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Ma fiancée me trompe avec...

Chapitre 4

Hétéro
21 janvier 2015,
Lucile s’est mise en quatre pour égayer la soirée… Je me rappelle les yeux brillants et interrogateurs du réceptionniste à la vue de ma compagne, les remerciements de cette dernière après avoir été longuement complimenté sur sa beauté. Son corps agréable dissimulé sous une robe de soirée écarlate, Lucile sait qu’elle est sous le feu des projecteurs. Ils sont quelques-uns à tourner la tête lorsque nous traversons le restaurant pour rejoindre notre table mais la seule vraie personne qui compte ce soir, c’est moi. Lucile a passé tout son temps à me chauffer. Si vous croyez que trois semaines loin de mon père ont suffi à calmer ses ardeurs…
Il est tard quand nous débarquons devant la porte de l’appartement, serrés l’un contre l’autre, nous embrassant sans la moindre retenue. Ma main droite remonte lentement la cuisse de Lucile, soulève le bas de sa robe et découvre qu’elle ne porte pas de culotte – elle m’avoue s’en être débarrassée pendant le dîner. Sa chatte plus humide que jamais dégouline au contact de mes doigts, provoque chez moi une érection si forte qu’elle en devient douloureuse. Nous continuons à l’intérieur, ayant entendu des bruits de pas dans les escaliers. Heureusement pour nous la musique des voisins couvre l’essentiel de nos ébats…
— Anhhh ! Guillaume… C’est ça ! Oui… Baise ta salope de fiancée !
Agenouillée sur le lit, le corps en avant, les fesses redressées et les cuisses ouvertes au possible, Lucile se branle sauvagement tandis que je la pénètre, glissant à l’occasion quelques mots bien salaces. Je la devine toute proche de l’orgasme car ses cris se font plus appuyés.
— Oh, mon Dieu ! Je… Oui ! Oooouuuuiiii !
Lucile caresse de plus belle manière son petit bouton d’amour, souille les draps de sa mouille abondante. Mon pénis qui se trouve alors dans son anus est pris en étau. Je la tiens fermement par les hanches, la pilonne aussi vite que je peux avant de me répandre dans ses entrailles. Je clame haut et fort ma jouissance tandis que Lucile croule sous son propre poids – comblés tous les deux.
Une fois remise de ses émotions, Lucile vient se coller contre moi, embrasse mon torse et descend lentement vers mon ventre, fait tressaillir mes muscles. Elle affiche un petit sourire en coin lorsque nos regards se croisent, approche sa bouche de mon sexe ramolli et du bout des lèvres le branle sur toute sa longueur.
— Tu sais que je t’aime, lui dis-je entre deux soupirs.— Comme un fou.— Je ne devrais pas y penser mais…— Tu te demande si je couche avec un autre.— C’est le cas ? — Bien sûr que non.
Lucile a toujours les yeux fixés sur moi. Elle tire la langue, chatouille la pointe de ma verge et dessine des petits cercles autour. Sa main droite se pose alors sur mon membre qui s’érige lentement, le palpe en douceur
— Tu aimerais qu’il en soit autrement ? me demande Lucile, qui embrasse maintenant la base de mon sexe.
Mon souffle devient plus rapide à mesure que Lucile approche de mes testicules. Elle a quelque chose en tête. Je le devine à sa façon de me regarder, très coquine.
— Je m’en doutais, lui dis-je en retour. Tu as des vues sur quelqu’un.— Je ne peux rien te cacher, mon chéri.
Lucile prend un de mes testicules dans sa bouche, le suce longuement en faisant des bruits mouillés. J’ai compris son petit manège. Si elle pense m’avoir par les sentiments… Je ne me ferais pas avoir une seconde fois.
— Qui est-ce ?— Tu l’as déjà croisé à mon travail, reprend Lucile. C’est un habitué du club. Un grand black tout musclé. Il se prénomme « Jamal » et me tourne autour depuis un moment. J’ai toujours refusé ses avances jusqu’alors… — Attends ! Tu… Tu envisages de me tromper à nouveau ? — Pas sans ton consentement. — Je… Ahh !
Je ne m’attendais pas à ça… Alors que nous discutons, Lucile en profite pour écarter mes fesses de ses deux mains, approche sa bouche de mon trou du cul et le titille de ses lèvres humides. La pointe de sa langue explore les abords de mon anus, me fait doucement frémir.
— Tu aimes ce que je te fais ? — Oui ! Je… Ahh !
J’ai du mal à ne pas cacher ma surprise quand Lucile enfonce sa langue à l’intérieur de mon fondement, lève plus haut les fesses pour profiter au maximum de cette nouvelle pratique ô combien délicieuse. Ma compagne fait coulisser sa langue dans mon petit trou plissé comme le ferait un sexe d’homme, me donne le sentiment d’être sur un petit nuage.
— Tu as pris ton pied en voyant ta salope de fiancée se faire baiser par ton père ! Admets-le ! — …— Admets-le !— Ohhhh… Tu as raison !— Et même que tu le supplierais de remettre ça !— Oui ! — Dommage que ton père ne soit pas disponible. Ma main à couper que Jamal saura combler ce vide… Tu n’es pas de mon avis ? — Je… Je… Ahh ! — Encore un petit effort, mon chéri. Je suis sûre que tu trépignes d’impatience à l’idée de voir s’agiter la grosse bite noire de Jamal dans le con de ta future femme.— Tout ce... Ohhhh… que tu veux ! Plus loin, oui…
Lucile du bout des doigts caresse toujours ma verge tandis que sa langue fouille mon anus. Une sensation de chaleur et de bien-être envahit doucement mon corps… C’est à peine si je m’entends gémir quand vient le moment de la jouissance, pris de tremblements, et répand le peu de semence qu’il me reste.
— Tu es diabolique, dis-je à ma compagne, tâchant de reprendre mon souffle.
Lucile me regarde droit dans les yeux, retire sa langue de ma rondelle pour m’adresser un immense sourire. Elle me répond :
— Je n’ai pas fini de te surprendre.
Je peux difficilement la contredire…Je me suis laissé convaincre une seconde fois de l’offrir à un autre que moi. Cet enfoiré de Jamal allait s’en donner à cœur joie avec elle. Mais ce n’est rien à côté du plaisir que je risquais de prendre en le voyant faire – et ça Lucile l’avait très bien compris.

***

22 janvier 2015,
Moins d’une journée… C’est le temps qu’il fallut à Lucile pour attirer Jamal dans ses filets. Son plan se résuma à retenir sa proie jusqu’à la fermeture du club de fitness. Je doute qu’elle eut besoin de forcer son talent pour le convaincre de rester. Si ce qu’elle m’a dit sur lui est vrai, il ne saura résister à l’appel d’une femme en détresse.
Je patiente sur le parking de la salle de sport, installé derrière le volant de ma voiture, et observe les employés franchir le pas de la porte – tous sauf Lucile. Je m’assure être bien seul avant de quitter mon véhicule, referme la portière sans faire de bruit, mon cœur battant la chamade. Il n’y a que l’éclat de la pleine lune pour trahir ma présence… La porte de devant est verrouillée mais Lucile a pris soin de me fournir un double des clés. Je me retrouve donc à l’intérieur du club, qui est plongé dans l’obscurité. Il y a cependant une pièce éclairée au fond de la salle… Je me rapproche de la source de lumière, aussi léger que le vent. Il s’agit des vestiaires réservés aux hommes dont la porte, qui est entrebâillée, me permets d’écouter la conversation qui se trouve de l’autre côté entre ma fiancé et son nouvel amant.
— Je savais que tu ne resterais pas indifférente à mes charmes, se targue Jamal. — Tu as l’air bien sûr de toi.— C’est que tu m’as maté toute la soirée…
Je risque un coup d’œil à l’intérieur de la pièce... Lucile le disait athlétique mais Jamal est bâti comme une armoire à glace. Il émane de lui une impression de puissance qui doit ravir la plupart des femmes… De fait, le choix de Lucile pour cette force de la nature est pour moi simple et facile à comprendre.
— Je ne cherchais pas à être discrète, répond Lucile.
Les effets portés par Lucile (une brassière et un mini-short) épousent parfaitement les formes de son corps et découvrent plus qu’ils ne couvrent. Il faudrait être aveugle pour ne pas comprendre ses intentions… La tenue de Jamal se veut aussi très décontractée car constituée uniquement d’une serviette de bain.
— Je me demande bien pourquoi tu as attendu aussi longtemps ? — Monsieur est de nature curieuse ! Soit…
Je peux sentir les battements de mon cœur s’accélérer tandis que Lucile relate en détail son séjour chez mes parents, la regarde approcher de Jamal et palper son torse musclé, très coquine. Le sourire de Lucile s’élargit de plus belle manière en devinant le gros sexe de Jamal se raidir sous la serviette de bain.
— Je suis plus que doué quand il s’agit de dénicher les pires salopes qui soient... Se taper le vieux de ton copain, c’est déjà quelque chose ! Mais que tu ais convaincu ton homme de te « prêter » à un autre que lui… Waouh !
Lucile profite de la situation pour introduire une main sous la serviette, et si j’en crois l’expression sur son visage, paraît très satisfaite de sa découverte. Ayant maintenant toute l’attention de ma fiancée, Jamal fait tomber la serviette, exhibe fièrement sa nudité. Lucile ne peut que soupirer en voyant le sexe noir de Jamal se mettre au garde-à-vous, fascinée par sa taille et sa grosseur.
— Je peux la toucher ?
Jamal acquiesce tout juste que Lucile tire déjà profit de sa virilité, la retient entre ses deux mains pour la faire lentement coulisser, très méthodique. Sa queue est gigantesque… Mon père qui est pourtant bien équipé ne lui arrive pas à la cheville. Quant à moi… Je n’en reviens pas qu’une telle monstruosité puisse exister. Jamal doit être sacrément excité car du pré-sperme coule en abondance de son gland.
— Tu devrais te mettre à poil, assure Jamal.
Ma chérie le laisse attraper son haut et tirer dessus, révèle sa jolie paire de seins dont les pointes brunes durcissent immédiatement. Puis je la vois se crisper tandis que Jamal pose ses lèvres sur son mamelon gauche, ondule légèrement le bassin en faisant glisser jusqu’à ses chevilles son mini-short et son string en dentelle.
Par la suite, Lucile écarte davantage les jambes en sentant la main droite de son amant remonter sa cuisse, le supplie de mettre un doigt dans sa chatte qui est toute mouillée. Je les regarde se branler mutuellement, frotter leur corps nu l’un contre l’autre, et échanger quelques râles de plaisir. Comme je les envie… Ma bite est plus dressée que jamais.
— Je ne serais pas contre une petite gâterie…
Lucile s’agenouille alors devant Jamal, empoigne sa verge d’une main savante et fait glisser sa langue sur le gland congestionné, le lèche avec gourmandise. Après quoi, elle tente de gober le gros membre dans son entièreté mais se heurte très vite à un obstacle, se contente donc de la moitié, le recouvrant de sa salive.
Quelques minutes plus tard, Jamal ferme les yeux, emporté par le plaisir. Son souffle se fait court… Il se libère bruyamment dans la bouche de Lucile.
— Anhhh ! Anhhh ! Merde… Tu es la reine des pipes !
Surprise par la quantité anormalement élevée de sperme, Lucile ne peut tout avaler, en recrache une partie sur sa poitrine gonflée de désir. Elle déclare :
— Hummm… Ta semence est délicieuse !— Je sais. A mon tour de goûter à ta petite chatte !
Jamal fait s’allonger ma moitié sur le dos, écarte ses cuisses et relève ses jambes pour accéder plus facilement à son minou luisant de cyprine, tout feu tout flamme. Il insinue sa langue entre les lèvres de son sexe, trouve son clitoris gonflé, l’agace. Lucile ondule sous les caresses toujours plus précises de Jamal, imprime à son bassin des mouvements qui gagnent en intensité. Elle halète et pousse des gémissements.
— Je paierais cher pour voir la tête de ton homme, lâche Jamal en flattant l’entrejambe de ma compagne. Quelle serait sa réaction s’il découvrait sa salope fricoter avec son nouvel amant ?— Tu serais étonné ! Il… Ahh ! Ahh !
La langue de Jamal, tel un marteau-piqueur, entre et sort de Lucile en produisant un agréable chuintement de succion, puis bascule sur son anus brun.
— Ahhhhhhhhh ! Si tu y tiens, je peux le faire venir ! — Ta décision… Pas la première fois que je baise la fiancée d’un autre… — Il faudra me raconter… Guillaume !
Mon sang ne fait qu’un tour. Si je m’attendais à ça… Mes pensées ne sont pas claires du tout. Je ressens au fond de moi comme une douloureuse piqûre de jalousie à regarder Jamal prendre du bon temps avec celle que j’aime, et du plaisir aussi si je tiens compte de la bosse qui déforme le tissu de mon pantalon. Je sors de ma cachette après un moment de réflexion, un peu perdu. Jamal croise alors mon regard, aucunement dérangé par ma présence, reprend là où il s’était arrêté.
D’une main ferme, Lucile saisit la tête de Jamal et colle d’une vigoureuse pression son visage sur sa chatte humide, frémit longuement à son contact, et se raidit soudain au moment de l’orgasme.
— Ahh ! Jamal… Je jouis ! Ahhhhhhhhh !
Enfin libre de ses mouvements, Jamal se glisse entre les cuisses largement ouvertes de ma chérie, promène sa langue frétillante jusqu’à la pointe durcie de son sein droit. Durant cet intervalle, il insinue sa verge tendue dans la fente de Lucile, repousse délicatement ses lèvres intimes mais ne la pénètre pas tout de suite. Lucile ne tient plus en place. Elle gémit :
— Baise-moi ! — Je n’ai pas bien entendu… Tu veux que je te baise avec ma grosse queue noire ? demande Jamal, qui enfonce un peu plus son sexe à l’intérieur de Lucile— Ohhhh ! Oui… Je te veux en moi !
Jamal lève les yeux dans ma direction, aperçoit le gonflement de mon pénis à travers mon pantalon. Il m’interroge :
— Tu es d’accord avec ça ? — Je… Et puis merde ! Remplis-moi cette salope !
Les mots qui jaillissent de ma bouche, je ne les contrôle pas. C’est probablement trop pour moi qui, admirant le corps trempé de Lucile se soulever au fil des orgasmes, éprouve un fort sentiment de plaisir. Il faut me rendre à l’évidence, je suis loin d’être normal…
De son côté, Jamal plonge enfin son bout de bois dans la chatte de Lucile, y met toute son énergie. Je ne saurais l’expliquer mais ce type est une vraie machine… Ses coups de reins se font plus rapides, plus profonds. Et il ne donne vraiment pas l’impression de fatiguer !
Les minutes défilent… Lucile est maintenant à quatre pattes, attrape la verge tendue et s’empale avec en poussant un petit cri excité. Après quoi, je la regarde s’agiter frénétiquement au rythme des assauts de Jamal. Ces deux là ne font pas les choses à moitié.
— Ça sera encore meilleur s’il nous aide, intervient Jamal. — Tu crois ? ajoute Lucile entre deux soupirs.— Oui. Il y a du travail pour deux hommes.
Ma respiration se fait plus forte quand la main de Lucile se pose sur la bosse de mon pantalon, et gagné par le désir retire le vêtement. Mon sexe dressé atterrit directement dans la bouche de Lucile, tressaille légèrement au contact de sa langue. Je doute tenir ce rythme très longtemps…
— Ahh ! Jamal… Me faire enfiler par ta grosse queue noire, c’est trop bon ! Surtout quand je suce mon homme… Ahhhhhhhhh ! Je jouis !
Comme je le disais, c’est trop pour moi… Mes grognements se répandent aux quatre coins des vestiaires tandis que je me libère chaudement sur le visage de ma compagne. Jamal me suit de près, submerge d’abord le minou de Lucile, puis recouvre sa jolie paire de fesses.
— Tout ce sperme qui coule sur moi, gémit Lucile, prise de tremblements. Oh, mon Dieu… Quel pied !
Je sens ma tête qui tourne. Si je m’attendais à prendre autant de plaisir à voir Lucile se faire sauter par un autre que moi… Je devrais au contraire me sentir humilié. C’est un peu le cas… Il faut le vivre pour comprendre ma situation.
— Je n’avais pas baisé comme ça depuis une éternité ! s’exclame Jamal avant de filer sous la douche, en compagnie de Lucile. Il faudra remettre ça !
Pour ma part, je patiente à l’extérieur de la cabine, entends leurs cris malgré l’eau qui coule. Je me demande bien comment tout cela va finir…


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