Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 2 J'aime
  • 1 Commentaire

Fétichisme - Les flatulences

Chapitre 3

Dernier chapitre

SM / Fétichisme
Je caresse son corps, elle caresse le mien. Nous restons tels quels, nus dans cette scène digne d’un film porno soft. T’es chanceux comme lecteur hein ? Ou comme lectrice. T’as du fétichisme extrême et de l’érotisme soft dans une même histoire. Mais ne t’inquiète pas, ce n’est toujours pas une occasion de rallonger ce texte. Revenons à nos moutons.
Je suis avec Akari et on se caresse. Au début de ce qui semble être une pause, elle vient palper mes fesses pendant que je m’amuse à lui toucher les seins, un par un. Elle teste la fermeté de mes fesses assez généreuses pour celle d’un homme, rigole en essayant de soulever la fesse droite puis la gauche, me donne quelques petites fessées, car elle sait que j’aime bien ça... tout un assortiment de « taquineries sexuelles » comme j’aime à les appeler. Ces petits jeux ne sont pas trop extrêmes et après ce tsunami de foutre, je dois dire que ça me convient parfaitement !
Nos petits jeux tendent tantôt vers la taquinerie, tantôt vers les gestes affectifs. Akari me lance quelques regards en prenant soin d’y mettre beaucoup de désir. Elle me défie et me charme avec ses yeux qui manifestent néanmoins cette réserve éternelle. Cela ne l’empêche pas de continuer et encore moins de bien faire. Elle ouvre sa bouche de la même manière que quand elle gémit, mais ce sont des gémissements muets cette fois. Elle la referme en finissant ce geste par un regard qui communique son envie de se soumettre au sexe. C’est un regard qui fait paraître Akari triste, mais en réalité, elle ne fait que montrer qu’elle est prête à accepter les plus viles demandes. C’est un regard de serviteur.
La fille avec moi est toujours prête à jouir et à laisser son corps s’exprimer. Elle se mord maintenant les coins des lèvres avec le même regard séducteur de tout à l’heure. Chaque fois qu’elle se mord un coin de ses lèvres, mon sexe - qui git après ses efforts incroyables - reçoit une impulsion, jusqu’à ce qu’il devienne assez gros pour indiquer qu’il est prêt à laisser couler d’autres flots, mais ce ne sera manifestement pas pour tout de suite. Voyant cela, la Japonaise entreprend de le caresser. D’abord avec ses longs pieds, presque élancés et assez fins pour qu’on les imagine sans problèmes avec une robe de soirée digne des plus grands couturiers. Avec son gros orteil, elle vient chatouiller mon prépuce qui commence très légèrement à devenir rouge. La voilà qu’elle se sert de tous ses orteils pour tapoter sur le haut de ma queue. Ces mêmes orteils se mettent à caresser la bite comme si on caressait un chat dans le sens des poils.
Avec tout son pied droit, Akari fait des va-et-vient sous forme de caresses incessantes et finit par soulever plusieurs fois le sexe en lui demandant de se mettre en position. Par la suite, elle s’en va directement faire ses caresses avec ses lèvres. Une nouvelle stimulation pour celle qui est encore à moitié endormie. Mais ce n’est rien comparé à ce qui va suivre ! Akari soulève mes bonbons pour sentir toute cette sueur emprisonnée puis les repose. Presque une heure après l’orgasme, l’odeur est quasiment inchangée. Il faut dire que je n’ai aucun vêtement sur moi et que par conséquent, les odeurs ne se retrouvent pas sur le coton, le polyester ou je ne sais quelle matière qui compose ce type de produit. Heureusement, une chose magnifique se produit juste avant que je ne te parle de mes recherches sur le processus fabrication de sous-vêtements. La perverse soulève encore une fois mes bonbons pour bien renifler l’odeur qui se dégage juste en dessous.
Elle donne ensuite un bisou tout plein d’amour pour ce sexe masculin. C’est exactement ce qu’il fallait pour ma deuxième érection. Elle sent le côté droit puis le gauche. Elle renifle de manière bruyante mes testicules, mes poils...
Etc.
— Ça sent mauvais n’est-ce pas ? — Oui. J’aime beaucoup.
Sur cette réponse, elle fait un gros câlin à tout ce qu’elle vient de renifler. Elle revient de nouveau vers le prépuce et le couvre de baisers puis, n’y tenant plus, donne des coups de langue. Rien qu’à l’idée de le faire, elle dégouline ! Une crème glacée en serait jalouse de l’attention, du soin et de la précision du geste d’Akari ! Mon érection ne dure pas très longtemps, mais au fond, je sais que je peux me masturber sur les odeurs insupportables d’Akari afin de jouir une autre fois. C’est ce que je fais. Me masturber j’entends, pas jouir.
On est de nouveau assis, l’un à côté de l’autre, mais on se retourne un peu sur le côté pour se faire face et on se caresse. Je me mets sur mes genoux et joue un peu avec les seins d’Akari, mais comme c’est loin d’être la partie qui m’intéresse le plus, je ne m’y attarde pas. Je propose plutôt quelque chose de différent :
— Tu m’as fait des choses rigolotes tout à l’heure, mais c’est l’heure de passer aux choses sérieuses, lui dis-je en ayant un point de chute très précis derrière la tête. Tu peux facilement le deviner.
Pour arriver à mes fins, j’émets une suggestion. Elle consiste en un massage. Et pour l’exécuter, je viens derrière Akari avec comme première étape, le visage ! J’ai pour idée de le détendre après tous les bisous et les coups de langue, mais je me suis vite rappelé que je devais passer aux choses sérieuses ! Je passe donc à la vraie première étape qui est le massage des épaules. Je commence par appuyer avec mes mains en essayant de les faire baisser pour relâcher toute pression qui se serait accumulée dans la région. Je masse les épaules en passant sur tous les muscles et en pétrissant très légèrement. J’essaie d’exécuter quelques autres mouvements de masseur professionnel, mais je ne m’y connais absolument pas. Sans considérer les seins, je passe aux mains que je ne masse pas longtemps ceci dit. Je fais enfin une halte au niveau du ventre et c’est là que j’allonge Akari, mais pas complètement. À l’aide d’un oreiller, elle est à moitié allongée, toute nue et toute souriante.
Mes mains sont maintenant sur l’abdomen puis sur le reste du ventre. Le massage se fait de la même manière que quand on applique une huile ou une crème pour la peau. Je continue comme cela pendant un bon moment et je remarque que la peau est si douce à cet endroit. Je refais les mêmes mouvements, mais en appuyant cette fois. La coquine voit très bien ce que j’essaie de faire et rit puis me demande d’arrêter. Elle me dit qu’il n’y a rien pour le moment. Une autre petite séance de massage de l’épaule et des mêmes parties que tout à l’heure s’impose. J’attends le moment où Akari me dit qu’elle a un peu mal au ventre. Cela se produit enfin. En mangeant des œufs, elle savait à quoi s’attendre !
À présent, mon but c’est de faire sortir ce mal et le laisser me faire du bien ! Je refais donc mon massage du ventre et j’appuie, mais rien. Très déçu, je continue plus bas pour aller caresser le bas-ventre puis, bien entendu, le vagin. Je le masturbe, lèche mon doigt puis le fais rentrer à l’intérieur. Je refais l’opération plusieurs fois pour goûter toute cette excitation sous forme liquide qui s’échappe de cette fille.
Mes mains se baladent et descendent encore plus pour explorer des coins obscurs, dont le trou de balle. Dès que je fais entrer un doigt, je regarde Akari et lui dis :
— Il y a quelque chose là-dedans ?— Oui, un milliard de cellules...
Je retire mon doigt en riant un peu. Elle pète juste après :
— ... mais un seul comme celui-là pour l’instant.
L’humour d’Akari me plaît bien. Son pet aussi ! Oh mon Dieu ! Un autre cadeau d’elle. Le genre de cadeau dont je raffole. Un gaz qui s’est échappé de manière soudaine. Ce qui est, d’ailleurs, la plus belle caractéristique de ces vents odorants ! Ils surgissent soudainement telle une étoile filante. La seule différence c’est que quand une flatulence surgit, je n’ai pas besoin de faire un vœu !
Ce pet a sûrement été encouragé par la visite de mon index qui lui a amené un peu plus d’air pour qu’il se propulse et fasse trembler le rectum de cette si jolie fille. Au-delà du tremblement, un pet musical resonne dans la pièce. Il est plus long que les autres. Il est même assez long pour faire jouer quelques notes musicales à l’anus. Différents tons en un seul pet. Mélodie orgasmique. Mais le plus orgasmique là-dedans, c’est que son émettrice me regarde au moment où elle le lâche, quoique je n’y prête pas attention à ce moment-là. Je suis sans doute trop occupé à chercher d’autres moyens de la faire péter alors qu’elle va le faire moins d’une seconde plus tard. Quoi qu’il en soit, j’ai pu profiter de ce son magnifique !
— Il était long celui-là hein ?— Oh que oui ! J’ai ressenti ça comme une vidange !— Ahhhhh.
Je prends un si grand plaisir à imaginer chaque petit instant où Akari se soulage en émettant son vent écœurant près de moi. Je n’ai pas une idée exacte de la durée de ce dernier pet. Bien qu’il soit nettement plus long que les précédents, il ne dure pas plus de trois secondes, peut-être même moins... je me retrouve à diviser les secondes en millisecondes puis en microsecondes et ainsi de suite, car les pets sont des choses si éphémères et si plaisantes qu’il vaut la peine de diviser le temps en plus petites unités afin de ne rien perdre de la vie de chacun d’eux. La vie des pets d’Akari est, au minimum, précieuse ! Je l’imagine avec une expression de soulagement et juste avant que le vent ne soit complètement expulsé, j’imagine le visage de la douce en train d’attendre que ses intestins se vident et lâchent ce gaz qui a tant attendu et qui est sorti sous des airs musicaux, dont les notes et les moindres tons restent gravés dans ma tête. Le son le plus beau de la nature !
J’imagine aussi le... non ! L’imagination doit faire place au réel.
Le réel se compose de l’odeur et celle du pet d’Akari est à son tour composée d’œufs pourris. C’est presque la même que tout à l’heure d’ailleurs. Mais cette fois-ci, elle est mélangée à un je-ne-sais-quoi.
Pris dans l’étreinte chaude de ces senteurs, mon nez est totalement soumis et ce n’est qu’une question de temps avant que la soumission se transforme en plaisir. Cela se fait très rapidement. Je n’ai pas senti cette brise chaude qu’est la flatulence, mais mes sens en savent assez pour me communiquer leur plaisir qui devient le mien et libérer en moi un troupeau de molécules chimiques qui va, à son tour, œuvre pour l’orgasme. La finalité des flatulences.
Après avoir rapproché mon nez d’éproctophile de la merveilleuse source, je puis confirmer que ce pet sent les œufs pourris et l’échalote. Je manque de vomir. Ce qui, avec du recul, ne m’aurait pas forcément déplu, je crois. Mais mon manque de pratique me pousse à plus de prudence. Je ne renifle pas tout. L’expérience doit se faire en douceur. Je ne puis affirmer ce que mon savoir et mon expérience ne me permettent pas de comprendre après tout. Ce qui est étrange en cette situation, c’est que l’excitation continue de grandir. Un tel partage de l’intimité m’excite. J’aime tellement les flatulences d’Akari que certaines choses en moi changent et me font aimer ce qui paraissait impossible à faire avant.
L’air chargé de cette décomposition d’œufs, j’accepte volontiers de m’y soumettre et de le subir. Il a changé. Il nous entoure. Il nous enveloppe. La matière autour est devenue de nature différente. Soudainement, il ne s’agit plus d’une atmosphère, mais de moi en train de pénétrer à l’intérieur d’une odeur. Tout comme dans une eau qui m’emporterait par sa puissance, je me laisse noyer dans le pet d’Akari et si je ne quitte pas l’endroit, j’étouffe, je hume la pourriture, je laisse mon nez se faire piquer par une matière presque toxique ... Seulement, je crois bien que j’aime tout ça et je veux me noyer. Mon plus grand plaisir est d’être caressé par ce qu’il y a de plus dégueulasse : le gaz intestinal.Akari, quant à elle, commence enfin à assumer sa puanteur et surtout à tenir mes regards quand je lui dis que j’adore ce qu’elle m’offre. Je m’en vais l’embrasser, en plein milieu de ses gaz si odorants. Son pire est mon meilleur.
Je lui donne à la japonaise un bisou spécial. Je m’approche de son visage pour la regarder de plus près, mais son côté timide prend de nouveau le dessus. Elle ne me regarde plus. Ça ne fait rien. Je caresse très légèrement sa joue. Ma main passe, presque inexistante, mais aussi plaisante que la fourrure douce d’un chat qui passe à côté de toi et qui réclame sa nourriture. J’embrasse très fort une perverse qui s’est laissée aller pour moi. Je l’encourage à se lâcher et à accepter que ses gaz s’échappent devant moi pour que j’en sente toutes les subtilités.
— Quand tu te lâches. J’aime ça. J’aime tellement ça.
Elle reste silencieuse et, pendant un très court laps de temps, sourit. Elle ne peut être plus adorable.Cette flatulence d’Akari était forte, bruyante, musicale. Toute cette excitation est déjà forte, mais là où elle atteint des sommets, c’est quand je pense au contraste entre cette fille si agréable à regarder, si pure et naturellement attirante et son horrible, que dis-je insupportable gaz au son si disgracieux que s’il fallait trouver deux parfaits contraires dans l’univers, il ne faudrait pas chercher ailleurs !
Je me touche à présent la queue et je sens le cadeau d’Akari, son pet. De temps à autre, je laisse son odeur atteindre mes muqueuses sans avoir à la chercher. Je pénètre l’intimité de ma coquine olfactophile et je la laisse me pénétrer sans qu’il n’y ait de pénétration ... avec ma queue. Je profite de ces instants où l’odeur flotte encore dans l’air pour m’y soumettre et en renifler ce qui reste. Je continue de me toucher le sexe. Je me caresse aussi les boules.
Dire qu’Akari et moi nous partageons tellement de choses ensemble en plus de ce qu’elle vient de laisser sortir de son corps. On aime sentir le corps l’un de l’autre. Donnant ainsi aux plaisirs charnels une autre définition. Nos corps suants, on se plaît à faire les saletés les plus inavouables. Par-dessus les classiques du sexe, nous jouons des pièces où s’entremêlent nos corps. Des choses qui nous composent fusionnent, meurent et revivent. Le rendez-vous des particules fait de notre pièce théâtrale le plus beau ballet aérien qui puisse être offert à un fétichiste. Toute l’importance est accordée au détail et non à ce qui se voit. Quand on est fou de l’insaisissable, on ne se laisse pas emporter par le sexe visible, on s’illumine davantage lorsqu’on nous parle de cet air léger, mais horrible, de la disgrâce si odorante, mais si éphémère de la femme. Le pet, source de mille plaisirs.
Je sens maintenant que ces plaisirs peuvent se matérialiser sous forme de sperme. C’est pour ça que je continue à me masturber, car bien que le pet n’ait plus d’odeur, le bruit résonne encore dans la pièce. Après cela, il résonne dans ma tête. Après le pet, c’est autour du soulagement d’Akari de m’exciter. Ainsi vont les choses, jusqu’à ce que l’effet des quelques secondes magiques commence à s’estomper. Je continue de me masturber. Cela faisait quatre jours que je n’avais pas éjaculé. Bien que je n’ai pas de rythme d’éjaculation particulier, je profite de ce plaisir biologique au moins trois fois par semaine. Mon visage est maintenant tout prêt du trou de balle d’Akari. Je renifle fort puis demande à Akari d’écarter un peu ses chaires pour que mon nez oublie l’air pur ! On s’embrasse, je la masturbe et elle en fait de même avec moi jusqu’à me faire jouir une deuxième fois.
Le pet de la Japonaise aux mille fantasmes n’a pas dépassé les trois secondes, mais l’odeur qu’il laisse, son son qui résonne encore dans la tête et sa chaleur restent pour ce qui m’a semblé être une petite éternité.
Diffuse en direct !
Regarder son live