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Le Feu d'Artifice

Chapitre 3

Inceste
Après les embrassades du soir, chacun rejoignit sa chambre. Christian fut le premier à utiliser la salle d’eau pour une toilette intime, après l’éjaculation qui lui avait souillé le bas-ventre. Sitôt la porte de sa chambre refermée derrière lui, Christian, vêtu uniquement de son pantalon de pyjama, s’empressa d’aller ouvrir la porte-fenêtre donnant sur le balcon, comme le lui avait demandé sa tante. Jetant un coup d’œil à l’extérieur, il comprit le plan de sa parente. Tout le long de la façade courait le balcon de bois, desservant les deux chambres ; la sienne et celle de sa tante. C’était donc par là que cette dernière viendrait le rejoindre… Prenant soin de laisser entrouverte la porte-fenêtre, ainsi que lui avait recommandé Solange, Christian alla s’étendre sur le lit, terriblement excité et quelque peu angoissé. Il tâcha d’imaginer ce que serait la suite de sa nuit. Presque inconsciemment, il porta une main à son sexe qui lentement, au fil de ses pensées, se redressait lentement. Ne voulant pas se montrer trop ridicule vis-à-vis de sa tante, Christian, dans un effort de concentration, tenta de se souvenir de ses lectures érotiques, glanées çà et là sur internet.
De l’autre côté de la cloison, aussi excitée que pouvait l’être son neveu, et peut-être aussi angoissée, Solange se préparait pour son rendez-vous secret. C’était la première fois qu’elle allait rejoindre un adolescent pour faire l’amour, elle qui était habituée à rencontrer des hommes plus murs. Et cet adolescent à qui elle s’apprêtait à offrir ses charmes était le propre fils de son frère.    Assise entièrement nue devant sa coiffeuse, elle s’efforça d’effacer les outrages que les ans et les abus sexuels avaient imprimés sur son visage. Christian qui toute la soirée, et sur l’esplanade de la Vierge et dans la voiture, ne l’avait vu que dans la pénombre, allait dans quelques minutes la découvrir en pleine lumière, telle qu’elle était : avec ses fines pattes d’oies à la commissure des yeux et ses rides péribuccales autour de la bouche. Elle ne voulait surtout pas que l’ado la découvre ainsi. Aussi, avec beaucoup de soins, elle utilisa du fond de teint pour cacher les marques de l’âge. Puis méticuleusement elle appliqua à la brosse, du mascara "volumisant" sur ses cils, après avoir étendu du fard à paupières "satiné", afin de donner de l’éclat et de l’intensité à son regard.   Satisfaite du résultat, au bout d’un quart d’heure d’applications, Solange décida alors de s’occuper de sa bouche. Choisissant un rouge à lèvres rouge nacré, elle l’appliqua au pinceau sur ses lèvres ourlées, leur donnant plus de relief, les rendant encore plus sensuelles qu’elles étaient. Jugeant du résultat obtenu, Solange fixa l’image que le miroir lui renvoyait. Son visage allongé à la peau mate, héritage de ses parents espagnols, s’encadrait d’une longue chevelure brune qui lui retombait souplement sur les épaules. Sous des sourcils fins en arc de cercle, qu’elle épilait consciencieusement chaque semaine, ses yeux aux pupilles noires brillaient ce soir d’un éclat tout particulier. Ses narines dilatées, par rapport à son nez mince et droit, conféraient un air de sensualité attesté à son visage ; sensualité renforcée encore par ses lèvres particulièrement charnues, qui concédaient à sa bouche un charme gourmand. Une bouche à faire les pipes aimaient lui signifier ses différents amants. Jugeant son examen satisfaisant, rassurée sur l’attrait de son visage, Solange quitta la coiffeuse pour aller choisir la chemise de nuit la mieux adaptée à la visite qu’elle allait faire. Passant devant l’immense miroir sur pied placé au centre de la pièce, elle s’immobilisa, face à lui. D’un œil critique, elle scruta sa silhouette. Du fait de sa petite taille, elle ne mesurait qu’un mètre soixante, son corps s’en trouvait quelque peu enveloppé. Ses hanches fortement évasées, dans lesquelles ses amants aimaient crochetés leurs doigts, donnaient naissance à des cuisses fortes et musclées ; à la jointure de celles-ci moussait une toison aussi brune que sa chevelure. Toison qu’elle taillait fréquemment, afin d’éviter qu’elle se transforme en une forêt impénétrable. Et surtout cette tonte permettait de rendre accessible sa longue fente aux chairs incarnat. Ses seins ronds, sans être énormes, étaient suffisamment volumineux pour attirer les regards des hommes qu’elle croisait. Bien que toujours fermes au toucher, ils n’avaient plus l’arrogance de leur jeunesse ; leurs poids les faisaient légèrement se ployer sur son torse, sans pour cela leur ôter leur sensualité. Elle était sure que Christian, comme tous les amants qui les avaient passionnément triturés, serait conquis par le velouté de ses mamelles. Pivotant sur elle-même, Solange scruta l’image que lui renvoyait le miroir. Ses hanches agréablement rebondies donnaient naissance à une croupe large et charnue. Deux masses rondes et pulpeuses séparées l’une de l’autre par la longue et profonde raie des fesses. Etait-ce du fait de la cambrure de ses reins qui donnait un relief particulier à sa croupe, mais tous les amants qui l’avaient baisé lui avaient laissé des marques douloureuses sur ses fesses triturées. Ses rondeurs fessières étaient la partie de son anatomie que ses amants semblaient le plus apprécier lors de leurs joutes amoureuses. En serait-il pareil avec Christian ?    Jugeant qu’il était temps d’aller rejoindre son neveu, Solange chercha dans ses vêtements de nuit, celui qui serait le plus apte à affoler l’adolescent. Elle opta pour une nuisette translucide, au profond décolleté en carré, qui en fait, laissait dénudée la partie supérieure de ses seins, ainsi que la presque totalité de ses cuisses. La parure vaporeuse s’arrêtant à ras son pubis était bordée d’un galon de dentelle mauve au niveau du décolleté et au bas, ce qui dissimulait quelque peu la toison de son sexe.    Ainsi peu vêtue, Solange emprunta le balcon qui allait la mener jusqu’à la chambre voisine, où Christian devait l’attendre impatiemment. Un léger courant d’air s’engouffra sous la nuisette, lui caressant les fesses ainsi que la chatte, la faisant déjà frissonner de plaisir. L’épiderme traversé par des frissons érotiques, elle poussa la porte-fenêtre laissée entrebâillée par Christian, comme elle le lui avait recommandé. Le cœur battant la chamade, plus émue qu’elle ne l’eut cru, elle pénétra dans la chambre où son neveu l’espérait. Elle découvrit celui qui allait devenir son amant, étendu sur son lit, torse nu, vêtu uniquement du pantalon de son pyjama. Faisant des efforts pour atténuer l’émotion qui l’étreignait, elle avança vers l’adolescent qui la fixait d’un regard extasié.
    Lorsque sa tante pénétra dans sa chambre, Christian demeura comme statufié sur sa couche. Vêtue de sa nuisette translucide, sa parente lui apparut encore plus sexy que dans ses fantasmes. Son regard ne pouvait vraiment s’arrêter à un endroit précis du corps merveilleusement troublant qu’il découvrait. Le tissu transparent laissait apparaître les seins, qui pour lui qui n’en avait jamais vu autrement qu’en images, lui apparurent énormes. Les mamelons foncés se détachaient nettement, comme deux pièces rapportées sur les rondeurs plus claires des mamelles. S’il laissait descendre son regard, c’est la touffe noire délimitant le sexe féminin qui l’hypnotisait. Soudain, Christian se rendit compte que sa main était toujours enfouie dans le pantalon de son pyjama, à étreindre sa verge incroyablement gonflée. Vivement il la retira, espérant que sa tante ne s’était aperçue de rien.
    Ayant repris le contrôle de son émotion, Solange s’approcha du lit où Christian la regardait s’approcher le regard brillant.     — Tu me fais une petite place, demanda-t-elle en s’allongeant à ses côtés, n’attendant pas de réponse de l’ado.    Comme Christian continuait de la regarder sans parler, trop intimidé, semblait-il, pour pouvoir prononcer la moindre parole, Solange éprouva un énorme sentiment de tendresse envers le fils de son frère. Jugeant qu’elle se devait de tranquilliser son neveu paralysé par la situation, elle se pencha doucement vers son visage pour poser sa bouche contre la sienne dans un tendre baiser. Comme sortant de léthargie, Christian lui ouvrit ses lèvres entre lesquelles elle s’empressa de glisser sa langue. Lentement, puis de plus en plus passionnément, à mesure que le désir grandissait dans ses entrailles, elle fouilla la bouche de l’ado, léchant son palais, l’intérieur de ses lèvres et de ses joues, tout en l’abreuvant de sa salive.
    D’abord passif, Christian s’anima peu à peu sous le baiser passionné de sa tante. Comprenant qu’il se devait de réagir, il repoussa la langue qui s’agitait à l’intérieur de sa bouche, à l’aide de la sienne. Alors à son tour il entreprit de rendre le baiser, fier de montrer son savoir. Commença alors un ballet fougueux entre les deux langues où celles-ci se frôlèrent, se taquinèrent pour enfin se nouer dans un baiser plein de fougue et de sensualité. Dans un élan plein de passion, Christian entoura les épaules de sa tante, l’attirant à lui.
    Sous ce baiser chargé d’érotisme, Solange sentit son désir s’accroitre au plus profond de ses entrailles. Une source bien connue s’écoulait subtilement de sa chatte en émoi. Sans cesser de jouer avec la langue de son neveu, elle posa une main impatiente sur le torse glabre de celui-ci. La douceur de la chair la fit frissonner ; cela la changeait des torses velus de ses amants ordinaires. Avec une délectation sensuelle, elle caressa lentement le buste de Christian, glissant insensiblement sa main en direction du bas-ventre, but de son exploration. Lorsqu’elle arriva à la ceinture du pyjama, elle glissa habilement sa main sous l’élastique, le cœur battant. Un même frisson secoua les deux complices lorsque les doigts fureteurs entrèrent en contact avec le gland dilaté et largement décalotté par l’érection.    Avec un sentiment de joie extrême, Solange referma sa main autour du pal de chair palpitant. Enfin elle pouvait empoigner cette verge tant désirée. Cette verge, qui en se frottant à elle toute la soirée, avait allumé cet incendie au tréfonds de son vagin. Comme elle l’aurait fait avec un jeune animal apeuré qu’elle aurait voulu rassurer, elle caressa doucement la jeune bite, faisant habilement coulisser la peau mobile le long de la collerette sensible du gland. Le tressaillement qui secoua le bas-ventre de Christian n’échappa pas à Solange, lui procurant un plaisir incontestable. Accélérant alors sa sensuelle masturbation, elle murmura à son jeune partenaire :    — Tu es bien ?... Tu aimes ?...
    Aimer ! Le mot était faible pour exprimer ce que Christian éprouvait. Déjà dans la voiture, lorsque sa tante l’avait branlé à travers son slip, il avait découvert un plaisir encore jamais ressenti. Mais présentement, aucun écran ne se trouvait entre sa verge et la main qui le masturbait, et le plaisir s’en trouvait décuplé. Enfin, pour la première fois, une main féminine lui caressait le sexe et le résultat dépassait tout ce qu’il avait pu s’imaginer. La main de sa tante œuvrant le long de queue exacerbée était d’une douceur surprenante.
    — Tu as une copine, interrogea soudain Solange, prise d’une curiosité perverse ?    — Heu, oui, avoua Christian que la question de sa tante avait tiré de son alanguissement voluptueux.    — C’est une fille de ton âge ?    — Ouui…    Continuant dans son intérêt vicieux, Solange continua :    — Et qu’est-ce vous faites tous les deux ?... Elle te branle ?    — Oh, non !     Avec Angèle, qu’il fréquentait depuis deux mois seulement, ils n’avaient fait qu’échanger quelques baisers. Angèle se refusait systématiquement à tout attouchement. Aussi devait-il se branler après chaque rendez-vous pour calmer ses sens en ébullition.    Une bouffée de moiteur submergea Solange. Elle allait être la première à faire connaître à l’adolescent le plaisir qu’une femme peut offrir à un garçon. Elle allait être son initiatrice sexuelle…    — Mon pauvre chéri, susurra-t-elle… Laisse-moi faire…    Pivotant sur elle-même, elle se plaça de façon à pouvoir s’occuper de ce membre qu’elle sentait frémir entre ses doigts. Prestement elle repoussa le pyjama, impatiente. Libéré le jeune membre viril se redressa plein d’orgueil, tel un menhir de chair consacré au dieu « Priape ». Galvanisée, Solange s’empara de la verge qui semblait la narguer, refermant passionnément ses doigts autour. Comme elle l’avait deviné dans la voiture, alors qu’elle la branlait à l’aveuglette, la verge qu’elle contemplait était plutôt courte, par rapport aux nombreuses bites qu’elle avait manipulées auparavant ; mais par contre, point de vue du diamètre, elle n’avait rien à envier aux plus grosses qu’elle avait dû subir, dans sa chatte, et entre ses fesses.Terriblement émue à la pensée que la queue qu’elle tenait en main était celle du fils de son frère ; ce frère, à qui elle avait si souvent vidé les couilles du temps de leurs propres adolescences, Solange repoussa délicatement le prépuce. Dégagé, le gland lui apparut comme une énorme friandise de chair rose. Fixant le méat d’où allait jaillir ce divin nectar, elle agita sa main le long de la verge tendue, la masturbant lentement, mais avec beaucoup d’émotion.
    Immobile, Christian se laissa envahir par ce plaisir qui prenait naissance depuis son membre viril voluptueusement caressé. La main de sa tante officiant le long de sa verge tendue lui offrait une réelle délectation. Le plaisir qu’il ressentait était tellement plus voluptueux que ce qu’il connaissait lorsqu’il se branlait lui-même. Mais alors qu’il se laissait peu à peu emporter par l’euphorie que lui procurait la savoureuse masturbation, Christian sentit soudain ses couilles malaxées par sa sensuelle tante. Tout en le branlant d’une main, Solange lui avait saisi les bourses pour les presser délicatement entre ses doigts. Cette nouvelle caresse, encore inconnue, lui procura un tel ravissement, qu’il ne put empêcher son bas-ventre de se contracter subitement. Jamais il n’aurait imaginé que l’on puisse éprouver un pareil plaisir à se faire ainsi palper les couilles. Lorsqu’il se branlait, le soir seul dans son lit, il n’avait jamais eu l’idée de se tripoter les bourses. Sa tante venait de lui apprendre combien cela était agréable.    — Tu aimes ? Lui murmura Solange, qui éprouvait elle-même une véritable félicité à branler cette jeune queue à la chair si douce... C’est meilleur que lorsque tu te le fais toi-même ?    — Oh oui ! Gémit Christian aux anges.
    Ressentant une volupté insolite, mais terriblement émouvante à masturber cet adolescent qu’était son neveu, Solange continua à faire longuement coulisser sa main refermée le long de la verge durcie. Véritable experte dans l’art de la masturbation, de temps à autre elle se penchait sur la verge qu’elle tenait entre ses doigts, pour cracher sur le gland congestionné, rendant ainsi sa caresse plus fluide, plus sensuelle... Jamais elle n’avait éprouvé une telle jouissance à branler un homme ; et Dieu sait qu’elle en avait manipulé des bites : de la petite massive à la longue effilée. Le fait de masturber un ado, la renvoyait à l’âge où adolescente elle-même, elle branlait son frère dans l’intimité de leur chambre ; elle retrouvait les mêmes émois qu’à l’époque.
    Sous cette caresse nouvelle pour lui, Christian ne tarda pas à éprouver une incroyable sensation au niveau du bas-ventre. Comme animées d’une vie propre, ses hanches s’agitèrent de plaisir.
    Comprenant, aux secousses de plus en plus désordonnées qui agitaient les reins de son neveu, que ce dernier n’allait pas tarder d’atteindre le point de non-retour, Solange cessa immédiatement son affolante masturbation. Et afin d’empêcher l’adolescent d’éjaculer trop rapidement, elle pressa fortement la base du gland prêt à exploser, l’étranglant franchement.    — Essaye de te retenir, conseilla-t-elle doucement à l’ado... Tu verras, ce n’en sera que meilleur... Nous avons toute la nuit devant nous.
    Dans un effort prodigieux, Christian contracta frénétiquement son bas-ventre, tentant dans un effort désespéré de retenir l’éjaculation qu’il sentait prête à jaillir de sa verge palpitante. Aidé par l’étranglement que sa habile parente pratiquait autour de son gland dilaté, il réussit avec beaucoup de contractions à refouler le jaillissement qu’il sentait imminent.
    Ce n’est que lorsqu’elle sentit le bourgeon de chair cesser de frémir entre ses doigts, que Solange relâcha sa pression autour du membre palpitant. Alors seulement elle libéra le gland cramoisi.    — Ça va mieux ? Questionna-t-elle émue.    — Oui, balbutia Christian qui se sentait quelque peu lésé, de ne pas avoir été au bout de sa jouissance.    Devant l’air désappointé de son compagnon de jeu, Solange éprouva une affectueuse pitié :    — Mon pauvre chéri, tu m’as l’air vraiment malheureux… Attends, je sais comment me faire pardonner.    Le désir qu’elle avait de sentir une bite s’enfoncer dans sa chatte était trop intense pour qu’elle manque l’occasion qui s’offrait à elle. En laissant Christian se vider les couilles, alors qu’il avait déjà joui quelques instants auparavant, était un risque que Solange ne pouvait se permettre si elle voulait être embrochée par ce gourdin de chair qu’elle tenait en main. Comme Christian était étendu sur le dos, livré à ses fantasmes, elle l’enjamba prestement lui faisant face. Elle s’accroupit au-dessus de son pubis, en ondulant légèrement des hanches, de façon à ce que les grandes lèvres de sa vulve gorgées de cyprine épousent les contours de la jeune verge. Percevant la dureté du membre contre les chairs intimes de son sexe, un long frisson de désir la traversa. Découvrant alors le regard extasié avec lequel Christian fixait ses seins que sa nuisette mettait plus en valeur qu’elle ne les cachaient, elle sentit ses mamelons se gonfler tandis que ses tétons s’érigeaient, telles deux minuscules bites.    Sous le regard insistant de l’adolescent, Solange se sentit comme enveloppée d’un écrin érotique. Toute sa chair réclamait un apaisement. Aussi, ne pouvant résister plus longtemps à ce désir qui la faisait frissonner, elle se débarrassa promptement de sa nuisette, offrant avec extase sa nudité à son jeune compagnon.
    Les yeux fixés sur les lourdes mamelles qui oscillaient sensuellement à quelques centimètres de son visage, Christian sentit avec émotion une chaude humidité envelopper sa verge. Comme quelques instants auparavant, à bord de la voiture, sa tante mouillait ; et au vu de l’extrême chaleur qu’il percevait à même sa queue, sa parente et complice sexuelle était en proie à une incroyable excitation. La vision des merveilleux seins étonnamment gonflés, objets de ses fantasmes les plus fous, joint à l’abondante humidité qui lui engluait la bite, bouleversa totalement Christian ; au point de lui enlever toute volonté. Lors de leur retour de Biarritz, l’obscurité qui régnait à l’intérieur de l’habitacle de la « 308 » avait été la complice de ses attouchements sur sa tante. Mais présentement, en pleine lumière, même si celle-ci était diffusée par la lampe de chevet posée sur la table de nuit, le fait que sa tante prenne les initiatives et cela dans la plus complète nudité le statufiait. Seul son regard s’activait, allant des seins en forme de poire, qui à cause de leur volume s’affaissait légèrement, effleurait le bas-ventre délicieusement arrondi, où moussait une toison noire.    C’était la première fois qu’il pouvait contempler une femme entièrement nue, autrement qu’en images, et le spectacle qui s’offrait ainsi à ses yeux, s’il le fascinait, l’intimidait aussi. Il n’osait pratiquer le moindre geste de crainte de paraître ridicule aux yeux de sa tante.
    Solange, dont la chatte extrudait une véritable rivière de mouille ardente, jugea qu’elle se devait de se montrer plus active dans son rôle d’initiatrice. Christian se montrait étonnamment complexé, alors que quelques instants auparavant, à bord de la voiture, il avait fait montre de plus d’audace.    — Tu aimes mes seins, interrogea-t-elle, sachant pertinemment combien son neveu était attiré par sa poitrine… Tu les trouves à ton goût ?    Plus d’une fois, elle avait surpris l’adolescent jeter des regards furtifs en direction des saillies que faisaient ses seins sous ses corsages. Si cela l’avait quelque peu amusé, l’insistance de Christian à lorgner ses appas mammaires avait fini par lui procurer un certain plaisir. Aussi ce soir elle tenait à lui offrir ses appas mammaires, comme un cadeau.    — Tu les trouves beaux, insista-t-elle en les pressant dans ses mains, afin de leur donner un peu plus de volume… Tu ne veux pas les toucher ?... Je sais que tu en meurs d’envie !...
    Se décidant enfin, Christian avança ses deux mains en direction de cette merveilleuse poitrine qui l’avait tant fait fantasmer. Brutalement, il crocheta ses doigts dans les lourdes mamelles moelleuses, arrachant un petit gémissement à sa tante.
    Sous cet attouchement maladroit et quelque peu brutal, Solange ressentit un plaisir surprenant. Ce n’était pas exactement ce qu’elle en espérait, mais la maladresse de l’adolescent lui procurait quand même une certaine sensation voluptueuse. Aussi décida-t-elle d’encourager ce dernier, de le guider. N’était-ce pas ce qu’elle avait désiré en lui proposant de passer la nuit près de lui.     — Doucement mon chéri, conseilla-t-elle… Caresse bien les bouts… Tu sens comme ils sont durs !…
    Se souvenant de tout ce qu’il avait pu apprendre, par ses lectures et aussi par le visionnage de films pornos, sur les caresses à prodiguer aux femmes, Christian entreprit de mettre en pratique ce qu’il avait mémorisé. Plaçant ses mains tout contre les larges mamelons bistre, il entreprit de les masser à l’aide de ses paumes. Percevant la raideur des tétons, il s’appliqua à les écraser tout en les frottant par un mouvement tournant de ses mains. Voyant sa tante se cambrer, la bouche entrouverte sur un doux gémissement, il sut qu’il avait réussi sa caresse. Le résultat allait au-delà de ses rêves les plus fous ; sous son attouchement, sa tante se comportait comme ses filles qu’il avait si souvent contemplées sur les vidéos visionnées sur internet.    Les reins cambrés, comme pour mieux offrir sa poitrine aux caresses, Solange lui avait saisi les mains, le guidant dans ses palpations tout en l’encourageant de la voix… Soudain, un détail précis, lu sur une des histoires de « Xstory » lui revint en mémoire. Il saisit les deux tétons, étonnamment raides, entre ses doigts pour les pincer délicatement. Avec application, il entreprit de les rouler entre ses pouces et ses index, les tirants à lui, étirant bizarrement les tendres mamelles. Un léger râle langoureux, émit par sa sensuelle partenaire, accompagna son initiative érotique. Sa tante semblait aimer ce genre d’attouchement, car elle se mit à onduler immédiatement des hanches, en un mouvement d’avant en arrière, frottant vigoureusement sa chatte trempée contre sa verge.     Le massage humide de sa queue par les lèvres sexuelles procura un tel plaisir à Christian, que dans un réflexe instinctif il serra plus fortement ses doigts sur les tétons qu’il malaxait. Aussitôt un nouveau râle, plus profond, plus jouissif s’échappa de la gorge de sa tante.
    Si elle avait compté initier son jeune neveu aux sensuels jeux érotiques qu’il devrait plus tard pratiquer avec ses conquêtes féminines, Solange se trouva vite dépassée par les initiatives de son élève. D’abord timide, Christian avait peu à peu trouvé de l’assurance. Aussi lorsqu’il avait entrepris de se concentrer sur ses tétons, déjà fortement érigés, les pinçant entre ses doigts, Solange avait perdu toute volonté. Sans le savoir, l’adolescent venait de découvrir l’un de ses points érogènes. Les palpations de ses seins lui avaient toujours apporté une véritable volupté, mais la partie la plus sensible était indiscutablement ces excroissances qui se dressaient au centre de leurs aréoles. Il suffisait que son partenaire du moment s’en prenne à ses tétons, pour que ce déclenche une véritable décharge électrique dans tout son corps ; et cela depuis sa puberté. Le premier qui lui avait fait découvrir cette particularité avait été évidemment son frère jumeau avec lequel elle avait connu ses premiers plaisirs.    Au fil des années, cette singularité n’avait fait que s’amplifier. Il lui était arrivé, à maintes reprises de mouiller sa culotte lors d’un orgasme foudroyant, créée par un amant fou de désir lui triturant sauvagement les tétons. Percevant, affolée, la jouissance prendre possession de ses organes génitaux ; et cela à cause des pincements que Christian infligeait à ses tétines érigées, Solange le stoppa en lui emprisonnant les mains dans les siennes.    — Non !... Arrête !...    Devant l’air surpris de l’ado, elle tenta de lui expliquer :    — C’est trop bon, mon chéri !...     Son plan, quand elle avait décidé de rejoindre son jeune neveu dans sa chambre, était de lui procurer le maximum de plaisir, et c’était exactement le contraire qui se passait. Elle avait laissé Christian devenir l’organisateur de leurs jeux érotiques, alors que c’était à elle à mener les ébats.Interrogatif, Christian la fixait, quémandant une réponse. Repoussant alors les mains qui enveloppaient toujours ses seins gonflés, elle amena sa lourde poitrine jusqu’au visage de son diabolique neveu. Plaquant l’un de ses mamelons que le désir grossissait sur sa bouche, elle lui murmura :     — Embrasse mes seins !...
    Désappointé d’avoir été stoppé lors de ses attouchements mammaires, Christian retrouva immédiatement l’envie de montrer à sa tante son savoir-faire. Il s’empressa de gober le mamelon qui s’écrasait contre sa bouche. Tel un nourrisson, il entreprit de téter le sein que sa tante lui offrait, éprouvant une véritable ivresse sexuelle. Aspirant fortement le mamelon dilaté, il referma ses dents autour de l’excroissance rigide qui en émergeait, le mordillant à la manière d’un chiot affamé. Une série de petits gémissements s’échappèrent de la gorge de sa complice.     — Huumm, c’est bon… Oh oui mon bébé. Tête-moi bien !... Oui, j’aime !...
    Dans le mouvement qu’elle avait effectué pour offrir ses seins à la bouche de son neveu, Solange avait relâché la pression de sa vulve contre la virilité de l’adolescent. Libérée de la contrainte que lui imposait le sexe féminin, la verge, tel un ressort soudain détendu, se redressa brusquement. Malgré le plaisir qu’elle ressentait sous les succions avides de son jeune partenaire et qui la plongeait dans une espèce de cocon voluptueux, Solange perçut immédiatement ce qui se passait entre ses cuisses. Le gland mafflu avait glissé le long de sa fente et par rapport à sa position, était venu se placer à l’entrée de sa vulve. Ce contact qu’elle avait tant désiré tout le long de la soirée, au point de se retrouver présentement au lit avec celui qui avait chamboulé ses sens, déclencha en elle une bouffée de chaleur. Ne pouvant résister plus longtemps à ce besoin de pénétration, à sentir le bourgeon dilaté du gland s’enfoncer au cœur de son vagin, Solange lança sa croupe en arrière. Avec un plaisir fabuleux, elle sentit le sexe masculin s’enfoncer à l’intérieur de sa chatte. Reins arqués, le corps parcourut par une onde voluptueuse qui l’enveloppa dans un bulle de bien-être, elle s’empala avec ivresse sur la queue tendue de son jeune neveu.
    Alors qu’il tétait avec enivrement le sein moelleux que sa tante lui offrait, Christian sentit soudain un manchon brûlant envelopper son membre. L’effet fut si prodigieux, si intense qu’il en cessa sa succion. Il n’avait jamais eu de rapport sexuel avec une femme, autrement qu’en rêve, mais il comprit immédiatement où son membre était enfoui !... Cette chaleur, jointe à l’abondante humidité qui enveloppait sa verge, ne pouvait venir que de la chatte de sa tante. Celle-ci s’était embrochée sur sa bite. Sous ce brasier qui lui échauffait le gland, Christian s’immobilisa appréciant cette sensation nouvelle.Lorsque sa tante changea de position, lui ôtant de la bouche le mamelon qu’il tétait, Christian en éprouva un sentiment de dépit ; mais lorsque Solange, s’étant allongée sur lui, colla sa bouche à la sienne, l’excitation reprit le dessus. Avant que sa sensuelle parente ne tente d’introduire sa langue entre ses lèvres, il la devança en enfonçant vivement la sienne dans la bouche accueillante. Alors s’engagea un nouveau ballet harmonisé entre les langues de la tante et de son neveu ; chorégraphie passionnée pleine de fougue dans un océan de salive savoureuse. Tout en s’appliquant à montrer à sa tante son savoir-faire sur l’art du baiser, Christian perçut soudain le manchon brûlant coulisser lentement le long de sa verge. L’effet fut si saisissant qu’il en cessa d’agiter sa langue dans la bouche de sa partenaire.    — Tu aimes, lui murmura Solange, stoppant de même son baiser ?    — Oh oui, réussit à gémir Christian !...    — C’est vrai, tu n’as jamais fait l’amour ?... C’est la première fois que tu baises une femme ?    — Oui…
    A la pensée qu’elle était en train de dépuceler son adolescent de neveu, comme elle l’avait fait quelques années plus tôt avec son père, Solange éprouva une incroyable exaltation. Le destin se répétait étonnamment. Déjà à l’époque, c’est elle qui avait dirigé les ébats, Luc, comme son fils aujourd’hui avait été son partenaire passif ; elle l’avait pratiquement violé, même s’il n’avait rien fait pour se défendre.     Cependant, ce mandrin de chair qui la pourfendait échauffait diaboliquement les chairs de sa vulve, Solange accéléra ses coups de reins. Avec ivresse elle fit coulisser ses lèvres sexuelles, gorgées de sang, le long de bitte juvénile qui la pourfendait ; depuis la racine jusqu’au gland. Un plaisir de plus en plus soutenu se répandait à l’intérieur de son sexe dégoulinant d’une rosée épicée, lui mordant le bas-ventre avant de se répandre en vagues successives le long de ses reins. Ses seins eux-mêmes captaient ces ondes voluptueuses, les gonflant d’un désir dominant. Cependant, malgré l’euphorie sexuelle que lui prodiguait la bitte enfouie à l’intérieur de sa vulve, et qu’elle masturbait à l’aide des parois spongieuses de son vagin, Solange désirait autre chose. Tout son corps appelait plus de caresses. Bizarrement, alors que lors du trajet en voiture, Christian s’était montré audacieux, osant des attouchements très précis, là il demeurait particulièrement passif, comme paralysé par l’émotion de se retrouver à faire l’amour. Solange songea qu’elle se devait d’orienter son neveu, de lui faire prendre confiance ; n’avait-elle pas décidé de l’initier ! Posant de nouveau l’un de ses seins contre la bouche de Christian, elle lui murmura d’une voix la plus sensuelle possible :    — Embrasse-le !... J’aime quand tu me suces les bouts !...
    Soudainement réveillé de sa léthargie sexuelle, Christian aspira le mamelon boursouflé que sa tante lui offrait. Comme quelques instants plus tôt, il referma ses lèvres autour du téton rigide, le tétant avec ivresse. Ses fantasmes les plus fous se réalisaient grâce à sa sensuelle tante. Tout à sa fougue sexuelle, il s’acharna sur l’excroissance de chair, le pinçant entre ses dents tout en le flagellant de sa langue.
    Sous les morsures que l’ado faisait subir à son téton gercé, Solange poussa un gémissement où se mêlaient plaisir et douleur combinée.    — Oh, oui… C’est bon, mon chéri… Continue !...     Tous pincements de ses tétons lui procuraient toujours une félicité extraordinaire. Christian venait, de déclencher des ondes voluptueuses de plus en plus intenses dans son corps. De longs frémissements de plaisir, prenant naissance depuis ses seins martyrisés, irradièrent le creux de ses reins. Emportée par ces vagues de volupté, Solange agita fébrilement sa croupe, se pistonnant le vagin avec une passion grandissante.     — Caresse mes fesses, haleta-t-elle soudain, au summum du désir.    Lorsqu’elle faisait l’amour dans cette position, placée sur son partenaire, elle ressentait toujours le besoin de se faire malaxer les fesses, cet attouchement exacerbait les terminaisons nerveuses de sa croupe, accentuant encore son plaisir.
    Enfin libéré de son indolence due à la crainte de se montrer maladroit, Christian lança ses deux mains en direction de la croupe remuante de sa sensuelle parente. Sans cesser cependant de suçoter et mordiller l’excroissance du sein qu’il avait en bouche, il referma ses doigts dans les rondeurs fermes et pourtant malléables. A la manière d’un marmiton pétrissant sa pâte, il malaxa les chairs veloutées, éprouvant une véritable excitation à modeler de ses doigts la croupe nerveuse qui ondulait sensuellement sous ses attouchements.
    A se faire ainsi pétrir les fesses, Solange perdit toute retenue. Sous le bien-être qui l’envahissait, l’enfermant dans un bien-être voluptueux, elle se démena de plus en plus sensuellement sur le membre qui la pourfendait.     — Oh oui… C’est bon… Oui ! Continue… Hhuummm…
    Ne pouvant répondre, du fait du mamelon qui lui obstruait la bouche, Christian, sous le plaisir qui le gagnait, lança son bas-ventre en avant, poussant sa verge dans les tréfonds du vagin ardent.
    Sous cette brutale pénétration, Solange poussa un long râle.    — Rrhhaaa ! Oh oui !... Je sens ton bout au fond de mon ventre ! C’est merveilleux !...    Aussitôt, comme si le gland en percutant son utérus avait déclenché un raz de marée à l’intérieur de son vagin, une onde de volupté d’une force incroyable lui parcourut les reins, la cambrant sur le corps de son jeune amant. Sous cet impact qui la projetait dans une houle lubrique, Solange lança sa croupe dans une chorégraphie érotique. Elle agita ses hanches dans une impulsion pleine de sensualité. Elle entreprit de remuer sa croupe de droite à gauche, tout en continuant de faire coulisser sa vulve de bas en haut le long du mandrin qui l’emplissait. En exécutant ce mouvement circulaire, elle forçait le gland blotti dans son vagin à frotter l’intégralité des parois de sa vulve gorgée de sève.
    Cette façon particulière qu’avait entamée sa tante de lui masser la verge surprit étrangement Christian, au point qu’il en lâcha le téton qu’il suçait, pour mieux apprécier ce qu’il ressentait au niveau de son sexe. C’était comme si celui-ci, prisonnier d’un vibreur, était malaxé en tous sens. La gaine brûlante qui l’enserrait se resserrait convulsivement, pressant l’extrémité de sa verge dans un étau incandescent, puis la pression se relâchait pour reprendre aussitôt. Sa tante, par un procédé auquel il ne s’attendait pas, forçait son vagin à se contracter à loisir. Sous cette étonnante caresse qu’il découvrait, Christian éprouva un tel plaisir qu’il sentit la jouissance lui crisper le bas-ventre. Affolé à l’idée de jouir à l’intérieur du ventre qui le masturbait d’une manière affolante, il voulut prévenir sa tante de l’imminence de son orgasme. Mais trahi par ses sens, il ne réussit qu’à émettre un grognement de bête blessée lorsque sa bitte cracha sa semence.
    Solange perçut immédiatement à la crispation des mains de son neveu sur ses fesses, que celui-ci approchait de l’orgasme. Excitée à l’idée d’être la première à permettre à l’adolescent à se vider les couilles dans un sexe féminin, elle accéléra le mouvement de ses hanches, branlant frénétiquement la jeune verge à l’aide de ses parois vaginales. Lorsqu’elle sentit Christian se cambrer frénétiquement elle comprit que l’ado allait jouir, et comme tous les hommes qui avaient joui en elle, il allait annoncer son orgasme par un râle incontrôlable. Or la chambre dans laquelle ils faisaient l’amour était proche de celle des parents de Christian, le couloir les séparant, et il n’était pas question que ceux-ci soient alertés par les cris de leurs fils. Avant que son jeune amant n’exprime son plaisir, elle le bâillonna de sa bouche.    Au moment même où elle posait ses lèvres sur celle de son neveu, Solange sentit la verge de l’ado tressauter à l’intérieur de sa grotte intime, libérant sa semence. La chaleur du sperme lui emplissant le vagin, déclencha alors chez elle, un formidable raz de marée sexuel. Une onde sensuelle d’une incroyable intensité lui traversa le corps, la faisant se cambrer convulsivement. La jouissance la saisit à son tour.
    Tout à son orgasme, les doigts crochetés dans les fesses de sa tante, Christian sentit avec émotion, le vagin aspirer son gland, comme pour en extraire les ultimes gouttes de sa semence…
    *    * *
    La première Solange reprit ses esprits. Délicatement elle libérera sa vulve de la verge inerte qui lui avait inondé le vagin, mais qui présentement avait perdu de sa rigidité. Au moment où le gland ramolli s’échappa de sa chatte, elle sentit un chaud liquide s’écouler d’entre ses grandes lèvres, lui engluant l’intérieur des cuisses.    "Mon dieu, qu’est-ce qu’il m’a mis, songea-t-elle émue et attendrie"    Portant une main curieuse à son sexe comblé, elle recueillit avec son majeur un peu de cette liqueur, faite de sperme et de cyprine. Curieuse, elle porta son doigt souillé à ses lèvres. Avec gourmandise, elle lécha son majeur maculé, se régalant du goût épicé de sa jouissance mêlée à celle de son jeune amant.    Comme Christian semblait reprendre ses esprits à son tour, elle se pencha vers lui pour l’embrasser tendrement.    — Tu es bien mon chéri ?... C’était bon ?    — Oh oui, bégaya Christian au comble du bonheur.    Sachant par expérience qu’en général tous les hommes ont besoin d’être encensés sur leurs performances sexuelles, Solange s’empressa de complimenter son jeune amant.    — Moi aussi j’ai aimé que tu me fasses l’amour… C’était formidable…     Même si en fait c’était plutôt elle qui avait mené leurs ébats, elle n’en continua pas moins.    — Tu m’as énormément fait jouir… Mais tu avais une sacrée réserve ! Surtout qu’il me semblait que je t’avais déjà vidé les couilles dans la voiture !... Tu décharges toujours autant quand tu jouis ?    — Heu, je ne sais pas…    Empaumant les couilles de l’ado, Solange l’embrassa de nouveau tendrement.    — C’est bon, maintenant… Je pense qu’elles sont vides…    Puis comme Christian la regardait d’un air suppliant, elle comprit sa préoccupation qu’il n’osait émettre.     — On recommencera, dès que l’on pourra… Mais il ne faut pas que tes parents se rendent compte de ce qui s’est passé… Tu es d’accord ?    — Oh oui, s’empressa d’acquiescer Christian, tout heureux à l’idée qu’il pourrait de nouveau connaître la jouissance dans le sexe d’une femme, même si cette femme était sa tante.    — Bon ! Dors maintenant, il se fait tard…
    Comblé sexuellement, Christian regarda sa sensuelle parente remettre sa nuisette qui en fait ne cachait rien de ses magnifiques appas. Lorsque pour quitter la chambre, sa tante se dirigea vers la porte, il ne put s’empêcher de fixer, émerveillé, les larges hanches charnues, ainsi que la croupe dodue, sabrée par le long sillon séparant les fesses. Comme elle atteignait la porte, Solange lui confia :    — Tu m’as donné soif !… Je descends à la cuisine boire un verre d’eau. Endors-toi !... Et surtout demain matin, pas un mot, pas un signe.    Après un discret coup d’œil dans le couloir desservant les chambres, Solange s’assura que celui-ci était éteint. Preuve que ni son frère ni sa belle-sœur ne se trouvaient là. Alors elle referma la porte de la chambre de Christian. Puis actionnant l’interrupteur permettant d’éclairer le couloir, elle se dirigea en direction de l’escalier de bois qui menait au rez-de-chaussée. Comme elle poussait la porte de la cuisine, une silhouette lui apparut dans la pénombre, l’immobilisant de surprise.    — Excuse-moi, sœurette, j’avais soif, je t’ai pris une bière au frigo !    Solange sentit son cœur s’emballer dans sa poitrine. Se trouver avec son frère au milieu de la nuit : la pendule accrochée au mur indiquait deux heures. Vêtue d’une nuisette si translucide que ses appas ne pouvaient qu’attirer les regards de son jumeau, lui procura un trouble émotionnel. Certes Luc l’avait déjà vue entièrement nue, mais cela remontait à plusieurs années : avant son mariage avec Isabelle. Une étrange sensation s’empara de Solange ; elle ressentait une certaine gêne de se montrer ainsi, dans une tenue terriblement érotique, et en même temps elle éprouvait une intense excitation à lui dévoiler ses charmes. Depuis seize ans qu’ils avaient cessé toutes relations sexuelles, son corps avait subi les outrages des ans ; ses seins qui s’étaient considérablement alourdis s’avachissaient mollement sur son torse. Ses hanches avaient pris de l’ampleur, ainsi que sa croupe qui s’était élargie en s’arrondissant.    — Je vais prendre un jus de fruit réussi à articuler Solange dont l’émotion nouait la gorge.    Elle se présenta face au réfrigérateur dont elle ouvrit la porte. Lorsque la lumière interne du réfrigérateur l’illumina, elle comprit soudain que cette lumière dévoilait ses formes dans un halo suggestif ; elle en éprouva aussitôt un plaisir pervers à offrir les contours de son corps aux regards de son frère.    — Tu veux une autre bière ? demanda-t-elle à Luc, la voix soudainement enrouée par un étrange désir.    Sa question n’avait pour but que de prolonger sa présence devant l’éclairage, devinant que Luc ne devait rien perdre du spectacle qu’elle lui offrait.    — Je veux bien, entendit-elle dans son dos… Je te tiendrais compagnie…    Alors seulement Solange changea de position. Les boissons se trouvant dans le bas du frigo, elle se pencha pour se saisir des bouteilles, consciente que dans cette position, elle offrait à son jumeau la vision de sa croupe évasée, fendue en son centre.
    Adossé à la table de la cuisine, sa bouteille de bière vide à la main, Luc, d’abord surpris par l’apparition de sa sœur à cette heure de la nuit, demeura ébahi en constatant la tenue de celle-ci. Il y avait si longtemps qu’il n’avait plus contemplé le corps de sa jumelle, que ce qu’il découvrait là le ramena dix-huit ans plus tôt. A l’époque où en plus des liens de fratrie qui les unissaient, ils partageaient leurs premiers émois sexuels. Lorsque la lumière du frigo éclaira de face sa jumelle, les contours de son corps sensuel se découpèrent nettement sous la transparence de la nuisette qui la vêtait. La vision des hanches agréablement arrondies et de la croupe large et charnue déclencha en lui une bouffée de désir : ce même désir qu’il éprouvait dix-huit ans plus tôt. Il sentit avec émoi son membre se redresser lentement dans son pantalon de pyjama.Lorsque Solange lui faisant face s’approcha pour lui tendre sa bouteille de bière, son regard accrocha les rondeurs qui déformaient le devant de la nuisette. Les dômes supérieurs des seins ronds émergeaient largement du décolleté. Devant le spectacle affolant des aréoles sombres des lourdes mamelles visibles sous le tissu ténu de la nuisette, Luc demeura comme pétrifié, hypnotisé par les mamelons ocre.     L’interjection moqueuse de Solange le tira brutalement de sa léthargie sexuelle :    — He bien, qu’est-ce que tu as à fixer mes seins comme ça ?... Je sais qu’ils ne sont plus comme tu les as connus... A l’époque ils étaient beaucoup plus fermes !    — Heu, non !... Je les trouve encore plus beaux qu’à l’époque, s’empressa de corriger Luc.    — Menteur !... Mais c’est gentil… Regardes comme ils sont devenus, ils ne se tiennent plus, continua Solange en saisissant ses seins dans ses mains pour les soulever, leur donnant plus de volume.    — Ne dis pas ça, bégaya Luc, le regard fixé sur les masses mammaires que Solange comprimait de ses paumes. Ils sont magnifiques !    — C’est vrai ?... Tu les trouves encore beaux ?    — Tu es encore plus belle maintenant. J’ai le souvenir d’une jeune fille un peu maigrichonne et je retrouve une femme pleine de sensualité… Comment se fait-il que tu sois toujours célibataire ?... Les hommes du coin sont vraiment aveugles.    — J’ai connu beaucoup d’hommes, tenta d’expliquer Solange. J’ai eu des amants. Beaucoup… Mais aucun n’a réussi à me décider à faire ma vie avec lui… J’ai compris au fil du temps que dans chacun d’eux, c’est toi que je recherchais… Aucun n’a jamais réussi à me faire oublier nos étreintes… Aucun ne m’a procuré ce plaisir que je ressentais lorsque tu me faisais l’amour… Et toi as-tu pensé à moi quelquefois ?    Après un long moment de silence, Luc annonça d’une voix mélancolique :    — Je dois te faire un aveu... Quelque temps après mon mariage, chaque fois que je faisais l’amour à ma femme, c’est à toi que je pensais… C’est ton corps que j’imaginais serrer dans mes bras…    — Oh, Luc ! s’exclama Solange terriblement émue par la confidence de son jumeau.    Retrouvant la passion qui l’avait uni à son frère du temps de leur adolescence, Solange entoura le cou de Luc de ses bras, plaquant son corps au sien… Qui posa le premier ses lèvres sur les lèvres de l’autre ? Ils auraient bien été incapables de le dire, mais ils se retrouvèrent unis dans un baiser plein d’ardeur sexuelle. Après seize ans de séparation, leurs langues se retrouvaient pour exécuter le plus sensuel des ballets, se cherchant, s’agaçant, virevoltant dans un océan de salive parfumée. Sous la passion de leur baiser qui les unissait, leurs sens ne tardèrent pas à s’enflammer comme aux plus beaux jours de leurs jeunesses. Accrochée au cou de son frère, Solange, victime de sa libido, ondula doucement des hanches, frottant avec délectation son ventre contre la dureté qu’elle percevait chez son jumeau. Les sens de nouveau en émoi, Solange s’excita à masser le pal de chair rigide à l’aide de son pubis. Cependant, à percevoir ce sexe masculin lui meurtrir le bas-ventre, elle sentit sa vulve s’humidifier de désir. Un sentiment de panique s’empara d’elle en songeant qu’elle possédait encore le sperme de Christian au plus profond de son vagin. Et dans l’épanchement qu’elle percevait suintant de sa chatte, sa mouille se mêlait à la semence de l’adolescent.
    Aussi excité que pouvait l’être sa sœur qui lui massait le sexe avec son ventre, Luc lança ses mains dans le dos de sa jumelle. Se saisissant de l’extrémité de la nuisette, il la retroussa avec une intense émotion. Le contact des seins moelleux s’écrasant contre sa poitrine lui procura une bouffée de désir si impétueuse qu’il força sa sœur à se coller plus étroitement à lui. Plaquant ses mains contre les rondeurs des fesses douces et étonnamment fermes, il malaxa avec volupté les chairs duveteuses. Tout en pétrissant avec passion la croupe moelleuse, il appuya plus fortement sa verge tendue contre le pubis de Solange.
    Les deux bras enlaçant le cou de son frère, le visage niché au creux de son épaule, Solange ressentit un frisson de sensualité lui parcourir le creux des reins en percevant contre son ventre la dureté du sexe de son frère. Une bouffée de désir se répercuta au plus profond de son vagin. Il lui fallait cette verge à l’intérieur de son sexe : elle voulait de nouveau faire l’amour avec son jumeau, ici, immédiatement. Son sexe en émoi réclamait cette queue qui l’avait ouverte et fait femme au temps de leurs apprentissages amoureux.    Glissant une main impatiente entre leurs deux corps, elle la glissa habilement dans le pyjama afin de se saisir du membre viril convoité.    — Hmm…    — Qu’est-ce que tu cherches là, tenta de plaisanter Luc, victime d’une soudaine montée de désir. Ravi au fond de lui-même que sa sœur prenne l’initiative, comme elle l’avait toujours fait du temps de leurs adolescences.    Incapable de contrôler ses sens en ébullitions, le bas-ventre contracté par le désir, Solange ne réussit qu’à émettre un feulement.    — Donne-la-moi !... Je veux la sentir en moi !...    — Là ?... Maintenant ? Ne put s’empêcher de demander Luc, tout excité à cette idée.    — Oui !... J’ai trop envie !... Je la veux !... Il y a si longtemps !... Mets-la-moi !...    Complètement tourmentée par l’impétueux désir qui la faisait littéralement ruisseler, lui poissant l’intérieur des cuisses, Solange crocheta l’élastique du pyjama qu’elle repoussa fébrilement, dénudant l’objet de sa convoitise. Refermant sa main autour du membre viril gonflé de son frère, elle le pressa fiévreusement.    — Comme elle est grosse, haleta-t-elle… Donne-la-moi !... Maintenant !...
    Luc, dont le désir était largement aussi fort que celui de sa sœur, se refusa de songer aux risques qu’ils prenaient : Isabelle, sa femme ou Julien, son fils pouvaient faire irruption dans la pièce à tout moment. Refermant ses mains autour de la taille de sa jumelle, il pivota sur lui-même, plaçant cette dernière entre lui et la table. Usant de sa force, il la souleva afin de l’asseoir à même le plateau de bois.
    Concevant le projet de son jumeau, Solange s’empressa de poser ses fesses sur la table de cuisine, sur laquelle elle s’étendit jambes grandes ouvertes. Ramenant ses genoux contre sa poitrine, elle écarta largement ses cuisses, offrant sa vulve copieusement humidifiée à son frère.    — Viens maintenant, implora-t-elle… Prends-moi !...
    Malgré la pénombre qui régnait dans la cuisine, que seul l’éclairage du couloir éclairait quelque peu, Luc contempla le corps terriblement sensuel de sa jumelle qui s’offrait à lui. La fine nuisette chiffonnée autour du cou était l’unique parure qu’elle portait. Placé comme il l’était, Luc pouvait admirer les appas appétissants de sa sœur : les seins ronds retombaient délicatement de chaque côté du torse, du fait de la position de Solange, leur donnant encore un peu plus d’attraits érotiques. Cependant son regard était surtout attiré par le sexe où une luxuriante toison cachait la longue fente sexuelle. Une irrésistible envie d’y poser sa bouche et de lécher les chairs juteuses le saisit. Mais sachant qu’il n’avait pas le temps de s’attarder, Isabelle pouvant se réveiller et venir voir ce qui le retenait, il renonça à contrecœur à ce baiser particulier. Saisissant sa verge à la racine il la guida en direction de la vulve qu’il avait tant de fois explorée du temps de son adolescence.    Lentement, presque religieusement il glissa son gland entre les grandes lèvres vaginales, l’enfonçant doucement entre les chairs juteuses. A peine son champignon dilaté se trouva enfoui à l’intérieur de la chatte accueillante, que Luc ressentit une sensation de chaleur entourer l’extrémité de sa verge. L’effet fut si intense qu’il cessa immédiatement sa pénétration.
    Alors qu’elle s’apprêtait à connaître enfin ce plaisir de faire de nouveau l’amour avec son jumeau, Solange demeura surprise par la soudaine immobilité de ce dernier. Impatiente de percevoir la progression du membre viril à l’intérieur de sa chatte trempée, elle lança son bas-ventre au-devant de la queue convoitée.    — Oui, gémit-elle dans un souffle…
    Pris d’un désir pervers, Luc retira complètement sa verge de la vulve torride.    — Oh non ! Gémit Solange… Qu’est-ce que tu fais ? Reviens !    La plainte amoureuse de sa sœur procura un plaisir pervers à Luc. Lentement, il introduit sa queue, prenant soin de n’insérer de nouveau que l’extrémité. Comme Solange lançait son bassin en avant, cherchant l’introduction du membre à l’intérieur de son vagin, il se retira aussitôt, se refusant à pénétrer entièrement dans le vagin qui tentait de l’avaler. Aussitôt sa volcanique jumelle l’interpella.    — Oh, non !... Je t’en prie… Baise-moi !... J’en ai trop envie !... Je t’en prie !... Donne-moi ta queue !...    Jugeant alors qu’il avait suffisamment fait languir sa sœur et qu’il n’avait pas le temps de prolonger son pervers jeu érotique, Luc positionna de nouveau son gland face à l’ouverture intime de sa complice. Cramponnant les hanches rebondies de sa sœur, il enfonça lentement la totalité de sa verge dans le vagin embrasé, arrachant une longue plainte à sa partenaire.    — Ooohhh oouuuii !... Je sens ton gros bout au fond de mon ventre !… Oohh, c’est terrible !... Tu es si loin… Rrhhaaa…    Le pubis accolé aux grandes lèvres sexuelles de sa jumelle, Luc s’immobilisa soudain, laissant Solange se démener à sa guise autour du pieu qui la pourfendait. Un sentiment fait d’étonnement et de béatitude le saisit : sa queue se trouvait au centre d’une fournaise visqueuse. L’abondance de sécrétions vaginales le surprit. Jamais sa femme, même aux moments les plus torrides de leurs étreintes, n’avait autant mouillé. Son gland était plongé dans un véritable fleuve de lave incandescente. Surpris par cette abondance de cyprine qui emplissait le sexe de sa jumelle, il s’en étonna.    — Tu as si envie que ça ?... Tu es trempée !...
    Cette constatation que lui confia Luc ramena brutalement Solange à la réalité. Immédiatement elle prit conscience que son frère venait de plonger sa bitte dans les résidus de sperme que son fils avait déversé dans son vagin quelques instants plus tôt. Cette pensée lui procura une excitation vicieuse d’une réelle intensité. Une boule de feu lui laboura le bas-ventre tandis que son vagin se contractait autour du gland dans un spasme jouissif. Ivre de luxure, elle interpella son frère d’une voix que le désir rendait plus éraillée :    — Oui, j’ai trop envie de ta queue !... Ça fait si longtemps !... Je t’en supplie… Ne me laisse pas comme ça !... Baise-moi !...
    Luc comprit que sa sœur était arrivée au paroxysme de son désir, alors que lui-même avait le plus grand mal à conserver son sang-froid. A l’intérieur du vagin à la chaleur torride, sa verge semblait prête à exploser lui semblait-il. Aussi abandonnant son immobilité, qui exaspérait tant Solange, il entama une sensuelle danse du ventre, agitant souplement ses reins. Avec délice il fit coulisser son membre entre les grandes lèvres sexuelles de sa jumelle. Ce fut comme si sa queue glissait à l’intérieur d’un manchon à la douceur veloutée : dans une crème fluide et extrêmement chaude. Insensiblement il accéléra le rythme du va-et-vient de son mandrin au sein de la chatte liquéfiée. Le son singulier d’un clapotis liquide déclenché par leurs sexes en mouvements vint perturber le silence de la pièce, excitant un peu plus les deux amants.
    Les doigts crispés à même le rebord de la table sur laquelle elle était étendue, ivre de luxure, Solange referma ses jambes autour des reins de son partenaire. Chaque coup de boutoir que Luc assénait à l’aide de son bélier durci se répercutait dans ses entrailles en puissantes ondes voluptueuses qui se propageaient dans son corps, la faisant se cambrer convulsivement.    Malgré l’orgasme que Julien lui avait fait connaître quelques instants plus tôt, elle percevait dans son vagin labouré, l’imminence d’un nouveau spasme de plaisir. Des fulgurances de jouissance traversaient son corps en rafales. Son ventre se contractait au rythme des va-et-vient de la bitte qui la pourfendait, se relâchait, et des sensations ensorcelantes irradiaient tout son être.    Au moment où Luc dans un grognement animal s’écroula sur elle, jouissant, l’orgasme la saisit, alors que son vagin se remplissait du sperme épais et copieux de son jumeau.
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