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Fêtes chez les Valois

Chapitre 2

Château de Chenonceau

Hétéro
Clarmant, le 11 juin 1577
Cher Baron de Hautchateau,
Je vous écris cette lettre le cœur plein de honte. Vous m’avez demandé de l’aide et j’ai accouru comme il se devait entre amis. Mais en tant qu’ami, j’ai trahi votre confiance et j’en suis navré. J’aimerais me racheter mais je crains que votre amour pour ma personne ne soit à jamais éteint.
Je suis arrivé le jour-même de cette fête organisée par Catherine de Médicis, la mère du roi Henri. Quelle magnificence que c’est cette galerie au-dessus du Cher ! J’en ai été ébloui par sa grandeur et par le faste qui régnait dans cette salle immense. Toute la splendeur des lumières des mille torches, des tables et des mets était grandiose. Je vous ai aperçu à l’autre bout de la galerie et nous nous sommes fait un signe. J’aurais voulu approcher mais le roi est arrivé.
Je parlais d’éblouissant et de grandiose, la vue du roi l’a été tout autant ! Des cheveux poudrés de violet et parsemés de nombreuses perles, un visage maquillé avec une épaisse couche de fard et le roi portant cette robe de damas arborant des centaines de perles, d’émeraudes et de bijoux. Quelle entrée ! Rien qu’avec cette tenue, l’objectif de la Reine-Mère était en partie raté. Mais la soirée pouvait encore changer cela.
Aux côtés du roi Henri se tenait la reine Louise habillée comme une simple bergère. Sa beauté n’en resplendissait pas moins, à mon avis. Derrière eux, Catherine de Médicis est arrivée dans ses habits perpétuellement noirs. Je suppose qu’elle portera tout le reste de sa vie le deuil de son époux mort il y a dix-huit ans, si mon compte d’années est le bon.
Malgré leur arrivée, j’aurais pu venir vous rejoindre et m’enquérir de votre besoin d’aide. Mais... Tout a été éclipsé d’un coup ! Cette soixantaine de dames de la cour qui est apparu simplement voilée de transparence et les cheveux libres pour faire le service a subjugué la plupart des convives. J’ai même vu certaines d’entre elles être plus décolleté que cela. Telle Madame de Sauve, dénudée jusqu’à la taille, ou votre amie Madame de Pompagne qui n’en était pas loin.
Et toutes ces gentes et honnêtes dames semblaient s’être fait donner pour ordre de mettre en avant ces poitrines et autres parties pectorales en continuel mouvement. Ces bonnes dames et demoiselles faisaient aller par compas ou balancement d’horloge ou, pour mieux dire, comme les soufflets de maréchaux qui allument le feu pour servir à la forge.
Nombre de feux se sont allumés dans les yeux des convives. J’étais trop loin du roi pour en être sûr mais, s’il a semblé s’amuser, il ne m’est pas apparu qu’il ait cédé à cette atmosphère licencieuse, loin de la. Vous étiez plus proche de lui et de la reine, vous en avez peut-être une autre image. Mais parmi tous ces feux, il y en a un qui a été un véritable incendie, un brasier ardent, le feu de mille forges. C’était le mien.
Car parmi toutes ces belles dames, il en était une qui les dépassait toutes en beauté, en élégance et en sensualité. Ses cheveux blond vénitien tombaient en cascade dorée sur ses épaules nues. Sa peau blanche, telle l’ivoire la plus délicat, était finement réhaussée d’une teinte rose. Sans fard ni maquillage, son visage harmonieux avait les joues de ce même rose irisé et ses yeux clairs brillaient comme deux diamants. Sa bouche aux lèvres rouges attirait le regard et m’a donné l’envie de l’embrasser dans l’instant. Son corsage était ouvert largement mais ne montrait ses seins blancs que par intermittence, faisant de ces instants une torture tant ils étaient fugaces.
J’ai reconnu immédiatement cette jeune dame qui était habillée en damoiseau lors de la fête du Plessis. Malgré les habits d’homme, la fausse barbe et les cheveux cachés sous le bonnet qu’elle avait à ce moment-là, je n’ai eu aucun mal à reconnaitre ses traits parfaits et son regard acier. J’ai honte de moi car dès qu’elle m’est apparu, j’ai oublié tout autre impératif. J’ai oublié le roi et la reine, les convives. Surtout, de façon impardonnable, j’ai oublié la raison de ma présence en ce lieu. J’ai trahi votre confiance et votre espérance en moi, mon ami. Je n’ose croire que vous me considériez encore ainsi.
Vous aviez placé votre confiance en moi pour garder intact votre protégée mais je n’ai pu m’en acquitter comme j’aurais dû le faire. Pardonnez-moi, mon maître. Votre filleule ne peut plus espérer faire un mariage digne de son rang par ma faute. Je ne suis point digne de faire cette demande mais je cherche à me faire pardonner et à réparer ma faute. Monsieur le Baron de Hautchateau, permettez-moi d’épouser votre filleule, la Princesse Jehanne de Grandlieu, afin de réparer ma faute.
Votre dévoué serviteur
Comte Armand de la Tour de Garde

* * *


Paris, le 15 juin 1577,
Cher Comte de la Tour de Garde, mon ami,
Oui, vous gardez mon amitié et bien plus encore. Ne vous inquiétez pas pour votre honneur, il est sauf comme celui de Jehanne. Elle est venue me voir le lendemain matin pour m’avouer qu’elle avait commis une faute impardonnable. J’ai d’abord été meurtri et en colère puis j’ai compris qu’elle avait cédé non à la force ou la menace mais à la passion et à l’amour. Mon cœur, fort peu guerrier quand il s’agît de ces choses, m’a fait calmer ma colère et ma déception.
Vous souhaitez épouser la Princesse Jehanne de Grandlieu ? Vous n’êtes que Comte, ce n’est pas possible pour une dame de son rang. Mais vous êtes un homme de haute valeur et de grand honneur. Je ne pourrais rêver meilleur mariage pour ma protégée, mon enfant pour ainsi dire. Vos terres et vos valeurs font de vous un noble riche et puissant. Ce qu’apporterait Jehanne ferait de vous pratiquement un pair du royaume. Cela serait un atout pour celui-ci d’avoir en son sein une telle valeur d’âme si bien née et si bien mise en pratique. Il ne suffit pas d’avoir belle lignée pour me satisfaire, je préfère côtoyer de nobles chevaliers ou de valeureux barons que de hauts princes peureux et corrompus.
Vous avez toutes choses pour gagner les batailles et négocier les paix, ce qui n’est pas donné à tous. En ces temps difficiles, je crois que cela est indispensable à la prospérité du royaume. J’ai donc demandé au roi de vous élever au rang de duc, vous serez alors à même de prendre Jehanne pour épouse. Il m’avait promis un privilège que je vous donne en toute affection. Mon cœur se réjouit d’avance de cette union. Alors soyez heureux mon ami, mon gendre.
Vous étiez honteux de l’abandon de votre mission, que je n’avais pu vous confier encore. Jehanne était mortifiée de sa propre conduite quand elle a rejoint ma chambre au matin. Elle m’a tout raconté en prenant grand soin de me cacher l’identité de cet homme qui venait de lui prendre sa virginité. Mais sa description m’a permis d’identifier l’homme en question. Mais ce n’est que lorsque je vous ai confié Jehanne pour la ramener en votre château que mes doutes se sont envolés. Vous avez, tous deux, tenté de cacher votre émotion mais elle était plus que visible.
J’ai compris alors qu’entre vous cela avait commencé au château du Plessis. Et j’attendais avec espoir une lettre telle que vous me l’avez envoyée. Car notre chère Jehanne m’avait d’ores et déjà supplié de faire en sorte que l’homme avec qui elle avait fauté soit son époux. Sur le moment, je n’ai pas compris ses craintes ou son fol espoir ; ce n’était qu’un amour infini pour vous, mon ami.
Avant cela, il m’a fallu démêler les fils de cette affaire qui aurait pu s’avérer plus qu’épineuse. J’ai interrogé Jehanne sur les évènements de cette fête. Elle m’a confié que dès son entrée, elle vous remarqua. Si elle vous fit forte impression, la réciproque fut plus que vraie. Elle ne put détacher ses yeux de votre personne. De cet homme au visage si doux et si volontaire à la fois qu’elle reconnut immédiatement. A ce moment-là, avec le nombre de convives, les allées et venues, je n’étais pas en mesure de voir qui elle regardait ainsi. J’aurais dû être plus attentif mais d’autres choses m’accaparèrent et je ne pus jouer mon rôle de parrain. Comme quoi, vous n’êtes pas le seul fautif. Encore que je ne voie pas de faute dorénavant.
Jehanne vous servit du vin dans une coupe d’argent. Elle vit votre regard accrocher le sien mais aussi plonger dans ce décolleté qu’elle avait ouvert. Vous n’aviez encore que peu vu ses seins blancs, elle fut troublée que vous les trouvâtes tant à votre goût. Jehanne ouvrit un peu plus son corsage par la suite, sans vraiment dévoiler sa poitrine. Elle chercha à ne la montrer qu’à vous autant qu’elle le pouvait. Je crois qu’en cela elle a réussi.
De votre côté, vous riez et chantiez avec les autres nobles gens de votre table. Mais Jehanne se persuada que vous n’aviez qu’elle en tête. D’autres, moins honnêtes que vous, voulurent tâter de la fermeté du cul ou du sein de ma douce protégée. Elle les esquiva tel un roseau ployant et dansant dans le vent. Ces mouvements semblèrent vous plaire et vous émerveiller. Lorsqu’elle revint vous servir, vous lui tendîtes votre coupe dans laquelle elle but une gorgée de vin. Le nectar rouge coula sur son menton et dans son cou. Après un bref instant où elle sentit que vos yeux demandaient, imploraient, permission ; elle tendit son cou de cygne vers vous.
Montant à l’assaut comme un soldat prend une tour adversaire, vos lèvres se collèrent à sa gorge avec passion. La saveur du vin et de sa peau vous put, elle le sut par vos confidences ultérieures. Vous remontâtes prestement vers ses lèvres mais elle n’osa pas vous laisser l’embrasser plus qu’un clignement de paupière. Elle fait partie depuis longtemps de l’Escadron Volant de Catherine de Médicis. Ce n’est pas une escouade de débauchées mais la reine-mère les incite à user de leurs charmes et à jouer les tentatrices quand ses intérêts, et ceux du royaume, le commandent. Néanmoins, elle ne tolère guère que cela aille plus loin que ces quelques prémices. Rappelez-vous ce qui est advenu à Isabelle de Limeuil...
Notre douce Jehanne sentit qu’elle ne pourrait vous échapper et elle n’en avait pas envie. Son souhait était depuis quelques temps de quitter l’escadron de la reine Catherine. Non qu’elle fût en froid avec elle, elle l’aime, comme les autres dames de cette escouade, comme une mère, un être quasi-divin. La reine-mère aurait souhaité l’avoir près d’elle encore longtemps et j’avais souhaité de même. Mais, le désir de Jehanne de trouver bon mariage et de porter vie se faisait trop fort. Le décès de ses parents ne fit que précipiter les choses.
Lorsqu’elle revint vers vous pour la troisième fois vous servir vous lui versâtes une larme de vin entre les seins. D’abord offusquée, elle succomba lorsque vos excuses parvinrent à ses oreilles. Elle aima votre voix chaude, grave et noble. Elle vous excusa, vous demandant de réparer votre bêtise. Quand elle tendit la poitrine, elle espérait bien que ce soit votre bouche qui viendrait lécher le vin. Il en fut ainsi et elle vous sentit aller vers son sein gauche pour y téter un mamelon qui était déjà dur comme un éperon. Cela ne vous rebuta pas car votre bouche s’en délecta un long moment. Puis le sein droit eut droit à ce même traitement, au grand plaisir de la Princesse.
Vous la prîtes par la taille et la plaçâtes sur vos genoux pour poursuivre plus avant ces préliminaires. Mais elle devait s’échapper temporairement ; de la musique s’élevait et elle était appelée à venir danser avec ses consœurs. Jamais elle ne mit tant de ferveur dans une danse. Elle ne cessait de vous regarder et vous ne pouviez détacher vos yeux d’elle. Elle tourna, virevolta, sauta pour vous, mon ami. Vous le comprîtes. Quand la danse se termina, elle resta au milieu de l’aéropage féminin, reprenant son souffle, haletante et inquiète de savoir si elle vous avait plu. Quand elle releva les yeux, vous étiez là, devant elle, dans toute votre stature altière.
Entre le soudard et le prince, vous la prîtes par la taille et entamâtes une nouvelle danse avec elle. Soulevée de votre bras fort, elle se sentit telle une plume qui s’envole dans le vent. Vous auriez pu vous jeter à nouveau sur ses lèvres ou ses seins mais vous restâtes avec les yeux plantés dans les siens. Alors qu’autour de vous, la fête devenait de plus en plus licencieuse : les mains et les bouches se faisaient aventureuses sous les corsages et les jupons, dans les pourpoints et les hauts-de-chausses. A la fin de votre danse, de votre vol tel qu’elle m’en a parlé, vous penchâtes votre visage vers Jehanne et l’embrassâtes. Notre Princesse se mua en liane souple et s’abandonna en toute conscience.
Jehanne aurait souhaité que cela dure encore plus longtemps mais le chahut augmentait et les convives s’échappaient en tous sens vers l’extérieur. Elle eut l’impression qu’un silence religieux s’abattait sur elle à l’heure du choix. Celui-ci fut décidé par son ventre qui se mit à la brûler de l’intérieur. Un feu la consumait déjà pour vous. Lorsque vous lui demandâtes si vous pouviez la revoir, elle eut peur de vous laisser lui échapper. Et elle vous demanda de rester avec elle, ce que vous acceptâtes, sachant pertinemment ce qui allait arriver. Elle prit votre main, l’embrassa et vous tira vers la sortie de la galerie. Jehanne vous mena dans le corps principal du château, jusqu’à la porte de sa chambre.
Là, vous lui avouâtes votre désir pour elle mais aussi que vous ne souhaitiez pas lui nuire. Je pense que là vous n’étiez pas honnête, envers vous-même. Elle ouvrit la porte et entra, sans refermer. Jehanne fit quelques pas à l’intérieur et vous regarda. Votre cœur et votre corps parlèrent pour vous car vous pénétrâtes dans cette chambre en fermant la porte derrière vous.
Jehanne sourit, un peu tristement sachant ce qu’elle allait perdre, mais confiante dans le destin. Devant vous, elle ouvrit totalement son corsage, laissant complètement apparaitre ses seins. Vous voulûtes approcher mais elle vous demanda d’attendre. D’une main peu habituée sans l’aide de sa lingère Louise, elle se défit du corsage puis, un à un, de ses jupons. Au dernier qui restait, elle fut prise d’un doute mais votre visage le fit disparaître, lui donnant la force de le faire tomber à ses pieds. Elle apparut alors nue devant vous. Ses cheveux d’or tombant sur ses épaules cachaient en partie ses seins. Sa peau délicate brillait à la lumière des chandelles. Elle craignit de vous déplaire mais ce ne fut pas le cas.
Son mont n’avait pas encore retrouvé tous ses poils blonds mais il vous plut tout de même. Vos yeux lançaient des flammes de désir vers son corps de jeune vierge. Vous fîtes un pas vers elle mais elle tendit la main. Vous le comprîtes ensuite, elle n’avait pas changé d’avis, elle voulait vous dévêtir elle-même. Tremblante, elle ôta votre pourpoint puis votre chemise. Votre torse large et puissant lui plut, elle le baisa de ses lèvres, descendant lentement vers votre ventre qui se gonflait et se dégonflait rapidement. L’ingénue ne comprit pas que vous étiez déjà très dur et bouillant ; vous luttiez pour ne pas agir trop vite, j’en suis sûr.
Jehanne descendit vos hauts-de-chausses puis vos bas. Remontant en caressant, en découvrant plutôt, vos jambes fermement plantées au sol, elle passa devant votre membre tendu telle une épée. Elle en eut peur et se releva, préférant trouver refuge contre vous. Elle colla son corps contre le vôtre et posa sa joue contre votre poitrine. Sans doute touché par ses peurs ou ses craintes, vous l’entourâtes de vos bras protecteurs. Jehanne se sentit mieux, elle osa vous regarder et vous l’embrassâtes. Puis vous plongeâtes votre regard dans le sien pour connaitre son désir.
Vous prîtes Jehanne dans vos bras, la soulevant avec facilité. Elle s’accrocha à votre cou avec bonheur, se laissant amener vers le lit. Vous l’y étendîtes avec douceur et vous l’admirâtes une nouvelle fois. Vous la caressâtes un peu partout avant de diriger vos doigts entre ses cuisses. Vous trouvâtes un con humide que vous stimulâtes habilement, Jehanne sentant son sexe se crisper et tordre de plaisir.
Ses cuisses s’écartèrent encore plus, vous invitant à venir sur elle. Elle se permit de tendre les bras vers vous et vous demanda de venir faire d’elle une femme. Attendiez-vous cette invite ? Toujours est-il que vous obtempérâtes à la jeune vierge. Votre corps vint couvrir le sien sans l’écraser. Jehanne sentit votre gland venir frotter à l’entrée encore inviolée de son sexe.
Ma protégée n’attendait plus que vous, elle passa ses mains dans votre dos et vous serra contre elle. D’un coup de rein adroit, votre gland pénétra ses chairs, touchant la marque de sa virginité. Certaine de son fait, Jehanne vous étreignit encore plus fort. Chevaleresque ou déjà amoureux d’elle, vous accompagnâtes le déchirement de son hymen d’un baiser passionné. Jehanne poussa un petit cri puis s’abandonna à vos lèvres, se lançant à corps perdu dans ce baiser. Cela dut vous occuper un moment car vous ne reprîtes pas tout de suite la pénétration. Quand vous redémarrâtes, Jehanne sentit votre mandrin écarter les chairs de son antre. Elle poussa un long soupir et planta ses ongles dans votre peau.
Cela ne calma pas vos ardeurs, cela les aiguillonna. Vous entamâtes des va-et-vient dans le con de ma chère filleule. Celle-ci perçut des choses troublantes et délicieuses en elle. Elle commençait à prendre plaisir à vos coups de reins quand vous vous répandîtes en elle en soufflant. Jehanne eut sa matrice remplie de votre semence, elle s’en émut aux larmes. Elle se rendait compte de ce qui avait définitivement changé en elle. Vous vîtes son mal être et cajolâtes ses paupières d’un baiser. Puis sa bouche, pour faire taire ses sanglots. Jehanne allait mieux, réconfortée et protégée par vous. Elle vous serra contre elle et vous l’entourâtes de vos bras.
Après quelques instants, ma protégée desserra votre étreinte, elle prit le drap et le leva face à vous. Elle vous fit constater la tâche rouge qui marquait le drap. Elle était emplie de joie d’avoir perdu cette part d’elle-même avec vous, bien que les conséquences de cet acte commençaient à noircir son esprit.
Mais elle voulut tout oublier pour le temps qu’il restait de cette nuit. Elle se leva et alla au broc d’eau et à la cuvette. Elle mouilla un linge et vous demanda d’approcher. Elle s’agenouilla devant vous et entreprit de nettoyer les traces de vos ébats. Cela eut pour conséquence de vous faire reprendre une vaillante rigidité. Ce qui surprit la Princesse de Grandlieu mais cela lui plut. Elle s’apprêtait à prendre en bouche votre verge lavée et bandée quand vous la relevâtes.
Jehanne pensa que vous vouliez la prendre derechef mais vous prîtes le linge et vous vous mîtes à ses pieds. Elle ne comprit votre intention que quand vous commençâtes à la laver du sang et du sperme qui maculait son sexe et ses cuisses. Votre dévotion la toucha et elle se laissa aller sous vos doigts. Ce nettoyage refit monter en elle un désir intérieur puissant.
La Princesse vous regarda faire, le sourire aux lèvres et le regard plein d’amour et de désir. Elle se mit à se caresser les seins, à jouer avec ses bourgeons et à soupirer. Quand elle vit que vous aviez terminé, elle pensa que vous alliez la ramener sur la couche. Mais vous posâtes le linge pour plaquer votre bouche à son con. La petite princesse eut les jambes qui tremblèrent et qui eurent du mal à la maintenir debout. Elle apprécia votre habileté et votre désir de la faire atteindre l’extase. Celui-ci arriva très rapidement, vous pûtes boire à la source exquise de ma filleule. Elle faillit tomber à la renverse en jouissant mais vous la retîntes de justesse avant de remonter et de l’embrasser à nouveau.
Jehanne sentit votre flamboyante rigidité contre son ventre. Elle vous caressa la verge, vous faisant grogner de plaisir. Vous la guidâtes vers sa couche où vous l’incitâtes à se pencher et à poser les coudes sur le lit. Vous vous plaçâtes derrière elle en laissant vos mains parcourir son corps, ses fesses et ses cuisses, la rendant impatiente de vous sentir à nouveau en elle. Mais votre désir devait être fort car vous ne tardâtes pas à l’embrocher de votre mandrin érigé. Vous la pénétrâtes avec force pour la faire gémir et soupirer. Ravie de votre vigueur, Jehanne lançait son bassin en arrière pour venir à la rencontre de votre sexe. Une chevauchée débridée commença et vous vous accrochiez à ses hanches pour la baiser comme il faut.
Jehanne sentit un feu emplir son antre, des crampes apparurent au plus profond d’elle-même. Elles se répandirent dans tout son corps avant qu’elle ne pousse un long cri d’extase et que son con vous masse la verge. Cela contribua sans doute à votre jouissance car Jehanne perçut vos jets de sperme la remplir à nouveau. Tremblante, épuisée mais heureuse, elle s’affala sur sa couche, où vous la rejoignîtes pour l’enlacer et l’embrasser.
Il me semble qu’ensuite vous n’avez pas fait que dormir mais au matin de son récit, l’heure avançait et je devais faire mes propres préparatifs de départ. Je ne doute pas que vous n’ayez attendu mon consentement avant de retourner dans la couche de Jehanne, ou qu’elle vienne dans la vôtre. Comme vous avez ma bénédiction et que le roi devrait vous élever au rang de duc. Aimez-vous ! Faites-moi de beaux et forts héritiers, que votre lignée perdure longtemps.
Votre éternel ami et compagnonBaron Hugues de Hautchateau

* * *


Clarmant, le 13 juillet 1577,
Mon père,
Je vous nomme donc ainsi puisque je suis désormais marié à votre protégée. Votre dernière lettre nous a emplis d’une joie immense. Plus que cela même. Je ne saurais décrire ce sentiment qui nous a envahi à sa lecture. Comme vous l’avez pressenti, mon sexe n’a pas rencontré le sien tant que nous n’avons eu votre assentiment. Cependant, je dois avouer que bouches et sexes ont fait des rencontres quasi quotidiennes. Maintenant que nous sommes en règle vis-à-vis du seigneur, les choses sont plus simples et plus passionnées. Il ne fait guère de doute qu’un héritier devrait vite gonfler le ventre de ma douce Jehanne.
Je dois noter une chose de votre lettre, laquelle a sauté aux yeux de ma princesse. Vous avez omis de me dire que lorsqu’elle a frappé à votre porte, elle n’a pas attendu de réponse de votre part et est entrée précipitamment. Elle vous a surpris encore nu et Madame de Pompagne dans la même tenue étalée sur votre couche. Si vous avez enfilé une chemise et Madame de Pompagne s’est cachée sous la couverture, Jehanne a compris qu’elle était votre activité avant son irruption. Elle vous a raconté notre nuit ; vous n’en avez pas fait autant de votre côté.
Mais quand vous avez dû vous préparer au départ, vous l’avez laissée avec Madame de Pompagne. Elles ont fait mander leurs lingères, Louise et Antoinette, pour les aider à s’habiller et à se laver. Cela a été l’occasion pour elles de se parler. Henriette a fait montre d’une oreille attendrie par les émois amoureux de ma douce Jehanne. Cette dernière s’est enquise innocemment de la raison de la présence d’Henriette dans votre chambre.
Je comprends pourquoi vous avez abandonné votre surveillance. Cela me paraissait surprenant, connaissant votre sens du devoir. Henriette de Pompagne a joué un rôle déterminant en cela. Vous aviez remarqué, comme moi, que Madame de Sauve était dénudée jusqu’à la taille. Henriette vit votre intérêt pour les atouts de la dame. Elle en nourrit une certaine jalousie. La fête aidant et la débauche latente la prenant, elle se permit de se dénuder de la même façon. Ses longs cheveux noirs ne cachaient qu’en partie ses seins volumineux. Plusieurs nobles virent son état et en profitèrent pour laisser trainer leurs mains sur ses mamelles.
Mais la dame n’avait qu’un objectif en tête : vous, mon ami. Quand elle réussit à attirer votre attention, elle s’approcha pour vous servir en vin, bien qu’elle ne fût pas prévue à faire ce service exceptionnel. En tout cas, votre regard envouté par ses charmes satisfit son estime d’elle-même. Je pense même, maintenant, que vous étiez déjà complètement oublieux de votre devoir envers Jehanne. Henriette n’en était point sûre, elle déploya donc force galanteries à votre égard. Elle n’hésita pas à mettre ses seins à portée de votre bouche à plusieurs reprises. Vous résistâtes un moment mais vous finîtes par céder à cette invitation répétée.
Henriette poussa un cri de surprise quand vous l’attrapâtes par la taille pour la poser sur vos genoux et lui dévorer les seins sous les rires des convives de votre tablée. Elle crut que vous l’utilisiez par jeu mais elle sentit que votre bouche se faisait bien plus intense que pour une simple grivoiserie. Madame de Pompagne sentit son antre s’humidifier à votre contact. Néanmoins, elle repartit vite, non pour vous fuir, mais pour vous faire languir. A votre table, l’ambiance devenait très licencieuse, plus qu’à la mienne, cela explique peut-être votre emportement, ce qu’Henriette utilisa pour son propre compte.
La seconde fois qu’elle revint, elle renversa du vin sur votre entrejambe, si vous en doutiez encore cela fut fait volontairement. Dans ses mille excuses envers vous, Henriette s’empressa d’éponger tout ce liquide de vos habits avec un linge. Elle en profita pour appuyer sur votre virilité, laquelle ne tarda guère à prendre vie sous ses doigts. Les autres convives virent son manège et en rirent mais vous, vous appréciiez particulièrement, si j’en crois vos grondements qu’Henriette a rapporté à Jehanne.
Néanmoins, et malgré vos mains sur ses seins, elle n’osa pas aller plus loin. Non que l’envie de sortir votre membre vaillant de vos hauts-de-chausses lui ait manqué mais le roi et la reine n’étaient pas loin, comme la reine-mère. Et s’ils semblaient passé un agréable moment, elle ne pensait pas qu’ils tolérassent une trop grande obscénité.
Lorsque la danse effectuée par ma douce Jehanne et ses acolytes commença, Madame de Pompagne fut tentée de s’y joindre pour vous charmer plus encore. Mais à la vue de ces jeunes et vierges corps, elle estima que le sien, gras et vieux, n’avait pas sa place. Personnellement, Jehanne partage cet avis aussi, je trouve que Madame de Pompagne garde une certaine vigueur et une force de vie malgré son âge. Son corps a entassé les livres de chacune de ses grossesses mais il reste appétissant. Ses seins sont lourds et semblent toujours gorgés de lait. Son cul est large mais il ne s’affaisse pas, son ventre est rond mais il ne dégouline pas sur son pubis.
Pour tout dire, à danser avec les jeunes dames de la cour, elle aurait reçu nombre de compliments. Elle préféra cependant venir vous rejoindre une troisième fois. Et vous l’attirâtes prestement sur vos genoux pour admirer cette danse en sa compagnie. Votre main s’intéressa d’abord à sa poitrine avant qu’elle ne descende entre ses cuisses. Henriette les écarta et rit de vous voir vous perdre dans ses jupons. Mais, opiniâtre, vous parvîntes à votre but : son con. Madame de Pompagne a avoué à la Princesse de Grandlieu que son intimité n’avait cessé de couler tout au long de cette fête. Vos doigts durent donc découvrir un paysage inondé et odorant.
Henriette ne resta pas inerte, elle alla chercher votre verge dans son habit. Et, sans la sortir, elle se permit de la caresser tout en admirant la compagnie de jeunes personnes dansantes. Lorsque la musique se tut, après que je dansai moi-même avec ma bien-aimée, vous susurrâtes à l’oreille de Madame de Pompagne que vous aviez envie de la prendre en chasse, comme elle l’avait fait au château du Plessis.
Cela enflamma cette femme qui, voyant d’autres fêtards sortir de la galerie pour gagner les extérieurs, se sentit pousser des ailes. Elle se leva, vous regarda en riant et s’enfuit comme une jeune vierge. Cela dut vous plaire car, d’autres nobles l’ont rapporté ensuite, vous rîtes comme un jouvenceau et partîtes à sa poursuite, les hauts-de-chausses cachant difficilement votre désir.
Madame de Pompagne vit, malgré la nuit, et entendit, ce n’est guère difficile, de nombreuses scènes frivoles. On s’embrassait contre un arbre, on se faisait culbuter dans l’herbe, on entendait des soupirs, des rires et des gémissements. Tout ce qu’il fallait pour finir d’échauffer cette noble dame, et vous-même j’en suis sûr. Henriette vous entendit l’appeler et la "menacer" de lui mettre la main au collet. Elle en fut toute retournée d’excitation. Néanmoins, elle se sentit rajeunir et eut la folle envie de jouer à cette partie de chasse, d’en être la proie consentante. Henriette tourna derrière un buisson et jeta un œil à l’allée par laquelle elle était venue. Elle vous avait vu la suivre mais fut surprise, et peinée, de ne plus vous voir.
La dame ne connaissait pas votre aptitude de limier. Je pense que vous l’aviez aperçu se cacher et que vous aviez contourné sa position pour la prendre à revers. Henriette se sentit prise à la taille et couchée au sol, elle poussa un cri, couvert par votre cri de victoire. Vous la retournâtes prestement sur le dos et collâtes vos lèvres à sa gorge. La dame plaqua votre visage contre sa peau. Vous poussâtes votre bassin contre le sien, vous embrassâtes sa bouche et vous empoignâtes ses seins. Vos mains étaient-elles assez grandes pour cela ?
Henriette perçut votre empressement ; d’un geste fort adroit, elle défit vos hauts-de-chausses et sortit votre membre qu’elle caressa fermement. Aviez-vous une dette à faire valoir ? Ou fûtes-vous simplement poussé par un désir soudain ? Toujours est-il que la dame se retrouva tout à coup avec votre verge tendue frottant à ses lèvres. Madame de Pompagne se mit à la tâche sans rechigner et avec, elle l’a confessé à Jehanne, un appétit non feint. Elle s’employa à vous sucer, et à gérer vos coups de reins excités, pendant un moment. Elle n’aurait pas dédaigné goûter à votre semence mais elle sentit que vous aviez besoin de plus.
Henriette en eut confirmation quand vous vous retirâtes de sa bouche et que vous la retournâtes lestement. D’abord étalée sur le ventre, elle sentit que vous releviez son cul, que robe et jupons étaient rabattus sur son dos. De ce que j’ai pu voir des formes de Madame de Pompagne et de ce que m’a dit Jehanne, cela devait une sacrée vision ! Est-ce cela qui vous a fait attendre avant de planter votre glaive en elle ? Quand votre membre la pourfendit, elle beugla si fort qu’elle en couvrit les cris des autres baiseurs ; d’après les rumeurs qui circulent. Sans plus attendre, vous la prîtes par les chairs souples de ses hanches et la pistonnâtes fiévreusement.
Madame de Pompagne en garde un souvenir bouleversé, d’après Jehanne. Elle a l’impression que vous chevauchiez votre étalon pour charger en pleine bataille. Vous ayant déjà vu réaliser ce genre de chevauchée, je vois bien de quoi elle parle. Elle eut sans doute cette image car vous avez lâchâtes sa taille pour lui attraper sa chevelure noire et libre de la main gauche. Telles les rênes de votre étalon, vous la prîtes avec force et cravachâtes son cul en claquant votre main droite dessus. D’habitude, cette main tient une épée, ce soir-là elle se trouvait entre vos jambes et dans son con. Vous n’en allâtes pas moins fougueusement monter à l’assaut.
Henriette poussa des cris de plus en plus rauques, accompagnant vos propres grondements, et elle commença à sentir monter en elle une puissante vague de plaisir. Quand vous craquâtes et vous répandîtes en elle avec force jets de foutre, elle vous rejoignit dans cet orgasme serrant votre queue par son con en pleine extase. Vous me parliez d’elle comme d’une fontaine, Madame de Pompagne en a autant à votre service.
Ensuite, il vous fallut un peu de temps, à tous deux, pour vous remettre de vos ébats. Henriette fut très surprise et touchée que vous l’invitiez à partager votre lit. Vous y dormîtes et Henriette osa se coller à vous pour rester au chaud. Vous ne la repoussâtes pas. Au matin, vous sembliez être en ordre de marche pour renouveler vos ébats de la veille quand ma Jehanne est arrivée.
Mon ami, vous vous trouvez vieux mais je sens chez vous un rajeunissement certain tant dans vos écrits que dans votre attitude quand elle est près de vous. Jehanne pense que Madame de Pompagne est intéressée par un mariage avec vous. Cela me parait une idée judicieuse. C’est une noble dame et vos terres respectives ne sont guère éloignées. De plus, il y a entre vous une certaine proximité de vue et de sentiment qui garantirait à cette union une réussite et un profit mutuel.
Mais cela n’est l’avis que d’une personne qui vous aime comme un fils et qui vous veut du bien.Bon voyage, mon ami. Je tiens à vous et Jehanne vous envoie tout l’amour qu’elle a pour vous.
Votre gendre et amiComte Armand de la Tour de Garde
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