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La fille du bout du monde

Chapitre 5

Divers
Perverse ou pas perverse

Je me suis laissé bêtement envahir par ces souvenirs alors qu’il n’y a rien eu avec cette fille, à mon grand regret d’ailleurs. Je me dis qu’elle doit bien avoir la quarantaine aujourd’hui. L’heure a filé entre mes doigts, il est grand temps d’aller faire un tour au village car même si la nuit n’est pas encore tomber il me faut un truc à manger ce soir. J’opte pour une pizza que je prendrai au camping... qui sait, je verrai peut-être la belle Salomé.
J’enfile une veste de flanelle et me voilà parti sur le chemin le sexe libre sous le tissu de mon pantalon. Je ne porte jamais de boxer ou autres quand je suis chez moi. Perversité ou pas, j’aime parfois même, en marchant dans la nature, sortir ma queue et la laisser pendre au grand air. Bien entendu, je fais attention de ne pas être vu, mais j’adore ça. D’ailleurs, je suis un adepte du naturisme.
Je marche sur les hautes herbes qui bordent la chaussée. Le cantonnier n’a pas dû y passer depuis des lustres mais bon, il est tout seul au village, il ne peut pas être partout.Tout en marchant, je passe ma main dans mon pantalon, j’aime aussi ça, me toucher le sexe et le faire tendre un peu en déambulant. A mon âge il faut profiter de tous les petits plaisirs, même en solitaire. A peine la main dessus le voilà qui gonfle, pas mal pour un gars de mon âge non ? Je revois Salomé nue sur la plage, je bande encore plus et là ... bing ! Je m’étale de tout mon long. Une branche morte m’entaille le haut de la cuisse, presque dans l’entrejambe. Putain, ça fait mal et mon falzar est foutu, en plus je pisse le sang.
Je me relève difficilement, les genoux sont amochés aussi, mais ce n’est rien comparé à ma cuisse. Je me dis en moi-même :
— la prochaine fois tu laisseras tes mains dehors, au moins tu aurais pu te rattraper !
Après une chute on se relève (quand on le peut) toujours très vite de peur d’avoir été vu et de passer pour un abruti. Ce n’est qu’après qu’on constate les dégâts. Là ce n’est pas beau à voir, la branche a pénétré profondément ma cuisse. Les pins sont nombreux dans la région, ils bordent tout le littoral et les chemins, un coup de vent a dû en casser une, et voilà le résultat. Je vais avoir la patte folle durant quelques jours.
— Et merde, je fais quoi maintenant ?
Cette question je me la pose à haute voix, mais j’ai déjà la réponse. Je suis plus près du camping que de ma maison. Je vais aller voir si ils ont des pansements et un truc à l’alcool. La pizza attendra bien.Tant bien que mal je reprends la direction du camping et à mon grand soulagement je vois que la gérante est à l’entrée. A ma vue elle prend un air horrifié :
— Mais qu’est-ce qui vous est arrivé ? On vous a attaqué ?— Non rassurez-vous, juste une mauvaise chute en venant ici.
Je grimace en répondant, la douleur est lancinante. Elle me regarde des pieds à la tête.
— Va falloir soigner ça, c’est pas très beau d’après ce que je vois !— Oui, justement, à défaut de pizza je venais voir si vous aviez un désinfectant et quelques bandages pour me dépanner en attendant demain ! J’irai à la pharmacie.— Oui, oui ! Bien sûr, mais faut déjà nettoyer la plaie. Sans jeu de mot, vous tombez bien, Salomé a un brevet de secourisme, je vais l’appelé et elle va s’occuper de vous.— Mais non, je le ferai en rentrant.— Non, il n’en est pas question, venez, on va s’installer dans un coin plus tranquille.
Elle m’entraîne dans l’arrière salle de l’accueil et me dit :
— Voilà installez vous ici, je reviens !
Elle me désigne un fauteuil qui semble confortable devant une table basse encombrée de prospectus en tout genre. Heureusement, un plaid recouvre l’assise car mon sang pisse toujours de la plaie. La voilà partie je ne sais où ! J’appuie sur ma blessure pour limiter l’écoulement de sang mais ça picote sérieusement, je ne suis pourtant pas particulièrement douillé.
— Coucou vous !
Bon ben voilà Salomé...
— La patronne m’a dit que vous étiez blessé ! Je vais regarder ça.
Là je me sens gêné...
— Heu, non, donnez moi juste des pansements et un petit désinfectant, le reste attendra demain !— Non non et non. Je veux voir ça, vous avez du sang plein le pantalon, soit ce n’est pas grave et tout ira bien, soit c’est plus sérieux que vous ne le pensez et il faudra aller à la clinique ou à l’hôpital. Je ne sais pas encore ce qu’il y a par ici.— Y a un hôpital pas très très loin mais je ne suis pas à l’article de la mort.— Non sans doute, mais en attendant laissez moi regarder !
Salomé s’approche, se penche sur moi, regarde l’espace de quelques secondes et se redresse.
— Bon je ne vois rien là ! Baissez votre pantalon s’il vous plaît.— Non !— Comment ça non ?— Je ne peux ni ne veux baisser mon pantalon !— Quoi ? Vous avez peur ? (rires)— Non, mais je ne porte pas de sous-vêtement.
Les yeux et la bouche de Salomé s’illuminent d’un sourire coquin.
— Heu... je crois que vous n’êtes pas à cela près non ? Je vous ai déjà vu nu, vous l’avez oublié ?— Non, et même si je voulais l’oublier je ne pourrais pas car... rappelle toi que tu étais nue aussi gamine. Mais la question n’est pas là. La plaie est à un endroit trop proche de ce que la décence permet d’un vieux au regard d’une jeune fille.— D’abord je ne suis plus une gamine, je vous l’ai déjà dit ou fait comprendre, et là il n’est pas question de décence mais de soins qu’il faut vous apporter ! Alors arrêtez votre cirque et laissez moi regarder !
J’avoue que j’éprouve une certaine gêne, mais surtout une grande excitation à l’idée d’être une fois encore nu devant Salomé.
— Allez, quittez moi ça ! Mettez-vous debout.
Tout en me levant je réponds :
— Vous y tenez vraiment tant que ça ?
Pour le coup, j’ai repris le vouvoiement tant je suis perturbé.
— Oui, je veux exercer ce pourquoi je me suis aussi formée ! C’est l’occasion de mettre en pratique mes acquis !— Ok, mais pas touche hein ... tu regardes juste la plaie.— Oui et je la soigne !— Tourne toi quand même non ?— Alors là je suis morte de rire ! A quoi bon me retourner pour vous voir à poil après ?— J’en sais rien... un reste de pudeur sans doute !— Allez hop !
Salomé tend les mains vers mon pantalon qu’elle déboutonne en un tour de main. Puis, sans aucune gêne, elle le baisse jusqu’aux chevilles.
— Installez vous sur le fauteuil et étendez votre jambe...
Elle ne peut s’empêcher de me regarder le sexe. Je sens le rouge me monter aux joues mais je m’exécute. Ma verge pend encore sur le côté mais je sais bien qu’elle gonfle à ce moment même. Je crois nécessaire de m’excuser.
— Désolé... — Ce n’est rien. Ça aussi je l’ai déjà vu (rires)— Oui ben ne remue pas le couteau dans la plaie ! Enfin, si je puis dire.— Elle est chouette !
De quoi parle t-elle ? De ma queue ou de ma plaie ?
— Je t’en prie ! Pas de commentaire !— Quoi... c’est vrai pour votre âge elle est encore bien non ?
Cette fois c’est sûr elle parle de ma verge.
— Vite regarde la blessure et t’occupe pas du reste.— Difficile mais bon... à vous ordres mon Seigneur (nouveaux rires)
Après avoir pris un coton, délicatement Salomé nettoie tout d’abord les contours de la plaie de l’extérieur vers l’intérieur.
— C’est profond quand même !
Je ne réponds pas, je suis trop occupé à tenter de m’opposer à une érection que je sens venir à vitesse grand V.
— Ça va ? Je ne vous fais pas mal ?
Elle vient de frôler mes bourses et là ma bite monte encore d’un cran et j’ai beau penser de toutes mes forces à autres choses, ça ne sert à rien.
— Non mais dépêche toi, je ne suis pas du tout à l’aise là !— Qui veut aller loin ménage sa monture !
Qu’est ce qu’elle entend par là encore ! Je sens qu’elle approche de la blessure et je regarde. Sa tête est à quelques centimètres de ma queue, j’imagine l’impensable.
— Je ne pense pas que vous ayez besoin d’aller à l’hôpital, mais je vais quand même vérifier et nettoyer le reste.
Elle prend de nouveaux cotons, les humidifie avec un produit que je ne connais pas. Doucement elle nettoie le sans qui s’est répandu sur la cuisse et avec délicatesse, je sens sa main commencer à monter vers mon pubis.
— Stop  !!! Je laverai ça chez moi !— Vous inquiétez pas, je nettoie juste le plus gros... je parle du sang (rires)
En effet, ma verge est presque complètement raide à présent.
— Ne sursautez pas, je lave le paquet !
Ah la garce... Avec de nouveaux cotons, la voilà qui commence à me laver les bourses et le bas de ma bite.C’en est trop, je bande à mort.
— Oups... votre machin est bien raide ! Vous êtes en parfaite santé et super bien équipé pour une chevauchée sauvage.
Elle éclate de rire alors que je ne sais où me mettre... bon je suis coincé dans le fauteuil mais quand même. Je cherche un truc pour me couvrir, tente d’attraper le plaid mais il est coincé sous mes fesses.
— Arrêtez de bouger comme ça on dirait une anguille...
Je tente désespérément de mettre mes mains sur mon sexe, mais elles ne recouvrent pas la totalité.
— Enlevez vos mains !— Non, allez... ça va comme ça.
Salomé prend un pansement et une bande. Elle applique de la vaseline sur la plaie, pose le pansement et m’enroule la bande. Une nouvelle fois, en tournant autour de ma cuisse, elle frôle mes bourses, je sens un spasme préfigurant une éjaculation dans ma bite. Je la vois sourire, elle a dû s’en rendre compte.
— Bon ça ira pour ce soir ! Demain matin je passerai vous voir pour refaire le pansement et voir comment ça évolue.— Ne te dérange pas, je pourrai le faire moi même !— Non, il va falloir laisser votre jambe au repos, et pas de douche, ou du moins ne mouillez pas la plaie demain. Quand je viendrai je m’occuperai de nettoyer et de remettre de la vaseline. Là je vais demander à la patronne de vous reconduire chez vous.— OK, mais j’étais surtout venu pour acheter une pizza, cet incident a contrarié mes projets.— Vous voulez que j’aille vous la commander ?— Tu es gentille mais non, je vais y aller doucement, le camion est juste à l’entrée.
Tout en parlant, je me relève, j’ajuste mon pantalon, je me sens mieux, moins gêné devant la petite.L’idée qu’elle passe demain ne me déplaît pas. Mon refus n’était que pure politesse.
— Merci pour tout Salomé, et encore et sincèrement désolé de t’avoir offert un spectacle impudique.— Ne vous en faites pas, j’avoue avoir été surprise par votre machin, mais j’avoue aussi que c’était une agréable surprise. Je vais chercher la patronne et je vous dis à demain.
Et elle me claque un baiser sur la joue. J’en suis tout ému.
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