Je suis submergé par pleins d’émotions contradictoires. J’oscille entre la sidération, la culpabilité et l’euphorie. Je me suis masturbé jusqu’à l’extase devant ma fille et j’ai aimé. Elle m’a même fait la surprise de me prendre en bouche à la fin. Je n’ai pas voulu la guider. Je me suis appuyé contre le lavabo, les cuisses écartées, le sexe complètement offert à elle. Je pense que c’était la première fois qu’elle léchait un homme. Elle a rapidement voulu l’engloutir et elle s’est étouffée. Nous en avons ri. Je l’ai invitée à recommencer. Elle m’a ensuite sucé avec une délicatesse infinie. Je sentais sa langue et ses lèvres glisser lentement le long de mon membre. Elle s’est aussi beaucoup attardée sur mon gland. A le taper par moment contre sa langue tirée. J’ai beaucoup gémi devant ce spectacle. Je fermais de temps en temps les yeux et rien que le bruit de succion me faisait monter. Ma fille est extrêmement douée pour m’exciter. Je me suis juste autorisé à lui caresser les cheveux. C’était un vrai moment d’amour et de tendresse. Je n’ai pas réussi à jouir une nouvelle fois. J’aurais pour autant bien aimé éjaculer au fond de sa gorge comme je le faisais avec sa mère. Elle n’a d’ailleurs pas caché sa frustration. Elle aurait aussi beaucoup aimé me faire jouir. Nous sommes ensuite partis nous coucher dans mon lit. XXX Je n’ai pas réussi à dormir de la nuit. Je n’ai jamais été autant à l’aise avec une femme mais c’est ma fille. Comment cela a pu déraper aussi vite ? Je n’ai quasiment opposé aucune résistance à sa curiosité qui est naturelle à son âge. Je l’ai même provoquée. Je lui ai fait voir mon sexe avant de me caresser. L’envie de la posséder était tellement grande que j’ai fini par lui éjaculer et uriner dessus. Elle a adoré ça. Elle m’a ensuite léché comme un enfant avec sa glace à la main prête à fondre. Je repasse en boucle les regards allumés qu’elle me lançait entre mes cuisses. Ma queue dressée et gorgée de sang qui disparait dans sa bouche. Le plaisir physique extrême qui s’en dégageait. Je mentirais si je disais que j’ai oublié que nous étions père et fille. J’ai du mal à me l’avouer mais ça a aussi beaucoup contribué à mon excitation. Moi qui suis d’habitude très timoré et indécis, je n’ai pas vraiment hésité à briser cette fois les règles. Nous avons défié ce tabou social qu’est l’inceste et la finalité est tellement salvatrice. J’ai réussi à jouir à nouveau, et sans aide du Sildénafil. Cela me vivifie. Ce qui me surprend aussi le plus, c’est notre complicité naturelle. Il n’y avait aucune mise en scène. Uniquement notre désir pour l’autre à l’état brut. Cet acte sexuel est venu comme le prolongement logique d’une histoire qui a commencé à sa naissance il y a 19 ans. Je me jure toutefois que c’était la dernière fois. Ce qui est arrivé est, je suppose, répréhensible. J’espère aussi que ça n’aura pas de répercussions sur la psyché d’Aline. En somme, l’annonce de mon cardiologue m’a désemparé. J’ai voulu défier son diagnostic castrateur. C’était un moment d’égarement. Ça n’arrivera plus. Au réveil, je lui partage ma décision. Elle pleure, elle s’énerve. Cela me fend le cœur. Elle claque la porte d’entrée en partant au lycée. Nous ne parlons quasiment pas les jours qui suivent. La gêne est palpable, j’ai du mal à la regarder. J’évite aussi de me retrouver trop longtemps dans la même pièce. Un mot d’ordre : ne pas tenter, ne pas créer l’envie. Elle dort à nouveau dans sa chambre. Notre intimité me manque mais je dois rester ferme. XXX Les semaines passent. La situation s’est améliorée. Mais nos échanges restent principalement par textos. Je viens de recevoir d’ailleurs un message. Je l’ouvre, c’est une photo d’elle chez une de ses amies. Elle porte son fameux débardeur noir. Ça me trouble énormément. L’envie de la baiser me prend. Je jurerais qu’elle l’a fait exprès. Le lendemain pareil. Elle me renvoie une autre photo d’elle encore plus suggestive. Elle est en maillot de bain à la piscine. Elle est toute ruisselante. J’ai un flash d’elle dégoulinante de mon sperme à genoux sur le carrelage de la salle de bain. Je passe sous silence cette provocation. Je ne réponds pas à son message. Je fais toutefois quelques recherches sur internet. Le seuil de non-consentement pour l’inceste est fixé à 18 ans. Au-delà, il n’est pas réprimé dans le code pénal s’il y a, bien sûr, consentement. OUF ! Je suis soulagé. Je ne vais pas aller en prison. Je suis juste un gros pervers et dépravé sexuel mais rien d’illégal. Cela me laisse songeur un moment. Je cogite. La peur du gendarme n’a plus raison d’être. Mais l’interdit moral résiste quand même. Que penserait mon entourage si cela s’apprenait ? Une véritable guerre des tranchées s’installe. A faire retourner dans la tombe mon grand-père Robert. J’ai maintenant droit à une photo lubrique tous les jours. Ça me chauffe énormément. Je ne me suis pas masturbé depuis notre mésaventure. Peut-être pour me punir. Peut-être aussi à cause de ma foutue maladie. Je sens que mes bourses sont pleines. J’ai envie de me vider sur elle. J’hésite même à faire appel à une prostituée. A la faire venir dans ma chambre et à la baiser en levrette porte grande ouverte. J’ai envie qu’Aline me voie la limer. Qu’elle soit morte de jalousie. Qu’elle vienne derrière mon dos caresser ces testicules trop pleins pour m’aider à gicler sur cette inconnue. Je ne réponds jamais à ses photos. Mais je les mate très souvent dès que je peux … XXX
Il est jeudi soir et nous regardons tous les deux le film Splice sur le canapé. La scène d’amour entre le chercheur et sa créature me renvoit en pleine face à ce que nous avons vécu. Nous sommes assez proches l’un de l’autre. Mon esprit s’émousse devant cette scène charnelle très sensuelle. Je sens aussi que sa respiration s’accélère. Elle m’effleure légèrement la cuisse. Je me tends imperceptiblement. — Tu vois que c’est mainstream le sexe entre un père et sa fille, papa. Aline ou l’art de briser la glace. Sa punchline me fait sourire. Je l’embrasse sur le front. Sa peau est douce. Elle répond par un bisou voluptueux sur ma joue. — Ça m’a manqué les câlins avec toi papa. -Moi aussi Aline. Mais … — Chut maintenant. Laisse-toi faire une bonne fois pour toute. Sa main est posée sur ma cuisse. Elle me fait un autre bisou, plus près de ma bouche, plus lent, plus moite. Je ne porte qu’un caleçon. Je commence à avoir une érection. Elle m’embrasse à nouveau. Mon caleçon se tend. Sa main s’avance légèrement sur mon entre jambe. — Qu’est-ce que tu fais Aline ? On avait dit qu’on arrêtait. — TU as dit qu’on allait arrêter. — Ma chérie c’est très mal. — Tais-toi papa. Regarde comment tu en as envie. Tu bandes comme un âne. Elle remonte toujours sa main et la glisse sous mon caleçon. Je me redresse un peu. Je suis incapable de l’arrêter. Complètement à sa merci. Je fais mine de continuer à regarder la télé. Je sais c’est ridicule mais je n’ai pas trouvé mieux. Sa main continue toujours son avancée. Je sens ses doigts effleurer mes testicules. — Elles sont vraiment grosses, papa. Tu ne t’es pas masturbé pas vrai ? Pas même sur mes photos ? Elle commence à les caresser. Elle sait tellement bien s’y prendre. Je me force à ne pas répondre à ses gestes. Mais ma queue me trahit à nouveau et répond docilement à ses sollicitions. Comme un chien avec sa maîtresse. Aline se met alors sur mes cuisses et retire son haut. Je ne peux plus l’ignorer. Ses petits seins rebondis sont magnifiques. — Tu le veux vraiment ma puce ? — Oui je veux apprendre le sexe avec toi. — Tu n’as jamais rien fait avant ? — Non papa ce sera ma première fois. Fait doucement. Elle se rapproche encore un peu de moi. Ma verge est dressée contre son entre jambe comme un gros bout de bois. Seuls nos vêtements nous séparent. Je lui caresse la pointe des seins. Ses tétons s’érigent. Je les prends alors en bouche, les lèche et les mordille. Elle gémit et se dresse en arrière. Je continue à les lécher et à les malaxer. Je sens que son entre-jambes est humide. Je glisse alors mes doigts dans sa culotte. Elle a une toison bouclée, j’adore. J’aime tellement apprendre à la connaitre sexuellement. Et j’aime encore plus l’initier aux plaisirs sexuels. Il ne s’agit pas du tout d’un désir de dominer mais plutôt d’une envie d’instruire, d’éduquer. C’est son apprentissage sexuel et je suis l’instituteur. J’entoure ses grandes lèvres avec mon index et mon majeur et les pincent par saccades. Je vais y aller tout doucement. Elle répond positivement par des petits couinements. Quand je la sens prête, je glisse deux doigts entre ses grandes lèvres et les pressent de part et d’autre de son capuchon. Je sens que son clitoris se découvre comme une petite fleur. J’en profite pour faire de petits mouvements circulaires autour de son bouton. Elle rougit de plaisir, se cambre encore plus sur moi. Je suis complément en émoi. Je continue en douceur et descend un doigt à l’entrée de son vagin. — Tu es prête ma chérie ? — Oui papa. J’insère alors avec mon index. Elle est si humide et chaude. Je la complimente. Je suis fier d’elle. Elle a bien grandi. Elle est tellement excitée que son vagin aspire mon doigt. Mon doigt la baise de longs va et viens circulaires. Elle couine comme une chienne. J’ai tellement envie d’y tremper ma queue. Elle est dure comme elle ne l’a jamais été. Pas même avec sa mère. Mon gland s’est frayé un chemin entre les boutons de mon caleçon. Son aspect rouge et luisant est vulgaire devant la beauté de la vulve de ma fille. Ils ne sont qu’à quelques centimètres d’écart. J’ai tellement envie qu’elle s’empale dessus mais je dois rester gentil. — Tu es tellement belle. — Papa, c’est si bon. Je la sens très ouverte sexuellement. Je libère ma deuxième main pour lui caresser en même temps son anus. Elle gémit plus fort, complètement cambrée. J’en ai très envie alors j’y glisse une phalange. Il est très serré comparé à son vagin qui s’assouplit. Je la fourre littéralement des deux côtés. Ça me rend dingue.
— Papa qu’est-ce que tu me fais ? — Tu aimes ça, hein ma chérie ? — Oh oui papa. Oh oui. Je sens que ça chauffe. — Je crois que tu vas jouir ma douce. Je sens effectivement sous mes doigts tout son périnée se contracter par à-coups. Elle bascule en arrière et gémit très fort. Je suis fou d’excitation. Mon sexe palpite au rythme de sa jouissance. Mes pensées sales et libidineuses reprennent le dessus. J’ai envie de la soulever et de la plaquer contre la table juste devant la baie vitrée. D’allumer les lumières et de tirer les rideaux. De la limer bien comme il faut sous le regard des voisins. De la voir me supplier d’aller bien au fond. J’ai même envie de filmer en gros plan pour immortaliser ce moment. Pour me branler dessus autant qu’il le faudra dans mes draps, au bureau ou en voiture. Peut être même je lui enverrai des photos et des vidéos. Peut-être qu’elle me répondra par d’autres vidéos encore plus scandaleuses. Les jambes écartées sous sa jupe. Son entre jambe pubère bien en vue. Ses doigts qui s’enfoncent dans sa chatte mouillée. Puis un objet trouvé sur le tard : un stylo ou une flute. Soyons fou ! Notre histoire ne fait que commencer.