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La fille du bout du monde

Chapitre 4

Divers
Chapitre 4
La fille du bout du monde.
Une belle africaine aux yeux bleus
Cette rencontre s’est déroulée de façon étrange et pour le moins inattendue. Et je dois bien l’avouer, je n’avais jamais vu réellement une africaine aux yeux bleus si ce n’est sur certaines revues plus ou moins scientifiques.
J’étais parti de Lyon relativement tôt un vendredi matin, direction la Tunisie pour une huitaine de jours en circuit 4X4. Tout était prévu par l’agence, j’avais juste eu un supplément à payer, puisque partant seul.
Ce voyage s’annonçait au mieux et devait me faire prendre un peu de recul par rapport à mon divorce que je n’arrivais toujours pas à accepter.Au programme, excepté le jour d’arrivée ainsi que le jour suivant, de bonnes petites escapades étaient programmées, notamment avec la visite des habitations troglodytes de Matmata, la découverte du désert de Douz ou encore la traversée du lac salé de Chott El Jerid.
Donc, pour une somme, si on peut dire modeste, j’allais pourvoir me changer les idées sur un autre continent, continent que je n’avais encore jamais parcouru.Toujours âgé de la quarantaine, toujours seul et... toujours divorcé, c’était par conséquent en toute indépendance que j’allais découvrir la Tunisie, de ses grandes villes à ses petits villages totalement isolés.
A mon arrivée, j’avais été "pris en charge" par l’équipe locale de l’agence organisatrice. Le samedi, ainsi que le dimanche, nous étaient réservés pour la découverte de Tunis et de ses monuments, ruelles et autres attraits pour les touristes.
L’hôtel où j’étais logé n’était pas luxueux, mais il avait, pour moi, le gros avantage d’être calme et excentré du centre ville.J’avais donc pris possession de ma chambre simple (ce qui explique le supplément), et pris une douche pour me remettre du voyage en avion, qui, bien que de courte durée, m’avait donné quelques sueurs froides. Puis j’étais descendu au bar de l’hôtel et avais pris un café.
Décidé à ne pas rester enfermé, j’étais parti à l’aventure dans les rues de Tunis en attendant l’heure où, le représentant local et les guides, devaient nous accueillir officiellement pour nous présenter le programme de notre séjour.
Dans la même rue que l’hôtel, il y avait une boulangerie pâtisserie et, en vente à l’étalage, de succulentes spécialités typiquement tunisienne.J’avais décidé de m’y arrêter, étant gourmand de nature, pour y acheter quelques cornes de gazelle. Pâtisserie locale qu’on trouve aussi en France et qui est constituée d’une pâte fourrée à la crème d’amendes torréfiées et recouverte de sucre glace. Un régal tant pour les yeux que pour les papilles. Celles que j’avais repérées avaient la forme de la corne d’abondance.

La vendeuse, probablement venue d’un autre pays, était noire et plus que jolie. Elle m’avait dévisagé dès mon entrée dans le commerce et je n’avais pu faire autrement que de soutenir son regard bleu qui tranchait de la plus belle des façon avec son teint de peau.
Fine et élancée, c’était une vraie et jeune beauté qui devait faire tourner la tête à beaucoup de ces retraités faisant la queue devant le comptoir.Mine de rien, avec mon appareil photo, j’avais joué le pur touriste photographiant les pâtisseries locales. Mais j’avais réussi plusieurs clichés avec lesquels je comptais bien faire une petite toile et pour tout dire, ou plus exactement, faire tout simplement le portrait de cette merveilleuse jeune fille sans penser un instant à la peindre nue.
Son visage me troublait tant que j’allais en oublier l’heure des présentations à la réception de l’hôtel avec le responsable d’agence. Cependant, je n’avais pas voulu quitter la pâtisserie sans mes cornes de gazelle.
Lorsque mon tour arriva enfin, la jolie africaine demanda dans un français parfait :
— Et pour toi Monsieur ?
Je ne m’étais pas encore habitué à ce tutoiement qu’on pouvait observer ici en Tunisie.
— Pour moi trois cornes de gazelle s’il vous plaît !
Elle me dévisageait toujours et j’avais l’impression que son regard me transperçait, ou du moins, qu’il passait outre mes vêtements.Elle m’avait servi avec un large sourire faisant apparaître une rangée de perles blanches, et ce sourire avait quelque chose de "cannibale". Si je n’avais pas été en Tunisie, j’aurais parié qu’elle avait des idées coquines en tête, mais, après tout, peut-être était-ce bien ce à quoi elle pensait.
De retour à l’hôtel, nous avions eu droit aux présentations. Un à un, l’agent local, les guides et les chauffeurs s’étaient présentés. Je serais dans le 4X4 d’Ahmed et de Fahd en compagnie de deux couples de retraités mais qui semblaient habitués à ce type de séjour et surtout ne manquaient pas d’esprit.
Nous avions eu comme je l’avais prévu un jus de fruit en guise de verre de l’amitié... sans alcool, fallait faire avec les coutumes du pays ! Sans doute pour me rassurer, l’un des guides m’avait pris à part pour me préciser que certains restaurants servaient d’excellents vins français.
Le soir, repas de groupe dans un resto au centre de Tunis Nous y étions allés tous pedibus jambus et nos tables étaient réservées. Au centre des Khobz tabouna (pains tunisiens) semblaient nous attendre. Même s’ils me faisaient envie, ma tête était ailleurs... mes pensées étaient occupées par cette belle africaine aux yeux bleus et cela m’avait empêché de participer pleinement à la soirée. Je ne m’étais pas attardé plus que de raison par conséquent après et j’avais regagné ma chambre.
Le lendemain, toujours journée libre, nous avions une nouvelle fois déambulé dans les rues de Tunis. Vers midi à notre retour à l’hôtel, un guide nous attendait sirotant un thé à la menthe.Je m’étais à nouveau arrêté à la pâtisserie, mais la belle de la veille n’y était pas. J’en fus déçu d’autant que le circuit commençait le lendemain et que je n’aurais sans doute pas, à mon avis, la chance de la revoir.
J’ai donc flâné ça et là, croisant parfois des gens de l’hôtel dans certaines ruelles, l’air ravi et enchanté. Il est vrai qu’il était plus agréable de se promener à plusieurs que d’être seul dans les rues de Tunis. La journée se passa tant bien que mal et le soir, après un rapide repas dans la salle de restaurant de l’hôtel, j’avais regagné ma chambre. Lundi allait être le premier jour de notre circuit, départ dès le levé du soleil, il m’avait donc fallu me coucher tôt.
Il allait en être de même les jours suivants et j’avais pu faire plus ample connaissance avec les autres touristes.Le jeudi, dernier jour de notre circuit, le guide s’était amusé à nous faire cuir du pain dans le sable. Après avoir allumé un feu de bois dans un trou préalablement creusé à la pelle, il avait dans le 4X4 préparé une pâte rapide, il lui avait donné sa forme et placé ainsi le pain au centre du trou qu’il avait recouvert de sable. Trois quarts d’heure plus tard, nous avions cassé la croûte avec du pain cuit à l’ancienne et cela avait été plaisant.
De retour à Tunis en fin d’après-midi, le correspondant local de l’agence de voyage nous avait informés que le soir nous partions dans un village à quelques kilomètres pour une soirée spéciale tunisienne. C’est là que nous devions prendre notre avant dernier repas, tout en profitant d’un spectacle de danse et de chevaux. Il n’y avait pas de temps à perdre pour se préparer pour la soirée.
A l’heure dite, nous nous étions retrouvés sur le parking de l’hôtel où un bus nous y attendait. Le trajet fut assez rapide. Sur place nous avions découvert une énorme tenture et des dizaines de cars. La foule était immense en attendant de prendre place à table et de participer à cette fête locale.
Le repas avait débuté par des petites spécialités locales, puis par de succulentes tajines et c’est au cours de celui-ci que les danseuses étaient arrivées des quatre coin. Somptueusement vêtues de robes et de bijoux typiquement tunisiens, elles avaient le ventre nu et les cheveux cachés par des foulards aux multiples couleurs. Tour à tour chacune invitait un homme assis à table à accompagner le groupe et bientôt, cela avait été mon tour et ... ma plus belle surprise de ce séjour.
La danseuse qui était venue me chercher n’était autre que la jolie africaine aux yeux bleus. La danse n’était pas mon fort, mais je m’étais prêté volontiers à ce petit jeu. Très vite je m’étais retrouvé au sol et elle dansait, comme toutes les autres, au-dessus de moi à ceci près qu’elle avait volontairement frotter son bas ventre contre le mien alors ce qui avait produit un effet immédiat et j’avais vu dans son magnifique regard qu’elle avait aimé ce qu’elle sentait.
Durant cette danse plus qu’érotique, j’avais, mentalement, photographié toutes les parties de son corps somptueux. Son ventre était creux et un nombril joliment dessiné y faisait comme un cœur. Ses seins dansaient sous le tissu léger rouge et bleu qui entourait sa jeune poitrine. L’éclat de ses yeux était lui, indéfinissable, avec les lumières ambiantes, j’y voyais comme une myriade d’étoiles scintillantes de plaisir. Je bandais à l’idée qu’elle et moi aurions pu aller plus loin surtout lorsqu’elle avait frotté ses fesses contre mon sexe.
C’était la dernière fois sans aucun doute que j’allais la voir et j’étais décidé à mémoriser tout pour, à mon retour, pouvoir la peindre à ma guise. Certes, ce serait un portrait, un nu, imaginatif, mais cela m’importait peu. Tout au long de cette danse j’avais pu deviner la forme de son fessier et j’avais aimé sa tenue ferme. Il ne me serait dès lors pas difficile de la peindre et de fantasmer à l’idée d’une aventure qui aurait sans aucun doute était des plus douce et des plus agréable.
Le lendemain j’avais pris l’avion du retour, j’avais laissé en Tunisie un rêve inavoué, un désir inassouvi.Dès mon arrivée chez moi, j’avais sorti une toile, mis mes photographies sur ordinateur et je m’étais lancé dans ce nu. Les images me revenaient d’elles mêmes sans avoir à les solliciter. Je bandais comme un malade et durant la production de cette toile, à plusieurs reprises au cours des jours qui suivirent, je me masturbais devant celle qui m’avait tant fait rêver.
La dernière masturbation je l’avais faite une fois ma peinture terminée. La belle était nue, sous l’eau d’une cascade, de nombreux oiseaux exotiques aux couleurs vives l’entouraient ainsi que des fleurs de toutes tailles. Le lendemain, exposée au mur du restaurant d’un ami, ma toile était vendue... Il ne me restait que les souvenirs.

Note : J’ai vraiment fait ce circuit, c’est tout simplement magnifique, et cette fille que je décris existe, elle était effectivement vendeuse dans une pâtisserie à Hammamet et nos regards s’étaient bel et bien croisés. Ceci pour la petite histoire.
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