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Ma fille Aline

Chapitre 1

Inceste
Je sors de mon cardiologue, dépité. Le mot « athérosclérose » résonne. Cela sonne comme un nom préhistorique. Pour autant j’ai l’impression d’avoir perdu toute ma virilité. « 3/4 des patients atteints de problèmes cardiaques ont des troubles érectiles, vous n’êtes pas seul ». Si justement je suis seul. Je vis seul avec ma fille Aline depuis le départ de sa mère. Et nous sommes en plein confinement. Je froisse un bout de papier dans la poche de mon blouson sur lequel il est écrit la supposée potion magique appelée « Sildénafil ». Je n’ai pas le courage d’aller à la pharmacie à l’autre bout de la ville pour le récupérer. Je pourrais aller à celle à côté de chez moi, mais je n’assume pas.
Aline m’attend à la maison. Droite comme un i sur le sofa, sa petite mine mi boudeuse mi inquiète tournée vers moi. J’ai refusé qu’elle m’accompagne. Nous sommes très proches mais je me doutais de la tournure intime qu’allait prendre mon auscultation. Je lui explique dans les grandes lignes mon rendez-vous et je pars rapidement me reposer dans ma chambre.
Quand je me réveille, je la sens près de moi. Le jour a décliné. Depuis le début de ce confinement, il nous arrive de dormir ensemble. J’ouvre les yeux, les siens sont fermés. Elle est très mignonne quand elle dort. Elle a bientôt 19 ans et elle ne ressemble pas du tout à sa mère à son âge. Elle a des cheveux bouclés coupés courts. Sa tignasse ressemble à un nid d’un couple d’oiseaux particulièrement bordélique. Cette image me fait sourire. Elle a bien grandi mais elle est restée toujours très impulsive et vive. Une âme d’enfant dans un corps de jeune femme.Elle porte un débardeur noir trop grand pour elle. Je peux voir la forme de ses petits seins entre les plis. Ses tétons pointent et percent son haut. Je lève un peu la couette. Elle ne porte qu’une culotte.
Objectivement, elle est très sensuelle. Objectivement, si j’étais plus jeune, plus vigoureux et surtout non apparenté, j’aurais aimé la séduire. J’aurais ouvert sa fine bouche et j’aurais enfoncé gentiment mais entièrement ma verge. Je l’aurais félicité, elle y aurait pris goût. J’aurais descendu son tee-shirt jusqu’à ses hanches pour découvrir sa poitrine. Puis j’aurais glissé deux doigts dans sa fente tout juste pubère. Elle aurait gémi de plaisir mais j’aurais continué à lui baiser tendrement la bouche jusqu’à éjaculer sur son joli débardeur noir. Il aurait été taché de mon foutre. Sa culotte en aurait été trempée de mouille. Elle m’aurait supplié de continuer alors je me serais glissé sous les draps pour écarter ses lèvres. J’aurais pu contempler les plis intimes de ma fille. Lécher doucement son clitoris gonflé et rosi tout en continuant à la pénétrer de mes doigts. Elle aurait joui pour la première fois avec moi. Putain j’ai envie de me masturber à côté d’elle et de venir silencieusement dans les draps. Je regarde ma bite au travers de mon caleçon, mais elle est au repos.
Je me lève, frustré. Sans érection et masturbation, je n’arrive plus à me libérer et à refreiner mes envies sexuelles. Elles restent insidieusement en moi comme un poison. Cela finit par m’intoxiquer l’esprit et ce confinement en tête à tête n’aide pas. Je commence à fantasmer sur ma propre fille. Je suis rempli de honte. Je vais prendre une douche pour me sortir ces pulsions de la tête.
— Je peux entrer papa ?Merde, la réalité me rattrape. Je suis nu comme un ver devant la glace du lavabo.— Tu ne dors pas ? Je vais prendre une douche. Attends 10 min s’il te plait.— Je passe juste récupérer ma trousse de toilettes.
Elle ouvre sans attendre la porte de la salle de bain. Aucune gêne comme d’habitude. C’est du Aline tout craché. Je cache péniblement mon sexe dans ma main.
— Mais qu’est-ce que tu fais ? Sors de la tout de suite !— Oh ca va, papa. J’en ai pour une minute.
Elle se rapproche, ouvre la porte du lavado et s’accroupit devant moi. Elle n’est toujours vêtue que de son débardeur et de sa culotte. Elle se cambre pour attraper quelque chose. Elle le fait exprès ? Je me permets d’effleurer un regard sur ses reins. Je détourne le regard, je tiens fermement mon sexe caché dans ma main. Une chance finalement que je sois impuissant. Cela aurait pu profondément la perturber de constater que son corps plait à son père.
Elle saisit une trousse et se redresse sur ses genoux. Son visage n’est qu’à quelques centimètres de mon sexe. Ça me déstabilise. Elle me regarde, mutine.
— Tu n’as pas l’air d’aller bien papa.— Je vais bien mais tu me gênes. Sors maintenant.
Je ne sais pas pourquoi mais je passe ma main libre dans ses cheveux. Elle continue de me fixer. Elle entrouvre sa bouche mais aucun son ne sort. Je dirige un doigt vers sa bouche. Sa langue est à la commissure de ses lèvres. Ça m’excite. Je crois qu’on pense à la même chose. J’ai envie de me caresser le membre devant elle et de sortir mon gland. Lui exhiber mon sexe. Lui demander de me lécher la pointe en continuant de me regarder. Je reviens à la réalité et je recule.
— Va-t’en s’il te plait. Tu n’as rien à faire là.
Elle pose sa main sur la mienne qui recouvre mon sexe. Son regard est dirigé vers mon entre jambe. Ça m’affole, je sens pour la première fois depuis longtemps ma verge grossir malgré moi.
— S’il te plait, papa. Laisse-moi t’aider.— A quoi tu joues Aline ?— Tu vas me gronder mais j’ai regardé dans tes poches. Tu n’as pas besoin de ça papa. J’ai envie de t’aider à te soulager. Laisse-moi faire. Je peux y arriver.
Cette proposition me fait perdre pied. Je ne peux pas m’empêcher d’initier de très légers vas et vient avec ma main.
— Comment ça ma Line ?
Ses doigts effleurent mon membre par saccades. J’en gémis un peu. C’est trop excitant. Ma queue se dresse. Cela fait depuis tellement longtemps qu’elle n’a pas été aussi dure. Je fixe ma fille, elle regarde avec une curiosité non feinte mon sexe se découvrir peu à peu devant elle.
— Tu veux que je te montre mes seins papa ? Ça peut t’aider ?— Arrête Aline, ce n’est pas normal tout ça. Je suis ton père.— Mais tu as des besoins naturels à combler papa. Je suis grande maintenant. Je veux apprendre à faire l’amour avec toi.— C’est vrai que tu as bien grandi ma fille. Une vraie femme.
Elle me sourit et soulève son tee-shirt. Ses seins rebondis sont surmontés de petits tétons couleur pêche. Ils sont magnifiques. Elle joue avec ses seins en me regardant. Elle m’allume cette petite et j’admets que j’aime ça.
— Tu aimes ça ?— Tu sais comment t’y prendre.— A quoi tu penses ?— Tu veux vraiment l’entendre ?— Oui.— J’ai envie de te soulever sur le lavabo, d’écarter ta petite culotte et de te pénétrer ma puce.
Je me sens de plus en plus désinhibé. Rien qu’à cette idée, mon sexe tressaute dans ma main, comme pour se débattre et pour aller à la rencontre de ma fille.
— Je veux la voir papa.— J’en ai envie aussi ma puce. Ce sera la première fois que tu vois un pénis en érection ?— Oui mon papounet.
Je baisse avec lenteur les deux mains. Ma verge est très grosse. Mon gland est complètement découvert et turgescent. Je suis tellement excité qu’elle est dressée contre mon nombril. Aline la contemple, les yeux ronds, surprise et tout sourire. Cela me flatte.
— Merci ma puce. Tu es très gentille de t’occuper de moi.— Elle est très tendue papa, c’est normal ?— Oui c’est normal. C’est parce que tu m’excites. Je peux t’apprendre à me soulager si tu restes sage.— Oui papa. Montre-moi comment faire.
Ma verge me pique. Je lui caresse la joue et je commence à me masturber devant elle sans complexe. Je lui décris en même temps ce que je ressens et ce que je veux faire avec elle en détail. Il faut qu’elle sache que j’ai envie terriblement d’elle. Je ne peux plus le cacher pour moi. Je ne tarde pas à sentir mon plaisir monter.
— Je vais venir Aline.
Elle semble déstabilisée. J’aime cette candeur, ça me fait venir encore plus vite. Je me branle plus fort en gémissant lourdement.
— Oh ma puce, je viens. Regarde-la !
Je me rapproche de sa bouche. J’ai envie de venir en elle. Lui faire découvrir le gout du sperme paternel. Je sens que la décharge monte. C’est tellement bon. Je lui fais ouvrir la bouche mais je n’ai pas suffisamment de temps qu’un jet de sperme sort de mon gland et vient dégouliner tout autour de sa bouche. Je continue à me branler fermement, à moitié vouté. Une deuxième décharge vient. Je la tiens fermement par les cheveux et je viens cette fois ci me décharger sur sa poitrine. Je crois que j’urine en même temps tellement que la décharge est longue. Alors je continue à me vider sur elle. Elle a l’air d’adorer ça, sa bouche est grande ouverte. Elle rit. Je ris aussi. Je dirige ma queue un peu partout. Je suis un gros pervers. Je lui fais lécher le bout de mon pénis pour qu’elle goute quand même à ma semence. Elle le mérite cette petite. Elle gobe tout mon sexe avec appétit. Je crie de surprise et de joie. Je la félicite, c’est une bonne fille. Une troisième décharge ?
A suivre …
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