Je devais avoir 16 ou 17 ans. Je faisais du camping avec mes parents, mais j’avais une tente à part ( sur un autre emplacement). Le soir on avait pris l’habitude de faire des feux de camp sur la plage. Un soir, on rencontre une fille vraiment très jolie avec sa copine. Mon pote emballe la jolie fille et moi je fais choux blanc avec la copine. (ça arrive). Le lendemain, elle nous invite dans son camping pour leur feu de camp. Là pas de copine mais la mère de la jolie fille. Et sa mère passez moi l’expression mais Waoh! Elle me raconte qu’elles ne sont que toute les deux et que son mari est à Paris pour affaires depuis 3 semaines. Au fil de la soirée je vois bien que la mère, qui s’appelle christiane, dit chris, a un peu bu et qu’elle est un peu chaude. Plus ça va plus elle se colle à moi. La présence de sa fille m’embête un peu. J’essaie de la jouer fine. Vers 22 heures, Chris s’emballe un peu plus, des attouchements par-ci, des caresses par-là, mais assez discret pour que personne ne remarque rien, la nuit ça aide. 23 heures, tout le monde décide de lever le camps, Chris décide de rester pour nettoyer un peu et biensur je reste pour l’aider. Ca y est, on est seul, le nettoyage dure 30 secondes, elle me regarde et m’embrasse à pleine bouche. Elle est douce, ses seins son lourds et fermes. Elle ne porte pas de soutien gorge c’est un vrai délice. Elle retire mon polo, m’embrasse les tétons, descend le long de mon ventre, retire mon jean, et me caresse le sexe à travers mon slip. Je bande comme je n’avais jamais bandé. Des fantasmes me passe par la tête. Je prend les chose en main, et c’est à mon tour de la désahiller, je m’attarde longuement sur ses seins (90b ou c), je les lèche, les mordille, les pince entre mes doigts. Elle commence à gémir, ses pointes sont dures, sans quitter ses seins, mes mains descendent et lui retirent sa petite jupe légère. Elle porte un string. Ses fesses sont rondes, musclée. Tout de suite me vient un autre fantasme en tête. Je lui laisse son string et j’embrasse son sexe par dessus le tissu, doucement, je passe un doigt sous son string pour éffleurer son clito. Ses mains cherche mon sexe, je lui laisse le caresser, puis le met hors de portée. J’écarte son string et ma langue lui lèche un grand coup tout le sexe de bas en haut. Elle gémit et pousse un cri rauque. Je replonge vers son clito et je lui lèche, le suce, le mordille, son bassin bouge, se tord dans tous les sens, une main sur ses seins l’autre arrive pour aider ma langue. Elle se dirige vers son vagin et un doigt puis deux la pénètre. Elle se pelote les seins, elle bouge de plus en plus, me dit qu’elle veut mon sexe. Mes doigts se retirent de sa chattte pour se diriger vers son anus qui est complètement lubrifié tant elle dégouline. Un doigt la pénètre très facilement, mon pouce titille l’entrée de son vagin. Elle cherche à s’empaler de plus plus profondément sur mes doigts, ma langue joue toujours avc son clito. Elle va jouir, pour moi c’est de la folie, juste avant son orgasme, un deuxième doigt entre dans son petit trou, à ce moment là elle joui, elle crie, m’écrase la tête sur son clito. Aprés quelques instants de calme, elle m’a pris dans sa bouche, mon sexe me faisait presque mal tellement il était dur, elle m’a sucé, caressé les bourses. Je l’ai arrété, je ne voulais pas jouir comme ça tout de suite. Je l’ai allongé sur le dos, et tout doucement je l’ai pénétrai, millimètre par millimètre, jusqu’à être arrivé au fond, je suis ressorti et j’ai recommencer deux fois, elle essayait de bouger mais je lui bloquais les hanches, elle me mordait les épaules. Je ressortais encore une fois puis je la pénétrais d’un coup d’un seul, d’un trait, jusqu’à la garde. Elle me griffa le dos et elle jouie. Je ne la laissais pas retomber, je lui pris les jambes, les mis à la verticale sur mes épaules et là je lui fis l’amour sans me retenir, sans compter, tous mes coups étaient rapides, forts, je sentais quasiment le fonds de son vagin, mes bourses tapaient sur son petit trou, mes mains lui pétrissaient les seins. On a joui ensemble, j’ai crié mais je crois qu’elle a crié encore plus fort. Aprés mon ejaculation j’ai continué mes coups de boutoir, elle m’a demandé d’arréter, de la laisser respirer un peu. On était allongé cote cote sur nos vêtements, chaque fois que je lui caressais un seins c’était comme si elle recevait une décharge. Au bout d’un moment, elle se releva un peu et commença à engloutir mon sexe, d’après elle pour le laver. Mais ça a eu pour effet de me redonner vigueur. Elle m’embrassa avec un sourire et me chevaucha, ses seins bougeait devant moi, je pouvais les caresser, les lécher, les mordre. Elle commençait à bouger de plus en plus vite, moi pour l’instant je n’avais encore recharger tout mes accus, je la laisser faire, je la regardais jouir à nouveau, c’était beau. J’étais toujours en elle, je n’avais pas encore joui, toujours dans la même position elle me demanda mon age. Je lui retournais la question, elle me dit 40, tout doucement sans lui répondre je me retire d’elle, je l’embrasse et l’aide à se mettre à quatre pattes, là je pénètre normalement, je la prend de plus en plus vite,mon pouce s’aventure dans son petit trou, elle jouie à nouveau, et là je réalise un de mes fantasmes, je ressort d’elle et positionne mon sexe un peu plus haut, elle tourne la tête vers moi et me dit ’doucement’. Je rentre en elle, doucement, moment exquis, sensation délicieuse, je commence mon va et vient avec beaucoup de précaution. Son orifice se dilate, je lui demande si je ne lui fais pas mal, elle me répond que si elle avait mal elle ne mouillerait pas comme ça, ma main descend vers sa chatte, c’est inondé. Je prends ses seins à pleines mains, et reprends mes va et vient de plus en plus vite. Avant d’exploser, je m’arrête, elle m’ordonne de continuer, de la prendre, de lui faire mal, je dit que ça va venir mais avant je voulais répondre à sa question et je lui donne mon age. Elle ne dit qu’une chose ’Non!’, je lui dit ’Si’, et la je reprend mes coups de boutoir de plus belle, elle crie, me demande de la prendre encore plus fort, de la faire jouir, elle remue tellement que je ne peux plus me retenir. J’explose dans ce cul qui m’a accueilli. Nous nous sommes revus plusieurs fois cet été là.