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Fétichisme - Les flatulences

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Akari s’est hissé à un nouveau rang pour moi. En fait, je n’ai pas encore créé de rangs pour dire lequel occupe Akari actuellement, mais je sais qu’un palier a été franchi avec cette performance !! Cette dernière consiste en un petit pet bien sec. Au moment où j’ai écrit cela, je me suis dit qu’il fallait rallonger ce passage si ... chaud ! Pour que le lecteur ou la lectrice ait une description un peu plus détaillée qui stimulera son imagination. Tout à fait, j’ai voulu rallonger un petit pet ! Mais ces petits cadeaux de la nature... ah... peu importe leur longueur, ils restent magiques et me marquent depuis toujours. Donc je ne pourrais peut-être pas faire l’éloge de ce pet particulier pendant longtemps, mais le fait de savoir qu’il a été décroché devant moi et pour moi suffit déjà à m’exciter. C’est comme si de nouvelles portes s’étaient ouvertes. Celles d’une perversité des plus sales. Celles que j’aime !

Akari est une Japonaise affichant quelques traits européens et américains. Cela commence par ses cheveux. Il y a cette couleur noire teintée d’un soupçon de châtain qui reflète une partie de la beauté d’Akari. Ce même noir qui contraste avec le visage d’une blancheur éclatante. Durant certaines matinées ensoleillées, l’éclat fait briller la beauté au maximum. Et on a beau être dans un endroit peu éclairé. Tant que je lui connais cette caractéristique du visage, ma jolie Japonaise garde tout ce qui la rend attirante à mes yeux. Une autre de ces caractéristiques est les traits fins qui composent son visage. De grands yeux noirs assortis aux cheveux, une bouche aux lèvres dégageant une fraîcheur telle qu’elle donne l’impression d’être tout juste peinte sur une jolie aquarelle. Le tout est fini par un nez ni trop petit ni trop grand. Cet ensemble forme la jolie figure ornée de partout par des cheveux courts si fins et si soyeux.
Ils s’arrêtent là où commencent les baisers chargés de désirs, là où la douceur prend place et où la voie vers le dos appelle à la sensualité la plus complète. Et cette beauté vient de péter pour moi. C’est ainsi. Ce petit gaz de la jolie Akari était tout ce qu’il manquait pour me booster dans ma route vers l’orgasme !
En plus de sa beauté, cette fille devient plus spéciale, car avant elle, jamais aucune femme n’avait fait pareille obscénité devant moi. Une obscénité dont la beauté dépasse tout. Bien que sa timidité persiste encore à quelques occasions, la Japonaise est très coquine et sait très bien ce qu’elle veut. Aimant tous les deux ce qui est dégoûtant, Akari et moi pouvons dire que les odeurs corporelles ne sont pas repoussantes, mais nous nous plaisons à les considérer en tant que telles. Cela rend le sexe très excitant.
La première manifestation flatulente discrète porte bien ce nom. Même le parfum, si tant est qu’il y en ait eu, n’arrive pas à mon nez, mais mon plaisir est déjà immense. Je ne manque quand même pas de faire mon commentaire :
— Ça me plaît énormément, lui dis-je sans avoir tenté de renifler l’odeur, car je veux l’encourager avant de penser à quoi que ce soit d’autre.— C’est tout ce que j’ai pour le moment...
Akari rit un peu, mais cela ne dure pas longtemps.
— Attends, j’en ai un autre qui arrive.
Elle vient à nouveau derrière mon coup comme pour s’y réfugier de la chose dégoûtante qu’elle s’apprête à faire. Elle écarte un peu sur le côté le string noir qu’elle porte, attend un moment puis émet un autre gaz, bien bruyant. Son odeur parvient à moi en quelques secondes ; me faisant comprendre que celui qui le précédait n’était que son annonciateur. Le simple fait de respirer par le nez m’expose à l’odeur du pet d’Akari.
— Ça pue. Hmmmm...
Quelques secondes passent. Je rajoute :

— Je crois que ma queue ne peut se durcir plus que ça !
Sur ces quelques mots, je recule un peu la tête pour faire comprendre à ma douce coquine que je veux la voir. Je l’embrasse sur les lèvres pour lui exprimer ma gratitude. Je la laisse me sentir, m’embrasser et me faire quelques câlins. Est-elle aussi heureuse que moi d’avoir pu se délivrer ainsi ? Nos deux visages s’effleurent, se caressent... Maintenant, elle rapproche son visage près de mon torse et commence à l’embrasser et à le caresser. Pendant ce temps-là, le bruit de ce deuxième pet résonne encore dans ma tête et son souvenir est presque aussi plaisant que le pet lui-même !! Je n’oublierai jamais la manière dont il s’est échappé du vase illégitime qui le contenait. Ce gaz a dû être retenu tellement longtemps qu’il a produit un son d’explosion quand il est sorti. Je me dis que l’accumulation a dû faire trembler le trou du cul de cette Japonaise si mignonne.
Le son résonne encore dans ma tête, l’odeur persiste, l’image d’Akari se réfugiant derrière moi pour se lâcher me revient et mon pénis ne se repose pas une seule nanoseconde ! Le pet n’existe désormais plus, mais son effet se fait encore ressentir chez moi. Parmi tous les plaisirs sexuels que j’ai connus, celui-ci est le plus puissant.
Je n’attends pas plus longtemps avant d’aller chercher de mes mains le trou sale de la jolie fille, de frotter mes doigts dessus afin de les charger de l’arôme désagréable qui hante éternellement ces lieux et de présenter enfin mes doigts à Akari qui devient de plus en plus coquine. Elle sent mon doit :
— J’aime être sale pour toi.
Je crois qu’il y a quelque chose d’aussi plaisant que ces flatulences. C’est le fait qu’on n’ait pas grillé les étapes, Akari et moi. On aurait, certes, pu y aller de manière plus progressive et plus lente en imposant une certaine distanciation avant de péter par exemple, mais on n’est pas allé plus vite que la musique non plus, si je puis dire. On a commencé par parler de notre amour pour la pornographie. De nos jours, presque tout le monde regarde ce genre de vidéo, mais Akari et moi ne nous limitons pas à les utiliser comme exutoire pendant nos nuits les plus solitaires. On y a trouvé un certain encouragement et l’assurance pour croire en ce que nous aimons : nos fétichismes. Mais comme la réalité dépasse la fiction, nous nous sommes rapprochés pour partager ces désirs communs qui occupent tant nos pensées et confirmer enfin que la réalité peut être plus plaisante que la vidéo. C’est ce côté peu conventionnel qui caractérise cette fille et qui fait tout son charme pour moi.
Peu à peu, nos ébats sont devenus moins conventionnels, eux aussi. Combien de fois a-t-on joui sans avoir eu recours à la pénétration ? À croire que cette dernière ne sert que pour se reproduire !On a commencé à s’explorer, Akari et moi, puis à trouver des intérêts communs comme le fétichisme du visage, nos séances de french kiss qui durent réellement des heures et enfin, l’olfactophilie. Qui est moins prononcée chez elle, mais qui sait... je me trompe peut-être. Cette face cachée de coquine qu’Akari m’a révélée cache peut-être, à son tour, un autre visage... Quoi qu’il en soit, je pense qu’il est sain de commencer doucement pour mieux finir !
Les mauvaises odeurs sont, peu à peu, parvenues à l’éproctophile que je suis. Je n’ai pas eu à plonger mon nez sous les aisselles ou dans la chatte d’Akari. L’odeur est grâce. Elle s’invite chez toi, près de ton sens déjà aiguisé, mais par le même temps, elle peut être insaisissable. Quel que soit le type de fragrance naturelle qu’on veut connaître chez quelqu’un, il faut la laisser faire son parcours et trouver le nez. C’est tout le plaisir de sa découverte. La respirer au lieu de la renifler.
Avec les aisselles, le plaisir est déjà là, prêt à être humé et absorbé. C’est une partie de la fille qui entre en moi. C’est pour cela que j’aimais demander à ce que les poils ne soient pas rasés à ce niveau-là. Après cela, j’ai commencé à chercher l’odeur par moi-même avant même qu’elle s’engage dans les voies aériennes. Je suis allé associer les plaisirs du nez, du contact avec la peau, avec les poils, des bisous sur les aisselles... la raie des fesses, les pieds, et l’anus ont été la suite logique. Les pets, l’ultime étape !

Ah les mauvaises odeurs des gaz de cette jolie cochonne. Tout ce qui les définit sert à définir le secret de mon érection. D’abord, il y a le son. Un fétichiste chevronné te dira qu’il peut y avoir autant de types de sons que de pets ! Le deuxième qu’a émis cette magnifique fille m’a fait penser, comme je le disais, à une explosion. Tout s’est concentré, s’est laissé diriger vers la fente qui « fait orifice » de sortie et a donné lieu à une manifestation auditive d’une grande intensité. L’explosion est orchestrée tel un grand coup de trompette grave dont le résultat est un plaisir aigu pour l’oreille. Mais c’est une session musicale bien trop courte. Pour mon grand plaisir, elle fut assez puante pour faire son long chemin et atteindre mes narines. J’imagine déjà comment l’anus brun et sale de la douce Akari a dû trembler au moment d’expulser ce gaz. Le son seul donne une idée claire de la vibration qui peut se produire au moment d’une telle manifestation.
Bien qu’elle soit coquine, Akari a sûrement eu une expression de gêne témoignant du peu de timidité qui lui reste. Le fait que le son de sa flatulence soit considéré comme horrible, voire dégueulasse, par quelqu’un qui n’y attache aucun plaisir sexuel m’excite encore plus. Tu commences à connaître mon raisonnement maintenant.
Bien entendu, tout cela ne serait pas horrible et plaisant sans la puanteur amenée par la libération musicale d’Akari. Avant d’être éproctophile, c’est-à-dire attiré sexuellement par les gaz intestinaux, il y avait quelque chose que je détestais à chaque fois qu’un pet se faisait entendre près de moi. C’est ce petit délai qu’il y a entre le moment de l’émission du gaz et le moment où l’odeur parvient enfin à mon nez. Une chose désagréable allait se produire et je le savais d’avance. Je n’avais plus qu’à attendre ce que je n’aimais pas. Ce fétichisme est entré dans ma vie presque aussi soudainement que ce pet qui atteint mon nez. Je savais que ça allait sentir les œufs que la sexy Japonaise avait mangés, mais que ce soit ce type de nourriture ou autres, le fait de savoir que c’est l’odeur dégoûtante, voire insoutenable d’un gaz intestinal est tout ce qui compte. Le son, l’odeur, parfois même la sensation sur les mains quand on les rapproche de l’anus, l’idée de la libération... etc.
Chacune de ses caractéristiques est un moment à elle seule. Chacune peut être vécue séparément. Le pet est le seul moment qui contient plusieurs moments !
L’odeur du gaz d’Akari est horrible et dieu que j’aime ça. Je crois que si les flatulences sentaient comme un savon aux arômes de lavandes, je n’en voudrais pas. Celle du pet d’Akari dura un bon moment, et je ne manque pas de tout aspirer tout en entendant son émettrice émettre autre chose, de petits cris de gêne. Quand elle m’entend renifler son exécrable odeur, elle est encore en train d’embrasser mon coup dans une position qui fait penser qu’elle allait me chevaucher, la tête derrière mon coup, se tenant sur ses genoux, et prête à m’enlacer à tout moment. Ceci dit, la pénétration est loin d’être ma préoccupation à cet instant précis.
Je suppose que la belle avec moi se cache un peu pour le moment, et c’est un peu plus facile pour elle de me faire plaisir dans cette position, même si elle a déjà prouvé qu’elle pouvait franchir certaines barrières sexuelles et laisser enfin son côté très sale ressortir. Lui donnant ainsi la possibilité de la rendre beaucoup plus belle. Je lui caresse les bras avec les mains dans un geste d’affection sincère :
— Je te remercie. Mais il faut que je remercie également...
Et là, je saisis comme je peux ses fesses sur lesquelles elle est assise ; Akari ayant compris que je voulais voir sa divine fleure anale, me la présente. J’écarte les fesses pour mieux la voir, puis je l’embrasse en lui exprimant ma gratitude à chaque fois.
— Merci. Merci. Merci.
Chaque « Merci » est précédé d’un long baiser de reconnaissance.
Ma coquine préférée est maintenant plus silencieuse. Préférant laisser s’exprimer nos corps et nos désirs, me donner la possibilité de profiter le plus longtemps possible de ces découvertes sales, très sales. D’ailleurs, j’ai eu l’idée de mettre la barre un peu plus bas pour une première fois pour reprendre une expression célèbre. À vrai dire, c’est surtout pour effectuer un bon démarrage avec Akari. Tel un animal qui observe un individu d’une autre espèce de loin, j’ai découvert les pets d’Akari de la manière douce. Avec un premier essai timide puis un second, un peu plus fort certes, mais qui s’est tenu à distance et a initié mon odorat lentement... mais sûrement !Je préfère expérimenter ces choses ainsi et ne pas me précipiter et demander à la fille de me péter en pleine figure tout en exigeant une puanteur hors-norme. Le face farting attendra.

Akari me regarde dans les yeux et me demande de remercier sa fleur encore plus. Je suis presque choqué de la voir me commander ainsi, mais je m’exécute de suite et m’en vais embrasser de nouveau son trou du cul. Comme beaucoup d’Asiatiques, Akari a une fente bien brune qui contraste de manière significative avec le reste de la peau de son corps. Tout comme des Américaines avec un trou rose ou des Africaines avec un trou aux couleurs similaires à celles du reste du corps, les Asiatiques ont naturellement cette couleur, pourtant, ça accentue le côté sale de la situation. C’est d’ailleurs pour cela que cette caractéristique m’excite encore plus que les autres. Avec cette apparence, on jurerait que c’est un endroit qu’on ne lave pas souvent et qui, avec le temps, a pris cette couleur brunâtre. Sa mauvaise odeur, les flatulences qui en émanent et la sueur qui s’y accumule sont deux fois plus plaisantes avec cette couleur.
Un peu plus loin, je m’extasie de voir des fesses bien blanches et de voir le contraste se créer à nouveau de manière brusque avec des couleurs plus sombres à chaque fois que mon regard se rapproche de la source de la puanteur. Il y a également une élégance qui se dégage d’un tel changement. Cela m’inspire des poésies et des proses interminables sur la saleté.
Chaque bisou sur l’anus brun et sale devant moi pousse ma semence hors de son réceptacle. L’orgasme n’est vraiment pas loin cette fois. Le trou du cul peut être sale de plusieurs façons : l’odeur, le bruit, l’aspect, le goût, la texture... avec ces cinq sens, mon corps tout entier se constitue une nouvelle fois. Voilà que je commence à l’embrasser, cet anus odorant et horriblement délicieux. J’ai tout reniflé aujourd’hui : l’odeur du coup d’Akari, de sa sueur, de sa raie des fesses glissante et que le string sale aidait à empester encore plus, l’odeur de ses gaz...
Rien ne reste dans la pièce, mais la seule pensée que j’ai englouti ces odeurs et qu’elles sont désormais en moi m’excite comme jamais. Les bisous continuent et le dernier a lieu au même moment où mon foutre jaillit en afflux incroyable. Ma bouche reste collée sur le trou d’Akari pendant que je pousse un long soupir ; exprimant toute la joie que j’ai concentrée depuis le début. L’afflux massif continue pendant deux ou trois secondes, puis de petits jets terminent ce feu d’artifice orgasmique d’une puissance incroyable.
On se rassied et on reprend notre souffle après un tel climax scénaristique.
— Tu sais ce que j’aime quand on se lâche comme ça ? — Non, dis-moi.— Quand on prend du plaisir avec des flatulences, on n’en a vraiment rien à péter.
Akari rit.
— Je suis contente d’avoir appris le français à temps pour cette blague !— Non, sérieusement. Ce plaisir n’a pas besoin de mots pour être décrit et c’est ce qui me fascine. Il laisse parler le corps et n’est-ce pas là, la plus belle des expressions ? Tu me communiques et tu partages tant de choses avec tes flatulences.— ...
Akari me regarde avec un désir que je n’ai jamais vu avant. C’est là qu’elle se met à me caresser tout le corps. J’en fais de même. Sans doute est-elle encore un peu timide lorsqu’il s’agit de libérations aussi obscènes. Pour l’instant, son corps parle plus que sa bouche. Réticence ?... Envie cachée ?... J’ai envie de le découvrir tout comme j’ai découvert ses merveilleuses mauvaises odeurs.
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