25 décembre 2014, Mon sang ne fait qu’un tour tandis que la main de mon père frôle les fesses de Lucile, confirmant par la même occasion mes doutes. Les images de la veille tournent en boucle dans ma tête… Trahison. Il n’y a pas de mot plus approprié pour exprimer mon ressenti. Je ne sais pas alors ce qui me retient de leur crier dessus : "Surtout faîtes comme si je n’étais pas là !" Je vois Lucile repousser la main baladeuse, tenter de masquer son embarras, et malgré son visage cramoisi poursuivre comme si de rien n’était. Mais je ne suis pas dupe. Plus maintenant. Si au moins elle avait su faire preuve d’autant de retenue la nuit précédente… Je reste donc planté sur ma chaise, rumine ma colère, ne sachant trop quelle attitude il me faut tenir pour quelqu’un dans ma situation. Mon paternel contemple les formes de Lucile, pensant être suffisamment malin pour échapper à ma vigilance. Je ne suis pas d’un naturel jaloux. Et encore moins soumis à des accès de violence. Peut-être que si la personne en question n’était pas mon père… J’ai donc passé le plus clair de mon temps à les surveiller. Ma mère s’étant absentée l’après-midi pour rendre visite à une de ses amies, nous nous retrouvons seuls avec mon père. Lucile est assise sur mes genoux, converse avec mon père qui a préféré le confort du canapé. Ce même canapé où ma moitié a expérimenté il y a peu de nouveaux plaisirs… Je ne les écoute pas vraiment, trop occupé à broyer du noir, des réflexions plein la tête. J’entends alors Lucile rire à une blague de mon paternel, et me ramène brusquement à la réalité. C’est la goute d’eau qui fait déborder le vase, si vous me permettez l’expression. Je bondis presque de mon siège, manquant de faire tomber Lucile, me justifie pour ne pas éveiller les soupçons. — Tu devrais m’accompagner, dis-je à Lucile. Elle soutient mon regard l’espace d’une seconde, intriguée, et à ma grande satisfaction accepte la main que je lui tends. Je m’attarde sur les courbes magnifiques de son postérieur tandis que nous montons les marches de l’escalier… Lucile a revêtu une robe anormalement courte pour cette période de l’année, faite dans un tissu très léger, embellissant sa silhouette déjà impeccable. Imaginer qu’elle la porte uniquement pour attirer l’attention de mon père… — Tu m’as l’air tendu, répond Lucile une fois dans la chambre. Je ne réagis pas lorsqu’elle se glisse dans mon dos, me caresse le torse et les avant-bras, puis descend lentement vers mon ventre alors que sa bouche abreuve mon cou de petits baisers, très coquine dans sa gestuelle. Elle me chuchote à l’oreille : — Je sais quoi faire pour rendre mon homme heureux. Lucile introduit sa main dans mon pantalon, agrippe mon sexe à moitié bandé, le libère de sa prison en faisant preuve d’une habileté déconcertante. Je sens un frisson parcourir mon corps quand elle s’agenouille à mes pieds, une étrange lueur dans les yeux, et vient lécher ma tige sur toute sa longueur. Par la suite, elle décalotte mon gland du bout des lèvres, le gobe entièrement et enroule sa langue autour, me faisant gémir de plaisir. Sa main droite enserre ma verge, la fait longuement coulisser entre ses doigts experts pendant que la gauche caresse mes testicules. Loin de moi l’envie de lui faciliter la tâche… Pourtant son jeu de langue n’a jamais été aussi bon et à mesure que le temps passe me rapproche un peu plus de la jouissance. Lucile semble lire dans mes pensées car je la vois intensifier ses caresses, tout sourire, puis tirer la langue dans l’espoir de recueillir ma semence. Mais je ne peux me résoudre à la satisfaire. Pas après ce qu’elle m’a fait. Je réussis donc à la repousser, au prix d’un incroyable effort.
— Qu’est-ce que… Je ne la laisse pas finir sa phrase, la saisit par la taille et la plaque contre la commode. Elle fait mine de se redresser mais je l’en empêche, écarte le compas de ses jambes autant que possible, puis retrousse sa robe. — C’est nouveau ça, constate Lucile, qui semble apprécier la tournure des évènements. — Comme si ton petit manège était passé inaperçu… Je n’entrevois qu’une seule possibilité pour toi. Et ne compte pas sur moi pour te ménager. — Je ne voudrais pas te priver de ce plaisir, mon amour. Ooohhh ! J’ai… J’ai été très vilaine. Ooohhh ! Après avoir écarté la ficelle de son string, je glisse deux doigts dans sa fente humide et la masturbe frénétiquement, lui murmure à l’oreille : — Je vais te couper l’envie de coucher avec un autre. Lucile se positionne alors sur la pointe des pieds pour que je puisse la sonder plus en profondeur, les mains posées sur le rebord de la commode, et me supplie de continuer. C’est bien mon attention de lui faire payer son infidélité… Lucile semble possédée par le démon du sexe, agite son popotin de façon vulgaire, et une mouille blanche abondante s’écoule à présent de sa fente poisseuse. Ma langue vient titiller son clitoris devenu très sensible, le maltraite un peu plus. — Je… Je suis toute à toi, parvient-elle à dire entre deux soupirs. Je… Oh ! Ooohhh ! Tu me tues ! Son cri se répercute aux quatre coins de la maison. Elle ne s’attendait pas à ce que je la prenne si brusquement… Je regarde ma verge se perdre à l’intérieur de son vagin, et reparaître dégoulinante de cyprine. — Je n’imagine même pas à quel point tu as pris ton pied avec lui… — Si tu savais… Aaah ! Ma verge va si loin que Lucile est obligée de se cramponner à la commode pour ne pas bondir dans les airs. — Je… Oui ! Continue comme ça ! J’ai le sentiment de redécouvrir celle que j’aime… Cette seconde version de Lucile me fait abandonner toute retenue. Je la tiens fermement par les hanches, la pénètre si vite que mes testicules martèlent sa vulve. — Mon Dieu… Oh ! Je jouis ! JE JOUIS ! Lucile s’effondre à moitié sur le meuble, prise de tremblements, et hurle son plaisir à qui veut bien l’entendre. J’en profite pour introduire mes deux pouces dans la raie des fesses, contemple son anus trempé et me précipite à l’intérieur, lâche un râle profond en remplissant son trou de ma semence. Nous restons collés un long moment. Assez pour que je puisse reprendre mes esprits. — Tu as été fantastique, me confie Lucile. Je souhaiterais en dire autant mais l’infidélité de Lucile me revient en pleine face. Et une question ne cesse de me brûler les lèvres... — Ton amour pour moi est-il toujours sincère ?— Bien sûr que je t’aime. — Donc toi et mon père c’était juste un coup comme ça…— Je pourrais te mentir et dire que je n’ai pas apprécié coucher avec ton père… Je ne serais pas honnête avec moi-même. Mais mon amour pour toi est toujours aussi fort, je te le jure. Je ne sais trop quoi penser de tout ça. — Me laisserais-tu recommencer ? Avec ton père… Je n’en reviens pas qu’elle puisse me demander une chose pareille.
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