Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 215 J'aime
  • 11 Commentaires

Ma fille : ange et démon

Chapitre 1

Inceste
AVERTISSEMENT
Le texte qui suit décrit des fantasmes purs, qu’il n’est pas question de réaliser réellement. Les maladies sexuellement transmissibles existent et font des ravages.

Aujourd’hui est un jour particulier, je me rends pour la première fois chez ma fille Océane, âgée de 18 ans, qui vient de prendre un appartement dans la ville où elle va étudier.
Depuis ma séparation avec sa mère il y a de nombreuses années, je ne vois Océane qu’épisodiquement. Néanmoins, elle semblait assez impatiente de me faire découvrir son chez-elle.
Je suis très surpris lorsqu’elle m’ouvre la porte. Ma très jolie fille, au visage angélique, qui porte de très longs cheveux blonds, me jette un regard tendre de ses beaux yeux bleus, elle me sourit de sa belle bouche, elle ne porte qu’une fine nuisette blanche mettant en valeur ses formes bien dessinées. Je marque un temps d’arrêt en la découvrant dans cette tenue très sexy, campée sur ses longues jambes fines. J’entre, en lui faisant la bise, nous visitons rapidement son petit appartement, décoré avec goût. Elle me sert un verre, que nous buvons sur le canapé. Je ne peux retenir la question qui me taraude : « Ma chérie, pourquoi portes-tu une telle tenue ?
— Tu n’aimes pas ? répond-elle avec une petite moue.— Si, tu es très jolie, mais on ne reçoit pas son papa avec en portant de la dentelle.— Il fait chaud, je suis à l’aise dans cette tenue et j’espérais te faire plaisir, réplique-t-elle, en me souriant. »
Tout en parlant, elle se colle à moi. Son comportement et notre conversation me font des effets étranges, ma fille est si belle, rayonnante dans sa tenue légère et moulante. Bien malgré moi, j’ai du mal à retenir une pointe d’érection, je me force à penser à autre chose, mais voilà qu’Océane s’assied sur mes genoux. Je suis gêné, je ne sais où poser mes mains. Elle les prend et les dépose sur ses cuisses à la peau douce et bronzée. Mon début d’érection me reprend de plus belle. Je lui exprime ma gêne : « Tu sais je ne suis pas très à l’aise, tu n’es plus une petite fille, t’asseoir sur moi, dans cette tenue, c’est un peu curieux.
— Ah bon, tu n’aimes pas ? D’habitude les garçons aiment bien que je sois sur eux... réplique-t-elle de sa voix douce, se voulant innocente, toujours souriante.— Oui, justement, les garçons aiment sans doute cela, mais moi je suis ton père, répliqué-je en haussant légèrement la voix. »
Elle continue son manège. Elle me déstabilise. Mon trouble augmente encore lorsqu’elle caresse mon torse au travers de ma chemise. Elle passe sa jolie main sur mon visage. Mes sentiments deviennent confus, que fait ma fille ? Malgré moi, je sens mon érection se développer. Elle poursuit : « J’ai l’impression que je te fais le même effet qu’aux autres garçons, je sens que tu commences à être à l’étroit dans ton pantalon, enchaîne-t-elle, toujours souriante. »
Je ne sais que répondre, je garde le silence. Elle pousse son ascendant, en ouvrant ma braguette, divulguant la bosse qui déforme mon caleçon. Elle tire sur le tissu et fait sortir mon sexe qui commence à être bien gonflé.
— Je te laisse pas indifférent à ce que je vois, déclare-t-elle en me regardant de ses sublimes yeux bleus.
— Que fais-tu ? Je suis ton père, tu es ma fille, on ne doit pas faire ces choses-là ! tenté-je de protester.
Mais mon sexe bandé plaide le contraire.
— Tu sais, j’ai très envie d’une relation plus intime avec mon père. Nous n’avons pas été assez proches jusqu’à présent, me confie-t-elle.
Elle me caresse toujours le torse de sa main douce, tandis que de l’autre, elle titille ma verge qui gonfle petit à petit, sans que je ne puisse rien contrôler.
— Moi aussi j’ai envie d’une relation intime avec toi, mais pas comme ça, me défends-je mollement.— Ah bon, mais regarde comme ton pénis dit le contraire, m’assène-t-elle en débutant une délicate masturbation qui accroît toujours plus mon érection.
Sans que je ne puisse – ou ne veuille – intervenir, Océane quitte mes cuisses, s’accroupit et prend en bouche mon sexe dur. Elle se met immédiatement à le pomper avec une grande vigueur, embouchant la totalité de mon membre de bonne dimension. Son comportement si provocant me fait renoncer à mes scrupules : elle veut baiser avec son père, elle me fait bander, alors je vais lui faire ce plaisir, je suis sûr qu’il provoquera le mien.
Je laisse donc ma fille astiquer mon dard avec sa bouche douce et chaude, qu’elle fait aller et venir sur toute la longueur de ma hampe dressée. Bientôt une couche de salive fait luire ma verge et ses mouvements émettent des bruits de succion très excitants. Quel plaisir de voir une si belle jeune fille me prodiguer une telle fellation, même – surtout – s’il s’agit de ma propre fille !
Sans doute satisfaite des gémissements qu’elle me provoque, Océane quitte mon membre, elle me regarde de ses yeux magnifiques et m’adresse un sublime sourire. Elle semble heureuse.
— Ça te plaît ? demande-t-elle.— Oh que oui ma puce, dis-je en l’attirant vers moi.
Elle plaque sa bouche sur la mienne et faufile sa langue entre nos lèvres. Notre premier baiser incestueux est fougueux et bien baveux. J’en profite pour tâter les seins de ma fille au travers de sa fine nuisette. Ses tétons pointent outrageusement, ils sont durs comme du bois. Elle me susurre : « J’ai envie que tu me prennes, je veux te sentir en moi... »
Comment résister à un tel appel lancé par une si belle jeune fille ? Je n’y parviens – n’essaye – pas. Elle s’allonge sur le lit, tire sur sa délicate culotte qu’elle fait glisser jusqu’à ses chevilles, dévoilant son magnifique vagin à peine voilé par un fin duvet de poils blonds. Ses lèvres intimes sont légèrement écartées et laissent oindre des gouttelettes de cyprine qui ressemblent à de la rosée et trahissent son émoi.
Plus qu’un sexe, sa chatte est une vraie invitation à la luxure. Pendant qu’elle s’allonge, je défais mon pantalon et présente ma queue raide à l’entrée de sa grotte trempée. J’y entre sans difficulté, je suis absorbé par la fente avide de ma fille, qui pousse un feulement délicieux de plaisir. Elle plaque ses mains sur mes hanches et m’incite à la pistonner en faisant d’amples mouvements. Je besogne son vagin si accueillant et m’en délecte. Je tire sur le haut de sa nuisette pour découvrir une splendide poitrine bien ferme, dont les tétons dardent fiévreusement. Je les tète en malaxant ces si beaux seins. Elle gémit de plus belle, puis attrape ma bouche avec la sienne pour me donner un baiser endiablé.
Océane semble subjuguée par notre baise incestueuse. Elle crie son plaisir sous mes pénétrations profondes et rapides. Bientôt elle atteint l’orgasme, qu’elle revendique en plantant ses ongles dans mon dos et en hurlant.
A peine remise, alors que je la pénètre toujours, lentement maintenant, elle me sourit d’une manière douce et coquine et me souffle : « Je voudrais que tu me prennes par-derrière. »
Je souris à mon tour et me retire de son vagin trempé. Elle se retourne, s’agenouille sur son lit, m’offrant une vue incroyable sur sa croupe parfaitement dessinée et sa raie intime. Elle me souffle de sa voix d’ange : « Je veux ta belle bite dans mon petit trou bien serré. »
Je m’exécute. Je présente mon membre sur sa rondelle et pousse doucement. Je la prends en levrette. Son anus cède petit à petit et m’offre une place étroite et chaude dans son délicieux fourreau. Quelques mouvements me permettent de bien caler mon sexe dans son fondement. J’embroche le cul de ma propre fille, quel salaud de père je fais ! Mais quel plaisir elle semble y prendre. Elle m’encourage : « Oh c’est bon, j’aime sentir ta grosse bite dans mon cul papa. Prends-moi bien. »
Rassuré sur le fait que je ne lui fais pas mal, je pistonne ce cul si délicieux. Je fais d’amples mouvements. Je sens qu’elle se caresse la chatte, ses doigts viennent parfois toucher ma queue empalée en elle.
Nous poursuivons cette sodomie incestueuse un bon moment. Océane me glisse : « Ne jouis pas dans mon trou, je voudrais te finir dans ma bouche. »
Quelle petite garce ai-je enfantée ! Je sens ma jouissance monter d’un palier. Craignant de jouir de manière incontrôlée, je décide de quitter son petit trou si accueillant.
Océane se retourne prestement, elle affiche toujours son charmant sourire, ses yeux bleus étincellent en regardant mon membre luisant de sa salive, de sa mouille et des sucs de son anus. Un peu de bave coule à la commissure de ses lèvres. Je reste sans voix devant cet incroyable spectacle.
Elle profite de mon manque de réaction pour prendre en bouche ma queue gluante, sans aucune hésitation. Quel bonheur de voir sa langue rose si mignonne s’activer tout autour de ma bite dure qui sort tout droit de son rectum. Comment ma fille peut-elle être aussi perverse ?
Cette fois encore, je me laisse gagner sans chercher à protester, je profite de l’instant, de cette bonne pipe prodiguée par une si belle jeune fille, si délurée, quel plaisir !
Entre deux intromissions dans sa gorge, Océane me sourit, radieuse. Malgré mon éducation et mes préjugés, je ne peux m’empêcher de jouir à cet instant précis.
Quelle incroyable perversité de voir sa fille de 18 ans, si belle, si douce et aussi perverse. Se faire enculer par son propre père, prendre ensuite en bouche sa bite et recevoir, avec une délectation visible, de grosses giclées de foutre sur son beau et tendre visage. Elle sourit toujours, rayonnante. Plusieurs lampées atteignent l’intérieur de sa bouche, d’autres son nez, ses cheveux, je la couvre de grandes traînées blanches bien gluantes.
De sa langue elle lape le sperme qu’elle parvient à atteindre. Elle plante son regard azuré dans le mien et minaude en me disant : « Je crois que je suis une petite cochonne. J’aime bien le sexe.
— Je vois ça, dis-je sans réfléchir.— Je suis contente que ça te plaise aussi, ajoute-t-elle.— Je ne sais pas trop si j’aime ça, me défends-je.— Ah bon, mais tu as bien joui en me regardant lécher ta bite, non ? m’assène-t-elle.— Oui c’est vrai. Mais quand même c’est vraiment très pervers ce que tu as fait, répliqué-je.— Tu sais j’aime vraiment le sexe. Je peux être bien pire... poursuit-elle. »
Joignant le geste à la parole, elle s’accroupit, écartant outrageusement les jambes, elle place une main sous sa chatte en formant un petit réceptacle. Une seconde après, elle se met à pisser quelques gouttes. Elle me fixe droit dans les yeux. Je suis ébahi. Sans quitter mon regard, elle porte sa main à sa bouche en faisant attention de garder le plus de pipi possible. En émettant un bruit obscène volontairement exagéré, elle lape le contenu de sa main ! Je suis abasourdi !
Je ne l’aurai jamais imaginé, mais voir une jeune fille si angélique il y a encore quelques minutes se vautrer ainsi dans l’ordure m’excite incroyablement. Je rebande très vite et me permets de fourrer mon dard dans la bouche de ma fille sans qu’elle ne m’y invite. Elle ne s’en plaint pas et m’offre une pipe d’anthologie, en crachant et en bavant sur ma hampe dure qu’elle fait glisser tout au fond de sa gorge chaude et pisseuse.
Je sens ensuite un jet chaud toucher mes jambes. Ma fille s’est remise à pisser, elle fait gicler son urine sur moi. Tout en poursuivant sa fellation, elle trempe ses mains dans le liquide doré, et les plaque sur son corps.
Voyant que je bande toujours bien dur, elle trempe, humidifie ma verge de son urine. Lorsqu’elle est bien pisseuse, elle me demande de sa voix douce : « Prends-moi à nouveau papa, baise ma chatte avec ta belle queue pisseuse. » Elle s’allonge sur le dos et écarte outrageusement les cuisses en disant cela. Comment résister à un tel appel ?
Je plante ma pine sale dans son con. Elle feule de plaisir en sentant que je la souille de l’intérieur. Je la besogne durant de longues minutes et lui fais atteindre un nouvel orgasme. Je sors ensuite de son antre toujours brûlant de désir et sa bouche remplace son vagin autour de ma virilité. Une nouvelle fois elle s’emploie à gober mon sexe en bavant.
Elle lâche ma tige avant que je ne jouisse et porte sa langue sur mes couilles, puis se dirige doucement vers mon anus. Je suis à nouveau très surpris. Océane entreprend de lécher mon cul. Elle inonde ma raie de sa bave gluante. Elle insiste particulièrement sur mon orifice plissé et petit à petit fourre sa langue à l’intérieur. Quelle cochonne ! « Tu aimes ? me glisse-t-elle.
— Oh oui, c’est vraiment trop bon. Tu es une petite dévergondée. »
Elle continue, elle se permet d’enfoncer un doigt dans mon cul. C’est délicieux.
Après quelques minutes de ce traitement hautement excitant, elle me susurre : « Baise-moi encore, s’il te plaît papounet. »
Elle quitte mon entrejambe, s’allonge sur le dos, cuisses écartelées. Je la pénètre à nouveau avec bonheur.
Après plusieurs minutes, elle me fait quitter sa chatte. Elle me demande, sur une voix proche de la supplication : « Tu n’aurais pas une petite envie de faire pipi ? Ou même une grosse ?
— Hein ?— J’aime la pisse, j’aimerais goûter à la tienne, s’il te plaît. — Je vais essayer, pour te faire plaisir. Mais il faut que je débande un peu.— J’t’en prie. »
Je mets en effet quelques instants pour réussir à libérer un jet d’urine. Océane me scrute avec attention et porte sa bouche sous le jet doré dès qu’il sort de mon vit. D’abord timide, le flot s’intensifie. Ma fille avale une gorgée, mais elle est ensuite submergée par le flux et se laisse inonder le visage et ses magnifiques longs cheveux blonds. Quel spectacle !
Lorsque j’ai terminé, elle prend ma verge dans sa bouche, l’aspire pour en capter les dernières gouttes. Elle s’empale ensuite totalement sur mon engin trempé. Je suis tout au fond de sa gorge, elle s’enfonce au maximum sans que je n’aie à l’inciter à me prodiguer une telle pénétration buccale.
Elle bave abondamment, outre la pisse, son menton est couvert d’une salive épaisse et bien gluante qui s’écoule en gros fils qui pendouillent jusque sur ses beaux petits nichons bien fermes. Elle quitte une seconde mon membre, me lance un regard provocateur, malgré les larmes qui encombrent ses yeux suite à l’action de ma tige au tréfonds de sa gorge. Elle me lance : « J’adore me prendre de gros calibres tout au fond de mon gosier ... Merci papa. »
Je suis toujours plus estomaqué par le vice de ma fille. Comment peut-elle se comporter ainsi, avec son père ? Mais elle m’excite terriblement, j’ai encore envie de jouir et remets mon chibre dans sa bouche : « Je vois que tu aimes le vice et la pisse, tu ne voudrais pas ajouter un peu de foutre ? ». Elle me regarde, visiblement excitée et garde mon sexe en bouche et acquiesce en émettant des borborygmes. Elle lape mon dard dur jusqu’à me faire éjaculer une nouvelle fois dans sa bouche.
Nous nettoyons nos corps, notamment ses longs cheveux couverts de pipi, puis son appartement (heureusement elle avait protégé le lit et le sol est en carrelage).
Nous décidons de sortir dîner. En très peu de temps, elle est redevenue aussi pimpante que lorsque je suis arrivé, avec ses longs cheveux blonds soyeux, sa peau bronzée et lisse, ses yeux au bleu si intense, son corps aux formes fermes et bien proportionnées. Elle porte une petite robe d’été qui lui sied à merveille. Quel plaisir de voir une si jolie jeune fille ! Il serait bien difficile en la voyant ainsi d’imaginer le vice qu’elle cache.
Nous nous séparons en fin de soirée. Elle me fait promettre de revenir dès samedi prochain. Elle me glisse également quelques recommandations : « Pas la peine de trop te laver cette semaine, il va faire chaud et j’adore l’odeur d’un corps qui a bien transpiré. Laisse également tes parties intimes bien négligées et fait quelques réserves dans ta vessie. Aujourd’hui tu as eu droit au hors-d’œuvre, mais la semaine prochaine je te ferai découvrir le plat de résistance. » Elle affiche toujours son sourire enjôleur en prononçant ses paroles sordides. Elle me gratifie d’un baiser sur la bouche en guise de salut.
Diffuse en direct !
Regarder son live