réponde maintenant :
— Oui si tu veux.
Je vois son visage se détendre et ses yeux pétiller de surprise et d’amour.
— Je peux t’embrasser ?— Oui.
Elle approche ses mains de mon cou et se penche pour que ses lèvres viennent se poser sur les miennes. Après quelques doux contacts entre nos lèvres, ce sont nos langues qui entrent dans la danse. Nos haleines ont le goût d’alcool. Ce n’est pas super agréable au début, mais je m’habitue et j’oublie un peu le plaisir me montant à la tête.D’un seul coup, Margaux s’agenouille devant moi et défait la braguette de mon pantalon.
— Oula ça va vite dis-donc.— J’en rêve depuis trop longtemps ! Et j’ai passé mon aprèm à imaginer ce moment !
Sans caresses préliminaires, mon sexe se retrouve entre les lèvres de Margaux. Je ne peux pas cacher mon plaisir. Margaux dévore ma bite comme si sa vie en dépendait. J’espère qu’elle n’est pas trop sous l’emprise de l’alcool et qu’elle est consciente de ce qu’elle fait. À nouveau mon sexe envoi des messages à mon cerveau. "Arrête de réfléchir, laisse-toi faire. Elle est à toi ce soir !"J’attrape Margaux par les cheveux pour guider ses mouvements. C’est si bon de se faire sucer par une si jolie fille. Et puis c’est excitant de la baiser ce soir alors qu’on s’est à peine retrouvés il y a quelques heures. Elle a été efficace dans son plan !Margaux joue avec sa langue autour de mon gland. Elle le léchouille, l’aspire, avant de lécher mes testicules puis remonter le long de mon sexe, et recommencer. Elle me disait tout à l’heure avoir refusé les avances de ses prétendants, mais elle paraît experte dans ce domaine.
— Margaux je vais jouir.— Déjà ? dit-elle, en reprenant son souffle un instant.— Désolé c’est trop excitant.— Bon tu viens maintenant mais après je veux te faire l’amour.
Elle plonge à nouveau sa bouche sur mon gland. Elle l’aspire tellement fort que j’ai l’impression qu’elle cherche à me faire venir rapidement. C’est quand elle enfonce mon gland plus profondément dans sa bouche que la première décharge survient. Je vois à ses yeux qui s’ouvrent en grand qu’elle est surprise par ce qui lui arrive, mais elle continue à me branler et à me sucer jusqu’à la fin de mon orgasme. Je crois distinguer une légère grimace de dégoût quand elle avale.
— C’était trop bon. Comment tu sais sucer aussi bien ?— Je t’ai dit que je n’avais pas eu de copain mais je ne t’ai pas dit que je n’avais pas eu de partenaires.— La nuance est subtile, j’avoue.— Tu veux me déshabiller ?
La proposition est alléchante. Toujours assis sur son lit, et la bite à l’air, j’admire Margaux qui s’est redressée et qui n’attend plus que je la déballe comme on ouvre un cadeau de Noël. Elle tourne sur elle-même pour me laisser choisir mon angle d’attaque.
Je commence par la déshabiller du regard. Mes yeux glissent sur les courbes de son petit corps. Elle a les reins légèrement creusés, des petites fesses rondes moulées par son legging noir, et un t-shirt ample qui laisse tout de même poindre deux petits tétons. Je stoppe Margaux dans ses rondes. Elle est face à moi et je fais glisser mes mains le long de ses hanches. Je soulève doucement son t-shirt pour laisser apparaître son nombril. Elle a le ventre si plat, si lisse. Je ne peux m’empêcher de me pencher légèrement pour déposer un bisou sur sa peau toute douce. Mes mains continuent de remonter le long de ses côtes. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Se dévoilent à mes yeux ses deux petits seins ronds et ses tétons pointus. D’elle-même elle se penche en avant pour venir déposer ses seins contre mes lèvres. Je les embrasse un par un en les saisissant à pleine main.
Pendant que je suis occupé à jouer avec ma langue sur ses tétons tout durs, Margaux finit de retirer son haut et le jette par terre derrière elle.Elle se penche ensuite pour venir m’embrasser. Elle a les lèvres toutes douces. Nos langues se touchent puis s’enroulent. Le goût de mon sperme a remplacé celui de la bière. Nos bouches restent liées une bonne minute alors que ses mains parcourent mon cou et mes épaules et que les miennes passent de ses seins à ses hanches.
Nos lèvres tout juste séparées, je m’attaque à ce qui lui reste de vêtements. Mes doigts glissent le long de ses cuisses en tirant vers le bas son legging. Elle m’aide à le retire en se tortillant. Je suis d’abord surpris de découvrir un petit string qui recouvre le peu qui lui reste d’intimité. Et je me rappelle que Margaux manigance cette soirée depuis cet après-midi, et que le choix des sous-vêtements a dû être bien mûri. Je dépose un bisou du bout des lèvres sur ce petit triangle de tissu avant de le retirer également et lui faire rejoindre le tas de vêtements de Margaux derrière elle.
La voilà entièrement nue face à moi, encore plus belle que j’aurai pu me l’imaginer. Je ne peux décoller les yeux de son corps. Je suis indécis entre rester fixé sur ses deux petits seins qui pointent et ne demandent qu’à être dévorés, sur sa chatte fraichement épilée, probablement un peu plus tôt cet après-midi, ce ventre plat qui attire mes mains, ou ses fesses que je n’ai pas encore pu admirer sans tissu protecteur. Je la fais tourner sur elle-même. Je tombe immédiatement amoureux de ce petit cul. Je plonge mon nez dans sa raie pour m’ébrouer le visage puis lui embrasse les deux fesses avant de me relever et de l’allonger sur son lit.
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